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Remerciement ............................................................................................................................. 4
Introduction ................................................................................................................................. 5
I. Généralité : .............................................................................................................................19
II. Utilisations principales de l'acide phosphorique : .....................................................................19
III. Procédé de fabrication : ..........................................................................................................20
Description de l’atelier phosphorique
I. Unité de broyage : (unité 02) ....................................................................................................21
a) Le but : ................................................................................................................................... 21
b) Les principaux équipements d’unité de broyage : ................................................................ 21
c) Description du procédé : ....................................................................................................... 22
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d) Description du procédé : ....................................................................................................... 27
I. Introduction : ..........................................................................................................................36
II. Description de l’installation : ...................................................................................................36
a) Transformateur 20E01 :......................................................................................................... 36
b) Bâche alimentaire (20R01) .................................................................................................... 37
c) Pompe d’extraction : ............................................................................................................. 37
d) Pré chauffeur 20E02 .............................................................................................................. 37
e) Dégazeur 20S01 ..................................................................................................................... 37
f) Ballon de régulation .............................................................................................................. 38
g) Station de conditionnement ................................................................................................. 38
h) Préparation ............................................................................................................................ 38
i) La vapeur primaire :............................................................................................................... 38
j) Circuit de la vapeur secondaire ............................................................................................. 39
conclusion ...................................................................................................................................50
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Remerciement
Au terme de ce travail, je tiens à présenter mes sincères remerciements à la direction
du groupe OCP pour sa sensibilisation vis-à-vis des stagiaires, en leurs accordant des stages.
Je tiens à remercier également mon encadrant Mr. KAMAL MABROUK pour avoir
bien voulu m’accorder ce sujet et pour le temps consacrer pour examiner et juger ce travail.
Mes remerciements vont à tout le personnel que j’ai contacté durant mon stage au
sein de l’unité de concentration d’acide phosphorique, plus particulièrement Mr .BELKADI,
Mr. SABIRI et tout le personnel dans la salle de contrôle sans exception, auprès desquelles
j’ai trouvé l’accueil chaleureux, l’aide et l’assistance dont j’ai besoin.
Je ne laisserai pas cette occasion passer, sans remercier tous les enseignants et le
personnel de la Faculté des Sciences et Techniques de Marrakech, et particulièrement les
responsables de Génie des Matériaux pour leur aide et leurs précieux conseils et pour
l’intérêt qu’ils portent à ma formation.
Finalement, je tiens à gratifier tous ceux qui ont collaboré de prés ou de loin à la
réalisation de ce travail.
Aguerzame M’hamed
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Introduction
Dans les sociétés industrielles, l’échangeur de chaleur est un élément essentiel de toute
politique de maîtrise de l’énergie. Une grande part de l’énergie thermique utilisée dans les
procédés industriels transite au moins une fois par un échangeur de chaleur, aussi bien dans
les procédés eux-mêmes que dans les systèmes de récupération de l’énergie thermique de ces
procédés. On les utilise principalement dans les secteurs de l’industrie (chimie, pétrochimie,
sidérurgie, agroalimentaire, production d’énergie, etc.), du transport (automobile,
aéronautique), mais aussi dans le secteur résidentiel et tertiaire (chauffage, climatisation, etc.).
Le choix d’un échangeur de chaleur, pour une application donnée, dépend de nombreux
paramètres : domaine de température et de pression des fluides, propriétés physiques et
agressivité de ces fluides, maintenance et encombrement. Il est évident que le fait de disposer
d’un échangeur bien adapté, bien dimensionné, bien réalisé et bien utilisé permet un gain de
rendement et d’énergie des procédés.
Le présent rapport suivra cette logique en commençant par des calculs des bilans
thermique des deux transformateurs de vapeur dans l’ancienne et la nouvelle unité de
concertation de l’acide phosphorique (CAP). Puis on procédera à des descriptions
comparatives entre les deux transformateurs.
La première partie est une présentation de l’organisme d’accueil et de ses activités,
Et la dernière est une étude comportementale des deux transformateurs de l’ancienne et
de la nouvelle CAP.
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Présentation
Du Groupe OCP
Un des leaders mondiaux sur le marché du phosphate et ses dérivés, OCP opère sur les
cinq continents et dispose des plus importantes réserves de phosphate au monde.
Avec plus de 90 ans d’expérience dans la mine et 45 ans en chimie, OCP offre l’une des plus
larges gammes de roche pour divers usages. Premier exportateur de phosphate brut et d’acide
phosphorique dans le monde et l’un des principaux exportateurs d’engrais phosphatés, OCP
joue un rôle central dans ses régions d’implantation et emploie directement près de 20 000
personnes ce qui le place dans le peloton de tête des plus grands employeurs du Royaume.
