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Chapitre II

Démarche RSE en
entreprise, un atout
La démarche RSE devenu aujourd'hui
plus que stratégique
dans l’entreprise

Chargée du cours : Rim Boukadi


Cours : La Responsabilité Sociale de l’Entreprise
Niveau : 2ème année Sciences de Gestion
Année Universitaire : 2023-2024
Démarche RSE : qu’est-ce que c’est ?

La RSE :
• concerne toutes les mesures sociales
qu’une entreprise peut mettre en place
(inclusion, égalité salariale…)

• Et comprend également les démarches


économiques et environnementales au
sein des organisations.
Rappel :

la RSE désigne «la contribution des


entreprises aux enjeux du développement
durable » par :

- la mise en place d’actions éthiques et


durables intégrées au mode de
fonctionnement,
- les entreprises contribuent au bien être
salarial, à la protection de l’environnement
tout en assurant la qualité de son produit.
La RSE se base sur 3 piliers :

• le pilier écologique : identifier et réduire la


consommation d’énergie et les émissions de
gaz à effet de serre, préserver les ressources
naturelles, limiter sa production de déchets,
etc.
• le pilier social : favoriser la qualité de vie au
travail, améliorer l’égalité des chances et la
diversité, faire respecter pleinement le droit du
travail, etc.
• le pilier économique : mettre en place une
politique d’achats responsables, favoriser la
transparence auprès des parties prenantes, etc.
Donc une démarche RSE consiste en un
plan d’action qui définit les moyens et les
outils mis en place par l’organisation relatif
aux 3 piliers de la RSE, qui vont ainsi
contribuer plus largement aux enjeux du
développement durable.
Qui fixe les règles ?

Un standard international datant de


2010, la norme ISO 26000, régit la
RSE autour de 7 questions centrales : La norme permet de consolider la
démarche RSE en entreprise, et
1. la gouvernance de l’organisation d'attester de sa contribution au
2. les droits de l’homme développement durable.
3. les relations et conditions de travail
4. l’environnement La norme ISO 26000 s’adresse aux
5. la loyauté des pratiques entreprises qui souhaitent élaborer
6. les questions relatives aux une stratégie et piloter leur
démarche RSE.
consommateurs
7. les communautés et le
développement local
Pourquoi mettre en place une démarche
RSE ?

• Améliorer les performances économiques


en réduisant son impact

La stratégie RSE permettra, sur le long


terme, d’améliorer la performance globale
de l’organisation.
Cette performance globale comprend les
aspects financiers mais aussi extra
financiers, dont fait partie la RSE, qui n’ont
pas un impact chiffrable à court terme mais
ont de manière certaine un effet positif à
long terme (image de l’entreprise).
• Favoriser l’engagement des
collaborateurs, améliorer le bien-être au
travail et attirer les candidats

La démarche RSE aura ainsi un impact sur


la motivation des équipes actuelles, et sera
également un facteur d’attractivité pour les
candidats, notamment les plus jeunes.

On pourrait dans le cadre de cette démarche


inciter les collaborateurs à réaliser, sur leur
temps de travail ou non, des missions de
terrain auprès d’associations.
• Innover et faire évoluer son business

Les innovations liées à la mise en place


d’une stratégie RSE sont nombreuses.

Elles peuvent se situer :


- au niveau des produits et services,
- et du côté immatériel, comme sur le plan
social, à savoir dans la manière de gérer
l’humain dans la structure.

La RSE est également un axe différenciant


par rapport à la concurrence.
Elle peut aider à conquérir de nouveaux
marchés.
• Une politique RSE bien menée permet à
terme d’améliorer les process de
l’entreprise

Par une meilleure gestion des risques et


des faiblesses de l’entreprise en termes de
management, de ressources,
d’environnement, le bien être de ses
collaborateurs sera renforcé (et leur
productivité par la même occasion) et des
coûts évités.
• Améliorer les relations avec les
différentes parties prenantes

