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Remerciements
2
Nos remerciements sont destinés également à l’ensemble du personnel de
LA SUTA OULED AYAD pour leur sympathie, leur compréhension et leur
accueil.
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Sommaire
1. REMERCIEMENTS ............................................................................................................... 2
2. INTRODUCTION ................................................................................................................. 7
3. PRESENTATION DE LA CELLULE D’ACCUEIL ET PROCESSUS DE FABRICATION ................. 9
4. I.PRESENTATION DE LA SUTA : ......................................................................................... 10
1.Aperçu général de la SUTA : ........................................................................................................... 10
2. Fiche technique de SUTA : ......................................................................................................... 10
3. Organigramme de la SUTA : ...................................................................................................... 11
4. Produits et Co-produits de la SUTA : ............................................................................................. 12
4
I. Généralités sur les convoyeurs :................................................................................................ 24
1. Généralités : .......................................................................................................................... 24
2. Type des convoyeurs : .......................................................................................................... 25
3. Les convoyeurs à bande : .............................................................................................................. 25
3.1. Définition : .............................................................................................................................. 25
3.2. Rôle du convoyeur : ................................................................................................................ 25
3.3. Caractéristique d’un convoyeur : ........................................................................................... 25
3.4. Structure : ............................................................................................................................... 26
5
6. Puissance pour le déplacement de sucre : ........................................................................... 50
7. Puissance nécessaire pour lever le produit seul verticalement :P3.................................... 50
8. Puissance total au niveau du tambour de commande : Pt.................................................. 50
14. III. CALCUL DES TENSIONS SUR LES BRINS DE LA BANDE TRANSPORTEUSE : .................. 50
15. III.CHOIX DES MOTOREDUCTEURS POUR LES DEUX TRANSPORTEURS : ....................... 52
16. V. CHOIX DES DEMARREURS POUR LES DEUX TRANSPORTEURS : .................................. 54
17. CONCLUSION .................................................................................................................... 59
18. BIBLIOGRAPHIE ................................................................................................................ 60
6
Introduction
Dans cet esprit vient mon stage au sein de COSUMAR, site SUTA
d’Ouled Ayad, département maintenance mécanique. Le choix pour
cette société est motivé par plusieurs facteurs, en premier lieu
l’importance de cet organisme au niveau de son activité productrice et
commerciale dans le tissu économique national. Ce choix est aussi
motivé par la présence de certains services (service maintenance
mécanique) où je peux appliquer les connaissances acquises au cours
du cycle de formation à l’FST de Settat.
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Le deuxième chapitre présente les Options du convoyeur à bande
choisi pour le transport de sucre.
Le troisième chapitre sera réservé aux activités exigées.
8
C hapitre I
9
I. Présentation de la SUTA :
10
Figure 1 : fiche technique de la SUTA
3. Organigramme de la SUTA :
11
Figure 2 : Organigramme de SUTA
Le lingot de sucre :
Forme inventée par COSUMAR dans les années 70, le lingot est
utilisé pour préparer le thé mais également le café. Il est
commercialisé en boîte de 1 kg et en fardeaux de 5kg.
Le morceau de sucre :
Le sucre granulé :
Forme utilisée par les industriels comme par les ménages, le granulé
est commercialisé en sachets de 2 kg regroupés par 6, 12 ou 15 et en
sacs de 50 Kg s'adaptant ainsi à chaque installation de réception et de
stockage des clients utilisateurs.
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pulpe humide pulpe sèche mélasse
13
Figure 3 : mode de fonctionnement de processus
2. Matière première :
La betterave est une matière première vivante sujette à de nombreuses réactions
de dégradation. Sa durée de conservation est limitée et la sucrerie est donc une
industrie saisonnière avec des durées de campagne de deux à trois mois par an.
