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La gestion trésorerie résumer

Qu’elle soit publique ou privée, grande ou petite, Marocaine ou étrangère. Toute organisation connaît des
flux financiers en encaissement ou en décaissements nécessitant un contrôle quotidien.

Chaque organisation adopte la gestion de trésorerie comme un fondement principal afin de bien gérer ses
flux, prévoir les déficits et les excédents, maintenir la croissance, contrôler les encaissements et les
décaissements, et assurer sa solvabilité et sa rentabilité pour une courte périodicité.

Ainsi chaque entité tient à se performer dans la gestion de ses disponibilités dans le but de minimiser les
risques des pressions financières auxquelles pourra-t-elle être exposé. Et donc, gérer sa trésorerie, c’est être
en permanence en prise directe avec les flux réels et prévisionnels, entrants et sortants, et avec ses banques,
pour pouvoir effectuer rapidement les ajustements nécessaires. C’est avant tout anticiper ! De ce faite, la
gestion de trésorerie répond aux deux préoccupations suivantes : la gestion des liquidités et la gestion des
risques financiers dans l'entreprise.

Elle été a longtemps considérée comme une simple activité d’exécution du budget, sans enjeux particuliers.
Arrêtée essentiellement d’un point de vue comptable, mais à partir des années quatre-vingt, le
développement rapide des moyens informatiques, lié à l’apparition de nouveaux instruments financiers, a
profondément modifié l’approche de ce domaine qui est progressivement devenu une fonction financière à
part entière.

A l’heure actuelle, la gestion de trésorerie est devenue un facteur de compétitivité dynamique, largement
impliqué dans la qualité des résultats des entreprises dont elle administre et contrôle les flux financiers.

Dans ce sens Gestionnaire d’encaissement et de décaissement, le Trésorier est devenu gestionnaire de dettes
et de placement, puis gestionnaire de l’ensemble des risques financiers. L’apparition des nouveaux
instruments financiers, l’abolition du contrôle des changes, ont bousculé bien des barrières que l’on croyait
infranchissables entre court et long terme.

En peut dire que La gestion de la trésorerie est l’axe principal de la gestion financière à court terme. Elle a
commencé à prendre une véritable dimension dans les entreprises. Du fait qu’elle doit intéresser tous les
membres de l’entreprise en représentant un reflet de sa survie puisque c’est un domaine de la gestion
financière qui détient une place importante dans l’entreprise.

Elle représente un indicateur de santé économique d’entreprise et mesure la conséquence des décisions
financières et commerciales prises par cette dernière dans le but de garantir trois points (la solvabilité de
l’entreprise à l’échéance, la rentabilité qui signifier les placements des excédents de trésorerie, et en fin la
sécurité ou le protège devant les risques (change ou relation bancaires)).

Comment la trésorerie peut-il … ????

I-Gestion trésorerie et l’analyse financière :

La trésorerie désigne le stock d’argent disponible dans les comptes d’entreprise, elle peut être sois positive
ou négative mais lorsque on parle sur la notion de gestion trésoreries c’est l’activité qui consistant à placer
les liquidités d’une entreprise dans les meilleures conditions de rentabilité et de risque.

Elle implique des outils de gestion prévisionnels afin d’évaluer le besoin de financement immédiat et à futur
de l'entreprise. Elle gère la liquidité de l’entreprise, qu’elles soient présentes en caisse ou en banque. Gérer
sa trésorerie de manière optimal implique d’évaluer les fonds de roulement nécessaires au cycle
d’exploitation, c’est-à-dire l’argent disponible pour couvrir les dépenses courantes.
Cela permet de renforce la trésorerie d’une manière pertinente à travers la planification des recettes et les
dépenses et se disposer d’une visibilité sur l’évolution du solde d’une part est d’anticipant les points hauts
de façon à placer l’argent excédentaire d’une autre part.

