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1. Le comité Charia
2. Les ressources sont halal (fonds propres – dépôts – Zakat, wa9f)
3. Plus de risque (3 P)
4. La banque Islamique fait à la fois l’intermédiation et de participation (investissements) et aussi
ils peuvent avoir des activités non lucratives (Qard Hassan, Zakat, Waqf)
Le passif d’une BI
Note :
Q&A:
Les BI utilise l’argent des comptes d’épargne et courants partiellement et les ne rémunère pas.
La Zakat est une partie de revenu qui est verser donc il n’influence pas la compétitivité et il est de
2,5%, donc la zakat est n’est pas pénalisante pour la BI. Il se débarrasse de l’argent de revenue. Et il
est déduit des IS, Donc Il aide à diminuer l’IS, et cela est aussi le cas pour le Waqf et autres …
Elle n’est pas impôt sur la mais c’est la rémunération des propriétés communes. Et donc tu la
réintègre cet argent dans l’économie.
Donc c’est un problème politique, et cela parce que l’Etat n’a pas intérêt de créer ce fonds, donc ils
ont dit pourquoi on doit créer ca alors qu’on n’a pas d’intérêt de bénéfices.
Les risques dans les BI
Les risques :
1. Dépôts à CT : Donc parfois il y aura de déficit (sous liquidité), et la BI ne peut pas recourir à la
BAM ou le marché Interbancaire. Problème de refinancement.
Il peut être dû à des retraits imprévisibles, des réserves insuffisantes ou des pertes dans les
opérations d’investissement.
2. A LT : Ils peuvent avoir des problèmes de surliquidité (lorsqu’ils ont de l’argent n’est pas
employé), ces risques sont liés au fonds d’investissement.
3. Risque de compétence : Les BI n’ont pas de ressources humaines compétentes.
Les risques sont multiples dans les BI soit communs avec les BC comme :
1. Risque de crédit (exemple : non livraison de la marchandise par le fournisseur, la non relancent
de client a la promesse d’achat)
2. Risque de marche (Risque de fluctuation de prix comme dans contrat salam, ou aussi un risque
de marche de change)
3. Risque de liquidité (non pas faire face à des retraits des fonds, ou de ne pas avoir des fonds
nécessaires pour faire face à des investissements qui peuvent entrer des bénéfices importantes
par la banque)
4. Risque Opérationnel (les erreurs que peut faire la banque au niveau de la gestion, les banque
Islamiques ont plusieurs produits et chaque produits à ces règles, ces taux donc les BI ont besoin
de logiciels qui coutent des millions, la manque d’expériences des personnel de la BI)
1. Le risque commercial translate ou déplacé – Bank run (Par exemple le compte d’épargne n’est
pas rémunéré dans les BI, donc un pourcentage de clientèle va aller chez une BC pour ce
problème).
2. Risque de réputation (si certaines pratiques ne conforme pas à la charia donc sa réputation va
run out | au niveau de respect des principes chariatique)
3. Le risque « Arbitrage Chariatique » (pratique Malik ou charia, donc cela posent des problèmes
chez les clients), Il faut harmonise les pratiques des BI.
4. Risque 3P (la banque peut supportes jusqu’à la totalité des pertes dans contrat mudaraba, ceci
dfa3 les banques à se focaliser sur juste le Mourabaha qui n’est pas trop risque)
Ce sont des réglementations imposes sur les banques pour gérer les risques (pour les banques Islamique
le pourcentage des CPR est 20% au lieu de 12% pour les BC, et cela change de pays à l’autre et d’une
banque à l’autre selon la nature de ces banques, commerciale ou aussi industrielle).
Le risque et le capital est liée dans les BI, mais dans les BC c’est juste l’invisteuseur qui supporte le
risque, donc le risque est séparée avec le capital.
Dans le system conventionnelle il y a une séparation entre le risque et le sous jasant. Ce qui n’existe pas
dans le system classique.
Qu’est ce qu’il justifier que les propres sont importants dans les banques Islamiques, plus la banque fait
les opérations commerciales plus le taux de solubilité sera faible.
