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TABLES DES TABLEAUX
Tableau 1: contrainte de chaque sollicitation ........................................................................................................... 11
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TABLE DES FEGURES
Figure 1: déférentes sollicitations simples.................................................................................................................. 9
Figure 2: contrainte................................................................................................................................................... 10
Figure 3: vecteurs de contrainte................................................................................................................................ 10
Figure 4:Illustration de la déformation d’un corps C ............................................................................................... 12
Figure 5:courbe contrainte -déformation .................................................................................................................. 13
Figure 6: traction simple ........................................................................................................................................... 15
Figure 7: essai de traction ......................................................................................................................................... 16
Figure 8: courbe de traction ...................................................................................................................................... 16
Figure 9:Une poutre est sollicitée à la compression simple ..................................................................................... 17
Figure 10: essai de compression ............................................................................................................................... 17
Figure 11:la ligne moyenne à deux forces directement opposées. ........................................................................... 18
Figure 12:deux tronçons E1 et E2 glissant l'un par rapport à l'autre dans le plan de section droite ......................... 18
Figure 13: un effort de cisaillement F uniformément réparti dans le plan ............................................................... 19
Figure 14:courbe du cisaillement ............................................................................................................................. 19
Figure 15:poutre cylindrique et de section circulaire ............................................................................................... 20
Figure 16 : essai de torsion sur une poutre encastrée à son extrémité G1 et G2 ..................................................... 20
Figure 17: la courbe de torsion................................................................................................................................. 21
Figure 18:la poutre admet un plan de symétrie longitudinal .................................................................................... 21
Figure 19: flexion plan simple .................................................................................................................................. 22
Figure 20 : Flexion plane simple sur une poutre de deux appuis ............................................................................. 22
Figure 21: déformation de flexion plane simple ....................................................................................................... 23
Figure 22:Flexion pure ............................................................................................................................................. 23
Figure 23:la flexion déviée revient à décomposer les sollicitations ......................................................................... 23
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INTRODUCTION
La Résistance Des Matériaux est une des branches de la mécanique qui permet l’étude des contraintes et
des déformations. Les contraintes mécaniques peuvent être vues comme des « efforts de cohésion » de la
matière et sont homogènes à une pression (généralement exprimée en méga-Pascal MPa). Les
déformations d’un objet physique s’observent par un changement de forme de celui-ci et/ou de variation
dans ses dimensions. [1]
La RDM est l'ensemble de principes, de théories et de méthodes qui permet de comprendre comment
les matériaux réagissent sous l'effet de sollicitations. C'est l'outil qui garantit que les conceptions
sont solides et sécuritaires. La RDM est le langage commun entre les créateurs et les bâtisseurs, un
langage qui assure que chaque pièce d'un puzzle complexe s'emboîte avec précision.
Les sollicitations, qu'elles soient simples ou composées, font référence aux for ces, moments ou
contraintes qui agissent sur un matériau ou une structure. Elles sont essentielles pour comprendre
comment les matériaux réagissent sous différentes charges. Les sollicitations simples sont des
charges uni-axiales, c'est-à-dire qu'elles agissent dans une seule direction par contre les composées
sont des combinaisons de différentes sollicitations simples agissant simultanément sur un matériau.
L'analyse des sollicitations composées peut être plus complexe que celle des sollicitations simples,
car elle nécessite de prendre en compte l'interaction de plusieurs forces dans différentes directions.
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Cependant, c'est une compétence cruciale pour les ingénieurs et les concepteurs, car de nombreuses
situations réelles impliquent des sollicitations combinées. La compréhension des sollicitations
simples est souvent le point de départ pour aborder les composées et concevoir des structures et des
composants capables de résister à des charges diverses et complexes.
Dans notre rapport nous allons donner quelques informations générales sur les sollicitations simples
pour simplifier ces informations nous allons diviser notre sujet en deux chapitres :
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CHAPITRE I : GENERALITE
I. Introduction
Les sollicitations simples sont des concepts fondamentaux en mécanique des matériaux et en ingénierie.
