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#### Cours 1

Organization du cours :

Ier partie: Generalité absolue, "Toutes choses en général"

* Caracteristique de la logique, metaphysique, maths partage de façon conflictuelle

* Autheurs: Platon, Kant, Russell

2eme partie: Generisité

* Objet qqconque ou arbitraire, logique philosophique

3eme partie: Notion de variable

* Concept traditionnelle de la notion de generalité

* La logique est nee grace a la formalisation de la notion de variable

* La not de variable n'est pas si simple, elle posse des questions conceptuelles et
techniques qu'on abordera

* Questions de l'identité d'un individu dans des mondes differents

Evaluation :

Pas de sujet contrait, il nous laisse l'initiative liée au cours.

Forme variable selon le sujet du devoir. Indicative 8 à 10 pages

Fin avril debut Mai

*Mes idées pour le travail*:

#### Introduction

Point depart: la metaphysique, on ajoute l'ontologie formelle et la logique.

L'idee n'est pas de critiquer la metaphysique. Nous nous ecarterons de la


generalité comme la metaphysique la voit. On l'utilisera comme point de depart.

La metraphy a etee au xxeme siecle le sujet des critiques tres profondes. Par
opposition la fin du XXeme siecle marque un renouveau de la metaphysique. Il faut
etre contente si c'est une nouvelle metaphysique et pas la meme naiveté.

Nous refousons d'admettre qu'il va de soit de parler de toute choose en general,


parce que la metaphysique se caract par la reference à tout ce qui est. Mais
qu'elle garantie on a nous de pouvoir faire ça (nombre propre). Nombre propre
different à "toute chose". On parle de *visee referentielle*. Dans le cas de "toute
chose en generalle" la visee referentielle n'est pas garantie. Dans la litterature
analy contem il est question de "pensée de re", "de re" signifie "a propos de la
chose". L'idee est qu'une pensee de re est par opositon a une pensée descriptive.

Les pensées de re est devenu, depuis la fin du xx, l'obj de debat entre
phenomenologie et des analytiques. Le debat: "il existe des pensées de re ?"
(question de philo de l'esprit, du langage).

Ce cours veut aborder les pensées **de rebus** (pas un concept standard, seulement
dans ce cours), cad les pensées generales. Ces pensées sont celles qui portent des
choses en generales. La quest des pensees de rebus est delicates car la references
au choses en general ne peut pas etre directes ni descriptives.

Exemples Russell de la description definie L'actuel roi de France, comment on


attribu une valeur de verité à la frase "L'actuel roi de France est chauve" dans On
denoting (Russell, 1905). L'analyse de Russell consiste a expliciter la
presuposition qu'il existe un roi de france et qu'il est chauve. Russell "Il existe
x tel que toute y ayant la propriete d'etre l'actuelle roi de france est identique
à x, et tel que x est chauve". Suivant Russell, toute emploi d'une desc def est
fondée sur une reference a quelque chose general, par consequence **boh**.

Conclusion: un disc a visee referentielle generalle, une pensee de rebus, a de


condition de verité qui ne sont pas evident. Les metaphysitien contemp ne
sinquietent pas comment on peut faire reference a des choses en general. Cette
possibilité leurs semble aller de soit (ex: après la finitude de Quentin
Meillassous 2006, The internal relatedness of all things de Jonathan Schaffer
2010). Merleau-Ponty dans L'oeil et l'esprit est moins naif, il parle de la pensee
de l'object en general, parce quil constitut pour lui une pensée de survole qui est
propre à la science. Merleau-Ponty il dit que c'est une pensee qui consiste a dire
que le monde est par def nominale l'obj x de nos operations. Pour lui c'est une
pensée qui va de soi avec la science.

Quine (tradition analytique), dans "On what there is" l'ontologie consiste a
etablir un schema conceptuel qui est censé sutenir la science dans son ensemble.

Par opposition, les deux autheurs plus recent cités avant, ils ne se succient pas.
Aussi ils ont une meme reference a la notion de monde "world-first view" acompagne
ces diff discours. Le probleme de definir le monde, cela revient d'expliquer le
domain logico-mathematique.

Deux problemes principaux de la notion du monde :

* probleme du nexus rerum (Leibniz, Christian wolff)

* probleme des possibilia (Alexus Meinong, *Gegenstandstheorie* (th generales des


objects))

Reasunto:

1. "Toute choses en géneral"

1. Pensées de rebus

La possibilité d'un discours portant sur "toutes choses en général" ne va pas


de soi.

Echantillons (deux philosophes metaphysiques)

Problemes posés par le concept du monde

Pour Merleau-Ponty, ça n'a pas de sense de vouloir etablir une connaissance


certaine comme ... **boh**. Son idée est de radicaliser la conception russellienne
du monde.

Dans la tradition phenomenologique, le monde c'est plutot une structure, pas une
chose. Pour resumé, soit on consoit le monde comme le domain **boh**, soit comme
une structure intensionnelle.

Bcp des metaphisiciens contemp, ils ont tendence a reconduire les choses en general
au modèle implicite des choses du monde. Kant a critiqué deja cette tendance.

Le modele au quel fait reference Kant c'est le syllogisme.

L'erreur de la metaphysique est constitutive de l'esprit humain, nos fonctions meme


de nos faculté, la raison, aliment l'illusion de la metaphysique. La metaphysique
c'est un element du fonctionnement de l'esprit. (*apparence trancendantale*). C'est
l'illusion en vertu de lequelle les principes subjectifs du jugment sont pris pour
des principes de la détermination objective des choses en général.

Kant

#### Bibliographie

Bertrand Russell, *On denoting* (De la denotation) (1905)

Quine, *On what there is* (1948)

Kant, *Critique à la raison pure* (Kant, Georges Pascal)

Kant, Prolégomènes à toute métaphysique future

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