- La vente Ina ou Tabarruq : la BI qui a besoin de liquidité va à la bourse pour acheter des
marchandises dans 6 mois par P1, pour une livraison immédiate et après cette livraison cela je
vais la vendre à vous aujourd’hui par P2 et le racheter à l’échéance par P1 sachant que P1 > P2.
Ce qui est n’est pas acceptable au niveau chariatique parce qu’il y a de l’usure parce que l’objet
de la transaction n’est pas commercial mais c’est pour le refinancement.
- L’intégration de l’assurance Takaful dans la banque, le fait d’intégrer l’assurance dans la banque
donc la banque peut utiliser la liquidité qui est dans l’assurance, donc c’est un moyen de
liquidité, de refinancement de la banque (comme Wafa assurance qui fait partie de Tijjari wafa
banque).
- Le recours aux sukuk à court terme, ils sont généralement des actifs de moyen terme, ils peuvent
aussi être à CT.
- On Malaisie il y a une marche interbancaire Islamique.
Cela coute chère il est juste dans les grandes banques Islamiques, parce que le logiciel pour la gestion
des comptes d’investissement coute 8 millions dollars.
Note :
Q&A:
L’assurance à une fonction de couvrir le risque auprès de sa clientèle. L’assurance takaful a un esprit de
solidarité ce qui n’existe pas dans les assurances classiques.
La mutuelle d’assurance : Les membres sont actionnaires et assurés et donc il n’est pas à but locative, il
ne cherche pas à dégager de bénéfice. Cela est une assurance classique qui est presque similaire au
Takaful.
Les sociétés de réassurance islamiques : Les sociétés d’assurances est assures par les sociétés de
réassurances. Puisque il n’y a pas de société de réassurance islamique on a autorisé les sociétés de
Takaful de assures par les sociétés de réassurance Classiques.
Les gestionnaires sont rémunérés sur l’argent qu’il bénéfices du placement des fonds de souscripteurs
selon la performance.
Au Maroc on va créer des assurances takaful prévis. Son cadre législative est entraine de finalisation.
On fait le recours au marché des capitaux pour financer les grands projets.
C’est une note qu’on donne à une bourse, qui indique la valeur des actifs.
La main invisible existe dans la bourse pour diriger les capitaux dans les secteurs les plus rentables, c’est
pourquoi les états protégèrent quelques secteurs.
Les marche de capitaux est ici pour rendre productif les liquidités excédentaires, la caisse de retraite ou
les assurances, les entreprises.
Conditions de légitimité (tout cela est pour recourir à la dette) (C’est la comite charia qui surveille le
respect ces conditions).
o Le portefeuille qui détient les Sukuk ne doit pas avoir des créances classiques
(Obligations).
o Le portefeuille en actions, sukuk… Les sukuk ne doivent pas supérieur à 49%, parce que
les Sukuk soit en veut ou pas sont des dettes ou semis dettes et donc une entreprises ne
dois pas avoir la majorité.
o Tu ne peux pas lancer des sukuk sur la consommation, mais que l’investissement.
o Vous ne pouvez pas lancer des Sukuk que si le projet achève 30% de réalisation. Ils
doivent être sur des projets qui existent déjà.
Les sukuk ne peuvent pas être protèges par les produits dérives et donc cela impact leur notation, La
notation sert à évaluer la valeur de ces certificats, à faciliter leur rémunération et à accélérer leur
circulation.
Q&A:
Est-ce que le détenteur du sukuk peut intervenir à la gestion de projet, est ce qu’il a un droit de vote ?
Un fonds d’investissement Islamique finance des entreprises qui respectent les règles de la CHARIA.
Dette en islam est HALAL que si :
- Un objet d’investissement
- Le projet est déjà au moins de 30% d’avancement
- Il faut que la montant de la dette soit de au maximum de 49%
- Il faut que les dettes société ne dépassent pas 30%
Les fonds d’investissements peuvent prendre toutes formes d’entreprise, et tous types de contrats
(Murabaha, Moucharaka, Ijara …)
Remarque:
Les BANQUES ont besoin des assurances TAKAFOL qui investissent leur argent dans les SUKUKS qui
faut les gérés par des fonds d’investissent.