Objectifs de la gestion de trésorerie :

Maximaliser les produits des excédents de liquidités et minimaliser les charges de financement (mettre à
disposition le montant exact de moyens financière au bon endroit et moment)

Mieux communiquer auprès des investisseurs (qualité de l'information) porte les informations nécessaires
afin de négocier les investisseurs, ajustant le niveau d’investissement aux possibilités de financement sans
puiser exagérément dans la trésorerie

Assurer la liquidité de l’entreprise (l’aptitude de l’entreprise à faire face à ses échéances, mesurer le besoin
de fonds de roulement, à collecter les soldes bancaires, mesure et détecter les dégradations et d’en définir
les causes, déclare le plan d’action corrective)

Réduire le coût des services bancaires (date de valeur, commission bancaire, taux d’intérêt, taux de change)

Réduire le coût des services bancaires (relation équilibrée, améliorations des conditions, il contrôle
quotidiennement d’opération, le suivi des dates de valeur)

Cherche les placements les plus intéressants et moins couteux à travers les relations avec les BQ et MM

Participe au financement à moyen terme en relation avec le directeur financier

Améliorer le résultat financier par la minimisation des frais ou l’augmentation des produit financiers cela a
travers la négociation des taux de crédit et de bien gère les placements

Assure la sécurité des transactions mettre en place des procédures internes, d’utiliser les moyens de
paiement et circuits monétaire sécurisés.

Gere les risque de change et son taux, la prise de décision de couverture et le recours aux instruments FI

Rôle de trésorerie au sein de l’entreprise :

Elle a pour mission de garantir à tout moment les engagements de l’entreprise dans les meilleures conditions
économiques et avec la meilleure sécurité possible. Il est chargé aussi de gérer les flux financiers qui
impliquent un travail quotidien de suivi des encaissements et décaissements, et d’équilibrage des différents
comptes bancaires.

L’optimisation de la trésorerie s’opère en amont de la trésorerie, en ayant le souci permanent de gérer aux
mieux les différentes variables du BFR de l’entreprise et une gestion efficace du cycle d’exploitation.
Néanmoins, l’optimisation doit se réaliser en aval, dans la mesure où l’objectif idéal à atteindre est la
trésorerie zéro.

Les moyens d’optimisation de la gestion trésorerie :

La gestion de trésorerie suppose une démarche en deux temps :


L’élaboration du budget de trésorerie : document prévisionnel récapitulatif des encaissements et des
décaissements de l’entreprise sur une période donnée
L’élaboration du plan de trésorerie : document issu du précèdent et intégrant les moyens de financement à
court terme ainsi que leur coût ou indiquant les placements envisageables.
Cette démarche nous permettre de mesure :
 L’équilibre entre les banques qui est une des techniques de création d’économie sur la gestion des
comptes bancaires et vise à minimiser les intérêts débiteurs
 L’utilisation des crédits à court terme constitué par l’escompte et le découvert
 L’utilisation des placements à court terme où le responsable de trésorerie doit réaliser des arbitrages
entre les modes de placement
 La sécurisation des transactions où l’entreprise doit veiller à la mise à jour régulière des pouvoirs de
signature et à la conservation pour éviter un certain nombre de fraudes
 La gestion des différents risques liés à la gestion de trésorerie principalement le risque de défaillance
des clients, le risque de change et le risque de taux d’intérêt.

La gestion de la trésorerie dans l’analyse financière :

Deux approches sont généralement utilisées pour analyse la trésorerie d’une entreprise :
L’approche statique englobe d’une part une approche bilantielle et d’autre part une approche par les ratios
ou l’approche par le bilan
L’approche dynamique quant à elle, aborde la trésorerie en termes de flux (entre et sortie) ou l’approche par
flux
L’analyse de la trésorerie par le bilan

La position de trésorerie d'une entreprise peut se calculer à partir du bilan, qui est une photographie de ses
emplois et ressources à un instant « t ».
L’analyse de ce bilan permet de développer les trois grandes masses du bilan, à savoir le Fonds de
Roulement Net Global (FRNG), le Besoin en Fonds de Roulement (BFR) et la trésorerie (T). Ces masses
représentent la structure de base de l’analyse financière répondant au principe de l’équilibre financier.

Le FRNG correspond au montant des ressources stables qui après le financement de l’actif immobilisé
demeure disponible pour couvrir les besoins de financement. Peut-être sois positif qui signifier un surplus de
liquidité (équilibre FI) sois négatif qui signifier que l’entreprise n’arrive pas à financer son AI, cet indicateur
permet de mesure la marge de sécurité dont dispose l’entreprise dans son activité courante.

Le BFR représente le besoin de financement généré par le cycle d’exploitation de l’entreprise aussi peut-être
sois positif c’est à dire les emplois circulants sont supérieurs aux ressource circulante (BFR) ou négatif qui
signifier l’inverse (ressource de financement).

