République du Tchad Unité - Travail – Progrès ‫جمهورية تشاد‬

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Présidence de la République ‫وحدة ـ عمل ـ تقد‬
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Ministère de l’Enseignement Supérieur, ‫وزارة التعليم العالي والبحث العلمي‬
De la Recherche Scientifique Et de l’Innovation ****************
**************** ‫ألمانة الدولة للتعليم العالي‬
Secrétariat Général *******
******* ‫جامعة مندو‬

Université De Moundou *******

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Faculté des Sciences et Techniques d'Entreprises
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Département de Gestion

SUJET : 1-contrôle de la qualité

2- L’approche six sigma

Présenté par Charge de cours:

1-ABDERAMANE BRANGA Moullah
2-ALLADIGUIM ISMAEL Dr MAMGUE Bassinang
3-MBAIHOREMEM Narcisse Enseignant Chercheur à l’UDM
4-DJIMTODOU Pierre
5-HINDJAM Patalet
6-YANNE Souaré

Année académique 2022-2023

SOMMAIRE

Contenu
SOMMAIRE ......................................................................................................................................i
Introduction ....................................................................................................................................1
I- Contrôle qualité ......................................................................................................................2
A- Définition et intérêt du contrôle qualité ..................................................................................2
1- Définition ................................................................................................................................3
B- Intérêt du contrôle qualité ......................................................................................................3
b.1- Image de marque de l’entreprise .............................................................................................3
b.2- Réduction des couts de production ..........................................................................................3
b.3- Bien être des employés ............................................................................................................4
C- Le processus de contrôle de la qualité .....................................................................................4
D- Les différentes méthodes de la qualité ................................................................................5
D.1- 100% méthode d’inspection ....................................................................................................5
D.2- Méthode Taguchi .....................................................................................................................5
D.3- Méthode des inefficacités ........................................................................................................5
II- L’approche six sigma ...............................................................................................................6
A- Qu’est-ce que l’approche six sigma..........................................................................................6
B- Principes de l’approche six sigma ............................................................................................7
C- Les étapes de l’approche de six sigma .....................................................................................7
1- Les étapes d’amélioration des processus du six sigma et DMAIC..............................................7
2- ....................................................................................................................................................8
D- L’approche six sigma et la conduite du changement ................................................................9
E- les limites de l’approche six sigma ...........................................................................................9
F- les avantages de l’approches six sigma ....................................................................................9
Conclusion .................................................................................................................................... 10
BIBLIOGRAPHIE ............................................................................................................................. 11

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Introduction
Comme les besoins des clients progressent sans cesse, il faut que le système de la qualité soit
basé sur des technologies, des savoir-faire et des moyens à la hauteur de la demande. Il s’agit
de : « satisfaire aux exigences pour la qualité ». Ce sont en particulier les « opérationnels qui
doivent décrire leur façon de procéder ». L’entreprise quand elle doit veiller à mémoriser en
permanence, son « vécu » de manière à enraciner le savoir-faire et développer le
professionnalisme. C’est à cette condition qu’elle pourra affronter des challenges de plus en
plus difficiles.

Ainsi, le contrôle de la qualité est une procédure mise en place par les entreprises qui visent à
s’assurer de la conformité d’un produit, à éliminer les gaspillages et rationaliser leurs
processus de production.

Il est exécuté par un contrôleur qualité avec l’aide ou non des autres acteurs de la production.

Selon Alain COURTOIS Coll. (2004, p.323), la méthode six sigma est une approche globale
de la performance industrielle et de services rendus aux clients. Partant de cette meilleure
satisfaction du client, l’approche six sigma a apporté un accroissement de la rentabilité à
l’entreprise avec les effets cumulés suivants :

- Diminution des rebuts, retouches et plus généralement les coûts de non-qualité ;

- Amélioration de la disponibilité de la machine et du taux de rendement
synthétique (TRS) ;
- Accroissement des parts de marché consécutifs à l’amélioration de la qualité.

Dans ce contexte, il est facile de comprendre les raisons pour lesquelles l’approche six sigma
est devenue un outils fiable dans ce processus et pourquoi tant des secteurs d’activités se sont
efforcés de trouver des moyens pour l’appliquer. Cette démarche permet aussi aux entreprises
de répondre à problématiques de qualité des produits dans un marché toujours exigeant. Dans
cette dynamique d’optimisation des gaspillages, elle limite la capacité à faire face à des
circonstances exceptionnelles et laisse moins de places aux outils ou méthodes innovantes.

