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Présenté par :
INTRODUCTION GÉNÉRALE :
Le présent travail traite les lubrifiants. Il a été effectué dans la zone à unité
de déparaffinage au Mec/ toluène. Ces derniers ont pour d’étudier le
rendement des chillers.
1
Chapitre I :
Présentation du
Complexe RA1/Z
CHAPITRE Ⅰ [PRESENTATION DE COMPLEXE ]
I-2-Historique : [1]
2
CHAPITRE Ⅰ [PRESENTATION DE COMPLEXE ]
-fabriquer les produits stratégiques qui sont les lubrifiants et les bitumes
I-4-Bilan énergétique :
La raffinerie dispose d’une source énergétiques qui est le gaz naturel de HASSI
R’MEL. La consommation annuelle est représentée dans le tableau suivant (P.P,
bilan 2003)
3
CHAPITRE Ⅰ [PRESENTATION DE COMPLEXE ]
Consommation
Sources énergétiques Sources d’alimentation
annuelle
SONELGAZ
Electricité 74 000 000 KW
Turbo générateur
I-5-Bilan hydrique :
1 920
Fabrication 5 200 8 520 -
1 060
Domestique/Sanitaire 960 - - -
4
CHAPITRE Ⅰ [PRESENTATION DE COMPLEXE ]
Inhibiteur de
Sulfite de sodium 752 5 Zone 3-19
corrosion
Phosphate de
824 6 Neutralisant Zone3-19
sodium
5
CHAPITRE Ⅰ [PRESENTATION DE COMPLEXE ]
DIRECTION
6
CHAPITRE Ⅰ [PRESENTATION DE COMPLEXE ]
7
CHAPITRE Ⅰ [PRESENTATION DE COMPLEXE ]
8
CHAPITRE Ⅰ [PRESENTATION DE COMPLEXE ]
9
CHAPITRE Ⅰ [PRESENTATION DE COMPLEXE ]
✓ Naphta lourd.
✓ Naphta léger.
✓ Kérosène.
✓ Gasoil.
Le brut réduit constituant la charge des unités de distillation sous vide pour la
production d'huiles de base, l'excèdent est exporté comme fuel.
✓ Le propane.
✓ Le butane.
10
CHAPITRE Ⅰ [PRESENTATION DE COMPLEXE ]
I-9-4-Zone 6 (unité 3000) : (production des huiles finies, des graisses, et des
paraffines) :
11
CHAPITRE Ⅰ [PRESENTATION DE COMPLEXE ]
12
CHAPITRE Ⅰ [PRESENTATION DE COMPLEXE ]
I-9-9- Le Laboratoire :
• Rôle du laboratoire :
Le laboratoire de la raffinerie est divisé en deux sections dont l’une est une
section de contrôle des unités du procès de raffinage au fur et a mesure du
traitement a différentes phases, l’autre section appelé la section d’analyse de
qualité des produits finis réalisés par la raffinerie avant la commercialisation au
niveau de la section de contrôle.
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CHAPITRE Ⅰ [PRESENTATION DE COMPLEXE ]
✓ Utilités :
✓ Les lubrifiants :
Analyse des huiles, des bitumes tel que; la viscosité, le point de flash, la
couleur, la pénétrabilité des graisses, teneur en soufre, etc.
✓ Les carburants :
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Chapitre II :
Les lubrifiants
CHAPITRE Ⅱ [ LES LUBRIFIANTS ]
Un lubrifiant est une matière onctueuse, d’une couleur claire, soit liquide, semi
plastique ou solide, elle est fabriquée à partir d’un mélange d’huiles de base
(80%-90%) et d’additifs qui confère aux produits finis des propriétés physico-
chimiques selon le domaine d’application.
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CHAPITRE Ⅱ [ LES LUBRIFIANTS ]
Une huile est une fraction pétrolière lourde et visqueuse à haut point
d’ébullition (>350°C). Elle est constituée d’un mélange d’hydrocarbures
appartenant aux séries paraffiniques, naphte niques, aromatiques et contenant
de faibles proportions de soufre, d’azote et d’oxygène.
Les huiles de base sont obtenues par distillation du pétrole et répondent à trois
grandes tendances de caractère spécifique particulier :
A-Tendance paraffinique :
Les huiles qui ont une tendance paraffinage sont caractérisées par :
Les huiles qui ont une tendance naphte nique sont caractérisée par :
C-Tendance aromatique :
Ces fractions présentent des caractères plus accentuées que les hydrocarbures
naphte niques. Leur densité élevée et leur indice de viscosité très faible.
