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Matière : relations internationales

Titre : propos préliminaire


Chapitre d’Introduction : société internationale et son droit

La société internationale est différente de la société étatique, c’est une société constituée
exclusivement d’état au premier abord puis sont apparues les organisations internationales,
avec une place spéciale aux individus et aux personnes privés.

Section 1 : Apparition et évolution de la société internationale

Une société internationale tire son origine des puissances européennes, qui existaient déjà
sous l’antiquité (commerce, conflits…)
La société internationale nait en même temps que l’état moderne, avec la fin de la féodalité
(fin au 14ème siècle sous le règne de louis XI). L’état suppose un pouvoir central qui l’exerce
sur un territoire donné. Pour l’exercice d’une société internationale il a fallu se séparer de la
tutelle du Pape théorisé par Jean Bodin. Pour Jean Bodin la souveraine appartient au
monarque.
La souveraineté externe repose sur la souveraineté de l’état qui protège l’indépendance de
l’état dans les rapports internationaux. Les relations internationales se basent principalement
sur la guerre.

Partie 1 : 1. Une société internationale entre guerre et paix (1648-1945)

Le traité de Westphalie est le point d’encrage des relations internationales moderne avec la
paix de Westphalie institué en octobre 1948, qui sont signé deux traités de paix qui mettent fin
à la guerre de 30 ans : traités d’Osnabrück et de Münster -> charte constitutionnelle de
l’Europe. Cette charte pose les notions d’un droit public européen, avec deux principes
fondamentaux qui sont le principe de souveraineté et d’égalité entre état. Ces traités règlent
les problèmes communs qui se pose dans l’Europe, avec le recours aux traités à la place des
guerres. Il crée un mécanisme garantissant le maintien de l’ordre européen. Rien ne peut être
imposé au monarque sans leurs consentement, ce qui développe des rapports de force entre
souverain. Les relations internationales entrainent le monarque à avoir comme but premier la
recherche de la gloire. Il y a des guerres fréquente à cause des colonisations. Le monarque
veut alors se protéger des autres hégémonies.
Le principe d’équilibre (principe politique) qui laisse la souveraineté des autres intacte. L’idée
principale est qu’il est nécessaire de réaliser entre les états une répartition des forces, avec une
protection des états les plus faibles. Au XVIII apparait la notion d’état nation qui sont un
point de départ des révolutions en France et aux usa, qui mettent fin à l’absolutisme.
Paragraphe 2 : Le concert des puissances européennes

L’État nation est souverain mais le monarque n’est pas le souverain. La souveraineté est
exercée par quelques états européens. A la fin des guerres napoléoniennes, les états adoptent
le traité de paris en 1815 qui a institué le directoire européen, qui devient le concert européen
(réunion entre état dominant : ROYAUME UNIS -PRUSSE- RUSSIE- Autriche plus tard
FRANCE). Le maintien de la paix repose sur le maintien de l’ordre monarchique avec le but
de ne pas faire étendre la RV et réglé les soucis de l’expansion coloniale en Afrique. Chaque
nation doit exister en tant qu’état indépendant. Le concert continue au XIXème et XXème
siècle malgré les régimes conservateurs. Après la seconde guerre mondiale il y a un
bouleversement de l’Europe avec la fin de l’empire ottoman. La puissance internationale de
l’Europe diminue avec la monté en puissance de l’Europe, France Royaume-Unis, États-Unis
et Italie sont les principales puissances au lendemain de la 1er guerre mondiale. On remarque
une certaine anarchie, alors il faut organiser politiquement la société internationale à l’image
des sociétés étatiques.

Paragraphe 3 : le maintien de la paix

Après le choc de la 1er guerre les états envisagent la mise en place d’une institutions
internationales qui pourrait contraindre les états sur le plan juridique. Avancer par le président
WILSON en 1918, en 14 points avec notamment le désarmement, la diplomatie secrète, ce qui
amène à la création de la SDN en 1919. La SDN est l’ancêtre de l’ONU crée lors de la
conférence de paix de Versailles, qui avait pour vocations à regrouper tous les états du monde,
pour empêcher une nouvelle guerre ainsi qu’un projet politique étant de maintenir la solidarité
démocratique en temps de paix. Elle a pour but d’instaurer un système de sécurité collective.
Tout ce qui se passe sur le territoire de l’état relève du domaine réservé.
La médiation de la SDN contribue à apaiser des tensions, et même à favoriser des règlements.
Sans force militaire à son service, elle s’avère toutefois impuissante devant la guerre
civile en Espagne, l’intervention japonaise en Mandchourie ou celle de l’Italie en Éthiopie. De
plus, face à la menace de guerre qui se dessine en Europe dans les années 1930, les puissances
recourent à leur propre diplomatie et à la création d’alliances stratégiques entre elles. Bien
qu’une quarantaine de pays en font toujours partie, la SDN fonctionne au ralenti pendant la
Seconde Guerre mondiale. À la conférence de Yalta, en février 1945, les États-Unis,
le Royaume-Uni et l’Union soviétique s’entendent pour y mettre fin, au profit d’une nouvelle
structure, les Nations unies, dont la charte est signée le 26 juin 1945. Une transition se prépare
afin d’y transférer des propriétés de la SDN, évaluées à 11,7 millions de dollars, ainsi que des
agences spécialisées – travail, santé, etc. La Cour permanente de justice internationale devient
alors la Cour internationale de justice. À partir du 8 avril 1946, le secrétaire général de la
SDN, l’Irlandais Sean Lester, et les représentants de 34 pays membres sont réunis à Genève,
siège de l’organisation. Ils votent unanimement pour mettre fin à ses activités, le 20 avril. Un
de ses grands défenseurs, le Britannique Lord Cecil, déclare à cette occasion : « La SDN est
morte, longue vie aux Nations unies. »