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 I- Contrôle qualité

A- Définition et intérêt du contrôle qualité

1- Définition
Un service de contrôle de la qualité est chargé de veiller à ce que tous les produits
d’une entreprise respectent une certaine norme de qualité. Chaque entreprise fournit un
produit (tangible) ou un service (intangible) à ses clients. A mesure que la taille de la structure
augmente, il est possible que l’entreprise ne soit en mesure de superviser directement tous ses
produits ou services avant de les livrer au client. C’est là qu’intervient le contrôle qualité.

Les entreprises produisent souvent une grande variété de biens et de services, et les normes de
qualité sont différents pour chacun d’entre eux. Ces normes sont établies par le département
du contrôle qualité, en coordination avec la direction générale. Le service du contrôle qualité
s’assure ensuite que ces normes sont respectées. Il peut le faire de plusieurs manières
différentes, comme nous le verrons plus loin. S’il s’avère qu’un produit particulier ne répond
pas aux normes fixées, le service du contrôle qualité évalue le processus, identifie le problème
et propose des mesures pour y remédier.

B- Intérêt du contrôle qualité

Le contrôle de la qualité est essentiel pour plusieurs raisons, notamment l’image de marque de
l’entreprise, les questions règlementaires, la réduction des couts de production, le bien être
des employés et bonne gestion des ressources. Il est à noter que la qualité est également un
aspect central de la méthode Kaizen.

b.1- Image de marque de l’entreprise

Si la qualité des produits fabriqués se détériore, l’image de l’entreprise sur le marché s’en
ressent, et les clients pourraient ne vouloir acheter les produits de cette société. Par
conséquent, la rentabilité de l’entreprise en souffrirait.

b.2- Réduction des couts de production

Les mesures de contrôle de la qualité remplissent une autre tâche très importante dans
l’entreprise : elles contribuent à minimiser les couts. Par exemple, si un constructeur
d’automobile dépense plus d’argent qu’il ne le devrait pour sa chaine de peinture, peut etre en
installant plus de machines que nécessaires, les inspecteurs de contrôle qualité ou les
responsables qualité s’en apercevront et le signaleront à la direction. Ils contribueront ainsi à
réduire les couts au maximum, tout en maintenant la qualité et l’efficacité des processus
commerciaux.
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b.3- Bien être des employés
Le service de contrôle de la qualité contribue également à renforcer le moral des
collaborateurs de l’entreprise. Lorsque les employés d’une entreprise savent qu’ils font partie
d’un processus qui aboutit à la production de biens utiles et qualité, ils ont envie de travailler
pour l’entreprise, sont plus proactifs et travaillent donc davantage et mieux. La productivité et
la qualité de l’environnement de travail sont améliorées.

C- Le processus de contrôle de la qualité

Le processus du contrôle de la qualité comporte cinq (5) étapes essentielles

1- Etablir des normes de contrôle qualité

La première étape du processus consiste à établir des normes de contrôle qualité qui serviront
de référence. Si vous travaillez dans le service qualité, vous devrez dresser la liste des
différents biens et services de l’entreprise produit, identifier les différentes étapes du
processus de production et discuter avec la direction des différents paramètres qu’elle
souhaite voir respecter par les produits. Cette étape ne consiste pas seulement à définir les
normes, mais aussi à identifier les parties du processus de production au cours desquelles le
contrôle de la qualité sera effectué

2- Mesurer les normes effectivement atteintes

Les processus décidés lors de la première étape sont maintenant exécutés. Il s’agit de réaliser
des tests de qualité à différentes étapes du processus de production, puis de noter les
paramètres observés dans le processus de production réelle.

3- Comparer les normes prévues avec les normes réelles

A ce stade, les résultats des parties 1 et 2 sont comparées les uns aux autres, et les écarts
éventuels identifiés. Cela peut se faire de plusieurs manières. La comparaison entre les
résultats prévus et les résultats réels permet de voir si l’entreprise produit non dans une
fourchette acceptable selon les paramètres définis.