Cependant, le caractère essentiel de ces composées est l’altérabilité
provoquant la formation de produits résineux ou asphaltiques accompagnés de
dérivés corrosifs.
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CHAPITRE Ⅱ [ LES LUBRIFIANTS ]
❖ Huiles pour moteur diesel : sont fabriquées à partir des huiles de distillat
et d’huiles résiduelles, leurs viscosités cinématiques varient de 8 Cst à
100°C.
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CHAPITRE Ⅱ [ LES LUBRIFIANTS ]
C-Huiles de transmission : elles sont utilisées dans les boites à vitesse et pour
la lubrification des essieux des wagons. Leurs viscosités cinématiques varient
de 10 à 35 Cst à 100°C.
D-Huiles turbines : elles sont utilisées pour lubrifier les paliers des turbines à
vapeur ou à gaz .Elles sont obtenues à partir des huiles de distillat mais avec un
grand degré de pureté.
E-Huiles isolantes : elles sont utilisées dans le domaine électrique pour certains
condensateurs ainsi que pour les interrupteurs ou disjoncteurs .Généralement
ce sont des huiles raffinées à l’aide pour améliorer leurs constantes
diélectriques et totalement débarrassées de toute trace de l’eau.
Ce sont des huiles qui n’ont ni odeur, ni goût et traitées préalablement dans
des laboratoires pharmaceutiques.
II-3-Les additifs :
Les additifs sont des produits chimiques complexes qui sont incorporés aux
huiles de base, dont le but d’améliorer certaines propriétés ou de leur en
apporter de nouvelles.
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CHAPITRE Ⅱ [ LES LUBRIFIANTS ]
Les fonctions des additifs sont de remplir l’un ou plusieurs des rôles suivants :
✓ Retarder l’oxydation.
✓ Réduire la mousse
➢ Propriétés physiques :
-Couleur et fluorescence.
-Point de congélation.
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CHAPITRE Ⅱ [ LES LUBRIFIANTS ]
➢ Propriétés physico-chimiques :
-Pouvoir dispersant.
-Pouvoir antirouille.
-Résistance au moussage.
➢ Propriétés chimiques :
-Résistance à l’oxydation.
-Résistance à la corrosion.
• Additifs de basicité
• Agent d’onctuosité
Les huiles lubrifiantes des moteurs thermiques sont préparées à partir des
mélanges d’huiles de bases obtenues après raffinage dans une série d’unités
qui constituent la chaîne d’huile.
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CHAPITRE Ⅱ [ LES LUBRIFIANTS ]
* Déparaffinage.
* Hydrofinishing.
Il est bien évident que la fabrication des lubrifiants tels que les huiles nécessite
un contrôle continu de la qualité. Ce contrôle repose sur l’utilisation des
diverses techniques d’analyses tant que physico-chimiques.
II-6-1-La viscosité :
II-6-2-Indice de viscosité :
21
CHAPITRE Ⅱ [ LES LUBRIFIANTS ]
Plus cette variation est faible, plus l’indice de viscosité est élevé, et
inversement.
Généralement en fait appel à la norme ASTM D-97 dont le but est de décrire
une méthode de détermination du point d’écoulement des fluides.
II-6-4-La densité :
C’est le rapport de la masse (m) d’une substance ayant un volume (v) donné à
une température (T) à celle de la masse (m’) d’eau ayant le même volume et
prise à 15°C on a :
𝑚⁄ 𝑚
D=𝑚′⁄𝑣 =
𝑣 𝑚′
La densité des produits pétroliers est mesurée par deux méthodes différentes à
savoir :
II-6-5-Point éclair :
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CHAPITRE Ⅱ [ LES LUBRIFIANTS ]
Le point éclair d’un fluide est la température minimale à laquelle les vapeurs
émises s’allument spontanément en présence d’une flamme, dans les
conditions normalisées.
II-6-6-La couleur :
-Un colorimètre
-Des caches
II-6-7-Point distillation :
-Un ballon
-Un condensateur
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CHAPITRE Ⅱ [ LES LUBRIFIANTS ]
-Plusieurs thermomètres
II-6-8-Teneur en eau :
La prise d’essai est chauffée sous reflux avec solvant non miscible dans l’eau
qui distille avec l’eau contenue dans la prise d’essai .Le solvant condensé et
l’eau sont séparés en continu dans un tube de recette.