Elles représentent les différentes manières dont les matériaux et les structures sont soumises à des forces,
des contraintes ou des déformations de manière uniforme. Comprendre ces sollicitations simples est
essentielle pour évaluer le comportement des matériaux sous diverses charges, que ce soit dans la
conception de bâtiments, de ponts, de pièces mécaniques ou dans d'autres domaines de l'ingénierie ,et sont
des forces, des moments ou des combinaisons de ceux-ci appliquées à une structure ou à un matériau,
généralement de manière uniforme. Elles sont essentielles dans l'analyse des structures pour évaluer leur
résistance et leur stabilité
Les sollicitations en mécanique des matériaux se divisent en deux catégories principales : les sollicitations
de déformation et les sollicitations de contrainte, la première c’est sont un aspect fondamental de la
mécanique des matériaux et de l'ingénierie.et la deuxième est une sollicitation appliquées à un solide
engendrent des contraintes dans le matériau. Une contrainte est homogène à une pression dans le matériau
un autre solide
un fluide (liquide ou gaz)
le champ de gravitation
un champ magnétique.
permanentes ou variables
de courte durée
périodique ou non périodiques
dues à des chocs.
La prise en compte de la température peut être parfois nécessaire.[3]
2. Sollicitation simple
Une sollicitation est dite simple lorsque toutes les composantes du torseur des efforts de cohésion
sont nulles sauf une.
8
Une poutre peut être soumise à plusieurs sollicitations qui dépendent que le nature et delà direction des actions
mécaniques.[4]
En résume principalement la différence entre les sollicitations simples et les sollicitations composées
réside dans le nombre de directions de contrainte. Les premières sont des contraintes appliquées dans une
seule direction, tandis que les deuxièmes impliquent des contraintes multiples agissant simultanément sur
un matériau.
Une poutre est en général un solide engendré par une aire plane dont le centre de gravité décrit une
courbe.[5]
9
2. Hypothèse
Les dimensions transversales de la poutre considérée sont petites par rapport à sa longueur. Pour une
poutre droite, le rapport de la hauteur sur la longueur doit être compris entre 1/5 et 1/30.
Pour les poutres courbes, ce rapport peut s’abaisser à 1/50 et même à 1/100.
Le rayon de courbure de la fibre moyenne est suffisamment grand par rapport à la dimension
transversale de la poutre. En général, ce rayon doit être supérieur à 5 fois la hauteur de la section.
Dans le cas où la poutre est de section variable, la variation de la section doit être lente et
progressive.[5]
Les efforts extérieurs sont situés dans le plan de symétrie de la poutre ou disposés symétriquement par
rapport à ce plan.[5]
Figure 2: contrainte
1. Définition
On appelle vecteur contrainte au point M relativement à l'élément de surface (S) oriente par sa normale
extérieure, 𝑥⃗ le vecteur note 𝐶⃗ (M, 𝑥⃗) tel que :
∆𝐹 ⃑⃑⃑⃑⃑
⃑⃑⃑⃑⃑ 𝑑𝐹
𝐶⃗ (M, 𝑥⃗) = lim =
∆𝑆→0 ∆𝑆 𝑑𝑆
Figure 3: vecteurs de contrainte
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On appelle contrainte normale 𝜎⃗, la projection de 𝐶⃗ (M,𝑥⃗) sur la normale 𝑥⃗. On appelle contrainte
tangentielle, 𝜏⃗ la projection de 𝐶⃗ (M,𝑥⃗) sur le plan de l'élément de surface S .[6]
Compression 𝑁 𝐸 × ∆𝐿
𝜎= = =𝐸×𝜀
𝑆 𝐿
Cisaillement 𝑇
𝜏=
𝑆
Torsion 𝑀𝑡
𝜏=
𝐼0
𝜌
Flexion simple 𝑀𝑓
𝜎= ×𝑦
𝐼𝑧
: Contrainte normale d'extension ( > 0) pour traction et ( < 0) pour compression en MPa
2. Relation Contrainte/Sollicitation
La relation entre la contrainte et la sollicitation est fondamentale en mécanique des matériaux. Cette
relation est décrite par la loi de base de la mécanique, qui établit que la contrainte est directement liée à la
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sollicitation par l'intermédiaire de l'aire de la section transversale du matériau. Définition d’une
déformation :
𝐹𝑜𝑟𝑐𝑒 (𝑠𝑜𝑙𝑙𝑖𝑐𝑖𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛)
𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒 =
𝑠𝑢𝑟𝑓𝑎𝑐𝑒
Cette relation est cruciale pour évaluer comment un matériau réagit sous l'influence des forces externes et
est utilisée pour concevoir des structures capables de résister aux sollicitations tout en maintenant la
sécurité et la performance.
