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TOUT SUR LES DIFFERENTES EXPERIENCES QUI ONT PERMIS DE

DETERMINER LA NATURE CHIMIQUE DU MATERIEL GENETIQUE


CHEZ D’UNE PART LE VIRUS ET D’AUTRE PART LE VIVANTS

PLAN
INTRODUCTION
I. Etat de l’art
II. Différentes utilisations faites du thème d’expose
II.1. Dans le domaine de la santé
II.2. Dans le domaine de l’agriculture
II.3. Dans l’industrie
II.4. En microbiologie
CONCLUSION

Références bibliographiques
INTRODUCTION

I. Etat de l’art
Des séries de travaux s’étalant de 1928 à 1952 vont permettre d’associer
définitivement l’ADN à la notion d’information génétique. Ces travaux sont
exposés ci-dessous car ils présentent, comme ceux de Mendel, beaucoup plus
qu’un intérêt historique : ils sont des modèles d’analyse faisant appel, pour la
première fois, à des méthodes de la biologie moléculaire.
a- Expériences de Griffith:
En 1928, un médecin de santé publique travaillant à Londres sur un vaccin
contre le pneumocoque, Frederick Griffith (1879-1941), fait une observation
qui va mettre sur la piste de la nature chimique des gènes. Cultivés à partir
des crachats de patients atteints de pneumonie, les pneumocoques donnent
des colonies lisses et sont virulents pour la souris à cause de la présence
d’une capsule constituée de sucres qui les protègent de la phagocytose. Les
bactéries de la souche « S » (pour smooth ou lisses) causent la pneumonie
chez la souris ; elles sont pathogènes parce qu’une capsule les protège contre
le système immunitaire des animaux. Les bactéries de la souche « R » (pour
rough ou rugueuses) sont dépourvues de capsule et ne sont pas pathogènes.
Afin de vérifier le pouvoir pathogène de ces souches, Frederick Griffith les a
inoculées à des souris
Figure 1 : L’expérience de GRIFFITH (1928). D’après CAMPBELL
et al. (2012)
Griffith a conclu que les bactéries vivantes de la souche R ont été
transformées en bactéries pathogènes de la souche S par une substance inconnue
provenant des cellules mortes de la souches S. Cette substance a permis aux
cellules de la souches R de fabriquer des capsules. Cette « transformation » est
donc liée à la présence d’un « principe transformant » provenant des extraits
bactériens tués par la chaleur (Griffith, 1928). C’est la première fois que l’on
réussit à transmettre des caractères génétiques, en l’occurrence les gènes requis
pour la fabrication d’une capsule sucrée, à l’aide d’une « substance » chimique
contenue dans des bactéries mortes.
b- Expérience de Oswald Avery, Colin MacLeod et Maclyn McCarty
C'est dans les années 40 que ces trois chercheurs (Avery et MacLeod étaient canadiens et
McCarty américain) vont démontrer que la substance transformante qui passe des bactéries S
mortes aux R vivantes est bel et bien de l'ADN. Ils ont repris l'expérience de Griffith avec une
légère variante. Les bactéries S mortes étaient broyées (on les brise en morceaux en les
passant au blender) et traitées avec une enzyme digestive avant de les mélanger aux R
vivantes (Avery, 1944). • Si l'enzyme utilisée était une protéase (enzyme qui digère les
protéines), les bactéries R se transformaient quand même en bactéries S virulentes. • Si
l'enzyme utilisée était une DNase (enzyme qui détruit l'ADN), alors la transformation des R
en S ne se faisait pas. La souris survivait

II. Différentes utilisations faites du thème d’expose


II.1. Dans le domaine de la santé
II.2. Dans le domaine de l’agriculture
II.3. Dans l’industrie
II.4. En microbiologie
CONCLUSION

Références bibliographiques

TOUT SUR LA COMPOSITION CHIMIQUE DU MATERIEL


GENETIQUE

TOUT SUR LA STRUCTURE DU MATERIELGENETIQUE CHEZ LE


VIVANR D4UNE PART ET CHEZ LES VIRUS D4AUTRE PART

TOUT SUR LES PROPRIETE PHYSIQUE DU MATERIEL


GENETIQUE

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