❖ Liquide solvant-extracteur :
-Toluène-qualité technique.
-Xylène-qualité technique.
❖ Appareillage :
-Dispositif de chauffage.
-Tubes de recette.
II-6-9-Point de congélation :
C’est la température la plus basse à laquelle un fluide peut s’écouler dans des
conditions normalisées.
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CHAPITRE Ⅱ [ LES LUBRIFIANTS ]
II-6-10-Point de trouble :
25
Chapitre III :
Présentation de la
zone 5 de fabrication
des huiles
CHAPITRE Ⅲ [PRESENTATION LA ZONE 5DE FABRICATION DES HUILES ]
26
CHAPITRE Ⅲ [PRESENTATION LA ZONE 5DE FABRICATION DES HUILES ]
Enfin du fond de colonne on obtient le résidu sous-vide qui est une coupe
d'huile résiduelle noire, épaisse qui sera la matière première des huiles
lubrifiantes très visqueuses appelées « bright stock ».
Les huiles de base ne seront pas prêtes à l’emploi. Il faudra leur subir une
série d’opérations qui élimineront les hydrocarbures indésirables du point de
vue de la viscosité, du point de congélation, du carbone conradson et d’autres,
avant de recevoir les additifs qui vont parfaire leurs qualités.
27
CHAPITRE Ⅲ [PRESENTATION LA ZONE 5DE FABRICATION DES HUILES ]
28
CHAPITRE Ⅲ [PRESENTATION LA ZONE 5DE FABRICATION DES HUILES ]
29
CHAPITRE Ⅲ [PRESENTATION LA ZONE 5DE FABRICATION DES HUILES ]
Donc pour éliminer ces hydrocarbures solides (les paraffines, les cires,…) et
conserver la mobilité des huiles, on procède au déparaffinage par solvants
sélectifs qui, à basse température,
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CHAPITRE Ⅲ [PRESENTATION LA ZONE 5DE FABRICATION DES HUILES ]
Dissout l’huile l’autre précipite la paraffine. D’ou son appellation est dissolvant.
Le dissolvant le plus utilisé est le mélange de la méthyl-éthyl-cétone et le
toluène (MEC/Toluène)
31
CHAPITRE Ⅲ [PRESENTATION LA ZONE 5DE FABRICATION DES HUILES ]
32
Chapitre IV :
Déparaffinage au
(mEC/toluéne)
CHAPITRE IV [DEPARAFFINAGE AU MEC / TOLUENE ]
VI.1.Introduction
➢ Naphténiques :
Est d'abaisser le point d'écoulement des huiles base, et ceci en éliminant les
molécules paraffinages à point de cristallisation élevé. Le solvant utilisé et le
mec toluène qui a un pouvoir de dissoudre l'huile et précipiter les paraffine.
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CHAPITRE IV [DEPARAFFINAGE AU MEC / TOLUENE ]
pour éliminer les paraffines indésirables dans l'huile (paraffine qui a un mauvais
point d'écoulement) le procédé s'effectue de la manière suivante:
• L’huile déparaffinée
• Un produit paraffineux appelé« Gatch »ou« Slackwax ».
VI.3.Rôle de solvant :
La méthyle-éthyle-cétone (MEC) :
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CHAPITRE IV [DEPARAFFINAGE AU MEC / TOLUENE ]
Le toluène:
C’est un composé aromatique qui a un bon pouvoir solvant pour l’huile même à
basse température donc est permet d’augmenté la solubilité d’huile ceci de
régler le taux de dilution au minimum.
T
Masse Cp T eb
Solvant Pe con Observations
molaire (g/calC) (°k)
d
.Missibleau huiles
.Liquide incolore
Methylethylcetone
72.10 3 -87 0.515 79.7 .Odeur cetonique
(c4h8o)
.Missible au alcools
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CHAPITRE IV [DEPARAFFINAGE AU MEC / TOLUENE ]
VI.5.Description du procédé
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CHAPITRE IV [DEPARAFFINAGE AU MEC / TOLUENE ]
Suivantes :
- Section de réfrigération,
- section de filtration,
a. Circuit du solvant
b. Circuit de la charge
- Section de déshuilage,
2ème détente :du fond (D18), le propane liquide à – 15 C° est utilisé comme
réfrigérant dans les Schillers de déparaffinage E4 ABCD et les cristallisations de
solvant et de gaz inerte dans E33, E39.