Besoin en Fonds de roulement Hors- Exploitation (BFRHE). Le BFRE est la partie des besoins de financement
du cycle d’exploitation qui n’est pas financée par les dettes liées au cycle d’exploitation

La Trésorerie nette est égale à la différence entre d'une part les ressources nettes de l'entreprise et d'autre
part ses besoins de financement ou à la différence entre la trésorerie actif et passif, cette dernier peut-être
aussi sois positif qui signifier généralement la disponibilité (liquidité qui peut être un manque à gagner ) ou
négatif qui signifier un découvert bancaire (manque de liquidité ) ou nulle qui présenter la situation optimal
(équilibre fonctionnel entre la solvabilité et la rentabilité )

La trésorerie négative peut être explique par un FRNG insuffisant (CP ou rentabilité insuffisants, manque
d’emprunt à LT, ou nombreux investissement réaliser) qui peut être règle par augmentation des ressources à
long terme ou réduire le MT des IMMO à long terme ou par un BFR élevé (créance important, valeurs des
stock élevée, Insuffisance délai de paiement FRS) qui peut être règle par réduire les stock, délai créance …

Diagnostic des flux financiers de la trésorerie (approche dynamique)

L'approche par le bilan financier est une approche statique, figée à un instant donné, le plus souvent au
31 décembre de chaque exercice. Pour aller plus loin dans l'analyse, il convient d'expliquer le passage entre
deux situations statiques. C'est l'approche dynamique avec le tableau de financement.

Cette analyse permet de comprendre où et comment est dépensée la trésorerie (expliquer d’expliquer les
variations passées de la trésorerie ou d’appréhender son évolution future à partir des flux d’encaissement et
de décaissement.)

Généralement il existe 4 catégories des flux FI (d’exploitation / d’investissement /d’endettement / capitaux P)

Cette seconde approche est dynamique qui a pour but de donner les étapes de l’évolution de la trésorerie.
Les encaissements et les décaissements sont les éléments constitutifs de la variation de trésorerie. Ils
s’obtiennent à partir des bilans et comptes de résultats prévisionnels ainsi qu’à partir d’informations qui
devront être trouvées dans un budget. Cette approche permettra d’obtenir un budget mensuel (un point de
passage pour atteindre la position au jour le jour)

Elle permet d’analyser la variation de la trésorerie, en étudiant les conséquences financières de décisions
adaptées au niveau des politiques d’investissement, du processus d’exploitation des autres opérations
financières. Elle sert à détailler les mouvements de trésorerie à court terme qui influent le solde final.

On peut se base dans cette approche sur les moyennes suivante :

Tableau pluriannuel des flux FI : explique la variation des disponibilités, il concerne plusieurs exercices, il
s’attache sur la performance Eco, politique FI, les opérations exceptionnelles (établi sur 5 exercices successifs)

Les flux d’exploitation : excèdent (indicateur pertinent pour contrôler la capacite de l’ES à générer liquidité
grâce à son activité, l’étude de son évolution permet de prévenir des risques de défaillance, il présente aussi
la trésorerie dégage au cours de l’exercice)

Les flux FI : les dépenses et les charge engager par la trésorerie-si le dispo après financement de la croissance
et supérieur à zéro donc l’entreprise et capable d’autofinancer ses investissement (sous-investissement ou de
déstockage) permis de dégager des excédents qui ont servi au financement des investissements et à
l’amélioration des disponibilités de l’entreprise -si le reste et inferieur à zéro donc l’entreprise doit s’endette
pour avoir rembourses ses emprunts un faible recours à l’endettement qui peut être justifié par l’importance
du flux de trésorerie d’exploitation ou par la difficulté de l’entreprise à lever du crédit.

