Vous êtes sur la page 1sur 4

CM 003 – Histoire des faits économiques et sociaux

C. L’organisa<on du capital

1) La concep<on du capital

Patrimoine = ensemble des ac<fs, des biens, dont sont propriétaire les ménages. E que
possède les individus à un moment donnée.

En Europe les 10% les plus riches possède plus de 90% du patrimoine européen. Son inégalité
augmente tout au long du 19ème siècle jusqu’à la 1er guerre mondiale. A par<r de 1910 la part
des personnes les plus riches dans la déten<on du patrimoine. A la fin des 30 glorieuse les 10%
les plus riches possèdes 63%.
2 grande solu<ons
- Les guerres, car elles détruisent tout
- La fiscalité, les prélèvements obligatoires sur les revenus et sur le territoire,
notamment les droits de succession

a) Défini<ons
è Maitrise du pouvoir, la maitrise de la propriété, la maitrise de la prise de décision de la
propriété par u nombre limité d’agent. CeTe concentra<on revête plusieurs formes,
ver<cale (lorsque l’entreprises essaye d’être sur tous les processus de produc<on en
amont et en avale), horizontale (lorsque les entreprises produisent le même type de
bien), conglomérale (lorsque les ac<vités du groupe n’ont pas un lien évidant entre
elle).
è Plusieurs types. Fusion lorsqu’il y a une direc<on unique qui. Contrôle le capital et donc
la produc<on et les salarier. Absorba<on, quand une entreprise passe sous le contrôle
d’une autre. On parle de cartel lorsqu’il y a des entrantes sur le marcher, lorsque les
entreprises se partage le marché et ou les entreprises s’accorde sur le prix ou la qualité
des produits. Le premier cartel dénoncer sont le cartel des ampoules. Trust, un groupe
ou un ensemble de groupe qui domine tous un secteur d’ac<vité.

Les avantage de la concentra<on pour les entreprises :


- Elles peuvent réaliser des économies d’échelle, quand elles augmentent leur couleur
volume de produc<on elles peuvent baisser le coût unitaire et don baisser les prix.
- Pouvoir de négocia<on, face aux banques et à l’état et face a leur fournisseur puisque
comme elles achète en très grande quan<té elles peuvent négocier le prix des ma<ères
1er.
- Extension de tailles des marcher, peuvent diversifier leur offre dans des locaux qui sont
de très grande taille, dans une demande aussi très diversifier.

b) La situa<on au tournant du 19ème siècles


- Cartel, ils s’entendent mais concentra<on horizontale.
- On parle en Allemagne de konzern, entreprises ver<cales, qui sont très dynamique et
vont de l’amont vers l’aval
- Krupp, salarier ont été mul<plié de la fin du 19ème a la seconde guerre mondiale
- USA, entreprises dont tout de suite très contrôlée que l’on retrouve dans plusieurs
domaines : produc<on métallurgique, aluminium, raffinerie, pétrole, industrie,
électrique, groupe qui domine le secteur et qui peuvent s’entendre se qui fait donc
qu’elle fait donc des trusts
- En 1900 dans la quasi-totalité des secteurs d’ac<vité

2) La cons<tu<on de la capitale financière


a) Comment définir ceTe capitale financière
L’approche de Hilferding
- C’est un capital qui appar<ent aux banques et que les entreprises u<lisent pour
produire, et de ce fait le capital financier signifie que mes ac<vités de produc<on sont
contrôlées par de grand dirigeant industriel ou bancaire.
- En effet les banque par<cipe de plus en plus à l’ac<vité industriel pour 2 raisons ;
industrielles ont besoin de crédit et de capital extérieurs pour accroitre leur prod, et
les banque sont intéresser par ses inves<ssements dans l’industrie parce que cela leur
permet de diversifier leur ac<vité et d’étendre ses ac<vités des par<culiers vers les
entreprises.
Quels sont les objec<fs de se capitale financière ?
Selon Hilferding l’augmenta<on de la taille des entreprises leur permet de se crées des
marcher qui sont extrêmement large. Te donc ses entreprises peuvent agirs sur des territoires
très étendus (territoire na<onale). Elles vont essayer de faire défendre ses territoires par des
barrière douanière, par exemple en devenant l’offreur a la na<on.
Selon Boukharine (1888-1938) ce capital financier ne peut mener qu’à l’impérialisme qui lui-
même revêt 4 aspects.
- Le développement du commerce extérieur
- Les inves<ssements à l’étranger
- Les conquêtes coloniales
- Les migra<ons

