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Que vous soyez ici en novice ou investisseur confirmé, vous vous apprêtez à
prendre en main vos placements.
Vous allez pouvoir faire le tri et ne retenir que les placements susceptibles de
vous rapporter de l’argent.
Pendant que d’autres préfèrent attendre et ne rien faire parce qu’ils “espèrent y voir
plus clair plus tard”, l’économie se transforme à un rythme sans précédent - et seuls
les investisseurs bien informés sauront tirer leur épingle du jeu !
● Parce que la Direction Générale joue davantage sur les effets d’annonce
que sur les actions concrètes pour faire croître leur entreprise,
Nous vous partagerons aussi 3 actions “pépites” très prometteuses qui pourraient
vous permettre de donner un coup de fouet à votre PEA ou votre Compte-Titre
dans les prochaines semaines.
Nul besoin d’être un expert ou d’y consacrer beaucoup de temps. Ni d’investir de gros
montants ou de prendre trop de risques.
Sachez simplement que par leur capacité à résister à toutes les crises et leur bonne
santé financière ces 3 pépites sont des investissements très bien placés pour
performer dans les prochaines semaines.
Votre banquier n’en a jamais entendu parler, et je crois que ce sont de bien meilleurs
placements que tous ceux d’épargne bancaire en ce moment.
Avant de vous plonger dans la lecture de ce dossier décisif pour vos placements
d’épargne, je vous invite à regarder cette incroyable vidéo :
Depuis trois ans, les placements proposés par les banques ne permettent plus de
gagner de l'argent. Pire : ils en perdent chaque année !
C’est pourquoi mon confrère Olivier Conchon a pris rendez-vous avec son banquier
pour fermer ses comptes d’épargne. Et leur discussion est devenue folle quand ils
ont commencé à parler de rendements... Son banquier l’a pris pour un fou !
Si comme lui vous avez plus de 5 000 euros à la banque, ce qu'il a osé lui répondre
vous concerne directement. Découvrez dès maintenant son histoire complète.
Félix Baron
Les pires réflexes quand on investit en
Bourse
Bien que les profils des “mauvaises” actions soient variés, elles ont cependant souvent
des points communs : secteur en difficulté, mauvaise rentabilité, PDG qui vend du
rêve, conjoncture économique difficile.
Ces difficultés ont souvent des conséquences importantes sur le cours des
entreprises, et pénalisent donc les investisseurs.
Pour vous aider à éviter ces actions, nous avons identifié 4 catégories d’actions à fuir.
Comme vous le verrez, certaines d’entre elles peuvent appartenir à plusieurs de ces
critères, et ces différents éléments vous permettront de vous faire une idée plus
précise de ce qu’il faut éviter quand vous investissez sur les marchés financiers.
La baisse lente et régulière d’une action sur la durée est le premier signal à surveiller,
cela vous signifie qu’il y a de l’eau dans le gaz.
Les actions qui baissent le plus le font toujours pour des raisons factuelles : baisse du
résultat, difficultés liées au secteur, mauvaises performances…
N’oubliez jamais que les marchés financiers représentent la somme des cerveaux
financiers les plus brillants de la planète, alors si une action baisse depuis plusieurs
mois ou années, ce n’est jamais sans raison.
Un patron qui vante les mérites de son entreprise pour vendre du rêve n’est pas une
mauvaise chose en soi.
Chaque gérant se doit de donner la meilleure image possible de son entreprise pour
mettre en avant ses qualités et convaincre le plus grand nombre d’investisseurs de
participer à son aventure.
Choisir le bon secteur est donc l’une des priorités, car certains secteurs ne se relèvent
jamais après certaines crises ou évolutions technologiques, pensez par exemple à
certaines entreprises après la crise d’Internet des années 2000 comme Alcatel qui
était dans une situation de quasi-faillite.
Les sociétés qui ont recours à des financements dilutifs sont probablement les plus
dangereuses pour l’investisseur.
Il leur faut se tourner vers des spécialistes du financement qui acceptent d'engager
des fonds, souvent des sommes de plusieurs millions, alors que le modèle
économique de l'entreprise est fragile et que sa viabilité est en jeu.
Ces financements ont des conséquences dramatiques pour les actionnaires : le
principe, c'est que les émissions ont lieu à un prix toujours inférieur au cours de bourse
du moment. L’actionnaire déjà en place, qui voit le nombre d'actions en circulation
gonfler et la valeur de ses parts fondre à grande vitesse.
