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Introduction : Le système d’information comptable et l’analyse

financière
Bilan passif : les dettes sont les ressources stables en haut du bilan passif. En bas du bilan passif on a
les dettes les plus exigibles (encours bancaires, découvert, emprunt).

Bilan actif : les immo  les emplois stables sont financés par les ressources stables. Bas de l’actif on a
les disponibilités c’est l’actif le plus liquide c’est un emploi non stable.
Il faut les ressources stable finance des emplois stables et inversement avec les non stables.

Les charges qui sont dans le bilan sont des charges qui concernent des charges d’exploitations non
liés à l’activités normale.

Dépense liée à l’activité c’est une charge dans le compte de résultat.


Dépense non liée à l’activité c’est un emploi dans le bilan.
Recette liée à l’activité c’est un produit dans le compte de résultat.
Recette non liée à l’activité c’est une ressource dans le bilan. ;:

Compte de résultat jamais égale à la banque.

Conventions comptables : le comptable crée des charges qui n’existe pas les amortissements par
exemple. En finance, garantir que l’argent apporté par les associés ne disparaissent pas, le maintien à
l’identique du capital investi. On ne peut pas distribuer tout le bénéfice. On ne peut pas distribuer si
l’on a un report négatif (une perte à la fin de l’exercice). Quand il y a un bénéfice cela annule le
report à nouveau.
Il va falloir annuler des charges ou des produits que le comptable à créer (pas systématiquement).

Pour calculer la CAF il vaut mieux utiliser les SIG solde intermédiaire de gestion.
Les variations de stock permettent de corriger les charges.
Production stockée = variation stock produits finis = stock final – stock initial

Dotation amortissements permet de reconstituer la capacité d’investissement on met de côté la part


de richesse. Le terrain est le seul bien qui ne peut pas disparaitre, il ne faut pas reconstituer la
capacité d’investissement.
Même si l’intégralité des bénéfices est distribuée il restera toujours en banque les amortissements.
Tant que l’on a une perte comptable on ne peut pas distribuée car nous n’avons pas garanti le
maintien à l’identique du capital investi.

Variation de stock elles permettent de corriger les charges du compte de résultat pour conserver
uniquement les charges décaissables liées à l’activité normale.
Si on veut diminuer les charges de N on augmente les produits de N.
Si on veut augmenter les charges de N on diminue les produits de N.

Transfert de charges liées aux charges à répartir


Etaler les charges à répartir sur le temps.
Pour savoir si les charges à répartir augmentent à l’actif il faut regarder le cadre D dans la colonne
augmentation (annexe amortissement).
Dans le bilan actif ce sont le solde de charges (à répartir) qui reste à étaler.
On met le montant brut uniquement pour les immo et les créances. Pour le reste on met le montant
net dans la colonne brut.

Quote part subvention d’investissement virée au compte de résultat


Une subvention ne se rembourse pas donc c’est un produit.
Si l’entreprise ne veut pas payer d’impôt immédiatement on met au bilan passif au lieu de le mettre
au compte de résultat.
Elle est encaissable l’année où elle augmente au bilan passif, on l’étale sur la durée de l’immo qu’elle
subventionne.
La subvention est encaissable du montant de l’augmentation de subvention – subvention année N-1
+ la quote part de la subvention d’investissement.

Production immobilisée
C’est un produit fictif

Valeur nette comptable


Charge qui n’existe pas
Les amortissements cumulés correspondent à la somme des quote part = richesse mise de côtés au
profit des associés.
Richesse récupérée par les associés = amort cumulés + PCEA
Une plus-value = PCEA – VNC ou richesse récupérée par les associés - valeur investi par les associés.

Retraitement du crédit-bail
Diagnostic comparatif :
Dans le bilan à l’actif on met que les immo ou l’entreprise est propriétaire et au passif on a un
emprunt pour A.
Pour B, passif : ne reconnait pas le crédit-bail donc redevance du crédit-bail en annexe en dehors du
bilan et pour l’actif 0 car il loue son bien.
Il faut retraiter le crédit-bail car il faut qu’on ait le même diagnostic.
Payer des annuités ou des redevances économiquement ce sont les mêmes effets donc il ne devrait
pas changer le diagnostic.
Le coût du leasing et le coût de l’emprunt n’est pas le même dans la réalité.
Pour les SIG :
- La dotation aux amort a une conséquence sur le résultat d’exploitation
- La charge financière a une conséquence sur le résultat courant avant impôts
- Redevance de crédit-bail est comprise dans la consommation de l’exercice qui vient en moins
de la valeur ajoutée