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CHAPITRE IV [DEPARAFFINAGE AU MEC / TOLUENE ]
39
CHAPITRE IV [DEPARAFFINAGE AU MEC / TOLUENE ]
Solvant humide
Solvant sec
Le solvant sec est accumulé dans le D12, l'excès de solvant déborde vers D11 à
travers un déversoir par la pompe G22, le solvant sec est aspiré à T = 382 et
refoule vers les reflux des colonnes C1, C2, vers le E36 réchauffeur de solvant
chaud de lavage où la température augmentés jusqu'à 90 C° (ce solvant servira
au lavage à chaud des filtres rotatifs sous vide et les Schillers).
La même pompe (G2) assure également le débit de solvant froid (il servira
de lavage des filtres rotatifs et des injections de la 2ème dilution de solvant
sec).
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CHAPITRE IV [DEPARAFFINAGE AU MEC / TOLUENE ]
- Circuit de charge
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CHAPITRE IV [DEPARAFFINAGE AU MEC / TOLUENE ]
42
CHAPITRE IV [DEPARAFFINAGE AU MEC / TOLUENE ]
2ème détente : du fond de C1, le mélange est réchauffé jusqu'à 210 C° dans le
four, ensuite il est détendu à haute pression dans la colonne C2. La partie de
solvant s'évapore puis est condensée par un aéroréfrigérant avant d'être
stocké dans le D12. Du fond de C2, le mélange contient des traces de solvant
qui peut être éliminé par stripage à la vapeur dans le stripper C3.
Elimination des dernières traces de solvant (DO, SW, HW) des têtes des
strippers C3, C9 et C5. Les vapeurs de solvant vont être collectées avant d'être
condensées à l'eau dans E31 et par différence de densité, le solvant se décante
puis déborde dans le côté riche en solvant, l'autre côté subit un 2ème stripage
dans C9 où le mélange azéotropique monte en tête et l'eau séparée est drainé
vers PPI.
1. Section de déshuilage
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CHAPITRE IV [DEPARAFFINAGE AU MEC / TOLUENE ]
Les gaz de combustion sont composés de : O2 (0,5 %), CO2 (10 %), N2 (le reste).
• Pour l'étanchéité des ballons ou des bacs contenant les solvants afin
d'éviter leur explosion avec l'air.
• Pour éviter la corrosion.
Le gaz inerte passe vers les filtres K1, K2 et K3 pour favoriser le décollage de
la paraffine. L'excès d'azote est envoyé vers la cloche T4.
Le mélange subit une détente dans la colonne de flash à basse pression C6.
Du fond de C6, le mélange est réchauffé par la paraffine molle provenant du
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CHAPITRE IV [DEPARAFFINAGE AU MEC / TOLUENE ]
fond du stripper C8 et ensuite dans le four F2 jusqu'à 210 C°. A la sortie du four,
il passe vers la colonne de flash à haute pression C7, le fond de cette colonne
est recueillie dans le stripper C8 (à la vapeur surchauffé) permet d'éliminer les
dernières traces de solvant qui sont envoyés vers l'échangeur E31, du fond de
C8 la paraffine molle passe par E27 avant d'être envoyé vers fuel.
2ème détente : du fond de C1, le mélange est réchauffé jusqu'à 210 C° dans le
four, ensuite il est détendu à haute pression dans la colonne C2. La partie de
solvant s'évapore puis est condensée par un aéroréfrigérant avant d'être
stocké dans le D12. Du fond de C2, le mélange contient des traces de solvant
qui peut être éliminer par stripage à la vapeur dans le stripper C3.
Elimination des dernières traces de solvant (DO, SW, HW) des têtes des
strippers C3, C9 et C5. Les vapeurs de solvant vont être collectées avant d'être
condensées à l'eau dans E31 et par différence de densité, le solvant se décante
puis déborde dans le côté riche en solvant, l'autre côté subit un 2ème stripage
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CHAPITRE IV [DEPARAFFINAGE AU MEC / TOLUENE ]
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CHAPITRE IV [DEPARAFFINAGE AU MEC / TOLUENE ]
A
paraffines paraffines
A
naphténes naphténes
aromatiques aromatiques
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CHAPITRE IV [DEPARAFFINAGE AU MEC / TOLUENE ]
Chacun des éléments est constitué par des tubes 6 et 8, dans chacun de
ces éléments il y a un système de grattage de paraffine. La surface totale
d'échange d'un schiller et de l'ordre de 81 m2.
