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La bonne foi dans le contrat

Introduction :

Parmi les principe directeurs qui gouverne le contrat figure, à côté de


la liberté contractuelle et de la force obligatoire, l’exigence de bonne foi.
Selon l’article 1104 du code civil, ces pricipes sont d’ordre public. La
bonne foi est synonyme d’honnetété, de bonne intention ou la conduite
de bon père de famille. La bonne foi impose aux contractants d’adopter
un comportement loyale et coopératif vis-à-vis de son co-contractant.
L’étude de la bonne foi dans le contrat est important à plus d’un titre
car elle garantie l’execution du contrat. En revanche, le non respect de
la bonne foi n’entraine pas forcément la nullité du contrat mais une
possibilité de sa rupture. La partie ayant dérogé à ce principe peut être
mise en cause dans le cadre d’une action en responsabilité
contractuelle et donc contrainte à payer des dommages et intérêts à la
partie victime.
Quelles sont les caractéristiques et les effets de la bonne foi dans le
contrat ?
A la lumière toutes ces précisions, nous allons voir en première partie
(I) les caractéristiques de la bonne foi et en deuxième partie (II) les
effets de bonne foi dans le contrat.

Plan possible
I- Les caractéristiques de la bonne foi :
A- L’obligation de la bonne foi :
B- L’application de la bonne foi :
II- Les effets que peuvent enregendrer le non respect de la bonne
foi :
A- Possibilité de rupture du contrat :
B- La responsabilité contractuelle de l’auteur :
Introduction du prof :

Le développement de l'économie du marché au XXI ème siècle a


revolutionné le droit des contrats corollaire de l'émergence des
considérations morales telles l'éthique, la loyauté et la bonne foi l'idée
du sujet soumis à notre réflexion. La bonne foi est perçue comme la
croyance qu'a une personne de se trouver dans une situation conforme
au droit et la conscience d'agir sans léser les droits d'autrui. A quand
intervient la lesion en matière contractuelle ? Telle est la grande
interrogation soulevée par le sujet soumis à notre réflexion. Le sujet
soumis à notre réflexion est important à plus d'un titre parce qu'il
nous permet de savoir que la bonne est une exigence legale. C'est une
notion fréquemment utilisée par les législations pour attenuer des
rigueurs de l'application des règles positives. Il nous permet de savoir
que la bonne foi a connu une évolution récente en droit français des
contrats en 2016. A la lumière de toutes ces précisions nous
examinerons dans une première partie la bonne foi dans la formation
(I) et dans une deuxième partie la bonne foi dans l'exécution (II).
Le lien de causalité
Introduction :

Tout dommage résulte d’un fait, pour que ce dommage soit afilier à un
fait, il faut un lien. Le lien de causalité est une des conditiins de
responsabilité civile. Par exemple dans la responsabilité de fait
personnelle, il faut établir l’éxistance d’un préjudice et d’une faute
mais il faut également établir l’existence d’un lien de causalité entre la
faute et le préjudice. Ainsi, le lien de causalité se définie, la
responsabilité impliquant une relation de cause à effet entre le fait
générateur et le dommage (art.116 R.G.O). D’où l’idée du sujet soumis
à notre réflexion.
Prof : lien de causalité
Introduction :
la réparation du dommage n’est pas uniquement subordonné à la
double exigence d’un fait générateur de responsabilité et d’un
dommage. Encore faut il que le dommage se rattache de manière à un
lien de causalité l’idée du sujet soumis à notre reflexion. Le lien de
causalité peut se définir comme un lien de cause à effet entre un fait
générateur de dommage et le dommage lui-même. C’est un lien qui uni
la cause à l’effet . Le sujet soumis à notre reflexion soulève une
interrogation centrale à savoir : le lien de causalité doit-il exister pour
être prouvé ? l’intérêt de ce sujet est double. Il est d’abord théorique
par ce qu’il nous permet de savoir que c’est une notion qui suscite une
controverse doctrinale. La doctrine a montré l’existence de deux
conception possible du lien de causalité : la théorie de l’équivalence
des conditions et celle de la causalité adéquate. Ensuite l’intérêt de ce
sujet est pratique car dans la pratique jurisprudentielle on essaye
toujours de trouver des solutions pragmatiques. Le lien de causalité
dévient donc un instrument de de politique jurisprudentielle qui
donne de la souplesse au juge. C’est pourquoi à la lumière de toutes
ces précisions nous examinerons dans une première partie l’existence
du lien de causalité (I) avant de voir dans une deuxième partie que le
lein de causalité doit être prouvé (II).
Plan possible :
I- l’existence du lien de causalité
A- l’équivalence des conditions :
B- la causalité adéquate :
II- La preuve du lien de causalité
A- Le principe (la victime) :
B- Le recours aux présomptions :
Gestion d’affaire prof