Une déformation non-homogène, telle que le montre la figure 4 est caractérisée par des variations de
longueurs qui ne sont pas proportionnelles. Si l’on imagine un quadrillage (figure 4) dessiné sur (et dans)
au solide au repos, alors les lignes initialement droites deviennent courbes et des droites initialement
parallèles ne le sont plus.[7]
Si l’on associe au solide au repos 3 points M, N et P qui deviennent M′, N′ et P ′ dans la configuration
déformée, on remarque qu’une déformation s’accompagne de variations de longueur et de variations
d’angle, soit :
‖𝑀𝑁 ⃑⃑⃑⃑⃑⃑⃑⃑⃑⃑
⃑⃑⃑⃑⃑⃑⃑ ‖ ≠ ‖𝑀 ′ 𝑁′‖ Et 𝑃𝑀𝑁 ̂ (42)
̂ = 𝑃′𝑀′𝑁′
∆𝐿
𝜀=
𝐿0
Durant le chargement et le déchargement de la barre, la barre reprend sa forme initiale (palier (OA)
élastique). La pente E de la droite (OA) est appelée module d'élasticité linéaire ou module de Young
représentant le rapport entre la contrainte σ et la déformation Ɛ. La partie (AC) représente le domaine de
plasticité. Dans ce cas, la barre ne reprend pas sa forme initiale. [7]
VII. Conclusion
Compréhension des sollicitations simples est cruciale pour évaluer comment les matériaux réagissent et
pour dimensionner des composants capables de résister à ces sollicitations.
Finalement on conclut que les sollicitations simples, la déformation et la contrainte sont des paramètres
clés pour garantir que les structures et les matériaux que nous utilisons dans notre vie quotidienne sont
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non seulement fonctionnels, mais aussi sécuritaires et durables. Ils continuent d'inspirer l'innovation et la
créativité dans le domaine de l'ingénierie, où la compréhension des sollicitations, de la contrainte et de la
déformation est essentielle pour façonner un avenir plus solide et plus sûr.
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CHAPITRE II : LES TYPES DES SOLLISITATION SIMPLES
I. Introduction
La mécanique des matériaux est le domaine de l'ingénierie qui se penche sur la façon dont les matériaux
réagissent aux forces extérieures. Pour comprendre ce domaine complexe, commençons par explorer les
types de sollicitations simples, qui sont les fondements de cette discipline.
Dans ce chapitre nous découvrirons les types principaux des sollicitations simples : la traction, la
compression, la flexion, la torsion et le cisaillement. Chacun de ces types a un rôle essentiel dans la
performance des matériaux dans des domaines aussi variés que la construction, l'aérospatiale, l'industrie
automobile, génie civile et bien d'autres.
𝑁 0
{C ohésion}(x⃑, y
⃑ , z) = ( 0 0) Avec N > 0
0 0
Hypothèses : solide idéal, matériau homogène isotrope, poutre rectiligne de section constante.
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Figure 7: essai de traction
On obtient alors la courbe d’essai ci-dessous
Zone OA : c'est la zone des déformations élastiques. Si l'on réduit la valeur de F jusqu'à une valeur
nulle, l'éprouvette retrouve sa longueur initiale. Dans cette zone, l'allongement est proportionnel à
l'effort d'extension. Des essais effectués avec des éprouvettes de dimensions différentes permettent
de constater que pour un même matériau, l'allongement unitaire (l / l0) est proportionnel à l'effort
unitaire (F / S0). Les sections droites et planes de l'éprouvette restent droites et plans pendant l’essai
Zone ABCD : c'est la zone des déformations permanentes. Si l'on réduit la valeur de F jusqu'à une
valeur nulle, l'éprouvette ne retrouve pas sa longueur initiale.