Les flux d’investissement : concerne l’AQ° et la cession d’IMMO, permettent d’identifier et mesure la
politique d’investissement en cas de développement ou renouvèlement d’activité

Tableau des flux de trésorerie : Le tableau de flux constitue un document essentiel pour mettre en œuvre ou
comprendre la gestion financière d'une entreprise car il retrace l'ensemble des origines et utilisations de
trésorerie d'une période décompose la variation de trésorerie et analyse en flux par fonction, il permet
d’apprécier la contribution de chaque fonction a variation , le regroupement des flux peut gère (la capacite d
génère la liquidité , faire face à ses engagement, incidence sur la structure financière des opération
d’investissement et de financement

Se tableur permet : évaluer la solvabilité et liquidité, comprendre la situation FI, savoir les MT engager en INV
TF : document prévisionnel permet d’analyse et d’étudier l’impact de projet a LT sur la situation future de la
trésorerie

II-La contribution à la compréhension des problèmes de trésorerie :


Les causes de la dégradation de la trésorerie :

1-Crise de la croissance :

Période de bouleversement économique au cours de laquelle l’ES ne peut répondre correctement aux
commandes, c’est une croissance non maitrisée (cause fréquente de difficulté de défaillance) qui Vien dune
manque de compétence financière

Solution :
-augmentation du capital (permet de renforce la solidité FI et sa solvabilité)
-utilise compte courant d’associé (renforcement des fonds propre par une convention de blocage)
-modérer la croissance (privilégier la marge au volume ce qui contribue a amélioré la TN)
-recourir à l’affacturage (cède une partie de créance pour couvrir le manque de financement)
2-Mauvaise gestion du BFR :

Le besoin en fonds de roulement correspond, au surplus du poste fournisseurs par rapport aux postes des
stocks et clients, l’entreprise doit supporter le décalage entre les créances et dettes. (Peut être aussi un stock
mal gère, FRS trop exigeants, mauvaise gestion des délai créance.

Solution :
-Négocier avec le banquier des lignes de crédits
-Connaître le délai moyen de rotation des stocks
-Négociation des délais de paiement client et fournisseur
-Proposer une remise (escompte) pour paiement anticipé
3-Imprévus :

Un imprévu peut prendre à peu près toutes les formes imaginables

Solution :
-Etablir son budget de trésorerie prévisionnel et laisser une certaine marge de manœuvre
- Identifier et connaître les risques, et activer un management des risques
4- Perte de rentabilité :

CA insuffisant : C’est une cause courante de difficultés de trésorerie en entreprise qui peut être à
cause des concurrence ou l’insatisfaction des clients ou le positionnement sur la marche

Marge commerciale trop faible : faire une analyse détaillée de tous les produits/services et
déterminez le taux de marge.

Charges trop élevées : peuvent dégrader la situation FI d’une ENT il est nécessaire d’identifier ceux
qui dégradent anormalement la trésorerie en procédant à une analyse des décaissements, il faut
également comparer les prix pratiqués par les fournisseurs par l’établissement de nouveaux devis

5- Réduction de l’activité :
Face à une baisse des vente, l’ENTR doit baisser ses achats pour ne pas tomber dans l’augmentation des
stocks, réduire la PROD, ajuster les achats et la PROD a l’activité réelle, vide les stocks…
6- Mauvais choix de financement :
Autofinancement « excessif ». L’entreprise investit en immobilisations sans mettre en place de ressources
stables (trésorerie insuffisante, Les remboursements en capital étant trop élevés par rapport à la CAF
générée, emprunter à MT sur une durée trop courte par rapport à la rentabilité des investissement)
- Mettre en place un financement à MLT (remboursable sur 3 à 5 ans) pour rééquilibrer.
La démarche de prévision de la trésorerie :

La procédure budgétaire signifier la volonté des structure la démarche d’anticiper l’avenir ce qui traduit par
l’évolution du solde de TR. refuser cette prévision est donc refuser la capacité à gérer son activité ce qui
conduit à subir son enivrement.

Et pour anticiper en doit utiliser des prévision Eco et FI, et faire le lien entre divers document (en général 3
documents son nécessaire : plan de budget, plan de financement, fiche en valeur)

Plan de trésorerie (du budget) : document qui recense les prévisions d’encaissement ou décaissement sur
une période, permet d’évaluer la saisonnalité de la position du TR et optimiser sa gestion prévisionnelle

(Ce plan est élaboré à partir de tous les autres budgets des autres service achat, vente, tva …)

L’encaissement de budget TR : correspondent aux flux d’entrée de fonds et peut être l’exploitation ou non
des éléments suivants

Les vente : réellement encaisser et le délai de règlement accorde aux clients il représente des recetté
d’exploitation les prévisions sont fait à la base du CA.