Partie 2 : La réorganisation de la société internationale (1945-années 1990)

Pour maintenir la paix il faut une organisation avec plus de pouvoir, en renforçant
l’institutionnalisation. L'Organisation des Nations Unies a été instituée le 24 octobre 1945 à la
suite de la ratification de la Charte par la Chine, les États-Unis, la France, le Royaume-Uni, l'URSS
et la majorité des autres pays signataires.

Suggérée par le Président des États-Unis, Franklin D. Roosevelt, l'expression « Nations Unies » est
apparue au cours de la Seconde guerre mondiale. Elle fut utilisée pour la première fois dans la
Déclaration des Nations Unies du 1er janvier 1942, texte par lequel les représentants de 26 pays se
sont engagés à poursuivre ensemble la guerre contre les puissances de l'Axe.

Par la suite, au printemps 1945, les représentants de 50 pays se sont rencontrés lors de
la Conférence de San Francisco afin d'élaborer la Charte des Nations Unies. Les propositions
rédigées par les représentants de la Chine, des États-Unis, du Royaume-Uni et de l'URSS entre
août et octobre 1944 à Dumbarton Oaks (États-Unis), ont servi de base à leurs travaux. La Charte
fut finalement signée le 26 juin 1945 par les représentants des 50 futurs États Membres.

Paragraphe 1 : La bipolarisation de la société internationale

L’Allemagne est divisé entre le royaume unie la France et l’URSS, ainsi qu’avec la république
fédérale allemande et la république démocratique allemande. L’Allemagne est morcelé ce qui
amène à une source de tension. De plus Staline affiche une volonté d’expansion en Pologne en
Roumanie ou en Bulgarie. En 1946, l’ex premier ministre Churchill dans le discours de Fulton
parle d’une nécessité d’une alliance entre les britanniques et les américains et mentionne
l’expression du rideau de fer, menacé par la tyrannie soviétique. Avec en 1947, le début de la
guerre froide qui s’étale jusqu’en 1955. La coopération se manifeste avec le plan Marshall (aide
financière au pays européens qui participe à la lutte contre le communisme). C’est à ce moment
que ce crée les premières communautés européennes. L’OTAN : L’Organisation du traité de
l'Atlantique Nord est l'organisation politico-militaire mise en place par les pays signataires du
traité de l'Atlantique Nord ( l a été signé à Washington le 4 avril 1949 par les 12 membres
fondateurs de l'Organisation)
afin de pouvoir remplir leurs obligations de sécurité et de défense collectives pour contre
l’attaque de l’est, les pays soviétique crée le pacte de Varsovie à l’est. La guerre n’est pas
directe à l’instar de la guerre de Corée : La guerre de Corée oppose, du 25 juin 1950 au 27
juillet 1953, la République de Corée, soutenue par les Nations unies, à la République
populaire démocratique de Corée, soutenue par la République populaire de Chine et l'Union
soviétique. Il y a un principe d’équilibre de la terreur reposant sur la dissuasion nucléaire. A
l’ONU on discute du désarmement qui n’aboutit pas à cause de l’opposition de l’URSS qui ne
veux pas le contrôle de ses armes. Au sein de l’ONU l’URSS use de son droit de veto.
On rentre après la guerre de Corée dans une coexistence pacifique avec la mort de Staline
avec un avancement vers la fin des deux blocs. Il y a aussi les États qui sont décolonisé qui
sont appelés état du tiers monde, qui refuse de se ralliés à l’in des deux blocs. A partir de
1955, on passe de l’idée de terreur avec le nucléaire avec la politique de désarmement avec la
négociation.
La crise de cuba : La crise des missiles de Cuba est une suite d'événements survenus du 14
octobre au 28 octobre 1962 et qui ont opposé les États-Unis et l'Union soviétique au sujet des
missiles nucléaires soviétiques pointés en direction du territoire des États-Unis depuis l'île de
Cuba. La crise est due à l'installation, par les Soviétiques, sur l'île de Cuba, de fusées capables
de transporter des bombes atomiques. Cuba, ayant adhéré au camp socialiste en juillet 1960,
se trouve à environ 150 kilomètres du territoire des États-Unis, adversaires des Soviétiques.
Les principaux acteurs sont Fidel Castro, un avocat, John Fitzegeral Kennedy, le 35ème
président des États-Unis et Nikita Khrouchtchev, le dirigeant du parti communiste sont les
3 principaux acteurs de cette crise. Fidel Castro craint une guerre nucléaire.
Le 28 octobre 1962 : Khrouchtchev annonce le démantèlement des armes offensives installées
à Cuba en contrepartie de l'engagement de non-invasion de l'île de John F. Kennedy et du
démantèlement de tous les missiles Jupiter de Turquie de Grèce et d'Italie. Cet accord
enclenche la fin de la crise.
Malgré ce règlement à l'amiable, la crise de Cuba n'a pas été sans conséquences. Cette crise a
des conséquences militaires et politiques. Les conséquences militaires : - Retrait négocié par
U-Thant (SG de l'ONU) des missiles américains en Turquie et en Iran.
Entre 1962 et 1973 il y a une période de détente, la guerre froide est totalement terminé