C'est la valeur limite de la contrainte dans le domaine élastique, appelée aussi limite d'élasticité Re. Pour
l'acier, cette valeur est voisine de 300 MPa
C'est la valeur limite de la contrainte avant rupture de l'éprouvette, appelée aussi nommée résistance à
l’attraction R. Pour l'acier, cette valeur est voisine de 480 MPa.
Allongement A% :
𝑙0 − 𝑙
𝐴% = × 100
𝑙0
2. . COMPRESSION
2.1 . Définition
Une poutre est sollicitée à la compression simple lorsqu'elle est
soumise à deux forces directement opposées, appliquées au
centre de surface des sections extrêmes et qui tendent à la
raccourcir.[8]
𝑁 0
{C ohésion}(x⃑, y
⃑ , z) = ( 0 0) Avec N < 0
0 0
Zone OA : c'est la zone des déformations élastiques. Si l'on réduit la valeur de F jusqu'à une valeur
nulle, l'éprouvette retrouve sa longueur initiale. Dans cette zone, l'allongement est proportionnel à
l'effort de compression. Des essais effectués avec des éprouvettes de dimensions différentes permettent
de constater que pour un même matériau, l'allongement unitaire ( l/l0) est proportionnel à l'effort
unitaire (F/S0).
Zone AB : c'est la zone des déformations permanentes. Si l'on réduit la valeur de F jusqu'à une valeur
nulle, l'éprouvette ne retrouve pas sa longueur initiale
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3. CISAILLEMENT
3.1 Définition
Une poutre subit une sollicitation de cisaillement simple lorsqu'elle est soumise à deux systèmes d'action
de liaison qui se réduisent dans un plan (P) perpendiculaire à la ligne moyenne à deux forces directement
opposées. [8]
Sous l'action de ces deux forces la poutre tend à se séparer en deux tronçons E1 et E2 glissant l'un par
rapport à l'autre dans le plan de section droite (P)
Figure 12:deux tronçons E1 et E2 glissant l'un par rapport à l'autre dans le plan de section droite
0 0
{C ohésion}(x⃑, y
⃑ , z) = (𝑇𝑦 0)
0 0
Remarque :
On peut toujours remplacer les composantes d'effort tranchant (Ty et Tz) par
une unique composante T en réalisant un changement de repère
le cisaillement pur n'existe pas, il subsiste toujours de la flexion.
0 0
{C ohésion}(x⃑, y
⃑ , z) = ( −𝐹 0)
0 𝐹∆𝑥
Zone OA : c'est la zone des déformations élastiques. Si l'on réduit la valeur de F jusqu'à une valeur
nulle, l'éprouvette retrouve sa forme initiale.
Zone ABC : c'est la zone des déformations permanentes. Si l'on réduit la valeur de F jusqu'à une valeur
nulle, l'éprouvette ne retrouve pas sa forme initiale. (déformations plastiques).[8]
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4. TORSION
4.1 Définition
Une poutre est sollicitée en torsion simple lorsqu'elle est soumise
à ses deux extrémités à des liaisons dont les torseurs associés se
réduisent à deux torseurs couples opposés dont les moments sont
parallèles à l'axe du cylindre. (On suppose la poutre comme
cylindrique et de section circulaire constante)[8]
0 𝑀𝑡
{C ohésion}(x⃑, y
⃑ , z) = ( 0 0 )
0 0
On note lors de l'essai que, pour une même valeur du moment, l'angle croit de façon linéaire avec x,
l'abscisse de la section droite étudiée : = k.x
Zone OA : C'est la zone des déformations élastiques. Si l'on réduit la valeur du moment jusqu'à une
valeur nulle, l'éprouvette retrouve sa forme initiale. Dans cette zone, l'angle de torsion est
proportionnel au couple appliqué. Les sections droites et planes de l'éprouvette restent droites et planes
pendant l'essai.
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Zone AB : C'est la zone des déformations permanentes L'éprouvette ne retrouve pas sa forme initiale
après déformation.