Les autres recettes d’exploitation et hors exploitation : (remboursement des prêt, nouveau emprunt,
cession d’IMMO, avance compte courant d’associer)

Décaissement de budget TR : correspondent eux charge décaissées du compte de résultat (dépense relative
aux achats, dépense d’exploitation (salaire, transport …) et les dépenses hors exploitation (investissement,
paiement des dividende …)

Le plan de financement : fait partie des tableaux qui constituent les prévisions financières d’une entreprise,
il regroupe les investissements nécessaires et les ressources mobilisées pour financer ces besoins, il permet
d’évaluer le cout total du projet, et définie la stratégie de financement L’analyse se fait en termes de flux
(encaissements et décaissements).

La fiche de suivi : Elle permet de positionner en date de valeur et non plus en date d’opération comptable les
recettes et les dépenses de l’entreprise

Elle permet de positionner en date de valeur et non plus en date d’opération comptable les recettes et les
dépenses de l’entreprise

Les décisions prises par le trésorier apparaissent également sur la fiche en valeur il s’agit soit de décisions de
recettes de financement des déficits de trésorerie soit de décisions de dépenses de placement ou blocage
d’excédents (L’objectif du solde final devient alors un objectif de solde de trésorerie zéro)

III-Les prévisions de trésorerie :


Une prévision de trésorerie est une projection ou une estimation du montant d’argent que l’entreprise
recevra et versera sur une période donnée dans le futur. Sur une base hebdomadaire, mensuelle,
trimestrielle ou annuelle.il permet d’anticiper l’ensemble du flux de trésorerie
La prévision de trésorerie consiste en l’élaboration d’un document, souvent appelé plan, de trésorerie ou
tableau de trésorerie prévisionnelle ce document permet de suivre l’équilibre Fide son activité et visualiser
les fonds disponibles. (Faire cette prévision de TR c’est déterminer comment évoluer les fonds dans le futur)

Permettent aux dirigeants d’avoir des informations précises sur la trésorerie disponible et ainsi de faire face
aux imprévus, permet aussi de se positionner sur la faisabilité de nouveaux projets, évaluer sa capacite
d’investissement

Permet de donner une meilleure maitrise des indicateurs /améliore la visibilité / faciliter la communication ce
qui permet de prendre les bonnes décisions au bon moment/Grâce aux prévisions de trésorerie vous
connaîtrez précisément la situation financière de votre entreprise, à un instant T. Vous pourrez alors prendre
les bonnes décisions de gestion, au bon moment

Objectif : montrer la projetée de trésorerie en fonction des encaissements et des décaissements pour
prendre des décisions concernant le besoin de FI ou placement

Optimiser le cout, la rentabilité des flux financiers et de les sécuriser

Le but des prévisions de trésorerie est de prendre des décisions de nature financière visant à optimiser la
disponibilité et l’utilisation des liquidités.

Fournir des information actualisées et prévisionnelle concerne la capacite FI de l’entreprise. (Gère la


couverture de risque / vérifier la liquidité a terme et la capacite de TR devant ls situation prévues)

Établir des prévisions de trésorerie c’est lister les mouvements prévus pour connaître le solde disponible à
n’importe quelle date dans le futur.

Mettre en place une prévision de TR :

Faire une étude préalable : par l’analyse de la problématique de TR (marche, situation FI...) cette analyse
permet de clarifier les enjeux et les objectif / définir le fonctionnement (recenser les types de mouvements
et établir les procédures à faire globalement et service par service) / choisir l’outil (sois un tableur sois un
logiciel spécialise)

Mettre en place : initialiser les données : maitre les conditions initiales (paramétrage du logiciel choisi avec
les compte et intégration ou niveau des utilisateurs ; détermination des solde initiaux des comptes de TR ;
entrée de première prévisions connus au départ et en suit l’importation des information nécessaire auto /

Lancer la gestion des prévisions : former les personnes concerne sur les procédures définies et sur
l’utilisation de logiciel, communiquer la date de démarrage (paramétrer le logiciel / déterminer les soldes
initiaux de TR / entre les premières prévisions)

Utiliser les prévisions : ce travail comprendre trois volets :

1-Fiabilisation des donnes : vérifier que les donnes sont complètes et plus ajour possible / vérifier
solde des comptes dans le plan de trésorerie égal à celle de relevé BQ / obtention des nouvelle

données prévisionnelles / actualisation d’information déjà enregistrer / recaler régulièrement les


comptes prévisionnels sur les comptes réels et rectifier les erreurs / analyser le relevé prévisionnel et
le comparer avec le relevé réel