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I. Les Trois principaux Produits de l’OCP :
a) Le phosphate brut :
Le phosphate brut est exploité pour son contenu en phosphore. La teneur du phosphate
en phosphore, mesurée en pourcentage de P2O5 (pentoxyde de phosphore), détermine sa
qualité. Elle varie de 5 % à 45 %. A moins de 30 %, le plus gros de la production, le minerai
subit un premier traitement sous forme de lavage, séchage ou enrichissement à sec.
b) L’acide phosphorique :
Il est obtenu par réaction de l’acide sulfurique avec le calcium de phosphate. La teneur
moyenne du produit intermédiaire ainsi obtenu après concentration est de 52 % de P2O5.
L’acide phosphorique purifié est, lui, destiné à des applications alimentaires et industrielles.
c) Les engrais :
OCP produit quatre types d’engrais à partir de l’acide phosphorique : le DAP (qui est
l’engrais le plus courant), le TSP (engrais exclusivement phosphaté), le MAP (engrais binaire
à deux éléments fertilisants : phosphore et azote) et le NPK (engrais ternaire à base d’azote,
de phosphore et de potassium).
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II. Historique de l’OCP :
OCP occupe une place particulière dans l’histoire industrielle du Maroc ; le Groupe
est le premier exportateur au monde de minerai, leader sur le marché de l’acide
phosphorique et un acteur de poids dans les engrais solides. Cette performance, OCP en
puise les racines dans son histoire et dans une expérience accumulée de 90 ans, depuis sa
création en 1920.
Office Chérifien des Phosphates à sa création, le Groupe OCP depuis 1975 a évolué sur le
plan juridique, pour devenir en 2008 une société anonyme dénommée «OCP S.A »
D’une activité d’extraction et de traitement de la roche à ses débuts, OCP s’est positionné au
fil du temps sur tous les maillons de la chaine de valeur, de la production d’engrais à celle
d’acide phosphorique, en passant par les produits dérivés.
Mais c’est dans sa stratégie industrielle, rythmée par une montée en puissance régulière de
l’outil de production et par une politique de partenariats durables ambitieuse, servie par une
politique financière efficace, qu’OCP trouve, depuis sa création, les ressources de
sa croissance continue et de son leadership.
Ces partenariats touchent aussi bien des accords de livraison à moyen et long terme que la
construction d’unités de production sous forme de joint-ventures, basées au Maroc et à
l’étranger. OCP aujourd’hui, c’est aussi cinq filiales et six joints venture, ainsi que trois
bureaux de représentations dans le monde. Trois autres bureaux de représentation sont prévus
d’ouvrir d’ici 2013.
De quelques centaines de personnes à sa création, pour un chiffre d’affaires de 3 millions de
Dollars US, OCP a réalisé un chiffre d’affaires de 7 milliards de Dollars US en 2011 et
compte près de 20 000 collaborateurs.
Extraction du phosphate
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a) Implantation de l’OCP dans le Monde :
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b) Les sites :
Le Groupe est présent dans cinq zones géographiques du pays dont trois sites
d’exploitation minière Khouribga, Benguérir/Youssoufia, Boucraâ/Laâyoune et deux sites de
transformation chimiques : Safi et Jorf Lasfar.
OULED ABDOUN :
C'est la plus importante mine de la production du groupe OCP, située dans la zone de
Khouribga, ses réserves en phosphates sont estimées à plus de 35 milliards de mètre cubes. Sa
capacité de production est de 19 millions de tonnes par an.
GANTOUR :
La Direction des Exploitations Minières de GANTOUR a pour mission l’extraction, le
traitement et la livraison du phosphate à partir du gisement de GANTOUR, ce gisement
s’étend sur 125 Km d’Est à l’ouest et sur 20Km du Nord au Sud. Il couvre une superficie de
2500Km². Il existe deux centres qui sont en exploitation : le centre de YOUSSOUFIA (depuis
1939) et le centre de BENGURIR (depuis 1980).
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OUED EDDAHAB (BOUCRAA-LAAYOUNE) :
Situé à 50 Km au Sud-est de la ville de LAAYOUNE, les réserves des gisements des
phosphates d’OUED EDDAHAB sont estimées à 1,13 milliards de mètres cubes. Le gisement
de Boucrâa est en exploitation, compte tenu de ses réserves et de sa teneur.
c) Missions :
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d) Filiales :
MAROC PHOSPHORE
Production d’acide phosphorique et d’engrais
Créée en 1973, Maroc Phosphore est une société anonyme de droit marocain.