Comme vous le verrez, ces entreprises sont les pires, et doivent être évitées comme
la peste au risque de grosses déconvenues.
Maintenant que vous avez en tête les 4 catégories d’actions à fuir, voyons plus en
détails quelques noms de ces “mauvais élèves”, et les raisons qui nous poussent à
les éviter.
Par exemple :
Le groupe, à l’époque pionnier dans l’électronique grand public avait, fut un temps,
sans cesse révolutionné son marché et sorti des innovations toujours plus
spectaculaires les unes que les autres.
La société a dû faire face à une concurrence toujours importante au fil des dernières
années avec l'essor de nouveaux leaders comme par exemple le géant américain
AirBNB, le site français LeBonCoin mais aussi d'innombrables concurrents plus petits.
La mauvaise gestion de la société a fait qu’elle n’a pas su faire face à la concurrence
et qu’elle n’a pas su se réinventer.
Avec des résultats financiers toujours plus mauvais, elle n’a eu d’autre choix que de
se tourner vers des moyens de financement très dilutifs pour survivre, ce qui a eu pour
conséquence de faire couler le cours en bourse de l’entreprise ces dernières années
et de manière continue.
Toutes les entreprises du secteur des drones ne sont évidemment pas égales, mais
deux se démarquent particulièrement de par leurs cours de bourse et l’accumulation
de nuages gris.
DRONE VOLT (Code ISIN : FR0013088606)
Bien que la société évolue sur un secteur très porteur, elle a énormément de mal à
financer son développement et sa croissance et continue de perdre de l’argent année
après année.
De plus l’entreprise n’a pas eu d’autres solutions que de se financer via des
instruments dilutifs ce qui a amené le cours de bourse de la société au tapis.
Delta Drone est lui aussi un acteur spécialisé dans la conception, la fabrication et la
commercialisation de drones civils destinés principalement aux secteurs de
l’agriculture, du BTP, du tourisme et des loisirs.
Comme pour Drone Volt, la société n’arrive pas à gagner d’argent et ses comptes sont
minés par des pertes toujours plus grandes année après année. Il est donc très difficile
pour l’entreprise de se financer sainement puisque ses coûts sont beaucoup trop
importants au regard de ce que l’entreprise gagne.
Comme Delta Drone n’est pas une société en bonne santé et qu’en plus elle évolue
sur un secteur ultra concurrentiel, il est impossible pour les banques de prendre le
risque de lui prêter de l’argent nécessaire à son fonctionnement.
Ici aussi, les dirigeants n’ont eu d’autre choix que de mettre en place des financements
extrêmement dilutifs pour survivre, ce qui fait chuter toujours plus bas le prix des
actions, mois après mois.
Les scandales peuvent avoir des formes assez variées et être de nature financière,
politique ou technologique, et dans la plupart des cas cela a des conséquences
massives sur le cours de l’action de l’entreprise.
Orpea a été le groupe au cœur du scandale sur les maisons de retraite récemment
révélé par les médias et le livre “Les fossoyeurs” en janvier 2022.
L’ampleur d’un tel scandale a littéralement forcé tous les investisseurs institutionnels
(fonds d’investissement, gestionnaires d’actifs, banques, etc …) à vendre leurs titres
le plus rapidement possible par souci d’éthique et pour pour ne pas à avoir à justifier
de telles positions dans leur bilan auprès de leurs clients en fin d’année.
Orpea a été précipité dans une baisse massive et soutenue de -62% en seulement 9
jours, avant que le cours de bourse ne commence à se stabiliser, mais il y a eu un
nouveau mouvement vendeur et les actions ont alors entrepris une nouvelle baisse
de -35% en 3 semaines ce qui porte actuellement la chute du titre à -75% depuis la
révélation du scandale il y a 5 mois.
ATOS (Code ISIN : FR0000051732)
Atos est l’un des plus gros groupes de services informatiques et de cybersécurité au
monde, mais, malgré sa taille et son importance stratégique pour l'État français, c’est
une entreprise qui connaît de graves difficultés financières et structurelles depuis déjà
plusieurs années à cause de problèmes de gouvernance.
Le titre a perdu 50% de sa valeur en quelques jours suite à l’annonce d’un plan de
relance très coûteux qui a laissé extrêmement sceptiques les investisseurs.