2-Arbitrages immédiats : prendre les éventuelles décisions pour la situation du jour (l’équilibrage des
compte) et aussi pour la situation sur une durée (recherche de financement ou placement)
3-Elaboration de prévisions à LT : Evaluation en fonction des diffèrent hypothèses de prévisions
commercial / analyse l’impact d’un projet d’investissement / savoir la situation de TR pour décider
sois de placer ou à financer à long terme

IV-La gestion trésorerie a la date de valeur :


La gestion quotidienne de la trésorerie de l’entreprise nécessite un suivi précis des besoins et des
disponibilités monétaires a cout terme, sur la base des principe prévision de TR en peut avoir l’équilibre du
solde de TR, cet équilibre réalise grâce à un large éventuel PRDT mis à la dispo des ENTR par les BQ.

Il est nécessaire donc de comprendre et de maitrise en partie la technique bancaire, en effet les prévisions de
TR réaliser permet de prendre des décisions de gère les encaissements et les décaissements en visant un
solde optimum de TR (zéro)

Tout solde créditeur à la banque (excédents de trésorerie) traduit une sur-mobilisation de liquidités ou un
défaut de placement ayant un coût d’opportunité propre à enrichir seulement la banque

En visant le solde TR zéro le TR va chercher à augmenter les PRDT FI en plaçant les excédents et à diminuer
les charges FI en sélectionnant le moyen de financement les moins onéreux.

Une des tâches essentielles du trésorier est de faire ses prévisions au jour le jour dans le cadre de sa gestion.
Les prévisions sont rendues difficiles par l’incertitude sur les dates de flux incertains comme les retraits de
chèques et les réceptions des virements.

Pour éviter de prendre des mauvaises décisions par rapport a la TR rn date de valeur, faut s’appuyer sur les
soldes en valeur en banque et non le solde comptable

Donc la décision doit être élaborées compte par compte, appuyer sir les date de valeur et non les date
d’opération, prendre en compte tous les flux d’encaissement ou décaissement

Pour savoir faire une gestion de TR en date de valeur il faut avoir une meilleure visibilité par l’élaboration
d’un tableau de base journalier sépare d’un compte bancaire (fiche de valeurs : tableau qui tient compte des
jours fériés et grâce auquel il est aisé de déterminer quels sont les jours effectifs à partir desquels courent
des intérêts) dispose des informations suivante (BQ, mode de paiement utilise, date de valeur à appliquer)

Les responsables financiers doivent veiller à l'équilibrage global des comptes afin d'éviter l'existence de
comptes débiteurs coûteux et l'existence simultanée de comptes créditeurs peu ou pas rémunérés (Les
erreurs d’équilibrage et de sur-mobilisation ont un impact certain sur le résultat financier)

Aussi faire l’arbitrage des conditions de crédit (c’est l’obligation de déterminer les besoins de crédit et la
disponibilité a place pour chaque jour)

Note bien que les services des banques proposent un service d'équilibrage des comptes par des virements
interbancaires afin d'optimiser les soldes des comptes selon le concept peu réaliste de « trésorerie zéro »

La TR doit allouer de manières optimal les ressources entre les différents comptes BQ, Les opérations
d’équilibrage permettent d’éviter les distorsions de positions (créditeur sur une banque et débiteur sur une
autre), et d’atténuer les effets des commissions à supporter.

On peut aborder un system d’information qui peut nous aider à faire une bonne gestion trésorerie en date de
valeur qui peut anticiper les mouvements qui viendront modifier en date de valeur les solde de Tr par le
recours au paiement par virement (ou prélèvement) au lieu de payer en cheque plutôt le date est connue en
certitudes
Aussi l’entreprise doit travail avec une BQ (compte pivot) et éviter la diversification des compte BQ, exploiter
l’historique des opérations pour comprendre le décalage qui existe entre la banque et le compte de TR

Aussi la gestion des flux de trésorerie, la négociation des opérations de banque (le taux d’intérêt, les frais
d’agios négociable, évaluation des structures d’organisation)

V-Décisions de financement et de placement à court terme :


La gestion trésorerie occupe une place considérable dans la fonction financière, c’est l’ensemble des
technique et méthode qui permet de suivre l’évolution de BFR leur origine=décalage entre ENCAISS et DECAI

Dans ce fait la trésorerie joue un rôle primordial dans les mesurer de prévoir les besoins de financement
aussi l’or de surplus de trésorerie en matière de placement.