On assiste à une forte concentration de l’outil de production dont la limite sera
liée aux coûts de transport des betteraves vers les sucreries. De ce fait, les usines
sont situées près des zones de production. Composition de la betterave :
La culture de la betterave pour le sucre ne comporte que la phase
végétative. La racine est la réserve où s’accumule le sucre élaboré par le bouquet
foliaire. La qualité de la betterave est un paramètre important. En effet, à côté du
saccharose noté (S) et de l’eau notée (E), la betterave contient des non-sucres
(autres que saccharose notés NS) qui limitent le rendement d’extraction. Parmi
ces composés, on peut citer le potassium, le sodium, le glucose, le raffinose et
l’azote sous forme α-aminé.
14
Sucre
Eau 18,5%
75% Non
Matières Sucre
Séches 2,5%
25%
Pulpe
3. Processus de fabrication 4%
B. ALIMENTATION DE L’USINE :
Du point fixe ou de l’aire de stockage, l’alimentation de l’usine en
betteraves s’effectue d’une manière hydraulique ; L’abattage des betteraves
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s’effectue par des lances hydrauliques à jets d’eau très puissants. Les betteraves
tombent dans des caniveaux sillonnant la cour et rejoignent par la suite le
caniveau principal. Sur ce caniveau à partir duquel on va alimenter l’usine sont
installés un désherbeur et un épierreur, destinés au lavage des betteraves visant
la séparation des betteraves de la terre, des pierres, des gravillons et des herbes.
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Limiter la consommation du fuel au niveau de la sécherie.
E. LA DIFFUSION :
À la sortie des coupe-racines, les cossettes tombent sur un tapis peseur dont la
vitesse d’avancement est réglée par le conducteur de diffusion ou le système de
contrôle informatique. Ces cossettes rejoignent le malaxeur à cossettes où
circulent du jus de la tour et jus de circulation réchauffé au préalable à une
température de 92 à 95oC.
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G. L’EPURATION DU JUS DE DIFFUSION :
L’étape de l’épuration du jus est primordiale dans la mesure où elle
comprend plusieurs objectifs :
H. DECALCIFICATION :
L’objectif de la décalcification est d’éliminer les sels de calcium restant
dans le jus afin qu’ils ne puissent pas précipiter sur les tubes des évaporateurs au
moment de la concentration. En effet, ces derniers doivent fonctionner toute la
campagne sans nettoyage et il est important qu’ils ne s’encrassent pas.
I. EVAPORATION :
L’évaporation a pour but de concentrer le jus épuré par évaporation de la
plus grande partie de l’eau qu’il contient. Le jus à 14,5 jusqu’à 16,5 de Bris est
transformé en sirop, à 70 de Bris par l’effet de l’évaporation.
18
Fi
gu
re
6:
Le
s évaporateurs de SUTA
J. CRISTALLISATION :
La cristallisation est une opération unitaire de séparation faisant
intervenir un transfert simultané de masse et de chaleur. En sucrerie, la
cristallisation appelée aussi cuisson consiste à concentrer un sirop pour
l’emmener à un état tel que le saccharose cristallise les autres impuretés restant
en solution. La cristallisation est généralement effectuée en trois étapes appelées
« jets ». Chaque jet comprend lui-même trois étapes principales, la cuisson, le
malaxage et l’essorage. La solution appelée « liqueur standard » alimentant
chaque jet de
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Cristallisation est le résultat du mélange de différents produits. Dès que l’on est
en présence de cristaux en suspension dans un sirop, on parle de « masse cuite »
et le sirop prend le nom
« D’eau-mère » car c’est lui qui nourrit le cristal lors de l’essorage de la masse
cuite pour séparer les cristaux, l’eau-mère est tout d’abord évacuée et prendre
nom « d’égout pauvre ». Puis la surface des cristaux est lavée par pulvérisation
d’eau, on parle de « clairçage ». Cette étape entraîne une légère redis solution de
sucre cristallisé et le sirop issu du lavage est donc nettement plus pur que le
précédent égout, d’où son nom « d’égout riche » .
20
K. SECHAGE :
Le sucre cristallisé blanc est envoyé dans des appareils de séchage à air
chaud, puis refroidi. Il est désormais prêt à la consommation.