Son objet social est la production et l’exportation d’acide phosphorique et
d’engrais dans les deux sites de Safi et Jorf Lasfar
PHOSBOUCRAA
Extraction et traitement du minerai de phosphate
Créée en 1962, Phosboucraâ est une société anonyme de droit marocain. Son
activité consiste en l’extraction, le traitement, le transport et la
commercialisation du minerai de phosphate.
IMSA
Gestion d’hôtel et de cinéma IMSA
c'est une société anonyme de droit marocain dotée d’un capital social de 2
millions MAD créée en 1970 pour gérer le cinéma et l’hôtel Atlantide à Safi.
SMESI
Le bras ingénierie et maîtrise d’œuvre d’OCP
Créée en 1959, la Société Marocaine d’Etudes Spéciales et Industrielles est une
société anonyme. La Smesi est la société d’ingénierie et de maîtrise d’œuvre des
grands projets d’investissement du Groupe.
SOTREG
Transport du personnel
Société anonyme créée en 1973, est destinée exclusivement à assurer le
transport du personnel du Groupe.
IPSE
Création de nouveaux établissements scolaires
L’Institut de promotion socio-éducative (Ipse) est une association à but non
lucratif créée par OCP S.A en 1974. Sa raison d’être est la promotion de
l’enseignement et de l’éducation en faveur des enfants du personnel du Groupe.
e) Les partenariats :
Dans le cadre de sa stratégie de développement à l’international, le Groupe OCP a
noué des partenariats durables avec ses clients. Cette coopération touche aussi bien les
accords de livraison à moyen et long terme que la construction d’unités de production.
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Dans cette optique, des unités basées au Maroc et à l’étranger sont en exploitation en
joint-venture avec des partenaires. D’autres axes de collaboration sont actuellement à l’étude
ou en cours de réalisation, notamment avec l’Iran, le Pakistan et le Brésil.
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IV. Présentation de Maroc Phosphore III – IV :
a) Atelier sulfurique:
L'atelier de production d'acide sulfurique de MAROC PHOSPHORE Jorf Lasfar est
composé de six unités de production identiques, de capacité unitaire 2650 TMH/j, de 2 bacs
de stockage de soufre liquide, de 6 bacs de stockage d'acide sulfurique, de 3 stations de
chargement de camions citernes. Le procédé utilisé à double absorption Monsanto (USA).
L'acide sulfurique produit est destiné aux clients internes (PCJ/PA pour la production de
l'acide phosphorique, PCJ/ PE pour la production des engrais, EMAPHOS, IMACID) et aux
clients externes au pôle chimie Jorf Lasfar. L'alimentation des clients internes (PCJ/PA,
EMAPHOS, IMACID) se fait par des tuyauteries. Les clients externes sont desservis par des
camions citernes.
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b) Atelier phosphorique:
Il comprend :
8 lignes de broyage du phosphate
8 lignes d'acide phosphorique dont 3 fonctionnant selon le procédé Rhône
Poulenc et 5 selon le procédé Jorf (OCP).
20 échelons de concentration.
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d) Atelier fertilisant
Il comprend 4 unités de production dans lesquels sont produits les 4 types d’engrais.
Di-ammonium phosphate (DAP): engrais binaire phosphaté azoté, avec une teneur
moyenne en P2O5 de 46% et 18% en azote.
Triple superphosphate (TSP): engrais simple à un seul élément
Ammonium sulfo-phosphate (ASP) et mono binaires 2 éléments fertilisants azote (N)
et phosphore (P)
Engrais complexe (NPK) : il renferme les trois éléments nutritifs primaires.
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Procédé de fabrication
De L’acide phosphorique :
I. Généralité :
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le traitement des eaux usées
la synthèse d'ignifugeants pour textiles
la coagulation du latex de caoutchouc
les catalyses acides en pétrochimie
la synthèse de produits pharmaceutiques
Les procédés par voie humide, dans lequel l’acide est obtenu par attaque directe du
phosphate minéral par un acide fort (acide sulfurique). Il est largement utilisé dans le monde
car il présente l’avantage de produire un acide ayant un faible prix de revient. Les principaux
procédés par voie humide ont pour nom : Rhône-Poulenc, Prayon, Nissan, Mitsubishi.