4- Evaluer la raison de la différence

Dans cette partie de processus, les inspecteurs de travail et les responsables du contrôle de la
qualité observent dans le détail chaque aspect de la chaine de production afin d’identifier la
cause de la différence entre la production prévue et la production réelle. Plusieurs pistes sont à
explorer : la qualité des produits reçus des fournisseurs est peut etre inférieur à la norme, ou

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encore, les travailleurs passent trop de temps en pause, ce qui nuit à la productivité. Dans tous
les cas, le service de contrôle de la qualité soumet un rapport à la direction, dans lequel, il
examine les problèmes et propose des solutions pour les résoudre.

5- Répéter ce processus

Le processus de contrôle de la qualité ne se fait pas en une seule fois. Il nécessite des
révisions, un suivi et des itérations. Une fois que les suggestion du processus de la qualité ont
été mises en œuvre, il faut s’assurer que ces suggestion ont effectivement permis d’atteindre
les résultats souhaités et que la production est désormais conforme aux spécifications définies.

D- Les différentes méthodes de la qualité

Il existe plusieurs méthodes de contrôle qualité que l’entreprise choisira en fonction de sa
taille, de la complexité du produit ou de la nature du service offert. Les méthodes les plus
couramment utilisées sont les suivantes :

D.1- 100% méthode d’inspection

Comme son nom l’indique, cette méthode recommande que les inspecteurs de contrôle qualité
de l’entreprise inspectent chaque produit fabriqué. Cette solution ne convient que si
l’entreprise est très petite ou lorsque les produits fabriqués sont différenciés ou spécialisés.
Dans les autres cas, si l’entreprise est plus grande notamment, les dépenses qui seraient
engagées pour un contrôle qualité par inspection à 100% seraient trop élevées. Les grandes
entreprises ont donc recours à d’autres méthodes.

D.2- Méthode Taguchi

La méthode Taguchi est une méthode statistique permettant de réaliser des plans
d’expériences (suite d’essai d’une expérimentation, chacun permettant d’acquérir de
nouvelles connaissances en maitrisant un ou plusieurs paramètres d’entrées). Dans cette
méthode, l’accent est davantage mis sur la partie conception du processus que sur la
fabrication proprement dite. Cette méthode est particulièrement aux grandes entreprises ou les
produits ont des conceptions complexes et nécessitent beaucoup de recherches et
développement.

D.3- Méthode des inefficacités

L’objectif est ici d’éliminer (ou du moins de réduire) les inefficacités de processus de
production, cette méthode cible des éléments tels que les pauses du personnel, les heures
supplémentaires, les machines excédentaires, l’automatisation excessives ou les inefficacités

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liées au transport pour améliorer les délais de production et ainsi garantir que le projet sera
achevé à temps. Il s’agit principalement d’une mesure de gestion de temps, souvent utilisées
en combinaison avec la méthode Taguchi afin d’assurer une efficacité maximale en terme de
quantité et de qualité des biens et services d’une entreprise.

II- L’approche six sigma

A- Qu’est-ce que l’approche six sigma

La méthode six sigma a été élaborée au milieu des années 1980 par des ingénieurs de
Motorola pour optimiser les processus de fabrication. A la base, six sigma implique la collecte
et l’exploitation des données pour éliminer les défauts et les gaspillages dans la fabrication et
ainsi améliorer l’efficacité et la qualité globale. Cette méthode consiste à faire en sorte que
tous les éléments issus d’un processus soient compris dans un intervalle s’éloignent au
maximum de six sigma par rapport à la moyenne générale des éléments issus de ce processus.
En réduisant la variabilité des produits du processus, on réduit le risque de voir le produit ou
service rejeté par son destinataire car en dehors de ses attentes ou spécifications. Le principe
vise donc à travailler sur le processus afin que seuls des produits conformes aux exigences
soient livrés : produire juste dès la première fois en éliminant les couts liés aux retouches,
recyclage, mise au rebut et risque de vente d’un produit non conforme. Un processus
industriel ou service comprend un certain nombre de tâches répétitives. Ce principe s’applique
non seulement à la production, mais aussi à la logistique, au développement. Cependant,
l’exemple de la société 3M montre que la méthode s’applique plutôt aux taches de production
qu’aux travaux de recherche ou la créativité est nécessaire. Il suffit d’avoir un processus dont
les performances sont mesurables.