L’entreprise a un impact sur toutes ses


parties prenantes.
L’intégration de ces parties prenantes est
en effet incontournable lors de
l’élaboration d’une stratégie RSE, pour
mieux appréhender les risques rencontrés
ou provoqués.
Il s’agit de lier des objectifs RSE à chaque
typologie d’acteur :
•Partie prenante interne (dirigeant, salarié,
syndicat)
•Partie prenante externe (élu, association,
ONG, sous-traitant, fournisseur, client,
actionnaire, média).
• Construire une entreprise plus résiliente
En mettant en place une stratégie RSE, une
entreprise fait preuve de résilience, en
s’adaptant aux nouvelles contraintes et aux
nouveaux défis de notre temps.
En matière de développement durable, il est
nécessaire pour une entreprise de prendre en
compte son écosystème et les évolutions
sociétales, environnementales et économiques
qu’il implique.
• Répondre aux attentes de son écosystème
Une entreprise qui intègre ces composantes à sa
stratégie sera plus attirante, que ce soit
pour recruter des talents ou pour attirer les
clients, fournisseurs et investisseurs.

Ainsi, toutes les parties prenantes à l’activité


d’une entreprise sont de plus en plus exigeantes
sur ses engagements sociaux et
environnementaux.
Etapes pour mettre en place une démarche RSE

Étape 1 : Identifier les moyens et les ressources

• Désigner tout d’abord un responsable RSE.


Il veillera à la bonne mise en œuvre de la démarche
(structuration, motivation des équipes en interne, suivi du
projet,…).
• On peut créer un poste dédié à la démarche (généralement
dans les plus grosses structures) ou proposer à des
volontaires exerçant d’autres métiers (RH, la
Communication ou la Finance), de se former à la thématique
(dans les PME) pour assumer ce rôle en plus de leurs
fonctions.
• Le but étant que la démarche se structure autour d’une
personne ou d’une équipe identifiée dans l’organisation.
Étape 2 : réaliser un état des lieux

• Avant d’opérer des actions concrètes, l’entreprise


doit commencer par analyser l’existant.
• Elle peut procéder à un mini-diagnostic :
évaluation de sa maturité RSE sur chacun des 3
piliers RSE ou encore élaborer une analyse SWOT
pour mettre en évidence les forces et faiblesses de
l’entreprise, qui sera ensuite reliées à la RSE.
• Effectuer un audit interne avec l’ensemble des
parties prenantes (internes et externes)
• Cette étude, réalisée par un consultant externe ou
interne, permettra de formuler les premières
recommandations à suivre.
Étape 3 : définir le plan d’action et le
budget
• La mise en œuvre d’une politique RSE
est souvent perçue comme un poste de
dépenses uniquement.
• Que ce soit par la création d’un poste dédié
ou par l’embauche d’un cabinet de conseil,
il est certain que dans un premier temps,
des coûts sont à prévoir.
• Mais le calcul du coût global d’une
démarche RSE doit aussi bien prendre en
compte toutes les externalités négatives des
activités de l’entreprise.
Exemple : la pollution environnementale liée à
une mauvaise gestion de ses déchets.
• C’est l’étape la plus concrète : le projet
est sur le point de se mettre en place.
• Une priorisation des actions s’impose en
fonction des enjeux et des problématiques
du secteur, du territoire et de organisation
de l’entreprise.
• Cartographier les enjeux en fonction des 3
piliers ou réaliser une matrice de
matérialité qui permettra d’identifier les
sujets économiques, écologiques et
sociaux qui ont le plus de chance
d’impacter les résultats de l’entreprise ou
la perception de ses parties prenantes.
• Un budget peut être alloué à la démarche,
que ce soit pour :
- recruter un nouveau profil en interne,
-faire appel à des experts externes pour
encadrer le projet,
- ou mettre en place des outils, comme une
plateforme d’engagement solidaire.