L’attaque filtration : Le phosphate broyé est attaqué par l’acide sulfurique concentré à
98,5% et l’acide phosphorique moyen (18 à 22% de P2O5) en milieux aqueux. Le mélange
donne une bouillie. La filtration de cette bouillie consiste à séparer l’acide phosphorique 29%
P2O5 du phosphogypse via un filtre rotatif. Le produit est ensuite stocké dans des bacs de
décantation.
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Description de l’atelier
phosphorique
a) Le but :
Le transport :
Les cribles :
Le criblage se fait par quatre cribles installés parallèlement, le phosphate passé est
acheminé vers l’attaque chimique ou bien vers le stockage au silo, par contre le refus du crible
retourne pour alimenter l’entrée du broyeur.
Le broyeur :
Le mouvement rotatif du broyeur entraîne les boulets qui roulent sur eux-mêmes collés
à la paroi du cylindre dans un mouvement descendant à l’aide des plaques.
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c) Description du procédé :
Le phosphate brute est stocké dans une trémie comportant un extracteur vibrant,
réglable en débit celui-ci alimente un transporteur a bande, a la jetée du transporteur un
dérailleur est installée pour retirer les pièces métalliques contenues dans le phosphates.
La bande déverse le produit dans un élévateur à godet, le produit est ensuite repris par
transporteur – distributeur vibrant. le refus des cribles est dirigés par gravité vers le broyeur,
le produit broyé rejoint le Phosphate brute dans l’élévateur afin d’être dirigée à nouveau vers
les cribles qui assurent le contrôle de la finesse (dans le cas du procédé RHÖNE POULENC)
Le produit fini qui est traversée les cribles est repris par un aéroglisseur qui le verse
dans un second élévateur à godets.
Le produit est acheminé par un transporteur qui alimente en priorité l’unité d’attaque.
Le surplus est récupéré dans un silo de stockage et peut être extrait en cas de besoin
par fluidisation.
Stockage d’acide
H3PO4 H3PO4 29%
Acide fort 29%
Gypse
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Cette unité est divisée en deux sections :
Une section d’attaque du phosphate par l’acide sulfurique et l’acide recyclé qui
comprend essentiellement une cuve d’attaque agitée, un système de refroidissement et
d’assainissement des gaz de cette cuve, une cuve de passage et un ensemble de pesage du
phosphate. En plus de ses équipements relatifs au procédé Rhône-Poulenc existant en 3 lignes
sur 8, s’ajoutent un flash coulé et un digesteur dans le cas du procédé Revamping pour
augmenter la capacité de production d’acide phosphorique des 5 lignes Revamping.
Une section filtration de la bouillie phosphorique composée essentiellement d’un
filtre, d’un ensemble de pompes et d’une boite à vide. Le filtre est réparti en quatre parties :
La première partie permette la récupération de l’acide fort, après filtration de la
bouillie que résulte de l’attaque du phosphate par l’acide sulfurique.
Dans la deuxième partie en récupère l’acide moyen, après lavage de la bouillie de
l’attaque par l’acide phosphorique faible.
La troisième partie est utilise pour la récupération de l’acide faible, après un
deuxième lavage de la bouillie par l’eau gypseux. L’acide faible récupère est ce lui que on
utilise dans le premier lavage.
La quatrième partie est utilisé pour la récupération de l’eau gypseux après un
troisième lavage de la bouillie par l’eau brut, l’eau gypseux récupère est utilise dans le
deuxième lavage.
La capacité de design de l’atelier est de 553 t/jour dans le cas du procédé Rhône-
Poulenc et qui peut atteindre 700 t P2O5 dans le cas du Revamping et avec un moyen d’arrêt
de 2 heures par 2 jours pour lavage et petit entretien.
Après l’opération le filtrat obtenu est envoyé vers le stockage et le gypse est rejeté à la mer.
Pour augmenter la cadence le groupe OCP a amélioré le procédé Rhône Poulenc pour passer
de 500 à 700 t/j de productivité.
Image du filtre cylindrique utilisé à la filtration de la bouillie que résulte de l’attaque du phosphate
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a) Réactions :
C’est une réaction exothermique. C’est pour cela ils ont imposé un système de
refroidissement pour éviter la formation du semi hydrate au-delà de 80°C.
Ces produits se précipitent et se déposent dans les appareilles en cas de défauts de K2O
ou de Na2O dans le phosphate, l’excès de H2SiF6 formé se décompose selon la réaction :
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III. Unité de stockage et de clarification d’acide
phosphorique 29% en P2O5 : (Unité 13)
a) But :
L’acide phosphorique issu de l’unité attaque filtration contient des impuretés solides et
des matières solubles en suspension. Elles proviennent essentiellement de la roche de
phosphate à l’alimentation. Ces impuretés gênent considérablement le reste de la chaîne de
fabrication et conduisent à des dépôts et à des précipitations dans les circuits et les
équipements pendant la phase de concentration.