Les modes de financement qui existe : financement non bancaire

Billets de trésor : crée en 1986 pour objectif de contribuer la marche monétaire et donner plus de souplesse
au FI interentreprise sans recourir au système BQ

L’affacturage : contra de Transfer de propriété de créance à une STE spécialiser qui garantit la fin d’opération.

Le crédit interentreprise : mode de FI alternatif autorise à une entreprise à soutenir financièrement une
autre d’après l’accord des prêt ou un délai de paiement.

Financement BQ : découvert BQ : une opération de crédit à court terme, c’est l’autorisation de BQ à rendre le
compte de son client créditeur moyennant un taux d’intérêt (très souple, pas de garantie, pas de JR de BQ)

Facilite de caisse : crédit a très court terme avec un taux d’intérêt élève il couve des cas critique de BFR

Crédit spot : destine aux grand STE avec une durée très courte pour des besoins importants du BFR sans
contrepartie de créance (absence de garantie) le taux applique et entre le marché monétaire et bancaire.

Escompte d’effet de commerce : avancement d’argent a une entreprise contre mobilisation de créance en
garantie c’est le type le plus répondre au BFR (simple et accorde avec un minimum de formalité).

Financement à l’international : crédit documentaire : le Credoc offre l’avantage d’assurer à l'acheteur de


payer uniquement si les documents sont en conformité avec les termes du crédit. Contre garantie.

Les critères de choix entre différents modes de financement :

1-cout effectif du crédit : ou cout réel de crédit c’est le cout supporter réellement par STE compte tenu du
taux d’intérêt nominal et tout autre frais :

Taux d’intérêt (nominal) : taux de base bancaire auquel on rajout les majorations

Date de valeur : le jour auquel les fonds son réellement retires, prise en compte dans le calcul des
intérêts

Les commissions : les charge supporte et le service rendu (varie selon la nature de crédit)

Les agios précomptes : réduisent les net d’escompte pour l’entreprise au Début de période

Les agios post comptes : retire en fin de période (découvert) couteux, capitalise dans le temps.

2-flexibilite du crédit : il réponde à un besoin précis, permet de financer des besoins pour lesquels n’y a pas
de financement adéquate.
3-Montant maximum de crédit : comme par Example le plafonnement des effets a escompte (par rapport au
risque bancaire)

4- négociation des BQ : il faut négocier les conditions bancaires pour réduire le cout de crédit (il faut choisir
le moment de négociation ainsi que lorsque l’entreprise et en position de force (rentable, solvable)

Types de négociation : N. jours de valeur / négociation des commissions (du mouvement et de change)
/négociation de ligne de crédit (plafond des crédits et les taux) / garantie (limiter G exigées)

5-adabtation des ressources au besoin (BF stable doit être financer par les ressource stable …)

6- le risque En effet, il faut être certain de pouvoir faire face au paiement (incapacité de paiement de dette)

Les différents types des placements à court terme :

(Placements bancaires, Placement sur marche, Placement auprès d’une autre entreprise)

Les critères de choix des placements :

Les facteurs de décision : le choix de placement dépende (la durée prévue du placement, anticipation sur
l’évolution des taux d’intérêt et le taux de change, attitude de l’entreprise de faire face au risque en capital
par l’adaptation des politiques qui évite ce genre de risque, régime fiscal des types de placement)

Les placements bancaires : regroupe 2 types des PRDT

Dépôt à terme : contrat conclu entre déposant et la BQ (forme d’immobilisation sur une durée déterminer ou
moins 4 mois

Bon de caisse : titre de créance négociable a moyen et court terme soumise a l’entreprise encontre partie des
prêts quelle accorde au BQ il représente le même niveau de rentabilité que celui des dépôts a terme

Les placements sur le marché : valeur mobilière sont des titre remis par une Ste en échange d’un apport
(action ou obligation), ils sont négociables, confèrent des droits identiques par catégorie, sont cotée en
bourse

Les placement collectifs OPCVM : titre des instruments d’épargne collective mis au point par des Ste agréées
afin de gérer l’épargne publique, sont des portefeuilles collectifs gères par des professionnels et dont les
sommes investies transfère en part ou action de l’organisation.