Les Accords d'Helsinki, (ou conférence sur la sécurité et la coopération en Europe -CSCE)
ont été signés le 1er août 1975 entre 33 pays européens, les États-Unis et le Canada. Ils visent
à établir une paix durable entre les pays signataires. Pour cela les frontières européennes
existantes à cette date sont considérées comme définitives et les pays s'interdisent d'intervenir
dans les affaires intérieures des autres. Pour consolider cette sécurité, une coopération
économique, scientifique et technique doit être mise en place. Les accords prévoient
également une meilleure circulation des hommes et des idées à l'intérieur de l'Europe pourtant
alors divisée en deux blocs adverses.
L’Acte final expose dix principes fondamentaux que les États signataires s'engagent à
respecter :

 Égalité souveraine des États, respect des droits inhérents à la souveraineté ;

 Non-recours à la menace ou à l’emploi de la force ;

 inviolabilité des frontières ;

 Intégrité territoriale des États ;

 Règlement pacifique des différends ;

 Non-intervention dans les affaires intérieures ;

 Respect des droits de l’Homme et des libertés fondamentales, y compris la liberté


de pensée, de conscience, de religion ou de conviction ;1

 Égalité de droits des peuples et droit des peuples à disposer d’eux-mêmes ;

 Coopération entre les États ;

 Exécution de bonne foi des obligations assumées conformément au droit


international.

Partie 1 : L’ouverture de la société internationale


Paragraphe 1 : Les conflits de l’après-guerre froide

L’évènement le plus marquant est la décolonisation qui met fin à la société internationales qui
est composé que de grandes puissances. Au début des années 60, il y a une vague de
décolonisation qui bouleverse la structure diplomatique internationale au sein des nations
unis. La multiplication des états du tiers monde sont plus nombreux que les grandes
puissances, ce qui engendre une influence sur les décisions qui sont adoptés à la majorité à
l’ONU.
Le mouvement des non-alignés au sein de l’ONU (pays du tiers monde) qui refuse
l’intégration à l’un des deux blocs, où ils remettent en cause l’exploitation occidentales. Le
conseils de sécurité est paralysé à cause du veto de l’URSS, alors le pouvoirs s’exerce par les
pays du tiers monde au sein de l’assemblé générale. Ils prônent le nouvel ordre économique
international qui ne serait pas dominé par les puissances coloniales. Au moment de la
décolonisation, les états sont indépendant d’un point de vue politique, mais ils sont pas
indépendant sur le principe économique. Le premier choc pétrolier, est à l’origine d’une crise
économique qui permet la revendication des pays du tiers monde. D'octobre à décembre 1973,
au terme d'une grave crise internationale au Moyen-Orient, le prix du baril de pétrole passe de
3 dollars à 10 dollars. Cette hausse, orchestrée par l'O.P.E.P., a été rendue possible par la
tension très forte de la demande des pays industriels.
Ainsi il y a la fin de la bipolarisation, avec l’air Gorbatchev qui amène la chute du mur de
Berlin le 9 novembre 1989, la fin de l’URSS en 1991, avec les états de l’Europe de l’est qui
s’émancipe.

Au lendemain de la dislocation de l’URSS le souci majeur est la guerre du golf qui a lieu en
1990 avec l’invasion et annexion du Koweït par l’Irak.
Le conseil de sécurité prend alors des résolutions car il n’est plus bloqué par l’URSS.