> Cons<tu<on du K financier à par<r de 1850-1870 banque ont un rôle industriel soit psk
elle accorde des crédits, soit psk elles sont ac<onnaire, soit psk elles vendent des
ac<ons au par<culier et elles les représentent
> Risque limité et peut de faillite, car banque sont contrer et très solide, la moi<é des
dépôts de toutes l’Allemagne. Apparaissent des rela<ons ins<tu<onnelles entre les
banques et les secteurs ins<tu<onnelle. Étant ac<onnaire les banque sont présente
dans les conseils d’administra<ons, surveillance possible. Mais peuvent aussi soutenir
les entreprises. Elles encouragent la concentra<on industrielle ce qui facilite le
contrôle, mais qui signifie qu’on a en même temps une concentra<on des banques et
industriels.

II) L’expansion territoriale du capitalisme


A – Commerce extérieur et exporta<on de capitaux
1) Le développement des échanges commerciaux

Le commerce extérieur des produits primaires et manufacturés


- Augmente d’environ 3,5% par an

Une part prépondérante de l’Europe


Au début 20ème on parle de « pays neufs », canada, Australie, union sud-africaine, argen<ne,
Chili.
Ses pays représentent 2% de la popula<on mondiale, mais reçoivent 16% des exporta<on
mondiales de produits manufacturés. Ils commercent souvent avec un partenaire commercial
dominant et ses pays exporte des produits primaires, et importe des produits manufacturer.

2) Les inves<ssements à l’extérieur


- Part des différents pays dans les émissions d’IDE en 1913 (Europe assure 90% des IDE),
ses inves<ssements vont d’abord en Europe puis en Amérique.
- Part de l’empire colonial plutôt modeste

Ø La formes des avoirs à l’étranger, avant la 1ère guerre mondiale il y a peu d’IDE et les avoirs
des entreprises et des états à l’étranger prennent d’autre formes, des prêts publiques,
des prises de par<cipa<on, des créa<ons de filiale et des prêt privée à des banque ou
a d’autre entreprises.
Ø Secteurs d’ac<vité ; secteurs liés à l’importa<on, infrastructure minière, de transports,
recherche de ma<ères 1er, des planta<ons.

B – L’Expansion coloniale
1) La situa<on en 1815
Il y a un recul de l’Europe con<nental, la France a perdu presque tous ses colonies il lui reste
des comptoirs en inde, au Sénégal. Les colonies espagnoles, un recul rela<f la GB. Mais en
1815 on a un empire britannique, disperser insulaire et liToral.
L’indépendance de ses anciennes colonies font naître l’idée que cela va être le cas pour toutes
les colonies. Donc éviter de faire la guerre, perdre des personnes, du capital, si ses territoires
vont reprendre leur indépendance. Et il n’est pas nécessaire d’être sur le territoire pour
commercer avec eux.

2) 1815-1880 : une expansion limitée de l’Europe outre-mer


Les acquisi<ons européennes sont essen<ellement françaises et britannique. Pour la France
souvent créa<on de comptoir, sauf en Algérie la grande bretagne vise les mers. Elles faits les
conquêtes mari<mes. CeTe acquisi<on découle d’ini<a<ve privé, individuel et collec<f. Les
missionnaires sont les plus dynamique, et par des objec<f d’évangélisa<on lie leur histoire a la
colonisa<on.

A) Mo<fs…
- Mo<f psychologique et posi<fs.
La possession d’un empire est le signe de la grandeur de la na<on.
- Raisonnement stratégique, occuper une région pour éviter que les autres s’y installent.
- Enchaînement des prises de possession pour assurer la sécurité des territoires déjà
occupés. Fron<ère naturel.
- Légi<ma<on par la morale ou la philosophie l’idée est que l’Europe désormais
industriel une supériorité en terme de technique et de savoir et donc ses pays
européens disent avoir des devoirs vis-à-vis des autre con<ent pour els aidés à) ce qu’il
parviennent au même niveau de « civilisa<on » que les peuple européens.

Vous aimerez peut-être aussi