Ainsi et pour limiter les problèmes engendrés par ces impuretés, l’acide produit subit
une clarification basée sur :
Cette opération est basée sur la désursaturation des sels et de la décantation des solides
sources d’encrassement.
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c) Les équipements de l’unité de stockage :
Répartiteur :
A une forme cubique située au dessus du 2 Désursaturateur, divisé en trois parties une
pour circuit lavage et l’autres pour alimenter les bacs 13GR01 et 14ER01 par l’acide 29% en
P2O5.
Désursaturateur :
A une forme cylindrique et une capacité de 2010 m3 à ciel ouvert revêtu à l’intérieur par
caoutchouc antiacide, équipé des chicanes et d’un agitateur pour le refroidissement et
l’homogénéisation d’acide.
Il est équipé de :
- Agitateur avec quatre hélices;
- Des chicanes pour l’homogénéisation;
- Un plongeur par lequel l’acide déborde dans le décanteur.
Décanteur :
C’est un bac cylindrique de capacité 1475 m3 et de forme conique à ciel ouvert revêtu
à l’intérieur par caoutchouc antiacide équipé d’un racleur pour déplacer les boues vers le
centre du bac, le décanteur assure la séparation liquide solide. Les boues sont recyclées par
une pompe suivant leurs densités vers la cuve d’attaque ou vers le décanteur.
Il est équipé de :
Racleur qui tourne avec 9 tr/min;
Gouttière sur laquelle il y a une conduite d’acide de retour par la pompe puisard;
Lame déversant par laquelle l’acide déborde dans le bac intermédiaire;
Système de sécurité du racleur, c’est un système de soulèvement en cas d’augmentation
du taux de solide qui provoque le coincement de racleur;
Une conduite des boues recyclées;
Un puis par lequel l’acide entre dans le décanteur.
Bac intermédiaire :
D’une capacité de 1470 m3 qui sert au stockage d’acide à 29% en P2O5 décanté et
refroidie,
Il est équipé de :
- Agitateur; Détecteur de niveau; Trop plein; une sortie d’acide.
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d) Description du procédé :
Les boues formées sont récupérées et recyclées par une pompe volumétrique suivant
leur densité soit vers la cuve d’attaque soit vers le décanteur. L’acide décanté déborde dans un
autre bac intermédiaire avant son Pompage vers la concentration. (Voir schéma de
l’installation)
ACIDE SORTIE
ATTAQUE FILTRATION
VERS UNITE DE
CONCENTRATION
DECANTEUR
DESURSATURATTEUR BAC
INTERMEDIAIRE
POMPE A
VERS CUVE D’ATTAQUE
BOUES
FILTRATION
a) Le but de la concentration
La fabrication d’acide phosphorique selon la plupart des procédés par voie humide,
permet de produire un acide phosphorique à une teneur en P2O5 de 27% à 30%. Cette faible
teneur en P2O5 rend la commercialisation d’acide phosphorique difficile suite aux :
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D’où, la nécessité de concentrer l’acide phosphorique généralement à une concentration
de 54% P2O5, et c’est le rôle de l’atelier de concentration.
b) Matière premières
Acide phosphorique :
Composition Valeur
P2O5 28%
SO3 1.5%
F 1.5%
Solide 1%
Température 40°C
Densité 1.28
Provenance JR03
Débit par échelon 51.4 m3/h
i. Acide dilué
Le débit d’acide de circulation est assuré par la pompe axiale 04JP01 qui aspire l’acide
venant de l’évaporateur et le refoule dans le réchauffeur d’acide à tube en graphite, via un
filtre tamis installé entre la pompe axiale et le réchauffeur d’acide pour éviter le bouchage des
tubes de ce dernier par des morceaux de solides de dimensions importantes.
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Afin de minimiser les dépôts dans les tubes du réchauffeur d’acide, un fort débit de
circulation est nécessaire pour assurer une différence de température entre l’entrée et la sortie
de l’acide du réchauffeur de 3°C environ.
Le procédé étant conçu pour fonctionner, pour une capacité de production donnée, à
débit de vapeur constant.