5. FLEXION
Il existe plusieurs types de flexions (pure, plane simple, déviée) [8]:
5.1.2 Définition
Une poutre est sollicitée en flexion plane simple lorsque le système des forces extérieures se réduit à un
système coplanaire et que toutes les forces sont perpendiculaires à la fibre moyenne
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Figure 19: flexion plan simple
0 0
{C ohésion}(x⃑, y
⃑ , z) = ( 𝑇𝑦 0)
0 Mfz
Constatations :
La flèche est proportionnelle à l'effort F appliqué et ceci quel que soit le point D choisi.
Pour une même valeur de F, la flèche est maximum lorsque D est au milieu de la poutre.
On observe, en effectuant l'essai avec différentes poutres, que la flèche en D est inversement
proportionnelle au moment quadratique IGz de la section.
Les fibres longitudinales situées au-dessus de la ligne moyenne se raccourcissent et celles situées en
dessous de la ligne moyenne s'allongent.
Les fibres appartenant au plan (G,x,z) ne changent pas de longueur.
Les allongements et raccourcissement relatifs (l/l) sont proportionnels à la distance de la fibre
considérée au plan (G,x,z).
Les sections planes normales aux fibres restent planes et normales aux fibres après déformation.
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Figure 21: déformation de flexion plane simple
L’étude de la flexion déviée revient à décomposer les sollicitations en deux flexions planes suivant les
plans principaux.
III. Conclusion
D’après ce chapitre II on conclut que les types de sollicitations simples sont les piliers de la mécanique
des matériaux et de l'ingénierie. Chacune de ces sollicitations, que ce soit la traction, la compression, la
flexion, la torsion ou le cisaillement, joue un rôle essentiel dans la compréhension du comportement des
matériaux sous l'influence des forces extérieures. La compréhension de ces sollicitations simples est
cruciale pour la conception de structures des plusieurs matériaux. Les ingénieurs et les concepteurs doivent
être en mesure d'analyser comment les matériaux réagissent à ces forces pour garantir que les constructions
sont à la fois fonctionnelles et fiables.
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CONLUSION
Dans cette notion préliminaire de la Résistance des Matériaux sont données. Le contenu est consacré, en
premier lieu, à la mise en place des hypothèses fondamentales de la RDM ainsi qu’aux notions de
contraintes et déformations. Les principales liaisons de génie et leur modélisation sont, ensuite revues. Le
principe fondamental de la statique est également donné.
les différents types de sollicitations, qu'il s'agisse de sollicitations simples comme la traction, la
compression, la flexion et la torsion, ou de sollicitations plus complexes telles que les sollicitations
combinées, jouent un rôle fondamental dans la conception, l'analyse et la compréhension du comportement
des matériaux et des structures. Chacun de ces types de sollicitations a des effets spécifiques sur les
matériaux, et leur maîtrise est cruciale pour garantir la sécurité et l'efficacité des conceptions.
L’explication des comportements pour les différentes sollicitations est généralement bien fournie mais les
fondements se basent principalement sur des recherches bien plus poussées sur le cas de la compression
axiale uniforme alors que les lacunes sont encore présentes pour le cas de chargement en cisaillement, en
combinaison de chargement Ainsi, les dimensionnements pour les sollicitations en cisaillement sont
encore peu précis et sont issus des résultats observés pour de la torsion.
Les notions de sollicitations simples sont abordées et schématisées et sont des demandes courantes et
directes qui sont souvent utilisées dans la communication quotidienne. Elles peuvent inclure des demandes
d'informations, de services, de réponses ou d'actions immédiates. Les sollicitations simples sont
essentielles pour établir des interactions efficaces et claires entre les individus. Elles jouent un rôle crucial
dans la communication et la résolution de problèmes au quotidien
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REFERENCE
[1] : « Cours - Td - TP réactance de matériaux école d’ingénieur de limoges 26 octobre 2022, Damien
André »
[2] : « Les progrès des théories de la résistance des matériaux et leur application à la construction des
ponts », Le Génie civil, numéro spécial du Cinquantenaire 1880-1930, novembre 1930, p. 183-189
[3] : Cours RÉSISTANCE DES MATÉRIAUX Lotfi Jaballah ENST Janvier 2013
[4] :sectionsti/mecanique/rdm/rdm1-2
[6] : Cours RDM HYPOTHESE DES SOLLICITATIONS SIMPLE A.U : 2009-2010A , WADI,
KAROUI,CHOUCHEN, BOUZIDI
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