Dans la valeur ajoutée nous devons laisser que les éléments liés à la production or la redevance
crédit-bail n’est pas un élément lié à la production mais lié au mode de financement donc il faut
retraiter le crédit-bail. On doit annuler la charge de redevance en faisant + redevance crédit-bail dans
la consommation de l’exercice. Le résultat des SIG ne peut pas être différent donc on doit recréer
une dotation aux amort et des charges financières.
Apres retraitement les documents deviennent comparatif pour faire le diagnostic.
Si on n’avait pas retraité la redevance la valeur ajoutée aurait été diminué.

Redevance crédit-bail est décaissable : une partie liée à l’activité normale et l’autre non.
Non liée à l’activité normale : remboursement du capital
Liée à l’activité normale : charge financière CB

Calculer la CAF page 17 intro :


- Méthode avec le résultat nette comptable (méthode indirect)
Pour annuler les charges non décaissables il faut mettre un + donc les ajouter au RNC
Pour les reprises d’exploitation dans le compte de résultat le comptable a mélangé les reprises
d’exploitation et les transferts de charges il faut donc séparer sans prendre le transfert de charges.
Reprises sur amortissements sur exploitation, sur financier et sur exceptionnelle jamais à l’examen =
0. Pour reprise sur amort et provisions voire provision en annexe page 11.
Pour valeur nette comptable et quote part c’est au compte de résultat dans la page 8.

- Méthode avec l’EBE


En laissant dans la CAF le transfert de charge cela permet d’annuler la charge non liée à l’activité
normale.
Il faut garder la production immobilisée dans la CAF ainsi que les variations de stock.
Jamais de transfert de charge financiers.
Jamais de transfert de charges exceptionnels.
EBE non retraité du CB = EBE retraité du CB – redevance du CB
CHAPITRE 1 : DIAGNOSTIC SUR L’ACTIVITE
Valeur ajoutée
Définition valeur ajoutée
Pour retrouver la valeur ajoutée savoir le schéma page 22 de l’intro

Pour la dotation aux amortissements si on prend toutes les dotations c’est juste.
Salaire net + charges sociales + charges financières + dotation aux amort doit être inférieur à la valeur
ajoutée et mesurer la performance.
Les différents soldes des SIG dépendent du CA.

Il ne faut pas regarder la valeur ajoutée dans les SIG en valeur « brute » mais pour comparer les
valeurs ajoutées il faut les mettre en pourcentage du CA.

Pour expliquer la dégradation ou l’amélioration, il faut faire la revue de tous les éléments qui
composent la valeur ajoutée et savoir d’où vient la dégradation ou l’amélioration.

La valeur ajoutée devrait augmenter autant que le CA.

Pour l’audit :
- Donner la définition de la valeur ajoutée
- La valeur ajoutée doit être positive
- Analyse statique :
 Regarder si la valeur ajoutée retraiter du CB est suffisante
 Regarder le facteur travail : avec salaire/rémunération et charges sociales on les retrouve
dans les SIG dans la partie 5 charges de personnel
 Regarder le facteur capital : premièrement la banque on regarde les intérêts  soit
totale des charges financières soit intérêts et charges assimilées sur emprunt + les
intérêts sur CB dans CDR ou SIG deuxièmement pour les associés soit on prend dotation
aux amort du comptable + dotation aux amort sur CB soit dotation aux amort + dotation
aux provisions et pour risques et charges
 Calcul des facteurs travail et capital ce qui coute à la société
 Si la valeur ajoutée est inférieure à la somme du facteur travail et capital alors la société
n’aura pas traité une valeur ajoutée suffisamment élevé car elle ne permet pas d’assurer
la rémunération du facteur travail et capital
- Analyse dynamique :
Si VA augmente et CA augmente c’est bien.
Si VA augmente et CA diminue ce n’est pas bon.
 Si les consommations de l’exercice en pourcentage du CA sont stables alors on en déduit
d’une bonne maitrise des consommations de l’exercice. Par contre si elles augmentent
alors on est dans le cas d’une mauvaise maitrise.
 Il faut étudier la production stockée : si celle-ci est positive elle peut ne pas être maitriser
on regarde les stocks des produits finis dans le bilan en N on trouve la valeur dans l’actif
du bilan et N-1 on trouve la valeur dans l’actif du bilan dans les stocks et le CA de N et N-
1 on calcul le stock de produit fini en % du CA : stock/CA X 100, si les stocks en % en N et
N-1 sont pas stables alors il y a une mauvaise maitrise et sous-évaluation de la VA
 Si on a une marge commerciale il faut l’étudier : prix de vente – coût d’achat / coût
d’achat
 Production de l’exercice