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Le circuit de condensats est constitué de :
Un ballon à condensats repère 04JR03 recevant les condensats sortis réchauffeur d’acide.
le niveau d’eau dans le ballon est maintenu constant par régulation de niveau LIC 201J.
en cas de pollution des condensats par l’acide, le conductimètre CT301J déclenche une
alarme, coupe la vapeur MP et BP respectivement par les vannes 20XSV 801 et 04FCV
401J;
Les condensats sont repris, du ballon 04JR03, par la pompe P03 et expédiés vers la bâche
20JJR01;
Un refroidisseur de condensats, repère 20JE04, ce refroidisseur est un échangeur à
plaque alimenté par l’eau de mer. la régulation de la température des condensats est
assurée par le régulateur de 20TIC 106J;
Un dégazeur thermique repère 20JJS01dans le quel les condensats sont débarrassées de
l’oxygène dissout et du gaz carbonique par injection de vapeur MP. le dégazage chimique
au niveau de la bâche alimentaire par injection d’hydrazine;
La bâche alimentaire 20JJ R01; les condensats sont expédiés par les pompes 20JJP1 vers
le vaporiseur 20JE01 à travers le préchauffeur 20JE02. le fluide thermique du
préchauffeur est les condensats de la vapeur MP alimentaire.
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c) Acide concentré
Le niveau d’acide dans l’évaporateur est maintenu constant par trop plein.
Les incondensables sont aspirés par la pompe à vide 04JP06 à anneau liquide. L’eau de
bourrage est l’eau de mer à 20 °C alimentant la pompe à un débit de 35 m3/h. les rejets
liquides et gazeux de la pompe sont évacués dans la fosse de rejet 04JR06. La pompe à vide
aspire du bouilleur à travers le condenseur 04JE02 un débit de gaz de 6342 m3/h à une
pression de 60 mm Hg et une température de 27°C. La pression de refoulement de la pompe
est de 760 mm Hg.
Le Na3PO4 change ses ions de sodium entre ceux de Mg2+ et Ca2+ en obtenant à la fin
de la réaction un dépôt du phosphate tricalcique et le carbonate de sodium sous forme des
boues ce qui nécessite leur purge (déconcentration).
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L’injection du Na3PO4 a un deuxième rôle qui se manifeste dans l’augmentation du pH
des condensats.
Préparation
d) Description du procédé :
L’acide 29%arrive de l’unité 13 sous une température de 40°C vers un échangeur où
s’effectue un échange thermique entre la vapeur et l’acide sous pression.
L’acide phosphorique 54% en P2O5 à 76°C produit par l’unité de concentration est
acheminé par la pompe d’envoie vers un désursaturateur qui permet d’obtenir un acide
désursaturé grâce au temps de séjour. Une fois le bac est rempli, l’acide qui est relié a une
conduite situé au un lieu du décanteur et plongé au deux tiers du hauteur de celui-ci.
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A son chemin vers le décanteur on lui ajoute une substance dite floculant dont le but est
de fixer les particules solides en formant des aggloméras pour faciliter leur chute au fond du
décanteur en formant les boues, ces derniers sont raclées par la racleur au fond du cône pour
être aspirées par la pompe à membrane vers l’unité 05 pour s’elles subissent un traitement
(filtration)
L’acide 54% décanté débordant du décanteur vers la colonne est refoulé par une pompe
vers le stockage clarifié.
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Sujet de stage
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I. Introduction :
- Un transformateur
- Une bâche alimentaire
- Une pompe d’extraction
- Un refroidisseur ou pré chauffeur
- Un dégazeur
- Un ballon de régulation
- Station de conditionnement
a) Transformateur 20E01 :
C’est un appareil responsable de transformation des condensats secondaire en vapeur, il a
la forme d’un tube horizontale à fiscaux tubulaires ou circule la vapeur primaire il est muni
de deux toiles l’une haute et l’autre en bas assurant le maintien des fiscaux tubulaire et un
calendre pour favoriser la formation d’une vapeur conformé.
Vapeur Secondaire
Vapeur Primaire
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b) Bâche alimentaire (20R01)
La bâche alimentaire est une enceinte cylindrique horizontal elle est calorifugée contre toute
perte de calories c’est l’endroit ou s’accumule les condensats de retour (secondaire) de
déférents échangeurs avant d’être refoule vers le pré chauffeur et par suit vers le
transformateur. Il assure la marche contenue de transformateur.
- D’un trop plein pour ce débarrasser de surplus pour garder un niveau déterminé dans
la bâche et une pression voisine a la pression atmosphérique. Les condensats qui
débordent par le trop plein sont rejeté vers égout.