• L’entreprise réalisera des économies non


négligeables :
- à moyen terme (diminution d’énergie et de
ressources),
- et à long terme (diminution des risques et
des crises)
Étape 4 : former et engager les équipes
• Pour qu’une démarche RSE soit
véritablement efficace, elle doit porter :
- en interne par l’ensemble des
collaborateurs,
- et en externe par toutes les parties
prenantes.
• L’entreprise peut former ses équipes à la
RSE afin que chacun ait les connaissances
de base nécessaires afin de s’impliquer
dans la démarche.
Des journées de formation permettront
également de revenir sur les fondements du
projet, la vision de la démarche RSE et les
enjeux pour l’entreprise.
Étape 5 : communiquer sur les actions
La communication de la stratégie se fait à
plusieurs niveaux et dans un ordre bien
précis.
En interne : embarquer les équipes dans le
projet et s’assurer qu’elles mettent en place
es actions listées, au niveau de
’infrastructure (finies les poubelles
ndividuelles, le tri des déchets est généralisé
dans les bureaux) et/ou de leur métier).
Cette diffusion doit être simple (dans la
orme et dans le fond) et facile d’accès pour
que chaque employé puisse se l’approprier.
En externe, valoriser les actions de
l’entreprise dans le but de soigner son image
ou d’influencer la décision de futurs
recrutements.
L’entreprise ne doit pas hésiter à
communiquer régulièrement sur sa démarche
RSE, en plus du traditionnel rapport annuel
généralement partagé par les entreprises.
Elle peut en parler en vidéo sur les réseaux
sociaux, ou par écrit dans son newsletter, sur
son site ou son blog.
L’entreprise doit faire attention au
greenwashing, et ne communiquer que les
actions qui ont concrètement été réalisées.
Étape 6 : mesurer les résultats
Cette conduite est pensée dans une
dynamique d’amélioration continue, de
transparence et d’évaluation, donc il est
essentiel de mesurer les impacts et d’ajuster
au besoin certaines actions.
C’est pourquoi, il est également essentiel
d’associer des objectifs attendus et des
indicateurs à côté de chaque action.
Il est, par exemple, possible de mesurer :
l’impact carbone de l’entreprise, le taux
d’absentéisme, la différence de salaires entre
les femmes et les hommes, les heures de
formation,... autant d’indicateurs qui
rendront compte de l’efficacité des actions.
L’évaluation peut aussi se faire au niveau de
la démarche RSE des parties prenantes, afin
de les former, les sensibiliser et les
questionner sur leurs actions.
Une façon d’échanger des bonnes pratiques
et d’aller ensemble vers un objectif commun.

Exemple : En en France, les entreprises de


plus de 500 salariés et de 100 millions
d’euros de chiffre d’affaires sont tenues de
publier annuellement un rapport extra-
financier ou DPEF (Déclaration de
Performance Extra-Financière).
Ce document vise à lister la totalité des
actions mises en place autour des questions
sociales, environnementales et de
gouvernance.
Réussir sa démarche RSE
L’entreprise peut effectuer une simple check-
list afin de vérifier qu’elle est sur la bonne
voie :
•S’entourez d’ambassadeurs en interne, venant
de différentes équipe, pour porter le projet
ensemble,
•Diffusez la culture RSE dès l’onboarding de
nouveaux collaborateurs,
•Communiquez la démarche sur la durée grâce à
des rendez-vous réguliers et un partage des
actualités dans les événements traditionnels :
réunions, vœux annuels, anniversaires,
communication aux managers, team-building,
etc.
•Privilégiez toujours la qualité des actions à la
quantité.
Exemples de démarches d’entreprises : Le pilier social chez EDF

La Fondation Groupe EDF organise chaque année le Prix des e.n.g.a.g.é.e.s.


Globalement, la démarche s’inscrit dans 3 domaines d’intervention en France et à
l’international : Environnement - Éducation - Inclusion.
En 2021, 269 projets ont été menés sur ces 3 thématiques avec un budget total de 10
millions d’euros.
L’engagement des salarié.e.s est l’une des manifestations portées par le groupe : 1500
collaborateurs.trices ont pris part à des actions solidaires l’année dernière, notamment
grâce au Prix des e.n.g.a.g.é.e.s.
Cet appel à projets interne, réalisé sur la plateforme d’engagement de la Fondation Groupe
EDF, récompense l’engagement bénévole de 200 collaborateurs.trices du Groupe en
attribuant un don de 2 000 € à leur association. Ce programme a permis de valoriser
l’engagement bénévole des équipes ainsi que les associations qu’elles soutiennent.
Les actions RSE à déployer dans l’ entreprise