Pour finir il faut dire :


En apparence, on observe une augmentation de la VA en % du CA (valeur). Cette augmentation de la
VA en % du CA masque en fait une insuffisance de création de VA qui provient :
- d’une baisse du CA de 5% : cette baisse de CA est contradictoire avec le lancement d’une
nouvelle usine pour laquelle Vesport avait prévu une hausse de son CA de plus de 20% cela
implique l’apparition de coût de sous activité ie une augmentation du poids des charges fixes
à l’unité.
- d’une mauvaise maitrise des stocks de produits finis : en effet les stocks de produits finis ont
augmenté de 115% alors que le CA a baissé de 5%. Cette production stockée positive
implique donc une sous-évaluation de la VA de la société Vesport de la marge qui n’a pas pu
être réalisé sur les produits en stock
- par contre on observe une relative bonne maitrise des consommations de l’exercice de la
part de la société entre les exercices N-1 et N (les consommations ont en effet légèrement
augmenté de 33% en N-1 à 34% en N en % de CA)

EBE
Société avec un EBE négatif signifie que la société ne crée pas de richesse sur l’exploitation.
Si la somme des 3 politiques est inférieur à l’EBE

Pour l’audit :
- Donner la définition de l’EBE
- Analyse statique :
 On regarde les dotations aux amort pris dans les SIG ou dans le compte de résultat + la
dotation sur CB ou avec la base en % d’EBE on additionne les % pour dotation et dotation
CB
 On regarde les charges financières ou avec le % d’EBE on prend juste intérêt sur emprunt
et intérêt sur CB
 On regarde la perte ou le bénéfice si on a une perte alors on peut en déduire que l’EBE
est insuffisamment élevé car on ne peut pas rémunérer les associés avec une perte
 La somme des 3 % de l’EBE doit être inférieur à 100% pour que l’EBE soit suffisant
- Analyse dynamique : en % de CA
 Si EBE augmente et CA augmente alors c’est bien.
 Si EBE baisse et CA baisse alors ce n’est pas bon donc mauvaise maitrise.
 Pour la valeur ajoutée cf analyse d’avant
 Pour subvention d’exploitation et impôt et taxe on ne les analyse pas car ne dépend pas
de la société
 Pour les charges de personnels : si c’est une société qui a une activité de production de
biens donc on fait charge de personnel/VA ou si c’est une société qui a une activité de
service donc on fait soit charge de personnel/CA ou charge de personnel/VA

Il faut dire au final :


Entre les exercices N-1 et N, la société Vesport a une stabilité (voire une légère baisse de 13% en N-1
et 12% en N) de son EBE en % de CA. Cette stabilité masque en fait une insuffisance de création d’EBE
qui provient :
- d’une baisse à la fois de l’EBE et du CA entre les exercices N-1 et N ce qui est contradictoire
avec le lancement d’une nouvelle entreprise pour lequel on s’attendait à la hausse à la fois
de l’EBE et du CA
- d’une insuffisance de création de valeur ajoutée de la société qui a été étudié auparavant
- d’une légère mauvaise maitrise des charges de personnel (elles représentent 78% de la VA en
N-1 contre 82% en N) : cette dégradation aurait pu être plus forte au regard de la très forte
insuffisance de CA, elle a été limitée de par le fait que la société a lancé une nouvelle usine
largement automatisée.
CHAPITRE 2 : DIAGNOSTIC SUR LA RENTABILITE

CAF :
Définition CAF

Analyse statique :
La société a créé une richesse liée à son activité normale du montant de la CAF mais la société a un
résultat négatif. Cela implique une insuffisance de création de CAF qui est confirmée par
l’insuffisance de création de l’EBE. Le niveau de CAF dépend de l’EBE.