Les racleurs sont des lames de métal fixées par des ressorts à un arbre
d'entraînement. La technologie des racleurs présente quelques variantes
(fixation à l'arbre par des ressorts ; système Worthington, ou par des feuilles de
métal ayant une flexibilité donnée ; système Worthington, mais les principes de
base restent les mêmes.
1. Caractéristiques de construction
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CHAPITRE Ⅵ [DEPARAFFINAGE AU MEC / TOLUENE ]
49
CHAPITRE IV [DEPARAFFINAGE AU MEC / TOLUENE ]
2. Filtre rotatif :
a) Objet de filtration :
Principe de filtration :
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Chapitre V:
rendement de
chiller
Chapitre Ⅴ [ rendement de Schiller ]
te = -4.49°C
Ts= 6.44°c
* températures :
51
Chapitre Ⅴ [ rendement de Schiller ]
Propostion
Débit m³/h
volumique
𝑋𝑣𝑜 = 30.74%
Charge (vo+s) 26.72
𝑋𝑆 =69.26 %
𝑋𝐷𝑂 = 15 %
Charge (Do+s) 48.94
𝑋𝑆 =85 %
𝑻𝒄 = −𝟗. 𝟎𝟓°𝑪
𝐭 𝐜 = 𝟐𝟒. 𝟐𝟓°𝐂
52
Chapitre Ⅴ [ rendement de Schiller ]
La densité :
- VO
20
𝑑𝑣𝑜 = 0.821 k= 0.00075
𝑇𝐶 20
𝑑𝑉𝑂 = 𝑑𝑣𝑜 − 𝑘 (𝑇𝑐 − 20 ) = 0.821-0.00075*(24.25-20)
𝒅𝑻𝑪
𝑽𝑶 = 𝟎. 𝟖𝟏𝟕
- Solvant
d20
MEC = 0.807 d20
tol = 0.870
20 20
d20
s = (dMEC ∗ X MEC ) + (dtol ∗ X tol ) = (0.807*0.54) + (0.870*0.46)
𝒅𝟐𝟎
𝒔 = 𝟎. 𝟖𝟑𝟔
dTC 20
s = ds − k (Tc − 20 ) = 0.836 − 0.00075 ∗ (24.25 − 20)
𝒅𝑻𝑪
𝒔 = 𝟎. 𝟖𝟑𝟑
- Charge
𝑇𝑐 𝑇𝑐
𝑑𝑐ℎ𝑎𝑟𝑔𝑒 = (𝑑𝑣𝑜 ∗ 𝑋𝑣𝑜 ) + (𝑑𝑠𝑇𝑐 ∗ 𝑋𝑠 ) = ( 0.817*0.297)+(0.833*0.703)
𝒅𝑻𝒄
𝒄𝒉𝒂𝒓𝒈𝒆 = 𝟎. 𝟖𝟐𝟖
- 𝑫𝑶
20
𝑑𝐷𝑜 = 0.856 k= 0.00065
𝑇𝐶 20
𝑑𝑉𝑂 = 𝑑𝑣𝑜 − 𝑘 (𝑇𝑐 − 20 ) = 0.856-0.00065*(-9.08-20)
𝒅𝑻𝑪
𝑫𝑶 = 𝟎. 𝟖𝟕𝟒
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Chapitre Ⅴ [ rendement de Schiller ]