L. LE STOCKAGE :
21
Figure 9 : le stockage du sucre
M. CONDITIONNEMENT :
Le sucre cristallisé blanc est évacué du fond de la turbine sur un transporteur
à secoueuse. Le sucre est séché par l’air chaud dans des cylindres séchoirs
rotatifs, puis refroidi afin d’atteindre une teneur en eau comprise entre 0.03 et
0.06%. Le sucre est ensuite tamisé, classé et pesé, puis dirigé vers l’atelier
d’ensachage automatique. Les produits de SUTA sont : le sucre granulé, le sucre
en lingot, le sucre en morceau et le pain de sucre.
22
Chapitre II
23
Objectif :
Données valeurs
Densité de sucre blanc 0.84 t/m³
1. GENERALITES :
Une installation de manutention par bande transporteuse ne peut être réaliser
rationnellement que si l’on connait les exigences de capacités (production
journalière) , la nature de produit à transporter ( sucre blanc )
La forme de ce produit (losange), la densité apparente des masses à transporter,
la hauteur d’élévation, le mode d’entrainement…
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tambour de renvoi supprimé, réduit le nombre de pliages et augmente la
longévité de la bande.
Le point de chargement doit être conçu avec une hauteur de chute aussi faible
que possible, de manière à éviter les fortes percussions. Si la bande est soumise
à des percussions importantes au point de chargement, il est nécessaire de
choisir la plus avantageuse, suivant les besoins envisagés et à conseiller la
qualité de bande qui assurera le meilleur rendement.
2. TYPE DES CONVOYEURS :
A résonance.
A chaine.
A rouleaux.
A air.
A vis sans fin.
A bandes, ils sont les plus utilisés à SUTA vue la nature du produit
transporter.
3. Les convoyeurs à bande :
3.1. DEFINITION :
C’est un ensemble d’organes permettant l’entrainement d’une bande sans fin, en
assurant son guidage, son support, sa tension et sa surveillance.
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La puissance installée en (CV) ou en (KW).
Hauteur ou dénivellation du convoyeur.
L’angle d’auge.
3.4. STRUCTURE :
La Figure illustre les principaux composants d'un convoyeur à bande
type. Dans la pratique, compte tenu de la diversité des applications, on peut
avoir de nombreuses autres combinaisons de zones de chargement et de
déchargement, d‘élévations et d‘autres accessoires.
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Fonction : réduire la résistance au mouvement de la courroie chargée et la
soutenir. Certains rouleaux porteurs peuvent aussi servir à réduire les
impacts, à aligner la courroie, à la former en auge ou à en changer la
direction.
(3) Rouleaux de retour :
Fonction : réduire la résistance au mouvement de la courroie et la
soutenir. Certains rouleaux de retour peuvent aussi servir à aligner la
courroie ou à changer la direction.
27
4a Tambour d’entrainement, qui mû par le moteur, entraine
la courroie.
4b Tambour de tête, qui renvoi la courroie vers le brin de
retour.
4c Tambour de queue, qui renvoi la courroie vers le brin
porteur.
4d Tambour de contrainte, qui ramène le brin entrant ou
sortant de la courroie en ligne avec le brin de retour ou crée
l’angle d’enroulement voulu autour du tambour
d’entrainement.
Tous les tambours sont montés sur paliers à roulements. Les tambours de
commande sont revêtus de caoutchouc rainuré pour assurer une meilleure
adhérence de la bande. Tous les tambours en contact avec les brins de la bande
sont également revêtus de caoutchouc pour éviter leur encrassement.
6a1 Moteur.
6a2 accouplement moteur- réducteur.
6a3 réducteur.
28
6a4 accouplement réducteur tambour d’entrainement.
4a tambour d’entrainement.
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Fonction : dégager les matériaux qui adhèrent sur la courroie. Se
présente souvent sous forme de grattoir ou de brosse.
la classe;
type de carcasse ;
la nature de revêtement ;
le nombre de plis ;
le nom du fabricant ou du fournisseur ;
l.année de fabrication ;
le numéro de touret.
30
4. Critère de Classification les bandes ou (transporteur) :
31
i. Marquage :
Ce sont des inscriptions faites sur les revêtements supérieur
d’un même cote espacées de 20 m. Il a pour rôle d’assurer le suivi des
coupons de la bande au point de vue état, longueur en mouvement.