Analyse dynamique :
- Trouver le pourcentage de CAF/CA pour trouver le pourcentage et comparer avec N-1 :
effondrement de la CAF en % de CA. La CAF suit la même évolution que le RNC donc si on n’a
pas la CAF de N-1 on fait RNC/CA.
- On fait l’hypothèse que le RNC suit l’évolution de la CAF dans le temps. On observe une très
forte baisse de la CAF (RNC)j en % de CA entre N-1 et N : il y a donc un effondrement de
création de CAF entre les deux exercices qui provient de l’effondrement de la création de
l’EBE.
- Il est possible de faire dotation aux amort/CAF entre N et N-1 le % doit être constant et
confirme l’insuffisance de création de CAF

Rentabilité économique :
Définition : mesure la création de richesse d’un point de vue économique au profit des partenaires
externes de la société. Voir définition dans doc rentabilité éco.

Inconvénient EBE pour rentabilité si la société ne maitrise pas les dotations cela ne se verra pas.
Pour calculer les capitaux propres : total capitaux propres dans bilan – résultat de l’exercice
Pour emprunt : prendre valeur dans le bilan et faire la somme de tous les emprunts.
Si résultat d’exploitation négatif alors le partenaire interne n’a pas pu être rémunéré ainsi si on prend
on rémunère que 4 partenaires au lieu de 3.
Résultat exploitation + produits financiers (meilleure façon) = résultat courant avant impôt hors
intérêt

Analyse statique : la société a créé une rentabilité éco positive

Analyse dynamique : la rentabilité éco est passé de 16,5% à 2,6% entre N-1 et N : on constate un
effondrement de la rentabilité éco dans le temps qui est consécutif à un effondrement de l’EBE dans
le temps.

Rentabilité financière :
Définition : un seul partenaire les associés. Permet de calculer la création de richesse au profit des
associés.

Si perte pas la peine de calculer la rentabilité financière car elle sera = à 0.


On voudrait qu’elle soit stable ou en hausse, mais ici on voit un effondrement de la rentabilité
financière.
Le niveau de rentabilité éco conditionne la rentabilité financière.
Analyse statique : on observe en N que la société a une rentabilité financière nulle : les associés ne
peuvent pas être rémunérés par une perte comptable.

Analyse dynamique : entre N-1 et N les associés de la société ont connu une très forte baisse de la
rentabilité financière qui est passée de 12% à 0% : cela est lié à l’apparition de coût de sous activité
et au stockage des produits finis. La baisse de la rentabilité financière est liée à la baisse de la
rentabilité éco.
CHAPITRE 3 : DIAGNOSTIC SUR LA STRUCTURE
FINANCIERE

Bilan fonctionnel :
On met toujours le montant brut dans le bilan fonctionnel.

Si actif circulant exploitation > dette exploitation alors c’est un besoin de fonds de roulement
d’exploitation
Si actif circulant exploitation < dette exploitation alors c’est un dégagement de fonds de roulement
d’exploitation
On vise à avoir un FRNG positif.
Trésorerie nette = trésorerie passive – trésorerie active

Tableau de financement :
C’est la différence entre le bilan fonctionnel de N et N-1
Si on a une diminution de BFRE de N-1 à N alors on a une variation de DFRE

Le bilan fonctionnel est en statique alors que le tableau de financement est en dynamique mais on
regarde les mêmes conditions.

Quand on compare les bilans fonctionnels entre N et N-1 si on a :


- une hausse du BFRE dans le temps on a un besoin en + donc variation de BFRE
- une baisse du DFRE dans le temps on a un dégagement en – donc var BFRE
- une hausse de DFRE dans le temps on a un dégagement en + donc var DFRE
- une baisse de BFRE dans le temps on a un besoin en – donc var DFRE
Le FRE dépend du CA.
FRE = actif exploitation (stock + créances client) – dette exploitation (dettes fournisseurs)
Si actif exploitation > dette exploitation donc on a un BFRE (emplois stables).
Si actif exploitation < dette exploitation donc on a un DFRE (ressources stables).

Si FRNG ne peut pas financer le BFRE alors on dira que la structure est déséquilibrée.

 Le haut du tableau de financement


On prend encaissable/décaissable liée ou non liée à l’activité normale.
Pour les réductions d’immo on ne peut pas faire de plus-value dessus donc c’est pour les immo
financières. On ne peut pas revendre à un prix diff du prix d’achat. C’est le cas pour les prêts.