• Poser les bases d’une stratégie pour optimiser


toutes les actions RSE
Plus le concept est clair et cohérent, plus les
salariés en comprendront les enjeux et y seront
sensibles.
• Les prémices des actions RSE : réaliser un bilan
carbone
Faire un bilan des émissions de carbone générées
par les activités de l’entreprise.
Il est possible d’impliquer le management, mais
aussi les collaborateurs dans la démarche.
C’est une façon simple de leur donner envie ensuite
de défendre cette approche et de faciliter le
déploiement efficace de cette vision.
• Proposer une Fresque du Climat aux
salariés

Il est essentiel que chaque personne


impliquée puisse en comprendre l’intérêt, les
objectifs, la vision.
Dans cette logique, il peut être très
intéressant de prendre du recul et de proposer
aux équipes d’avoir une vision globale des
enjeux climatiques.
Le salarié sensibilisé se sent responsable,
impliqué, motivé.
• Former aux bonnes pratiques RSE

Une fois que les équipes ont compris les enjeux


à l’échelle planétaire, rien de mieux que de les
aider à se projeter dans leur quotidien, au
travail.
Il s’agit de leur montrer concrètement ce qu’ils
peuvent faire et mettre en place à leur niveau.
La formation peut se faire auprès des managers.

Tous les collaborateurs peuvent être concernés :


Les actions RSE seront
impactantes.
Pour les motiver sur le long terme, il est
recommandé de leur offrir la possibilité de voir
les résultats de leurs actions.
• Favoriser la mobilité douce dans
l’entreprise
Exemples de mesures qui peuvent être mises
en place dans les actions RSE :
•Proposer des véhicules d’entreprises
électrique (pour favoriser l’usage partagé)
•Créer un espace dans le parking dédié aux
voitures électriques (avec bornes de recharge)
•Proposer des vélos de fonctions (certaines
entreprises aident dans cette démarche)
•Déployer un système de covoiturage pour les
trajets du quotidien
•Définir une politique de télétravail afin de
limiter les allers-retours inutiles
•Proposer un Forfait Mobilité Durable avec
une aide pour l’achat d’un vélo
• L'action RSE informatique : choisir un matériel
adapté
En entreprise, l’impact des équipements et du
matériel est considérable.
Smartphones, ordinateurs, écrans multiples, etc…
bien souvent, leur durée de vie est malheureusement Green IT : « une démarche
très courte. d’amélioration continue qui
Pour palier à ça, plusieurs choses peuvent être mises vise à réduire les impacts sur
en place : l’environnement, sociaux et
•Créer une flotte d’équipements à partir de matériel économiques du numérique ».
reconditionné.
•Mettre en place une politique de maintenance
efficace.
•Sensibiliser les salariés aux bonnes pratiques pour
prolonger la durée de vie des équipements (batterie,
stockage, etc…).
• Passer aux énergies renouvelables

Cette étape est ssentielle surtout pour les


entreprises qui ont des usines, des
infrastructures importantes, des grands L’éolien, l’hydraulique, le
locaux. photovoltaïque… l’énergie
Opter pour un fournisseur énergie verte est en pleine
verte (pas forcément plus cher qu’un expansion. La transition
fournisseur classique), installation de énergétique est un des
panneaux solaires (de nombreuses enjeux fondamentaux de la
subventions et aides existent), installation transition écologique.
d’éoliennes si c’est possible.
cela peut permettre de tendre vers
l’autonomie énergétique, ce qui sur le long
semble être une stratégie forcément gagnante
dans l'établissement des actions RSE.
• Encourager le déploiement du télétravail

La logique est là : moins de trajets, moins de


stress.
Les employés peuvent gérer leur travail de
manière plus humaine, faire une pause quand
le besoin se fait sentir, et reprendre lorsqu’ils
sont les plus efficaces et motivés.