Alors qu'elles pesaient encore plus de 87 milliards d'euros en 2010, les actions en
Bourse détenues par l'État ont vu leur valeur fondre à 59,8 milliards fin 2016.
L'État est forcément un mauvais actionnaire : les politiques qui sont aux commandes,
successivement au fil des élections, ont des opinions diverses et changeantes et
n'assurent pas la continuité économique et l'efficacité de l'entreprise.
L'État doit aussi concilier son rôle d'actionnaire avec d'autres fonctions (régulateur,
donneur d'ordre).
Ce qui n'est pas sans poser un certain nombre de problèmes et créer des travers.
Dans l'aérien, l'État est à la fois au capital d'Airbus, Air France et Paris Aéroports : un
mélange des genres assez problématique pour la bonne gestion.
L’entreprise est sous les feux des projecteurs depuis quelques semaines car l’État va
débourser 9,7 milliards d’euros et lancer une offre de 12 euros par action EDF à
l’automne, pour acquérir 100 % du capital de l’énergéticien, qui sera retiré de la cote.
Mais ne vous laissez pas duper par la hausse récente, car l’entreprise était en grandes
difficultés depuis plusieurs années : problèmes de corrosion qui s’étendent, retards à
Flamanville, obligation de vente d’électricité à perte à ses concurrents, révision à la
baisse de la prévision de production du parc nucléaire du groupe…
L’entreprise est très connue des investisseurs pour être un placement “de bon père
de famille”, c'est-à-dire une valeur dite très défensive susceptible de mieux résister en
cas de crise majeure grâce à ses activités réputées résilientes.
Le fait d’avoir l’Etat en tant qu’actionnaire limite et restreint Orange dans ses choix de
management et dans ses choix stratégiques. Orange peut donc difficilement prendre
des risques et ne peut que peu se développer sur son secteur.
C’est une des raisons pour laquelle le cours en bourse de Orange évolue très peu
depuis plusieurs années et ne récompense que très peu ses actionnaires.
Les actions dans le secteur des
biotechnologies
Les sociétés de biotechnologies sont des sociétés innovantes qui nécessitent de longs
et coûteux investissements avant de pouvoir bénéficier de retours.
Il existe des risques inhérents à ces sociétés de biotechnologies, liés à leur faible taille,
leur caractère innovant et leur dépendance à un nombre restreint de personnes,
souvent des chercheurs à l’origine du projet.
La valeur boursière de ces sociétés n’étant que le reflet des profits qu’elles pourront
engranger. Il n’y a souvent pas d’actifs facilement évaluables (bien immobiliers, outils
de production) et leur principale richesse réside dans leurs brevets.
Cette société de biotechnologie française est spécialisée dans les maladies cardio-
vasculaires et les maladies du foie et développe des molécules depuis 1999.
Résultat : 20 ans de recherches qui tombent à l’eau et l’espoir de tous les actionnaires
avec. Le cours en bourse de la société s’est effondré de plus de 80% le jour de
l’annonce.
Medesis Pharma est une entreprise qui s’est récemment introduite en bourse (le 12
février 2021).
Comme pour Genfit, Bone Therapeutics a connu un échec clinique en phase 3 (l’étape
clinique la plus importante mais aussi la plus difficile à valider) de l’un de ses candidat
médicament phare qui était destiné à traiter l’arthrose du genou.
Début 2022, la société subit ici aussi un échec clinique cuisant dans ses recherches
contre la Perte Auditive Soudaine.
Les investisseurs avaient placé énormément d’espoir dans ces recherches tant le
besoin contre cette pathologie était urgent et tant le marché en cas de réussite pour
Sensorion était gros.
La sanction a été immédiate et les investisseurs ont perdu 70% sur Sensorion en
seulement quelques jours.
L’Autorité des marchés financiers a d’ailleurs alerté deux fois les épargnants, en juillet
2020 et en novembre 2021, des risques associés aux lignes de financement en fonds
propres.
Ce type de financement monté par un intermédiaire financier est utilisé à tout moment,
au gré de l'entreprise et après suppression du droit préférentiel de souscription des
actionnaires.
Il peut créer une forte pression baissière sur le cours des sociétés émettrices et
conduire à une dilution significative de l'actionnariat, et simple recours à ces
financements dilutifs est une raison suffisante pour se tenir à l’écart de ces sociétés.
