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LA TIGE

Sur un arbre, on reconnaît aisément un tronc ou tige principale des tiges secondaires (ou
rameaux, branchez) mises en place au cours du développement de l'arbre. Mais en fait, la tige
est un organe très polymorphe pour lequel il faudra donner une définition pouvant concerner
tous les types de tiges caulinaires (du grec coulos signifiant tige) des spermaphytes et pouvant
être étendue aux ptéridophytes et bryophytes.

1. Morphologie

La tige est un axe divisé en næuds, points d'insertion des feuilles au niveau desquels se
trouvent des bourgeons axillaires, et en entre-næuds, espace séparant deux næuds
consécutifs.

Lâ jonction entre la tige et la racine se fait par le collet, région parfois très difficile à localiser.

La tige porte des bourgeons; selon leur position sur la plante, on les définit comme suit :

o Le bourgeon terminal ou apical : il s'agit de la gemmule de l'embryon (voir cours sur la


graine) qui se développe pour devenir bourgeon terminal.
o Les bourgeons axillaires ou latéraux : ils sont situés sur la tige toujours à l'aisselle des
feuilles. lls donnent naissance, chez les spermaphytes, aux râmifications.
o Les bourgeons adventifs: ce sont des bourgeons qui s'ajoutent (se mettent en place)
aux autres bourgeons. lls naissent souvent suite à un traumatisme (blessure). lls
peuvent se former sur les tiges (ils forment des rejets comme chez l'olivier) ou sur les
racines (ils sont appelés drageons et ils forment des tiges qui sortent du sol à une
certaine distance de l'individu qui leur a donné naissance).

Les bourgeons terminaux et axillaires peuvent donner naissance :

o Soit à des rameaux feuillés; on les appelle alors des bourgeons à bois ou « yeux ». lls
sont souvent pointus et petits.
. Soit en fleur ou rameaux florifères (voir cours sur la fleur) : ils sont dits boutons floraux
ou bourgeons à fleurs. lls sont plus volumineux et plus renflés.

Généralement, à l'aisselle d'une feuille, on ne trouve qu'un seul bourgeon. Mais chez
certaines plantes, il se forme cependant plusieurs bourgeons à l'aisselle d'une même
feuille disposés l'un à côté de l'autre (on les appelle bourgeons collatéraux) ou l'un sur
l'autre (superposés, et on les appelle bourgeons sériés).

On distingue les bourgeons selon leur état: ils sont soit en activité physiologique, soit à

l'état dormants: En effet, chez les plantes ligneuses et les plantes herbacées vivaces, les
bourgeons connaissent souvent un arrêt de développement et entrent en dormance,
habituellement pendant la période d'hiver. ll existe cependant des cas oùr ces bourgeons

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entrent en dormance pendant plusieurs années et n'entreront en activité qu'à la

disparition du bourgeon apical (cas de certaines monocotylédones).

Ces bourgeons dormants ou hivernants sont recouverts de petites feuilles brunes, dures,
recouverte de résine et étroitement appliquées les unes sur les autres: on les appelle
écailles : elles sont ainsi imperméables et résistantes, protégeant ainsi toute la partie
active du bourgeon.

Le bourgeon en activité assure :

F la formation des feuilles


F la croissance de la tige en longueur
) la formation des bourgeons axillaires et donc la ramification

2, La ramification

C'est à partir de la ramification par rapport à l'axe principal de l'appareil végétatif que l'on
peut déterminer la forme de l'appareil aérien (= silhouette = port = allure générale)

a) Particularité de la croissance en longueur:


Les bourgeons terminaux et axillaires sont donc les organes responsables de la
croissance et de la ramification des tiges. Après observation d'un arbre, on remarque
d'importantes différences de longueur des rameaux : on distingue des rameaux courts
(RC) et des rameaux longs (RL). Les RL sont régulièrement intercalés entre les RC. Chez
les arbres fruitiers, on note que les RL présentent des bourgeons à bois tandis que les
RC portent généralement des boutons floraux.
Cette différence de longueur provient d'une différence de croissance des bourgeons
axillaires : les RC présentent des bourgeons à croissance définie et les RL des
bourgeons à croissa nce indéfinie.

DEFINITION :

Un organe est dit à croissance indéfinie quand il garde la possibilité de croître pendant
toute sa vie, cette croissance étant discontinue dans le temps et limitée aux périodes
d'activité (période végétative : croissance; période de floraison : arrêt).
Au contraire, un organe est dit à croissance définie quand l'organe atteint rapi{ement
la taille qu'il conservera pendant toute son existence.
Physiologiquement, la croissance des rameaux provenant du développement des
bourgeons axillaires dépend de la place de ces bourgeons par rapport au bourgeon
terminal. Leur activité dépend de la dominance apicale (voir cours de physiologie de
la croissance et du développement) exercée par le bourgeon terminal par sécrétion
hormonale (ll s'agit d'une auxine naturelle synthétisée par les bourgeons et appelée
Acide lndolyl Acétique ou AIA). Celui-ci exerce une inhibition plus ou moins grande sur
le développement des bourgeons axillaires les plus proches selon les espèces. La
croissance en longueur des rameaux ne sera donc pas la même pour les différents
bourgeons axillaires. Ceci aura une importance considérable sur l'allure de l'arbre.