Pour acquisition immo corporelle :


Si on a l’annexe immo pour trouver le montant des immo corporelles on a pas besoin de faire le
tableau de passage : on prend le cadre A colonne augmentation acquisitions, créations, apports etc.,
il faut retirer les virements de poste à poste car ce n’est pas décaissable. Donc on prend le montant
du cadre A et on retire le montant dans le cadre B pour les virements de poste à poste. Auquel on
ajoute la valeur d’origine du CB.

Pour acquisition immo incorporelle :


Si on a l’annexe immo on prend dans le cadre A même colonne que pour immo corporelles et on
vérifie qu’il n’y a pas de virement de poste à poste dans le cadre B.
Pour acquisition immo financière :
Si on a l’annexe immo on prend dans le cadre A même colonne et on vérifie qu’il n’y a pas de
virement de poste à poste dans le cadre B.

Pour cession immo corporelle :


C’est le montant du PCEA. Pour savoir si il y a des cessions d’immo en incorporelle, corporelle ou
financier dans le cadre B de l’annexe immo.

Pour cession ou réduction immo financière :


Le montant se trouve que dans l’annexe immo. Si on n’a pas l’annexe immo c’est que l’info est dans
une annexe complémentaire.

Pour augmentation de capital :


On met toujours 0 car si augmentation c’est une augmentation par incorporation de réserve.
A l’examen pour la colonne augmentation de capital social il faut toujours mettre 0.
Quand on augmente le capital social mais qu’on baisse les réserves on a une augmentation de capital
par incorporation de réserve donc augmentation du capital dans le tableau de financement = 0.

Pour charges à répartir :


Elles sont décaissables quand elles augmentent à l’actif.
On va à l’annexe amort dans le cadre D dans la colonne augmentation.

Pour augmentation subvention d’investissement :


Elle est encaissable quand on constate l’augmentation de la subvention au bilan.
Pour trouver le montant on fait un tableau de passage. Voir page 4 des détails de calcul vesport.

Pour distribution mises en paiement en cours de l’exercice :


Quand il y a une perte en N-1 on n’a pas de distribution en N. S’il y a un report à nouveau négatif pas
de distribution non plus.
On fait un tableau de passage voir page 4 des détails de calcul.
Pour trouver ce qui a été distribué il faut partir du résultat de N-1.

Pour remboursement de dettes financières :


On prend la valeur du remboursement d’emprunts et on ajoute la dotation aux amort sur CB.

Pour augmentation de dettes financières :


Pour trouver le montant de primes de remboursement il faut aller à l’annexe amort cadre D dans la
colonne augmentation. Il ne faut pas oublier d’ajouter la valeur d’origine du CB.

Si il y a plus de ressources que d’emploi on va mettre la variation du côté gauche en variation de


FRNG et inversement. Ressource nette = variation FRNG positive et emploi net = variation FRNG
négative. Si dans le haut c’est une ressource nette alors dans le bas du tableau ça sera un emploi net.

 Le bas du tableau de financement


On prend les montants bruts.
On doit prendre en compte le total II du bilan actif.
Pour retraiter les ECA et les ECP :
Il faut d’abord regarder qui ils concernent les dettes ou les créances. Ecrit dans l’énoncé.

Pour les variations :


Un poste actif qui augmente crée un besoin.
Un poste actif qui diminue crée un dégagement.
Un poste passif qui augmente crée un dégagement.
Un poste passif qui diminue crée un besoin.
On fait la différence entre N et N-1 en valeur absolue.

Analyse de la structure financière :


On vérifie les deux conditions :
- Var FRNG > 0
- Si var FRNG finance ou non la var de FRE
Si les deux conditions ne sont pas respectées on a une structure financière déséquilibrée.

Stock + avances + créances – dettes – avances et acomptes reçus  var de FRE


Pour avoir la hausse ou la baisse de FRE on fait (FRE de N – FRE de N-1)/FRE de N-1
Le FRE doit suivre l’évolution du CA en même pourcentage. Si le CA n’a pas augmenté alors on peut
dire que la var du FRE n’est pas maitrisé, elle est conjoncturelle.

Dans le haut du tableau de financement on a la CAF et comme elle s’est effondrée cela explique
pourquoi on a eu une hausse de la var du FRE.

 Diagnostic du haut du tableau de financement


Pour retrouver les politiques :
- Politique de distribution : distribution/ total des emplois on cherche le pourcentage
- Politique d’investissement : acquisitions d’éléments de l’actif immobilisé/ total des emplois
en %
- Politique de désendettement : il faut comparer les emprunts nouveaux et les
remboursements d’emprunt si emprunt nouveau > remboursement d’emprunt alors on a
une politique d’endettement. On calcul quand même le pourcentage de remboursement/
total des emplois.