Résumé des guerres de Yougoslavie - Les guerres de Yougoslavie se sont déroulées entre 1991 et
2001, suite à la chute du communisme et la sécession de plusieurs républiques au sein de la
Yougoslavie. Elles se soldent par l'éclatement de la Yougoslavie et l'indépendance de plusieurs
pays. Les guerres de Yougoslavie constituent un ensemble de conflits qui se sont déroulés entre le
31 mars 1991 et le 12 novembre 2001, en Europe de l'Est. Cet événement historique a notamment
entraîné l'indépendance de plusieurs pays, dont la Croatie, la Slovénie, le Kosovo, ainsi que la
Bosnie-Herzégovine. Les guerres de Yougoslavie marquent aussi la fin du régime communiste dans
ces territoires. En l'espace de plus de dix ans, on estime que ces conflits ont fait entre 130 000 et
140 000 victimes, soldats et civils confondus. Également appelées troisième guerre balkanique ou
guerre d'ex-Yougoslavie, les guerres de Yougoslavie sont marquées par de nombreux crimes de
guerre et de nettoyages ethniques, dont le génocide bosniaque. On distingue six grands conflits
durant cette période, dont la guerre des Dix Jours, la guerre de Bosnie ou encore l'insurrection en
République de Macédoine. Les accords de paix successifs qui en découlent intègrent une
reconnaissance internationale de la création des nouveaux États.

Quelle est la date des guerres de Yougoslavie ?


(1991 – 2001) Les guerres de Yougoslavie comptent plusieurs dates clefs dans la succession des
différents conflits. Le premier d'entre eux est la guerre des Dix Jours qui commence le 26 juin
1991 et prend fin le 7 juillet 1991. La guerre de Croatie survient le 17 août 1990 et s'achève le
12 novembre 1995. En parallèle, la guerre de Bosnie-Herzégovine se déroule du 6 avril
1992 jusqu'au 14 décembre 1995. Quant à la guerre du Kosovo, elle a lieu entre le 6 mars 1998 et le
10 juin 1999. Le conflit de la vallée de Prešov se passe entre le 12 juin 1999 et le 1er juin 2001.
Enfin, l'insurrection albanaise en Macédoine dure du 22 janvier au 13 août 2001.

Quelle est l'origine des guerres de Yougoslavie et leur lien avec la religion ?
Il existe plusieurs causes aux guerres de Yougoslavie. Si les tensions ethniques ont débuté dès
le début du XXe siècle, elles se sont empirées dans les années 1980. La montée des courants
nationalistes, les soulèvements populaires et les exigences d'indépendance ont exacerbé les
bouleversements politiques. Ceux-ci sont dus à des réformes constitutionnelles, des choix
économiques marqués et de grands changements électoraux. Par ailleurs, le nationalisme n'a
fait qu'accentuer les clivages entre catholiques, orthodoxes et musulmans.

Qui sont les combattants des guerres de Yougoslavie ?


Les guerres de Yougoslavie ont fait se succéder de nombreuses factions. Face aux soldats
yougoslaves et serbes, les belligérants slovènes, croates, bosniaques, kosovars et albanais ont pris
part aux conflits balkaniques. Les forces de l'OTAN ont également pris part aux combats,
notamment pendant la guerre de Bosnie-Herzégovine et la guerre du Kosovo. Pour ce dernier
conflit, l'organisation internationale est intervenue à la suite du massacre de Račak.

Comment s'est déroulée la guerre de Bosnie-Herzégovine ? (1992-1995)


La guerre de Bosnie-Herzégovine commence le 6 avril 1992 à la suite de la déclaration
d'indépendance de la nation éponyme. Les belligérants croates et bosniaques s'opposent aux Serbes.
Les Casques bleus des Nations Unies interviennent dès le début du conflit dans des opérations de
maintien de la paix. Alors qu'un accord de paix est signé en 1994 entre Croates et musulmans de
Bosnie, deux nettoyages ethniques sont perpétrés l'année suivante. Grâce à l'opération Deliberate
Force, l'intervention de l'OTAN en septembre 1995 permet de mettre fin au conflit.

Comment s'est déroulée la guerre du Kosovo ? (1998-1999)


La guerre du Kosovo oppose les Albanais et les Serbes, dont les dissensions ethniques et politiques
remontent au XVe siècle. Les revendications nationalistes atteignent leur paroxysme le 6 mars
1998, date de début du conflit. Malgré les tentatives de médiation internationale, le conflit gagne en
intensité. De nombreux crimes de guerre et massacres de civils ont lieu. Ils constituent la majeure
partie des victimes (environ 10 000 morts sur 13 000). Les bombardements de l'OTAN contraignent
le gouvernement serbe à se retirer du Kosovo. Le conflit prend fin le 10 juin 1999.

Comment la guerre a-t-elle pris fin en Yougoslavie ?