- Deux détecteurs de niveau assurent la sécurité de la bâche, un indique le niveau haut
et l’autre le niveau bas ils sont asservis avec la vanne LCV217.
- Un conductimètre pour assure la conductivité des condensats.
c) Pompe d’extraction :
Calendre Chambre
Condensât II Condensât I
e) Dégazeur 20S01
Il a la forme d’un cylindre installé verticalement vers le transformateur. Il a pour but de
dégazage par une substance chimique, dite l’hydrazine N2H4. Cette dernière est responsable de
la fixation de l’oxygène libre pour éviter l’oxydation.
N2H4 + O2 → N2 + 2H2O
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f) Ballon de régulation
C’est une virole cylindrique posée verticalement, ce ballon a pour but le maintient d’un
niveau de condensât bien déterminé pour éviter le passage du vapeur primaire vers le
préchauffeur par suite vers la centrale, comme il assure aussi une bonne condensation de la
vapeur primaire, il est muni de deux détecteur de niveau haut et bas asservis avec la vanne
EV750 commandant l’entrée de la vapeur primaire au transformateur.
g) Station de conditionnement
Elle se compose de deux bacs, chacun muni d’une pompe et un agitateur :
un bac du phosphate trisodique Na3PO4
un bac d’hydrazine N2H4
Le but du phosphate trisodique est d’éliminer les traces de sels contenues dans les
condensats selon la réaction chimique suivante :
Le Na3PO4 change ses ions de sodium entre ceux de MG2+ et Ca2+ en obtenant à la fin de
la réaction un dépôt du phosphate tricalcique et le carbonate de sodium sous forme des boues
ce qui nécessite leur purge (déconcentration).
h) Préparation
Dans un bac de capacité 1m3, on mélange un sac du phosphate tricalcique de 25Kg avec
l’eau désilicée et on agite jusqu’à l’obtention d’une solution homogène.
Dans un bac de 500L, on mélange l’hydrazine (10L) avec l’eau désilicée et on les mélange.
i) La vapeur primaire :
Le rôle de cette vapeur et de transformer les condensats secondaires en vapeur secondaire,
pour qu’on obtient une vapeur secondaire avec des caractéristiques de pression et de
température désiré il faut que la vapeur primaire soit conforme, donc il faut que sa pression soit
de 8 bars et sa température de 200 °C.
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j) Circuit de la vapeur secondaire
La vapeur primaire est produite au niveau de la centrale thermique d’une pression de huit
bars et presque 200 °C et puisque l’échangeur ne peut pas supporter une telle pression la
refroidissement de la vapeur primaire est obligatoire : Elle s’effectue dans un transformateur
alimentaire par une bâche de condensats secondaire. Cependant, la vapeur primaire passe par
un refroidissement à fin de réchauffer les condensats qui seront recyclé vers la centrale
thermique.
k) Remarque :
En cas de pollution des condensats par l’acide phosphorique un contrôle de conductivité
déclenche une alarme met les condensats à l’égout, ferme l’entrée de vapeur dans l’échangeur
et arrête la pompe de circulation. Une addition de phosphate est effectué à la sortie de la bâche
du condensat afin d’augmenter le pH ainsi qu’un ajout d’hydrazine N2H4 afin d’éliminer
l’oxygène par la réaction qui suit :
N2H4 + O2 N2 + 2H2O
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Vap.
Sec.
Vap Prim.
EV 750
S01
Transformateur de
vapeur
condensat
Ballon à
LCV221
Refroidisseur
Cond. Prim.
LCV203
Eau désilicée
LCV217
Condensat.
Bâche alimentaire Sec.
P02 P01
P04
P03
N2H4 Na3PO4
4444
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Schéma représentant l’installation du transformateur de vapeur
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III. Bilan Thermique :
PRESSION
Vapeur primaire 8.5 bar
Vapeur secondaire 5.1 bar
Condensât primaire (transformateur → central) 2.4 bar
Condensât secondaire (échangeur → bâche alimentaire) 1 bar
Ballon → refroidi 8.35 bar
Refroidi→ transformateur 5.7 bar
Bâche → refroidisseur 6.6 bar
Eau désilicée 5 bar
TEMPERATURE
Vapeur primaire 195 °c
Vapeur secondaire 152.6 °c
Condensât secondaire (échangeur → bâche alimentaire 90 °c
Condensat primaire (Refroidi → transformateur 144 °c
Bâche → refroidisseur 90 °c
Eau désilicée 25 °c
ENTHALPIE
Vapeur primaire 2824 kj/kg
Vapeur secondaire 2748 kj/kg
Condensât secondaire (échangeur→bâche alimentaire) 377 kj/kg
Condensat primaire (Refroidi → transformateur 607 kj/kg
Bâche → refroidisseur 377 kj/kg
Eau désilicée 105 kj/kg
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Remarque :
Les valeurs d’enthalpie de la vapeur d’eau cité dans le tableau précédent sont obtenues à
partir du diagramme de Mollier, Cette approche consiste à placer différents points qui
correspondent à une pression et à une température de la vapeur définies à l'avance.