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L'allongement total est variable d'une espèce à l'autre. Exemples: le Pin a une
croissance en longueur de 30 cm par an. Le bambou a une croissance de 60 cm par
jour.

Cet allongement est le résultat de croissance différente des différentes parties de la


plante: les næuds s'allongent peu tandis que les entre-næuds subissent une
croissance plus ou moins importante selon les espèces. Cette croissance est dite
interca la ire.

b) Mécanisme de la ramification

F ta dichotomie vraie: cette ramification est répandue chez les ptéridophytes.


Elle se réalise au niveau du sommet de la tige qui se divise (scinde) en 2 moitiés,
chacune alors la croissance du tronçon (branche) qui vient de se former (ll n'y
a pas de bourgeons). Chaque sommet-fils récupère l'importance du sommet
d'origine (Figure)

) [a ramification latérale: elle est caractéristique des spermaphytes. Elle


provient du fonctionnement des bourgeons axillaires (BA) suivant le
fonctionnement du bourgeon terminal (BT). Ainsi,2 cas se présentent (ÿc§
schémasl :

F indéfinie, c'est-à-dire qu'il présente une


Si le BT possède une croissance
activité continue d'une année à l'autre, la ramification est dite
monopodiale; dans ce cas, les taille et l'importance des axes
secondaires (rameaux) At, A2, A3, etc. est moins importante que l'axe
principalA0. Le BT exerce une dominance apicale sur les bourgeons les
plus proches et ce sont les BA les plus éloignés qui peuvent alors se
développer, exerçant à leur tour la même dominance sur les BA les plus
proches...... Cette croissance est fréquente chez les gymnospermes.

Dans ce cas, la tige principale est les ramifications sont constituées d'unités annuelles
résultant de l'activité d'un seul et vrai bourgeon terminal.

F Si le BT a une croissance définie, dans ce cas il donne naissance à une


fleur ou il meurt. La dominance apicale étant levée, ce sont les
bourgeons latéraux les plus proches qui reprennent la croissance. La
ramification est dite sympodiale.

Si les BA sont opposés, la croissance est dite sympodiale dichasiale

reprise par un seul BA (cas des bourgeons alternes), la croissance est dite
Si la croissance est
sympodiale monochasiale. Le développement des axes A1, A2, etc. se fait vers l'axe principal

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(redressement spontané des rameaux). On a l'impression alors qu'il s'agit d' un
développement du BT seulement.

3. Les principaux ports.

On considère 3 grands types de ports : le port herbacé (tige souple tendre et verte) ; le port
buissonnant et le type arborescent (tiges ligneuses, rigides).

Suivant que le BT ait une croissance définie ou indéfinie, la croissance est reprise par les BA. 2
cas se présentent : (@gg[1!q)

! Dans le cas or) le BT a une croissance définie: A0 sera dominé par le


développement des BA les plus proches et les plus éloignés seront
défavorisés. On parlera d'acrotonie.
! Dans le cas où le BT a une croissance indéfinie, il aura une action
inhibitrice sur le développement des BA les p lus proches et ce sont ceux
les plus éloignés qui se développeront préférentiellement. On parlera
de basitonie. Chez les plantes herbacées, le BT inhibe complètement ou
partiellement le développement des BA d'où une absence de
ramifications. Les rameaux les plus longs sont insérés soit en haut ou à
la base de la tige principale, suivant les espèces (ex : chez les graminées,
la croissance est vers le bas).

Selon que la croissance soit acrotone ou basitone, on distingue 2 types de ramification selon
la taille des BA : la ramification hypotone ou épitone.

Si l'acrotonie se manifeste sur la tige principale comme sur les ramifications, l'hypotonie est
particulière à ces dernières. Les bourgeons de la face inférieure des rameaux dominent ceux
de la face supérieure. Dans ce cas, le port peut être modifié par une taille, notamment chez
les arbres fruitiers, l'objectif étant de favoriser la production fruitière et d'améliorer
l'esthétique de l'arbre.

Si c'est la basitonie qui se manifeste, alors les rameâux présentent une ramification épitone,
c'est-à-dire que les bourgeons de la face supérieure vont prédominer ceux de la face
inférieure.

De telle manière que nous allons avoir deux types de port: le port arborescent dont
l'édification de l'arbre est définie par une acrotonie et une hypotonie et le port buissonnant
défini par une basitonie et une épitonie (Vos schémasl

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4) Adaptations des plantes (voir schémas)

Les plantes àtise dressée: la ti ge principale est plus ou moins verticale appelée croissânce
orthotrope et celle des rameaux est oblique appelée croissance platiotrope. Le BT et les BA
sont situés en dehors du sol.