- Solvant
20 20
𝑑𝑀𝐸𝐶 = 0.807 𝑑𝑡𝑜𝑙 = 0.870
20 20
𝑑′20
𝑠 = (𝑑𝑀𝐸𝐶 ∗ 𝑋′𝑀𝐸𝐶 ) + (𝑑𝑡𝑜𝑙 ∗ 𝑋′𝑡𝑜𝑙 ) = (0.807*0.54) + (0.870*0.46)
𝒅′𝟐𝟎
𝒔 = 𝟎. 𝟖𝟑𝟔
𝒅𝒕𝒄
𝒔 = 𝟎. 𝟖𝟓𝟖
- Charge
𝑇𝑐 𝑡𝑐
𝑑𝑐ℎ𝑎𝑟𝑔𝑒 = (𝑑𝐷𝑜 ∗ 𝑋𝐷𝑜 ) + (𝑑𝑠𝑡𝑐 ∗ 𝑋′𝑠 ) = ( 0.874*0.15)+(0.858*0.85)
𝒅𝒕𝒄
𝒄𝒉𝒂𝒓𝒈𝒆 = 𝟎. 𝟖𝟔𝟎
• La masse volumique :
𝑇 𝑇𝑐
𝜌𝑖𝑛𝑡
𝐶
= 𝑑𝑐ℎ𝑎𝑟𝑔𝑒 ∗ 𝑑𝑒𝑎𝑢 = 0.828 ∗ 1000
𝑻
𝝆𝒆𝒏𝒕
𝑪
= 𝟖𝟐𝟖 𝒌𝒈/m³
𝑡 𝑡𝑐
𝜌𝑒𝑥𝑡
𝐶
= 𝑑𝑐ℎ𝑎𝑟𝑔𝑒 ∗ 𝑑𝑒𝑎𝑢 = 0.860 ∗ 1000
𝒕
𝝆𝒆𝒙𝒕
𝑪
= 𝟖𝟔𝟎 𝒌𝒈/m³
𝒄𝒉𝒂𝒓𝒈𝒆 𝒔𝒑é𝒄𝒊𝒇𝒊𝒒𝒖𝒆 :
− 𝑽𝑶
Tc 1
CPVO = (0.403 + 0.00081Tc) ∗ (Tc en °K)
√d15
15
15
d15 = 0818 telque d15
4 = 0.817
15
d15
4 0.817
d15 = =
0.99904 0.99904
54
Chapitre Ⅴ [ rendement de Schiller ]
Tc 1
CPVO = (0.403 + 0.00081 ∗ 297.25) ∗
√0.818
− 𝐬𝐨𝐥𝐯𝐚𝐧𝐭 𝐓𝐜
𝐂𝐏𝐕𝐎 = 𝟎. 𝟕𝟏𝟏 𝐤𝐜𝐚𝐥/𝐡
- 𝐃𝐎
tc 1
CPDO = (0.403 + 0.00081tc) ∗ (tc en °K)
√d15
15
15
d15 = 0853 telque d15
4 = 0.852
15
d15
4 0.852
d15 = =
0.99904 0.99904
Tc 1
CPVO = (0.403 + 0.00081 ∗ 263.92) ∗
√0.853
𝐓𝐜
𝐂𝐏𝐕𝐎 = 𝟎. 𝟔𝟔𝟕 𝐤𝐜𝐚𝐥
/𝐡
- 𝐬𝐨𝐥𝐯𝐚𝐧𝐭
𝝀𝒆𝒙𝒕 = 𝟎. 𝟏𝟕 𝒌𝒄𝒂𝒍/h.m.°c
55
Chapitre Ⅴ [ rendement de Schiller ]
56
Chapitre Ⅴ [ rendement de Schiller ]
Q1 = ρ ∗ V ∗ cp ∗ (T1 − T2 )
𝑸𝟏 = 𝟏𝟓𝟕𝟕𝟗𝟐. 𝟒 𝒌𝒄𝒂𝒍/h
Q2 = ρ ∗ V ∗ cp ∗ (t 2 − t1 )
Q=232314.942kcal/h
Régime d’écoulement :
• Si 𝑅𝑒 < 1 le régime de stokes , les forces d’inertie liées aux vitesses étant
négligeables , les forces visqueuses et les forces de pression s’équilibrent
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Chapitre Ⅴ [ rendement de Schiller ]
Tube interne
Nombres de Reynolds :
𝐺𝑡. 𝑑𝑖 132.554 ∗ 0.210
𝑅𝑒𝑡 = =
𝜇 0.802 ∗ 10¯³
Gt=155.894 kg/m².s
La section :
𝜋.𝑑𝑖² 3.14∗(0.210)²
𝑎𝑡 = =
4 4
𝐚𝐭 = 0.035 m²
Facteur de colbum :
1 1
𝑅𝑒∗𝑑𝑖 (3) ℎ𝑖∗𝑑𝑖 𝑐𝑝∗𝜇 −(3)
𝑗𝐻 = 1.86 ( ) = ∗ ( 𝜆 ) ∗ 𝜑−1 dans le régime laminaire