Les guerres de Yougoslavie ont pris fin par l'intervention d'organisations internationales telles que
l'OTAN. Par la suite, les déclarations d'indépendance des nations concernées ont conduit à
l'éclatement progressif de la Yougoslavie en nations distinctes. Le dernier conflit de cette période
n'est autre que l'insurrection albanaise de 2001 en Macédoine qui oppose, dans ce pays, les
Macédoniens aux Albanais. L'opposition dure 7 mois et débouche sur les accords d'Ohrid destinés,
entre autres, à améliorer les conditions de vie de la minorité albanaise en Macédoine.
Qu'est-ce que le génocide bosniaque ?
Ayant lieu du 11 au 13 juillet 1995, le génocide bosniaque concerne essentiellement les massacres
de Srebrenica et de Žepa. Il est perpétré par la République serbe de Bosnie. Le nettoyage ethnique a
provoqué la mort de 33 000 personnes, dont plus de 8 400 pour les deux précédentes villes
évoquées. L'armée serbe a été reconnue coupable de nombreux crimes de guerre, dont des
emprisonnements arbitraires, des viols, des meurtres et des actes de torture.

Quelles sont les conséquences des guerres de Yougoslavie ?


En incluant l'ensemble des guerres de Yougoslavie, le nombre de victimes armées et civiles est
compris entre 130 000 et 140 000, selon les sources. À la suite des conflits, on compte plus de
2,4 millions de réfugiés. Le Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie (TPIY) a jugé les
auteurs de crimes de guerre, dont l'ancien dirigeant Slobodan Milošević. À la fin des conflits, des
millions d'armes demeurent en libre circulation et alimentent le marché noir européen.

Quel pays remplace la Yougoslavie ?


Les guerres de Yougoslavie ont entraîné l'éclatement progressif du pays, donnant naissance à sept
nations républicaines. La Croatie et la Slovénie voient le jour le 25 juin 1991. La Macédoine est
créée le 8 septembre 1991. S'ensuivent la Bosnie-Herzégovine (1er mars 1992), le Monténégro
(21 mai 2006), la Serbie (22 mai 2006) et le Kosovo (17 février 2008).

GUERRES DE YOUGOSLAVIE : DATES CLÉS


4 mars 1989 - Manifestations pro-serbes en Croatie
Après l'arrivée au pouvoir de Slobodan Milošević, le 4 mars 1989 marque les premières
manifestations en faveur des Serbes. Face aux velléités d'expansionnisme du dirigeant, les
mouvements nationalistes suscitent les craintes des Serbes et des Croates. Au cours de ces
manifestations, certains symboles serbes sont assimilés au 3e Reich et au nazisme.

28 mars 1989 - Le Kosovo et la Voïvodine perdent leur autonomie


Dans le but de bâtir la "Grande Serbie", Slobodan Milošević met fin à l'autonomie de la
Voïvodine et à celle du Kosovo. Contraire à la constitution de l'état fédéral, l'acte est alors
considéré comme un véritable coup d'État qui ne suscite pourtant aucune violence de la part
des Croates et des Slovènes.

25 juin 1991 - La Slovénie et la Croatie font sécession


En Croatie, le Parlement de Zagreb proclame l'indépendance, tandis qu'en Slovénie, c'est le
président Milan Kucan qui déclare en pleurant l'indépendance de son pays. La république de
Yougoslavie, proclamée en 1945, ne cesse de se désagréger depuis la mort de Tito en 1980.
Le gouvernement fédéral yougoslave enverra aussitôt ses troupes en Croatie : c'est le début
d'une guerre qui durera six mois. Les deux États seront reconnus par la communauté
internationale en janvier 1992.

15 janvier 1992 - La Croatie reconnue par la CEE


Suivie par une trentaine de pays et précédée par l'Allemagne, la Communauté Européenne
reconnaît l'État croate qui a proclamé son indépendance sept mois plus tôt. L'intégration de
la Croatie à l'ONU sera également rapide. Les Nations Unies interviennent par ailleurs dans
le conflit serbo-croate. La prise en otage de casques bleus par les Serbes aboutira à une
intervention moins modérée en 1995.

27 avril 1992 - La troisième République fédérale de Yougoslavie


Après l'éclatement de la Yougoslavie sous son ancienne forme en 1991, la Serbie et le
Monténégro constituent la troisième République fédérale le 27 avril 1992. S'ensuit une
guerre civile dont l'origine incombe à la politique nationaliste de Slobodan Milosevic et de
son régime autoritaire basé, entre autres, sur la répression de l'opposition et les
emprisonnements arbitraires.