Les titres de créances négociable : titre émis sous la forme de billets ou bons à l’échéance. (BTN, certificat de
dépôt, billets de trésorerie)

Les décisions d’arbitrage :

Situation de trésorerie excédentaire : entreprise peut se procède sois à un placement d’un montant peu
élevé fréquents ou placement d’un montant avec durée durable et un taux rémunérateur

La situation déficitaire : contracter à un moyen de financement idéal qui regroupe le taux d’intérêt faible et
les conditions bancaire négociable

Arbitrages entre les placements : le choix efficace d’un outil de placement déponde la connaissance du
niveau de risque accepte par l’investisseur / la rémunération attendue / degré de liquidité / incidence fiscale/
divers frais de souscription et de sortie.

Arbitrage entre les financements : le choix entre 1 découvert, le montant du financement étant
parfaitement adapté au besoin de trésorerie
2. choisir un crédit de trésorerie obtenu par billet financier, moins coûteux mais moins adapté aux besoins.
Le billet financier diminue ou annule une partie du découvert ;

3. escompter des effets à condition de ne pas dépasser le plafond d’escompte autorisé par chaque banque.

VI- La gestion d trésorerie et le risque :


L’échange a l’international (opération par monnaie étrangère) sois en qui concerne le financement ou
placement peut engendrer des différents risque (taux de change, taux d’intérêt) la trésorerie dans ce cas elle
intervient pour ressourdre et gère les risque dune façon optimal a fin de garantie le patrimoine de l’ESE.

1- Risque taux de change :


Concerne l’incertitude au taux de change d’une monnaie par rapport à une autre à court terme, il s’agit
du risque qui repose sur la valeur d’un devis à un autre en prise en considération la variation du taux de
change.

 Les déterminantes de taux de change : ce taux peut est déterminé en fonction :


Economique : le rythme de croissance Eco du pays influence plus ou moins la demande de la monnaie
nationale, aussi par rapport à l’investissement international, donc l’existence du ce risque sur marche de
change

Financier : les écarts entre les taux d’intérêt des payer peut attirer l’intention des capitaux flottants qui
cherche la rémunération plus enlevée cela appréciera la monnaie sur la marche de change

 Evaluation du risque de change


Les type d’exposition de l’entreprise au risque de change :

Risque économique : représenter par l’incidence des taux de change sur les Cash-flow dégager, c’est à
dire la diminution de compétitivité vis-à-vis l’investisseur étrangères en raison de croissance de sa
monnaie locale par rapport aux payes du projet

Risque de traduction : née de la conversion des états comptable FI de filiales dans la devise de la STE
mère, le devis de référence est normalement celle des actionnaires.

Risque de transaction : les achats en devis étrangère / emprunt au placement en devis /Transfer de fond

 La position de change nette


Langue : lorsque les créances dans cette devis et supérieur à ses dettes

Courte : les dettes dont plus grand que les créances dans une même devise

Pour gère les risques de change l’entreprise doit procéder au mariage des position de change

 La stratégie de gestion de risque de change : dépende plusieurs facteurs


La politique de STE face au risque : ça dépend de technique de gérances adopter par les dirigent (liberté
en niveau de choix des outils de gestion du risque ou non)

Le degré d’exposition de STE : d’après l’expérience de l’entreprise dans des cas similaire (culturale,
environnemental …) cela peut conduit l’entreprise sois à accepter de gère le risque où refuser

 Les techniques de gestion du risque de change :


Le termaillage : consiste à retarder ou accélère les encaissement et décaissement selon l’évolution de taux de
change
Les avances en devises : en cas d’exportation et pour annuler le risque de change la STE demande une avance
de trésorerie en devise auprès d’une BQ afin de restituer le MT à l’échéance

Les clauses contractuelles : Le risque de change sera réparti sur une partie, voire sur les deux parties
(clauses d’indexation, de risque partagé, multidevises)
Compensation multilatérale de paiements internationaux : compenser sous réserve de la règlementation
des changes des créance avec même échéance et même devise (en ajoutant le principe de transitivité)
Couverture sur le marché de change à terme : négocier actuellement les prix (achat ou vente) pour une
livraison ultérieure (fixe la cour auquel s’échangeront dans le futur des avoir en libelles de devises.
Couverture du risque par les options :
Le swap de devise :
Les warrants sur devises :

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