𝑙 𝜆
1
𝑅𝑒∗𝑑𝑖 0.8 ℎ𝑖∗𝑑𝑖 𝑐𝑝∗𝜇 −(3)
𝑗𝐻 = 0.027 ( ) = ∗ ( 𝜆 ) ∗ 𝜑 −1 dans le régime turbulent
𝑙 𝜆
58
Chapitre Ⅴ [ rendement de Schiller ]
1
3 ( )
ℎ𝑖 137.67 ∗ 0.166 0.513 ∗ 0.802 ∗ 10¯ ∗ 3600 3
= ( )
𝜑𝑖 0.210 0.166
𝒉𝒊
= 𝟐𝟐𝟓. 𝟕𝟏𝟑𝒌𝒄𝒂𝒍/𝒉. 𝒎𝟐 . °𝑪
𝝋𝒊
ℎ𝑖𝑜 ℎ𝑖 𝑑𝑖 0.210
= ( ) = (225.713)
𝜑𝑡 𝜑 𝑑𝑜𝑡 0.219
𝒉𝒊𝒐
= 𝟐𝟏𝟔. 𝟒𝟑𝟕 𝒌𝒄𝒂𝒍/𝒉. 𝒎𝟐 . °𝑪
𝝋𝒕
𝑡𝑢𝑏𝑒 𝑒𝑥𝑡𝑒𝑟𝑛𝑒 ∶
𝐺𝑎.𝑑𝑒 334.034∗0.219²
𝑅𝑒𝑡 = 𝜇′
= 1.650∗10¯³
Ga=334.034 kg/m².s
59
Chapitre Ⅴ [ rendement de Schiller ]
La section :
𝜋 3.14
𝑎𝑡 = (𝐷𝑖 2 − 𝑑02 ) = (0.265² − 0.219² )
4 4
𝒂𝒕 = 0.017 m²
Régime turbulent donc
1
−( )
ℎ0 ∗ 𝑑𝑒 𝑐𝑝′ ∗ 𝜇′ 3
𝑗𝐻 = ∗( ′) ∗ 𝜑𝑎 −1
𝜆′ 𝜆
1
3 ( )
ℎ0 161.931 ∗ 0.169 0.486 ∗ 0.1650 ∗ 10¯ ∗ 3600 3
= ( )
𝜑𝑎 0.102 0.169
𝒉𝟎
𝝋𝒂
= 320.721 kcal/ h.m².c°
216.437
𝑡𝑡 = 24.25 − (24.25 + 9.08)
216.437+320.721
𝒕𝒕 = 𝟏𝟎. 𝟖𝟐𝟏°𝑪
Tube interne
60
Chapitre Ⅴ [ rendement de Schiller ]
0.14
𝜇 0.14 0.802.10¯³
𝜑𝑡 = [ ] = [ ]
𝜇𝑡 0.898.10¯³
𝝋𝒕 = 0.984
ℎ𝑖𝑜
ℎ𝑖𝑜 = [ ] 𝜑𝑡 = [216.437]* 0.984
𝜑𝑡
𝝋𝒕 = 1.051
ℎ𝑜
ℎ𝑜 = [ ] 𝜑𝑎 = [334.034 ]* 1.051
𝜑𝑎
𝒉𝒐 = 351.069 kcal / h
.m. °c
G RE JH 𝒉𝒊𝒐 𝒉𝒐
𝝁𝒕 𝝋 𝒉𝒊𝒐 𝒉𝒐
𝝋𝒕 𝝋𝒂
Tube 𝟎. 𝟖𝟗𝟖
155.894 𝟒𝟎𝟖𝟐𝟎. 𝟏𝟐𝟒 𝟏𝟑𝟕. 𝟔𝟕 𝟐𝟏𝟔. 𝟒𝟑𝟕 -
.10¯³
0.984 212.974 -
interne
Tube 𝟗𝟕𝟎𝟗. 𝟒𝟓𝟕 𝟏. 𝟏𝟓𝟎
334.034 𝟏𝟔𝟏. 𝟗𝟑𝟏 - 320.721 1.051 351.069
externe . 𝟏𝟎¯𝟑
Tableau V.4 : les résultats final des différents paramètres de calcul pour
l’échangeur E403A
1 1 1 1 1
= + = +
𝑢𝑝 ℎ0 ℎ𝑖𝑜 351.069 212.974
𝒖𝒑 = 132.558 kcal/h.m².°c
61
Chapitre Ⅴ [ rendement de Schiller ]
• Résistance de salissement
Donc :
1 1
𝑢𝑠 = =
1 1
+ 𝑅𝑠 + 0.972.10¯³
𝑢𝑝 132.558
𝒖𝒔 = 117.439 kcal/h.m².°c
• Surface d’échange :
𝑄 212972.032
𝐴𝑆 = =
𝑢𝑠 (∆𝑇𝐿𝑀) 117.439 ∗ (37.5)
𝑨𝑺 =48.359 m²