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b) Les valeurs réelles
DEBIT Ancienne CAP Nouvelle CAP
Vapeur primaire 41.9 t/h 35.53 t/h
Vapeur secondaire 41.2 t/h 35.35 t/h
Condensât primaire (transf → central) 35.40 t/h 28.28 m³/h
Condensât secondaire (échang → transf 40.3 t/h 35.45 t/h
c) Formules de base
S =2×π×R×L
Q = Ø × C × ∆t
Il faut alors remarquer que les températures des deux fluides varient le long de l'échangeur.
Il n'est donc plus possible de considérer la différence de températures entre les deux fluides
comme une constante. On définit donc Δtm, la moyenne logarithmique des différences de
températures des fluides aux deux extrémités :
avec :
Q = k × S × ∆tm,
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d) Calcul effectue :
Ancienne CAP Nouvelle CAP
Avec :
Q=-mc.Cp,c.dTc = mf.Cp,f.dTf
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Pour l’ancienne CAP :
Remarque :
La différence du rendement entre les deux installations est due principalement au fait que le
transformateur à l’ancienne CAP est plus grand que celui dans la novelle CAP ce qui veut
dire plus de perte de chaleur lors du transfert.
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IV. Bilan de matière :
a) Calcul de base
Le coût :
On a : 1m³ de l’eau désilicée = 14 DH
Le débit :
Ancienne CAP :
Vapeur primaire = 41.9 t/h
Vapeur secondaire = 41.2 t/h
Condensât primaire (transf → central) = 39.40 t/h
Condensât secondaire (échang → transf) = 40.3 t/h
Nouvelle CAP :
Vapeur primaire = 35 t/h
Vapeur secondaire = 35 t/h
Condensât primaire (transf → central) = 25.6 t/h
Condensât secondaire (bache → transf) = 30 t/h
b) Calcul effectue
Nouvelle CAP :
D’après le débit de la vapeur et du condensât qui entre et qui sort du transformateur on
obtient :
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V. Comparaison entre les deux transformateurs de
l’ancienne et de la nouvelle CAP :
Ancienne CAP
Nouvelle CAP
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L’atelier que sa soit dans la Nouvelle ou l’ancienne CAP se compose d’un transformateur
de vapeur produisant la vapeur nécessaire pour l’alimentation d’un échelon de concentration.
La seul différence si que dans la NCAP chaque échelons à son propre transformateur, alors que
dans l’ancienne CAP il y’en a qu’un seul transformateur pour les quatre échelons.
Le transformateur de vapeur dans l’ancienne CAP sera conçu pour une capacité de
35*4(échelon) = 120 t/h de vapeur secondaire pour alimenter les 4 échelons de concentration
(échangeur thermique) sous une pression de 4 ,5 bar et T=120 °C.
FICHE TECHNIQUE
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c) Comparaison entre la nouvelle et l’ancienne CAP :
Parmi les autres différences spécifiques d’avoir un transformateur pour chaque échelon dans
le cas de la Nouvelle CAP au lieu d’un seul pour les quatre échelons dans le cas de l’ancienne
CAP on peut citer :
L’avantage d’avoir un seul transformateur pour chaque échelon autre que le coté
sécurité c’est d’avoir un meilleur contrôle pour chaque échelons on ce qui concerne
les paramètres d’entrer de la vapeur que produit le transformateur, à savoir la
pression et la température nécessaire pour un bon rendement et une meilleur qualité
de production.
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Après tours d’horizon, des sections existants au service de la production, on peut conclure,
que ce service est le cœur battant de l'OCP, c’est lui qui contrôle l’écoulement du sang aux
autres organes, on peut aussi comprendre l'existence du Groupe selon l'activité de ce service,
dont j'ai trouvé toutes les applications de notre formation.
Arrivée au terme de ce rapport, je peux affirmer que le stage est une expérience
enrichissante et très intéressante même si la période n’était pas assez suffisante pour nous
permettre d’assimiler le maximum des méthodes professionnelles.
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