L’épaisseur du marquage est celui du revêtement.
Cause de patinage :
Bande usé.
32
Bande mouillée.
Mauvaise adhérence de la bande.
Tension de la bande insuffisante.
Départ de bande exagéré.
Manque de revêtement sur les tambours de
commande.
Surcharge de la bande.
Démarrage de racleur chasse pierres.
Coincement du tambour de jetée ou de renvoi.
iv. Rupture de la bande :
v. Protection de la bande :
33
Chapitre III
34
I. Les activités exigées :
1. Problématique :
Redimensionnement d’entrainement d’une bande de stockage et déstockage à
partir le silo de sucre.
Les deux transporteurs de sucre blanc utilisés Tb2 et Tb5 sont des
transporteurs inclinés.
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Le premier convoyeur installé et destiné à transporter le sucre vers le silo est
Tb2, le deuxième destiné a transporter le sucre blanc vers le conditionnement est
noté Tb5.
Caractéristique de la bande :
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II. Principe de calcul des paramètres d’un convoyeur :
V= (D*п*n2)/60
V= 1.099 m/s
D’où :
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𝜷 Usine
Silo de
45000 T
conditionnement
2
1 horizental
Avec : α = 15°
38
S
a
b
a= 0.2*l.
b=0.8*l.
S= (a*b/2)
S=0.16*l2/2.
D’où: S=0.08*l2
39
D v= S * V
Avec :
D’où:
D= 0.037 m3/s
Dm= 3600*S*V*d
Avec :
d : densité du produit.
Coefficient d’inclinaison k :
Il est en effet d’usage de tenir compte d’un coefficient réducteur de débit en cas
de pente.
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Le tableau suivant donne les valeurs du coefficient pour les angles de 4° à 25° .
Coefficient d’inclinaison
Angle en ° 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14
Pente en % 7 9 10 12 14 16 18 19 21 23 25
Coefficient 1 0,99 0,98 0,97 0,96 0,96 0,95 0,94 0,93 0,92 0,91
Angle en ° 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25
Pente en % 27 29 31 32 34 36 38 40 42 45 47
Coefficient 0,90 0,89 0,87 0,85 0,83 0,81 0,78 0,76 0,73 0,71 0,68
D’où : Dm = 3600*0.0338*1.099*0.84*0.89
Dm = 100 t/h
41
Figure 17 : repère lié à la bande
-m : la masse de la bande.
- γ ∶ l’accélération de la bande.
42
- P : le poids de la bande.
𝑛
D’où ∑ 𝑓𝑖 = 1/2 ∑𝑘=0 n (Ts + Ti)
𝑛
Projection suivant k: Ft − ∑( 𝑇𝑠 + 𝑇𝑖)=0 Ft =1/2 ∑𝑘=0 n (Ts +
Ti).
𝑛 𝑛
Projection suivant j: 1/2 ∑𝑘=0 n (Ts + Ti) − 𝑃=0 P=1/2 ∑𝑘=0 n (Ts +
Ti)
𝑛
Or: P1= Ft *V P1= 1/2 ∑𝑘=0 n (Ts + Ti)*V = T*V avec T=1/
𝑛
2 ∑𝑘=0 n (Ts + Ti)
43
Cette masse à majorer de 15 kg pour courroies à carcasse acier
Coefficient de longueur
LONGUEUR EN COEFFICIENT
(m) (C)
10 4,5
15 3,6
20 3,2
25 2,9
30 2,8
44
40 2,4
50 2 ,2
60 2,1
70 2
80 1,9
90 1,8
100 1,75
120 1,65
140 1,6
160 1,55
180 1,5
200 1,45
250 1,38
300 1, 31
400 1,25
500 1,2
600 1,17
800 1,11
1000 1,08
1200 1 ,06
1500 1,05
2000 1,04
2500 1,04
Donc :
45
2. PUISSANCE POUR LE DEPLACEMENT DE SUCRE : P2
On à P2 = Ft X V
Avec : -P2 : Puissance nécessaire pour faire déplacer le produit seul sur le plan
horizontal en W
Et Ft = Tp
P2 = Tp * V
P2 = m*g *f * V
P2 =2.73 *L * f * Dm
- L : langueur du convoyeur. L=130m
P2 =2.73 * L * f * Dm = 2.73*Dm*(x/cos16)*f
P2 =5.520 KW
47
On à -P3 : Puissance nécessaire pour lever le produit seul
verticalement en W.