Neovacs est une petite société de biotechnologie spécialisée dans la recherche sur la
maladie du lupus (une maladie de la peau).
Au bord du gouffre, elle n’a eu d’autre choix que d’avoir recours à des financements
extrêmement dilutifs pour ses actionnaires pour continuer à survivre.
Cybergun est une entreprise connue pour avoir été l’entreprise française ayant eu le
plus recours à des systèmes de financements dilutifs (en durée et en volume).
Pendant des années, le PDG a fait miroiter des objectifs et des promesses à ses
actionnaires qu’il n’a jamais tenu tout en continuant de financer son entreprise très
gracieusement sur leur dos.
Un programme de financement est mis en place, puis la valeur perd 99% en quelques
mois. Une fois le programme terminé, de nouveaux actionnaires arrivent dans le
bateau en se disant que le pire est passé, mais rebelote un nouveau programme de
financement est mis en place et la nouvelle génération d'actionnaires se trouve ruinée
en quelques mois.
Il faut savoir que le PDG d’Europlasma est la même personne que le PDG de
Cybergun (dont j’ai parlé juste au dessus), et les symptômes sont exactement les
mêmes.
Rien que depuis janvier dernier (en 7 mois), le titre Europlasma est en baisse de
98.9% en bourse.
SAFE ORTHOPAEDICS (Code ISIN : FR0013467123)
Depuis son introduction en bourse en 2018, la société n’a jamais connu un véritable
succès commercial et a toujours été en difficulté.
Ces difficultés ont amené la société à deux doigts de la faillite. Et comme pour
Neovacs, les banques ne pouvaient pas prendre le risque de prêter à une entreprise
aussi fragile… Les dirigeants n’ont alors eu d’autres choix que de mettre en place des
systèmes de financement dilutifs pour leurs actionnaires de toujours.
Par leur activité et leur bonne gestion, ces 3 entreprises sont bien positionnées pour
performer malgré les fluctuations du marché.
Moulinvest
Par ailleurs, sa gestion rationnelle et durable – prônant une valorisation des déchets
intégrale sur la totalité de la chaîne de production – dans le respect des principes
du Programme de reconnaissance des certifications forestières (PEFC) fait d’elle
une championne dans le domaine de l’énergie propre.
Son expansion semble suivre son cours, lentement mais sûrement, avec un chiffre
d’affaires toujours en croissance, passant de 57 millions à 66 millions entre
2017 et 2020.
Elle vend aujourd’hui près de 60'000 tonnes de granulés et 45'000 palettes tous les
ans tout en transformant près de 100'000 tonnes de matière organique chaque
année.
L’activité du pôle Bois a quant à lui progressé de 58% en un an et représente
désormais près de 50% du chiffre d’affaires
Le titre en bourse a effectué un rebond de plus de 1000% depuis son plus historique
de mars 2020 ! La société est passée de son plus bas historique à un record boursier
en moins d’un an.
Cet attrait pour les investisseurs s’explique aussi en grande partie par la forte
demande de bois dans la construction et les granulés de chauffage…
PharmaGest Interactiv
Les pharmacies étant de plus en plus des entreprises de service avec le suivi des
patients, leurs besoins évoluent et Pharmagest est bien placé pour fournir des
solutions adaptées.
Parmi les pistes pour améliorer la croissance externe, de nouveaux marchés vont
être exploités (tel que l’Italie), la société va aussi renforcer le contrôle de sa
distribution (ADI), augmenter la part de marché et proposer de nouveaux produits
au sein de son expertise.
Cela leur donnera une nouvelle dynamique en France qu'ils utiliseront probablement
plus tard pour se développer en Italie, en Allemagne et en Espagne.
Nexans
Avec plus de 140 ans de savoir-faire, NEXANS est un mastodonte du transport de
l’électricité et des télécommunications.
Agissant par voie aérienne, souterraine et même sous-marine, ils affirment leur
leadership dans le domaine de la haute-tension ou encore de la construction des
infrastructures et réseaux pour télécommunications (bâtiments, tunnels,
construction navale..).
Si l’activité du groupe avait essuyé un recul de près de 12% sur l’année 2020, la
reprise des activités a confirmé la croissance pérenne de son chiffre d’affaires.
Surfant toujours sur une tendance haussière, le titre n’a jamais connu de meilleure
forme depuis plus de 10 ans.