Le terme « sigma » permet de contrôler et de mesurer le degré de perfection d’un système ou

d’un fabricant. Selon les normes six sigma, les entreprises doivent réduire les défauts de
fabrication à moins de 3,4 pour 1million d’unités.

Les entreprises utilisent l’approche six sigma pour améliorer les processus en identifiant les
erreurs qui entrainent des défauts et en mettent en œuvre de nouveaux systèmes de gestion ne
fois celles-ci sont corrigées. Cette approche est particulièrement efficace pour les opérations
répétitives, de type chaine de montage ou les étapes individuelles peuvent être isolées,
examinées et améliorées.

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 B- Principes de l’approche six sigma
L’approche six sigma repose sur les notions de client, processus et mesure. Il s’appuie en
particulier sur :

1- Les attentes mesurables du client (CTQ-Critcal To Quality)

2- Les mesures fiables mesurant la performance du processus métier de l’entreprise par
rapport à ces attentes ;
3- Des outils statistiques pour analyser les causes sources influant sur la performance ;
4- Des solutions attaquant ces causes sources ;
5- Des outils pour contrôler que les solutions ont bien l’impact escompté sur la
performance.
a. L’utilisation de six sigma dans l’industrie

Destiné à l’origine à l’industrie manufacturière, six sigma se retrouve aujourd’hui dans de

nombreux secteurs.

Toutefois, le fait que des entreprises très différentes aient appliqué cette approche, ne signifie
pas nécessairement qu’elles l’aient utilisée correctement ou efficacement. En réalité, dans les
autres domaines que celui de la fabrication, les résultats de six sigma ne justifient pas un
changement de gestion aussi chronophage et couteux.

Pour fonctionner efficacement, l’approche six sigma nécessite l’adhésion de toutes les parties
impliquées. De plus, sa mise en œuvre et la formation des employés à la méthode et à son
application nécessitent un investissement initial important. Les employés de tous les échelons
doivent être formés également aux différents grades prévus par la méthode. Les collaborateurs
qui ont suivi un cours de formation six sigma obtiennent une ceinture pour désigner leur
niveau : les green belts sont destinés aux débutants, les blacks belts aux chefs de projet et les
masters black belts aux responsables de la mise en œuvre de six sigma dans l’entreprise.

C- Les étapes de l’approche de six sigma

1- Les étapes d’amélioration des processus du six sigma et DMAIC

Elles sont assez directes et simples :

1- Définir le problème : rédiger un énoncé de l’objectif, une charte de projet, les

exigences du client et une carte de processus.

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 2- Mesurer le processus actuel : recueillir des données sur les performances et les
problèmes actuels. Vérifier que ces données sont fiables et modifier la charte du
projets nécessaire.
3- Analyser la cause des problèmes : examiner le processus et les données recueillies,
visualiser les données, rechercher et confirmer la cause de problèmes et continuer à
mettre à jour la charte du projet si nécessaire.
4- Améliorer le processus (innovate en anglais) : décider quelles solutions adopter pour
résoudre les problèmes et créer des cartes de processus pour les modifier. Prener des
mesures pour mettre en œuvrer les nouveaux correctifs et continuer à mesurer
l’amélioration.
5- Contrôler : perfectionner le nouveau processus, poursuivre le contrôle et utiliser les
résultats obtenus dans les autres domaines de l’entreprise si possible.

Les objectifs pour l’entreprise sont de se doter d’actions mesurables et efficaces, de satisfaire
ses clients, d’impliquer les équipes et bien souvent d’améliorer son image.

Lorsqu’un processus ne peut être amélioré alors que qu’il ne répond plus aux attentes du
client, six sigma se décline aussi en méthode de création de nouveaux processus ou de
nouveaux produits sous le nom de DFSS (Design For Six Sigma). Cette autre méthode se
décompose aussi en 5 étapes qui se contractent en DMADV pour « définir, mesurer, analyser,
développer (design en anglais) et vérifier.

2- Les outils d’analyse de l’approche six sigma

Il existe plusieurs outils d’analyse de l’approche six sigma qui sont entre autres :

 ARIS Six sigma ;

 JMP ;
 Microsoft Visio ;
 Minitab ;
 Corico ;
 Software AG BPM suite ;
 Statgraphics ;
 STATISTICA.