• Rendement :
𝜼 = 𝟑𝟕 %
62
Chapitre Ⅴ [ rendement de Schiller ]
Te = - 32°C
Ts = - 32°C
63
Chapitre Ⅴ [ rendement de Schiller ]
Températures :
Tableau V.6 : les températures moyennes entrée/sortie de l’échangeur E404A
SCHILLER T1 T2 t1 t2
A 22.71 10.15 - 32 - 32
B 10.15 - 14.69 - 32 - 32
C 14.35 - 9.29 - 32 - 32
D - 9.29 - 19.07 - 32 - 32
64
Chapitre Ⅴ [ rendement de Schiller ]
S= 19.704 m3/h
X vo = 28.43 %
VO+S 27.532 m3/h 𝛒vo = 821
X s = 71.57 %
G = 𝛒 MEC × V MEC
G = ρ TOLUENE × VTOLUENE
DONC
GMEC = 8586.48 kg/h
GMEC = 807 × 10.65
65
Chapitre Ⅴ [ rendement de Schiller ]
Débits massique du VO :
GVO = ρ vo × v vo
GVO = 6426.78 kg/h
V vo =7.828 × 821
T2 – t2 =10.15 – ( – 32 ) = 42.15 °C
𝚫𝐭𝐞 – 𝚫𝐭 𝐬 𝟓𝟒.𝟕𝟏−𝟒𝟐.𝟏𝟓
DTLM = 𝚫𝐭𝐞 = = 52.634 ℃
𝟐.𝟑 𝐥𝐨𝐠 𝚫𝐭 𝐬 𝟐.𝟑𝒍𝒐𝒈 𝟓𝟒.𝟕𝟏
𝟒𝟐.𝟏𝟓
Q1= Gch ( h1 – h2 )
66
Chapitre Ⅴ [ rendement de Schiller ]
h1 = Σ HiT1 × Xi h2 = Σ HiT2 × Xi
H ( 10.15 ) = 4.111Kcal / Kg
67
Chapitre Ⅴ [ rendement de Schiller ]
Q1 = 117196.621 Kcal/h
𝐆𝐯𝐨 × 𝛂 × 𝐋𝐜
Q2 =
𝟏𝟎𝟎
D’OU
68
Chapitre Ⅴ [ rendement de Schiller ]
Mi × Li = K × Tm
D’OU
Tm = 213.426 °k
K : coefficient de proportionnalité
69
Chapitre Ⅴ [ rendement de Schiller ]
T = - 32 ℃
Lv = Σ Li. Xi
Mi Xi Li Xi . Li
70
Chapitre Ⅴ [ rendement de Schiller ]
D’OU
𝐊.𝐓𝐦 𝟏𝟗.𝟔𝟒 ×𝟐𝟏𝟑.𝟒𝟐𝟔
Li = 𝐌𝐢
= 𝐌𝐢
= 4191.687/ Mi
ALORS :
Lv = 94.967 Kcal/Kg
Qf = Gf .Lv
Qf = 2282.84 × 94.967
Qf = 216794.466 Kcal / Kg
(𝑸𝟏−𝑸𝟐 )
𝛈= × 100
𝑸𝒇
𝟏𝟏𝟕𝟏𝟗𝟔.𝟔𝟐𝟏− 𝟏𝟒𝟎𝟔𝟔.𝟕𝟔𝟏
𝛈= × 100
𝟐𝟏𝟔𝟕𝟗𝟒.𝟒𝟔𝟔
η = 48 %
71
CONCLUSION
CONCLUSION
Conclusion général :
• La nature de la charge
• La composition du solvent
• Les équipement de l’unité exact chiller et filtre
72
CONCLUSION
73