Il faut regarder les modes de financement :


- La CAF doit financer la politique de distribution or la CAF s’est effondrée. On rappellera
l’analyse de la CAF.
- Analyse ressources externes : si on a des investissements de renouvellement on n’a pas
besoin de ressources externes par contre si on a des investissements d’expansion il faut des
ressources externes. Pour savoir si ce sont des investissements d’expansion ou de
renouvellement. Si les dotations aux amort y compris CB sont stables ou en baisse dans le
temps alors ce sont des investissements de renouvellement sinon si les dotations aux amort
y compris CB augmentent alors on a des investissements d’expansion. On voit aussi qu’on a
un investissement d’expansion puisqu’on a une nouvelle usine.
- On regarde le pourcentage de la CAF/ total des ressources
- On regarde le pourcentage pour les emprunts nouveaux/ total des ressources
On ne peut pas avoir une politique désendettement en même temps qu’une politique de distribution
et une politique d’investissement.

EN EXAM :
Sur l’exo N la société a assuré à la fois :
- Une très forte politique d’investissement d’expansion
- Une politique de distribution de 30% cette politique se justifie de par la santé de la société en
N-1
On étudie la cohérence entre les politiques suivies et les modes de financement. La société a financé
principalement sa très forte politique d’investissement en ayant à l’emprunt. Cela est cohérent avec
la politique d’investissement d’expansion. pas fini

Etude des ratios de structure :


Tous les ratios de structure ce sont dégradés.

 Diagnostic du bas du tableau de financement


On va étudier si la société a maitriser ou non du BFRE.
Page 23 et 31 plans de cours
Cas Vesport : var BFRE = 18 970 = 108% vient d’une augmentation du BFRE entre deux bilans
fonctionnels
Le BFR n’a pas pu être maitriser car le CA a baissé tde 5%, il aurait dû augmenter de 108%
La société Vesport avait un BFRE qui représentent 90 jours du CA HT en N-1 contre 200 jours en N.
La société Vesport n’a donc pas maitriser son BFRE dans le temps car variation de 119%. (aurait de
l’être constant)
D’où provient cette mauvaise maitrise ?
Il faut analyser trois ratios de rotation

La société Vesport n’a pas maitriser ses stocks : en effet en N-1, l’ensemble des stocks représentaient
158 jours d’achat contre 331 jours en N. Le poids des stocks en nombre de jours d'achat a doublé ce
qui implique une forte mauvaise maitrise des stocks qui provient du fait que la société Vesport a
produit avec sa nouvelle usine sans avoir pu augmenter ses ventes (cf. analyse antérieure des sig)

Délai de rotation des créances client :


En N-1, les créances Client de Vesport représentaient 43 jours de vente contre 96 jours en N.
La société Vesport n'a donc pas maitrisé ses créances Client qui auraient dû être stables en nombre
de jours de vente

N-1 N
Dépréciation client dans le 700 (dans provision sur 3 900 (dans provision sur
temps compte client début compte client fin exercice)
exercice)
Dépréciation / créance 10 200 (bilan client et 21 580 (bilan client et
client compte rattaché) compte rattaché)
7% 18%
Entre N-1 et N, la société Vesport a déprécié 3 fois plus ses créances clients.

Délai de rotation des Fournisseurs :


Entre N-1 et N, les dettes fournisseurs de Vesport en nombre de jours d'achat ont augmenté (240
jours en N-1 contre 419 jours en N).
Cette augmentation des dettes fournisseurs en nombre de jours d'achat se justifie avec
l'augmentation de l'activité de production qui a été analysée dans les soldes intermédiaire de gestion

Dans CC2 :

 Diagnostique SIG
- Analyse de la VA (Def, Statique, dynamique)
- Analyse de l’EBE (Def, Statique, dynamique)

 Analyse de la rentabilité
- Analyse de la CAF (Def, Statique, dynamique)
- Rentabilité économique (Def, Statique, dynamique)
- Rentabilité financière (Def, Statique, dynamique)

 Analyse structure financière


- Statique : Bilan fonctionnel : analyse des ratios de structure, tableau de BFRE
- Dynamique :
o Haut du tableau : politique de désendettement, investissement, distribution
o Bas du tableau : ratios de rotations

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