3 août 1992 - L'ONU condamne la "purification ethnique" en Bosnie


Le Conseil de sécurité de l'ONU dénonce l'installation de camps par les Serbes pour les
prisonniers croates et musulmans. Quelques jours plus tôt, la presse américaine avait fait état
de "camps de la mort" en Bosnie-Herzégovine et la Croix-Rouge s'était vu interdire l'accès à
ces sites. La guerre civile a éclaté entre les Serbes, les Croates et les Musulmans, après que
la Bosnie-Herzégovine a proclamé son indépendance. Après l'intervention des casques
bleus, le cessez-le-feu sera proclamé en octobre 1995, le conflit ayant fait près de
300 000 victimes.

14 décembre 1995 - Signature des accords de Dayton


Signés à Paris le 14 décembre 1995, les accords de Dayton marquent la fin de la guerre de
Bosnie-Herzégovine. Après des négociations s'étant déroulées du 1er au 21 novembre 1995,
aux États-Unis, les accords de Dayton sont conjointement acceptés par les présidents
respectifs de la Serbie, la Croatie et la Bosnie.

27 mai 1999 - Slobodan Milosevic devant les tribunaux


Alors que la guerre du Kosovo approche de son dénouement, Slobodan Milosevic est
accusé de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité. Il est alors poursuivi par le
Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie (TPIY). En juin 2001, le procès de
l'ancien dirigeant serbe se poursuit au tribunal de La Haye, aux Pays-Bas.

Il y a une autre source instable c’est l’Afrique, c’est le terrain de l’exposition coloniale. Après
la guerre froide c’est un territoire à l’abandon car il n’est plus stratégique et les deux camps
laisse tomber le continent. La question du proche orient au seins duquel il y a des facteurs
d’instabilité avec l’accroissement démographique, un phénomène de surarmement

Paragraphe 2 : la recherche d’un nouvel ordre mondial

Il y a une multiplication des institutions internationales et le rôle de l’ONU va être renouveler.


Au sein de l’ONU il y a des états très différend qui est un forum universel pour tous les états
du monde. Le rôle de l’ONU dans la guerre du Koweït permet le développement des
opérations de maintien de la paix. On vit dans un monde plus unifié surtout sur le plan
économique car le monde est façonné par le capitalisme américain et par le libéralisme
économique. Le monde n’est plus formé de deux blocs on passe des rapports de force à la
théorie libérale des relations internationale et dans cette théorie la paix est assurée par
l’interdépendance économique ce qui amène à la création de l’OMC en 1995 avec la volonté
de répondre aux revendications économiques des pays du tiers monde. Le monde est de plus
en plus homogène sur le plan des valeurs car dans les années 1990 il y a une promotion de la
démocratie et du respect des droits de l’hommes dans le monde entier. La société
internationale accorde une certaine place à l’individu.

Paragraphe 3 : un chaos multipolaire

Il y a des résistances de certains état du tiers monde sur un ordre internationale occidentale.
C’est un groupement régionaux fragmenté pour les échanges commerciaux. On décompte
quelques crises, risques, conflits contemporains qui ne sont pas le fait uniquement d’état qui
peuvent être dues aune multitude d’acteurs. Les crises ont aussi leurs origines dans les
contestations des entreprises internationales (firmes). Le problème des crimes internationaux
qui sont le fait d’individu et les auteurs de cyber-attaques. On note des crises sur le globe mais
il y a des foyers d’incendie ou des poudrières avec l’Afrique sub-saharienne avec ce continent
qui a le plus d’opération de maintien de la paix. Il y a des conflits ethniques avec le génocide
au Rwanda. Une autre poudrière est le Moyen-Orient avec le problème de l’Irak, israélo-
palestinien sans réel issu aujourd’hui en 1949 il voulait deux états qui coexiste. Il y aussi la
menace de l’Iran qui veut l’arme nucléaire, qui intervient dans des conflits en dehors de ses
conflits, ainsi que la guerre en Syrie depuis 2011. L’autre zone de conflits c’est l’Asie car la
chine le japon sont des puissances économiques mondiales. La chine cherche à étendre ses
prétentions économiques et donc commerciales avec les routes de la soie. Il y aussi le conflit
du cachemire entre l’inde et le Pakistan , l’autre conflit en Asie est la Corée du nord.
L’Amérique latine est aussi une zone de conflits avec le Venezuela et la chute du pétrole. Les
États-Unis agissement de manière unilatérale sans autorisation sans autorisation de l’ONU en
Irak. L’unilatéralisme des États-Unis se montre avec leurs retraits d’accord internationaux
comme l’accord de paris en 2015. La Russie joue aussi cavalier seul, qui veut contester le
leadership américain pour cela Poutine veut redonner à la Russie son statue de grandes
puissances et tenir l’OTAN des frontières russes, avec l’annexion de la Crimée en 2014 sans
le consentement de l’Ukraine et la Russie soutient des groupes séparatistes qui veulent le
rattachement de l’Ukraine à la Russie. Le dernier état est la chine, revendique sa souveraineté
sur les iles en mer de chine, et le problème est l’attitude de la chine car il ne cherche pas à
régler le différend juridictionnel pour assoir une souveraineté sur les iles. Au sein de l’UE il y
a aussi des unitarismes à la suite de la crise économique de 2008 et la crise migratoire de 2015
qui donne lieu à l’euroscepticisme tels que la Pologne ou la Hongrie qui remette en cause
l’état de droit et la démocratie libérale. Il y a une persistance des clivages entre état est-ouest.
La Russie la Corée du nord sont du coté de l’Irak pour Bahar al-Assad cette opposition se voit
aussi lors de la guerre de Crimée la Russie est en conflit avec l’UE et les Usa. Il y aussi un
conflit entre l’occident et la chine. Il y a aussi un clivage entre le nord et le sud avec les états-
menace des états qui sont défaillant qui ne parvienne pas à assurer la sécurité de leurs citoyens
ou assurer l’intégrité de leurs territoire ou voyou il y a donc un nombre d’acteurs qui profite
comme en Lybie, les états voyous sont des états ou il y a une autorité mais ils ont pour
ambition de perturbé l’odore internationale. (soutiennent le terrorisme, méprisé les droits de
l’homme) = comme l’Iran ou la Corée.