P3 = (m/t)*H* g
Avec : V =Dm/3600*S*d.
ρ = ρ(eau) *d.
m= masse de sucre.
48
P3 = (1000*9.81/3600) *H *Dm.
P3 = 2.73*H* Dm
Avec :
P3 = 2.399 KW.
Donc : P1 =42.403 KW .
49
6. PUISSANCE POUR LE DEPLACEMENT DE SUCRE :
P2 =2.73 * L * f * Dm = 2.73*Dm*(x/cos15)*f
P3 = 2.73*H* Dm
Avec :
P3 = 1.251 KW .
A.N: Pt = 49.619 KW .
Tension initial T2 :
50
Le convoyeur étant à l’arrêt, il doit exister une tension sur la
bande pour assurer l’entrainement sans glissement.
Tension sur le brin conducteur T1 :
Lorsque le convoyeur est mis en marche une tension T1
prend naissance
Dans le brin conducteur.
Adhérence d’une bande sur un tambour : F= T1-T2.
T1/T2 ≤
51
Pour notre cas on a α = 240°
Donc
T1/T2 = 5.3 et Te = 4.3*T2 = T1-T2
T1 = 5.3* T2.
Or Pt = F * V F = P/V. Et F = T1 – T2.
D’où :
F = 42912 N
F = 45149 N .
ɳr : rendement du réducteur
ɳc : rendement du coupleur
Pour Tb2
Pt = 47.161 KW
ɳr= 0.9
ɳc= 0.94
Donc Pm = 47.161/0.9*0.94
Pm = 55.74 KW
Pour Tb5
Pt = 49.619 KW
ɳr = 0.9
ɳc = 0.99
Donc Pm = 44.313/0.9*0.99
Pm =55.689 KW
53
Les motoréducteurs SEW en exécution à sortie coaxial sont
disponibles sous forme de réducteurs à engrenages cylindriques
ou à arbres parallèles ou de motoréducteurs planétaires, dont les
diverses positions de montages répondent aux besoins des
différentes applications. Ces motoréducteurs se distinguent tout
particulièrement par leur rendement élevé et la grande résistance.
54
le ralentissement des moteurs ainsi qu’un fonctionnement dans les
deux sens de rotation.
Les avantages:
Démarrage sans à - coup.
progressive en vitesse Limitation.
Notre choix
55
réduire les sollicitations sur la distribution électrique, en diminuant
les pointes de courant et les chutes de tensions en ligne liées aux
démarrages des moteurs.
L'offre démarreur-ralentisseur Altistart 48 se compose de 2 gammes :
tensions triphasées 230 V à 415 V, 50/60 Hz.
tensions triphasées 208 V à 690 V, 50/60 Hz.
Pour chaque gamme de tension, les démarreurs-ralentisseurs Altistart
48 sont dimensionnés en fonction de l’application standard et sévère.
Domaines d’application :
56
On a CD = k * CN avec k ϵ [2….7]
Pour détermination de K on fait des essais par le démarreur jusqu’à on
obtient le démarrage de notre moteur électrique.
Or Pm = CN * We CN = Pm / We CN = (Pm * 30) / (п*Ne)
57
58
Conclusion
59
Bibliographie
www.usocome.com
Moteurs asynchrones triphasés fermés- ATEX GAZ -
Zones 1 & 2. Catalogue technique.
Sécurité des convoyeurs à courroie ; principe de
conception pour améliorer la sécurité
Guide du concepteur.
Documentation de la SUTA : cristallisation.
Documentation SUTA.
Sécurité des convoyeurs à courroie ; principe de
conception pour améliorer la sécurité
Guide du concepteur.
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