Il est possible que des engagements se forment sans convention, le


législateur vise non seulement les délits et quasi-délits également les
quasi-contrats qui sont des faits purement volontaire de l’homme dont
il resulte un engagement quelconque envers un tiers et quelque fois
réciproque des deux parties à savoir la gestion d’affaire et la répetution
de l’indu. La première est l’idée du sujet soumis à notre reflexion. La
gestion d’affaire est perçue comme la qualification donnée aux
engagements pris par une personne appelée le gérant qui s’immisce
volontairement dans les affaires d’un tiers appelé le maître de l’affaire
pour sauvegarder les intérêts de ce dernier.la présente reflxion soulève
une interrogation centrale. Quelles sont les conditions et les effets de
la gestion d’affaire ? ce sujet est important à plus d’un titre par ce qu’il
nous permet de savoir que la gestion d’affaire n’est pas un contrat car
il n’y a pas accord préalable de volonté entre les parties. Il nous permet
aussi de savoir que si une telle situation se produit c’est que le tiers se
trouve dans l’incapacité de gerer ses affaires en raison de son
éloignement. A la lumière de toutes ces précisions, toute fois, la
gestion d’affaire n’est reconnue que si l’acte répond à certaines
conditions (I) si ces conditions sont remplies, la gestion d’affaire
produit ses effets(II).
Plan possible :
I- Les conditions de la gestion d’affaire :
A- Conditions quant aux actes :
B- Conditions aux personnes :
II- Les effets
A- Entre le gérant et le maître :
B- A l’égard des tiers :
La séparation de corps
Les époux peuvent choisir de se désunisir en ayant recours au divorce,
ils peuvent également choisir de se désunir toujours en ayant recours
au juge mais avec une séparation de corps qui est l’idéé soumis à notre
réflexion. Elle permet aux époux de rester mariés, en étant autorisés à
vivre séparement. Elle entraine toujours la séparation des biens et elle
est soumise aux règles de procédure applicables au divorce. Quelles
sont les conditions et effets de la séparation de corps ? L’étude de ce
sujet est important à plus d’un titre. Il nous permet de savoir en cas de
relachement du lien conjugal spécifiquement elle met fin au devoir de
cohabitation, tout en laissant subsister le mariage.
A la lumière de toutes de toutes ces précisions, nous examinerons ce
sujet en deux parties à savoir les conditions de la séparation de corps
(I) et les effets en cas de séparation de corps (II).
Plan possible :
I- Les conditions
A-condition de fond :
B-condition de forme :
II- Les effets
A- Les effets communs au divorce :
B-les effets spécifiques :
L’exception d’exécution

Nul ne peut se faire justice soi-même. Mais il existe différent


mécanisme en fonction de la nature de l’engagement et de la faute à
savoir de la mise en œuvre de la responsabilité contractuelle,
l’exécution forcée, l’exécution en nature, l’exécution par équivalent, la
résolution du contrat et l’exception d’inexécution. L’exception
d’inexécution est l’idée soumis à notre réflexion qui au regard de
l’article 104 alinéa 3 du RGO, Dans les contrats synallagmatiques,
chacun des contractants peut refuser de remplir son obligation tant
que l’autre n’exécute pas la sienne…suppose, d’après la nature et
l’importance de l’obligation méconnue, un manquement suffisament
grave pour justifier le refus d’exécuter l’obligation corrélative. Quelle
est l’appréciation et l’exercice de l’exception d’inexécution ? L’etude de
ce sujet est important à plus d’un titre, par ce que c’est un moyen de
défense qui permet à l’une des parties au contrat de s’exonérer de ses
obligations contractuelles en invoquant un évènement imprévisible et
indépendant de sa volonté qui empêche l’exécution de ses obligations.

C’est ainsi que nous verrons dans un premier temps l’appréciation de


l’inexécution (I) et en second temps l’exercice de l’exception
d’inexécution (II)
I- L’appréciation de l’inexécution de l’obligation du
cocontractant :
A- La caractérisation de l’inexécution de l’obligation du
cocontractant :
B- L’appréciation du caractère suffisament grave de l’inexécution du
cocontractant :
II- L’exercice de l’exception d’inexécution :
A- La suspension des obligations du créancier :
B- Le cumul possible avec les autres sanctions de l’inexécution du
contrat :
La séparation de corps pour prof
Introduction :

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