Les plantes herbacées sont habituellement de petite ou moyenne taille et possèdent peu de
tissus de soutien.

Chez les monocotylédones tels que le bananier ou le palmier, on distingue un « tronc »


couronné qui n'est que le résultat de l'emboitement des gaines des grandes feuilles. ll s'agit
d'un faux tronc ou d'une fausse tige. Les feuilles émergent de bourgeons portés par un
rhizome (tige souterraine: voir plus loin).

Les plantes ligneuses possèdent, elles, des tiges très dures pérennantes. Elles regroupent :

F Les arbres (la plu pa rt des gymnospermes et de nom breuses dicotylédones) :leurtronc
ne se ramifie qu'à partir d'une certaine hauteur, les rameaux formés étant des
branches. La taille varie de 6 à 10 mètres et peut aller jusqu'à une centaine de mètres
comme chez les Eucalyptus et les Séquoias.
> Les arbustes : sont de petits arbres dont ils ont le port, mais leur taille ne dépasse pas
6 mètres.
F Les arbrisseaux et les sous-arbrisseaux: ne dépassent pas 2 mètres de hauteur.
Souvent, ils se ramifient dès la base et font partie des buissons.

Les plantes à tige très courtes ou acaules (sans tige): elles ne présentent, pendant une grande
partie de leur existence, qu'une rosette de feuilles, les entre-nceuds étant très courts. Cette
situation est observée pendant la première année chez les plantes bisannuelles comme la
carotte. Durant la seconde année, apparaît une tige florifère (appelée hampe florale) avec des
entre-noeuds normaux.

Les plantes à tige lonÊues :

F Les stolons : ce sont des tiges qui sont couchées sur le sol ou rampantes. La croissance
est dite diagéotrope. Le BT est à ras le sol (Lierre terrestre, trèfle rampant). Les stolons
sont des tiges à entre-næuds très longs et aux feuilles très réduites. ll s'agit ici de
ramifications rampantes d'espèces herbacées terminées par un BT capable de
s'enraciner à son tour et de produire une jeune plante acaule ou à tige dressée qui
deviendra indépendante (ce mode de croissance contribue à la multiplication végétative
de l'espèce). A son tour cettejeune plante isolée de la plante mère va devenir stolonifère
et produire des stolons (exemple du fraisier).
F Les lianes : ce sont des plantes à tiges grimpantes et volubiles : elles sont à tige souples,
qui se fixent sur un support en produisant des racines adventives comme les crampons
du lierre (tiges grimpantes) ou qui vont s'enrouler autour d'un support par des rameaux
modifiés en vrilles (tiges volubiles comme la vigne).
F Les chaumes : ce sont les tiges des graminées. Les tiges possèdent des entre-næuds très
saillants et elles sont généralement creuses (exemple des roseaux). Elles sont grêles
(minces) et moins longues que les lianes mais beaucoup plus robustes et rigides.

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Les plantes dont la t ise s'est transformée en ne de réserves (et de conservation de
l'espèce). Ces sont des organes qui supportent les mauvaises saisons et entrent en vie ralentie
pendant que toute la partie aérienne a complètement disparu. La conservation de l'espèce a
lieu grâce à ces organes qui peuvent développer, grâce aux réserves accumulées et pendant
la bonne saison, plusieurs tiges aériennes l'année suivante.

F Les rhizomes: c'est une tige vivace (plurian n uelle), à croissance plagiotrope
horizontale souterraine (le BT est enfoncé dans le sol), qui résiste pendant la mauvaise
période, renflée (gorgée de réserves) et portant des feuilles sous forme d'écailles et
des racines adventives. Pendant la bonne saison, elle donne naissance à une tige
verticale et aérienne, annuelle et florifère. Cette tige est formée d'unités souterraines
(une tige souterraine + une tige aérienne) dont les cicatrices indiquent l'emplacement
des parties aériennes disparues (voir schémas) exemples : le Muguet, l'lris.
> l-es tubercules caulinaires : En fait il s'agit du renflement de l'extrémité des stolons ou
des rhizomes. ll se forme alors un organe hypertrophié qui porte des écailles abritant
des bourgeons ou yeux. Exemple de la pomme de terre.
! Les bulbes: ce sont des tiges très courtes appelées plateâu et portant des feuilles
charnues hypertrophiées et très développées (réserves). Le BT présent au niveau de la
tige 'plateau » se développera l'année suivante pour donner une tige aérienne
florifère. Exemple de l'oignon ou de l'ail (qui sont plutôt des bulbilles)
F Les tiges succulentes ou charnues : les tiges sont gorSées d'eau et leurs feuilles sont
réduites à des épines. C'est une adaptation âux conditions de sécheresse. Exemple des
câctées.

Certaines tiges se transforment en épines : exemple des Citrus.

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