Section 2 : le droit international


Paragraphe 1 : 1. La diversité des ordres juridiques

C’est l’ensemble des règles de droit qui ordonne une société donnée. Il y a des société interne
qui est en opposition aux sociétés internationales. Si on prend l’ordre juridique internationales
est un ordre ou les sujets sont les états alors qu’n interne le sujet est l’individu. Il y a des ordre
juridiques transnationaux qui traverse les frontière : ce sont des règles privés qui se développe
indépendamment des états, qui sont créée et appliqué dans leurs rapports qu’elles ont entre
elles, principalement par des entreprises transnationales -> LEX MERCATORIA ensemble de
règles. Les règles sont d’initiatives privé mais c’est l’état qui est le détenteur de la violence
légitime ou contrainte légitime donc c’est l’état qui rend les règles effectives.
Le 3ème ordre international c’est ne régissait que les relations entre état, qui a violé le droit ? il
peut y avoir des relations commerciales diplomatiques, amicales ou encore politique. au
départ l’ordre juridique internationale ne régissait que les relations car les états étaient les
seuls membres des organisations internationales. Quels sont les règles qui s’applique lors de
la cession d’un état ou à la délimitation ou franchissement des frontières. Il y a eu une
évolution car le droit international s’applique aux organisations internationales et plus
seulement aux états et qui protèges les individus contre les états, avec les règles de protection
des droits de l’homme. L’ordre juridique internationale défend des valeurs communes, qu’on
pourrait appeler un ordre public international qui justifie que les individus puissent être
réprimé dans cet ordre juridique.
Il y a des valeurs que soutienne l’ordre juridique internationale qui justifie que l’on va
réprimer des comportements avec l’apparitions du droit international pénal (crime de guerre,
interdiction de la torture…). La particularité de la société réside de sa composition principale
d’état ce qui est différent de celle des sociétés interne car la société internationale est composé
d’état mais l’état est une société souveraine. Les conséquences sont nombreuses, il y a un
principe qui s’applique au sein de la société internationale : le principe d’égalité souveraine
qui est un principe déjà présent dans le système de Westphalie, signifie que sur le plan
juridique les états sont strictement égaux quelques soit leurs poids économiques politiques ou
démographiques. L’ordre juridique internationale a pour objectif de limiter les actes sans
fondement juridique comme intervenir sur le territoire d’un état mais cela voudra dire qu’un
état a une primauté sur un autre. L’ordre juridique internationale ne peut imposer des règles
aux états sans consentement

Paragraphe 2 : Les caractéristiques du droit international

Les caractéristiques sont :


- Formé de manières décentralisé (pas de législateurs internationaux pas
d’autorité unique)
- Il y a des rapports juridiques horizontaux autrement dit il n’y a pas de
hiérarchie d’autorité et pas d’autorité suprême car les états ont la volonté car ils
sont souverains il y a donc un consentement une des sources sont les traités
pour s’obligés juridiquement
- Ils sont sujets et auteurs du droit international
- Les sources sont les traités entre état mais aussi la coutume internationales
(interdiction de la torture) et tous les états doivent s’y conformer même sans
convention. Il y a aussi les principes généraux du droit qui sont non écrit et
leurs particularités c’est que ce sont des principes communs à la plus-part des
système juridiques nationaux et qui sont transposé dans l’ordre juridique
international tels que la bonne fois ou l’abus de droit. Dans l’ordre juridique
international il n’y a pas de hiérarchie aucune sources n’est supérieur à l’autre
en revanche à l’intérieur des sources il y a une hiérarchie entre les règles elle-
même. Le JUS COGENS c’est un ensemble de normes impératives, elles ont
une valeur supérieur aux autres comme l’interdiction de la torture ou de
l’esclavage. Concernant la portée des règles de droit international y a les règles
générales ou universel ce sont des règles de l’organisation de nations unis, il y
en a d’autre qui auront une portée régionale et enfin des règles qui ont une
portée bilatérale qui s’applique à deux états (frontières).
- L’effectivité : il n’y a pas de législateur et donc il n’y a pas de système de
sanction centralisé en cas de violation, la place de la contrainte est marginale.
Le seul mécanisme de contrainte c’est le recours à la force autorisé par le
conseil de défense des nations unis.