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 D- L’approche six sigma et la conduite du changement
Au-delà de la méthode, la réussite d’un programme de six sigma doit s’appuyer sur une
profonde conduite du changement. Souvent, par facilité ou pour gagner du temps, les
entreprises tendent à mettre en place des solutions toutes faites qui répondent selon elles à des
problèmes (exemple : je mets en place un ERP type SAP, car je n’arrive pas à contrôler mes
couts de manière exacte). Avec la méthode six sigma, l’objectif est de bien cerner le
problème, à travers des analyses de processus ou des mesures (ex : les mesures indiquent une
mauvaise comptabilisation des dépenses durant les périodes de vacances ou période de
vacances ou les périodes de pic, car des stagiaires formés trop rapidement prennent la relève
de personnel en place durant ces périodes). Une fois le problème bien identifié, la solution est
souvent à portée de main

E- Les limites de l’approche six sigma

L’un des défauts du processus d’identification de problèmes de recherche de solution fondé
sur des faits est qu’il a tendance à laisser de côté un élément clé : l’être humain et plus
important encore la manière dont les humains influencent et surmontent les obstacles qu’ils
rencontrent. Il est souvent bénéfique de donner aux employés une chance de s’attaquer aux
problèmes de fonte avant d’investir dans une refonte opérationnelle complète.

L’approche uniformisée de six sigma peut également s’avérer contraignante en particulier

dans le cadre d’organisation ou de disciplines qui reposent sur la créativité. Les employés qui
ont besoin de faire de la prudence et parfois du processus pour innover, risquent de trouver la
méthode de six sigma étouffants. Six sigma ne permet pas non seulement, en principe,
d’introduire de nouveaux outils ou procédés, même s’ils peuvent être bénéfiques. Etant donné
que cette méthode nécessite généralement un dénouement total de la part de l’ensemble des
équipes, il est difficile d’utiliser ou d’expérimenter d’autres méthodes d’amélioration des
processus dans les autres secteurs de l’organisation. Le dysfonctionnement par exemple qui
pourrait glisser dans le processus de fabrication de manière à provoquer une situation de crise.

F- Les avantages de l’approches six sigma

La réalisation des produits passe par l’intégralité des tests de qualité avec succès, c’est-à-dire,
passe par le contrôle qualité suivant l’étape de l’assemblage, de commercialisation, etc. d’où
les produits fabriqués répondent aux exigences des consommateurs par une approche axée sur
les données pour rationaliser la production et la fabrication, mais aussi parfois pour des
raisons légales.

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Conclusion
Le contrôle de la qualité est un élément très important du processus de production de
l’entreprise. Pour travailler dans le domaine de la qualité, vous devez faire preuve d’une
grande attention de taille, d’une capacité à sortir sentiers et d’une bonne pensée critique.

De nos jours, il est primordial de mettre en place une démarche de contrôle qualité dans les
entreprises et d’y introduire l’approche six sigma pour minimiser le dysfonctionnement dans
le processus de fabrication. Que ce soit par souci interne, de proposer des produits de qualité
ou par obligation législative ou contractuelles, le contrôle qualité et l’approche six sigma sont
des réalités dont les entreprises doivent faire face avec le contrôle à réception et le contrôle en
production. Dans ces deux cas, les objectif est de détecter les anomalies sur les produits,
d’assurer la conformité d’un produit, d’éliminer les gaspillages et de rationaliser les processus
de fabrication.

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BIBLIOGRAPHIE
Alain COURTOIS, Maurice PILLET, Chantal-Martin BONNEFOUS
(2004), « Gestion de Production », 4ème éd.; 454 pages.
Christian HOHMANN (2009), « comment gagner des points de performance »; 248
pages.
Daniel DURET et Maurice PILLET (2001), « Qualité en Production », 2ème éd. ; 367
pages.
Melani NOYEL, Philip THOMAS, André THOMAS et Patrick CHARPENTIER
(2015), article sur le thème : « impact de la qualité sur la gestion des flux de
production dans les ateliers à forts taux de reprise » ; 9 pages.
Melani NOYEL, Philip THOMAS, André THOMAS et Patrick CHARPENTIER
(2015), article sur le thème : « impact de la qualité sur la gestion des flux de
production dans les ateliers à forts taux de reprise » ; 9 pages.
Philip KOTLER et Bernard DUBOIS, « Marketing et Management » (2005), 11ème
éd. ; 833 pages.

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