Partie 1 : les acteurs des relations internationales.

Ce terme d’acteur regroupe les entités qui prennent part au relations internationales. Le sujet
c’est celui qui est titulaire du pouvoir juridique international. La qualité est réservée aux états
et aux organisations internationales ont la personnalité juridique international. C’est être sujet
de droit, être titulaire de droit et d’obligation dans un ordre déterminé, et ils sont titulaire de la
capacité juridique internationale ont la capacité à agir juridiquement dans l’ordre juridique
international. Les manifestations de ce droit est de crée des normes international et de
réclamer le respect de ses normes. Le droit international comporte des normes qui s’adresse
uniquement aux états, qui concernent les individus qu’indirectement. C’est le droit du
commerce international. On dit que les individus ne sont pas des sujets de droit international
car ce ne sont pas les destinataires de la norme car c’est à destination des états sauf exception
normes des protections des droits de l’homme. Les crimes sont commis par des personnes
alors il y a des obligations avec le droit pénal international. On note que pour être sujet de
droit il faut l’aval de la puissance publique pour faire valoir ses droits ce qui renvoie à la
capacité juridique internationale. En droit international on a peu de juridiction que les
individus peuvent saisir directement à savoir sur la protection des droits de l’homme. Les
individus ne peuvent pas crée de normes international. Ainsi il y a différents acteurs.

Chapitre 1 : les états souverains

Les états souverains se sont des états originaires et principaux du droit international car les
états tirent leurs qualités de sujet d’eux même, autrement dit ils n’ont pas été créée par une
autre personne morale. La naissance d’état est factuelle, spontané elle ne procède d’aucune
autre entité qu’on oppose aux organisations internationales qui elles sont créée par les états.
Aujourd’hui il y a 193 états presque tous membre des nations unies.

Section 1 : la naissance de l’état

L’état est un modèle d’organisation politique, parmi d’autre comme la cité car il s’est imposé
aujourd’hui au sein de l’ordre juridique internationale c’est un statu rechercher comme
DAESH car il revendique ce statu d’état qui permet d’avoir des droits au sein de la société
internationale. L’état se défini par des éléments tangibles qui est la souveraineté.

Paragraphe 1 : les conditions d’existences de l’état

Il est à la fois factuelle et juridique, l’état va naitre de fait comme une déclaration
d’indépendance qui s’accompagne de l’exercice effectif du pouvoir sur un territoire et sur une
population avec une indépendance qui doivent être reconnu comme produisant des effets de
droits, il faut que les autres états le considère comme un état.

1) Le territoire

L’état exerce nécessairement son pouvoir sur un lieu-dit, cela va permettre de distinguer l’état
de l’organisation internationale, elle a seulement un siège administratif, il existe des micro-
état comme Monaco qui fait 2km^2, Andorre ou le Vatican qui fait 1km^2. Peu importe que
le territoire soit morcelé avec des territoire n’importe où dans le monde comme c’est le cas
pour la France, comme les états composés d’archipels (iles). Ce territoire comprend les terres
et les terres immergés (cours d’eau) le sous-sol, une partie de la mer sont une partie du
territoire.
Les modalités d’acquisitions du territoire : pour apprécier la légalité de l’acquissions il faut se
placer à l’époque ou le droit en vigueur a eu lieu. Les états sont libres d’quérir des territoires
sans maitres, c’est un territoire ou personne exerce d’autorité, aujourd’hui il n’y en a plus. Le
corolaire est l’interdiction d’acquérir un territoire par la force, l’annexion ou par la conquête.
Le peuple ne doit pas être occupé même par un peuple nomade qui a une organisation sociale
et politique. L’avis CIJ 1975 qui porte sur Sahara occidental qui est revendiqué par le Maroc
et l’Espagne, or lors de la colonisation il n’était pas un territoire sans maitre car il y avait des
tribus nomades. Cette notion repose un territoire qui n’est pas habité, ce qui fait
qu’aujourd’hui l’acquisition d’un territoire se fait sur le principe d’un accord international.

2) La population
3) Le gouvernement
Paragraphe 2 : la nécessaire reconnaissance de l’état
1) La nature et la portée de la reconnaissance d’état
2) Les formes de la reconnaissance de l’état
3) Les causes de l’émergence de nouveaux états

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