Une politique télétravail est aussi l’occasion


de réduire les émissions de CO2
quotidiennes générées par l’entreprise.

C’est une façon d’améliorer le bien-être des


équipes tout en prenant soin de son bilan
carbone et de la planète.
• Organiser des événements solidaires
Selon la stratégie RSE définie par
l'entreprise, certaines causes ou certains
sujets auront été identifiés comme plus
prioritaires ou importants que d’autres.
Il peut être intéressant de proposer des
actions solidaires en lien avec ces sujets :
•Des collectes dans les locaux (vêtements,
jouets, livres, etc…)
•Des conférences ou webinaires avec des
intervenants clés
•Des tables rondes (y compris avec des
collaborateurs)
•Des cleanwalks ou événements aux profits
d’associations
• Déployer une stratégie sur la gestion des
déchets et ressources
Gestion de l’eau, du papier, de l’énergie, des
déchets alimentaires, des gobelets, etc…
Réduire les déchets et tendre vers ce que l’on a
maintenant l’habitude d’appeler le zéro déchets.
« zero waste », est préférable. Elle
Plusieurs petites choses peuvent être ajustées maintient le double sens de waste,
pour réduire la consommation de déchets : qui est à la fois l’idée de gâchis /
gaspillage et de déchet.
➢ Eteindre la lumière la nuit dans les locaux,
➢ faire le tri dans les mails,
➢ proposer des mugs plutôt que des gobelets
jetables, mettre en place un compost pour
les déchets alimentaires,
➢ mettre en place des fontaines et offrir des
gourdes aux collaborateurs.
➢ optimiser la température dans les
locaux pour une action RSE écologique
• Passer aux LED
Quand on regarde le volume d’éclairage dont
on a besoin dans une entreprise, l’enjeu est
grand.
L’action à mettre en place est la même qu’à
la maison.
Dans la mesure du possible, il s’agit
de passer à des ampoules LED
(donc des ampoules basse
consommation).
• Adapter les bâtiment pour une meilleure
efficacité énergétique

Rénover les bâtiments afin d’améliorer leur


performance énergétique.
C’est une démarche vaste, qui nécessite plus de
moyens (financiers, humains, etc…) mais dont les
résultats sont importants.
Exemples :
•Isolation par les murs
•Isolation par le toit
•Isolation par les fenêtres
• Sensibiliser à une alimentation plus
équilibrée
Une cantine avec des produits bons, sains,
locaux, bios (et des options pour tous les
régimes y compris végétarien).
«l’ensemble des pratiques
Il est aussi essentiel de prévoir des espaces alimentaires qui visent à nourrir les
ou les équipes peuvent faire réchauffer leurs êtres humains en qualité et en
propres plats. quantité suffisante, aujourd’hui et
demain, dans le respect de
Créez des partenariats avec les restaurateurs l’environnement, en étant accessible
aux alentours avec des tarifs préférentiels. économiquement et rémunératrice
C’est l’occasion de valoriser l’activité locale sur l’ensemble de la chaîne
alimentaire ».
et de proposer une autre option aux
collaborateurs.
• Prendre soin des équipes pour des actions
RSE axées sur l'humain
S’assurer que les équipes puissent travailler
dans de bonnes conditions :
➢ respect du code du travail,
➢ respect des règles d’hygiène et de santé,
➢ espace de travail ergonomique,
➢ politique RH en faveur de la diversité et de
l’inclusion,
➢ favoriser l’emploi des jeunes et seniors,
etc…
Comment valoriser sa démarche RSE en
entreprise ?

Mettre en place une démarche RSE est un bon atout au


niveau de la communication de l’entreprise.
Afin de parfaire et de crédibiliser cette communication
(greenwashing), la démarche RSE peut être valorisée
par des certificats ou des labels.
Obtenir des labels implique qu’un audit a été fait pour
juger de l’impact de la démarche RSE d’une entreprise.
Pour garder son label, l’entreprise devra garantir au
moins le même niveau d’impact.
Ce sont donc des indicateurs fiables de la propension
d’une entreprise à devenir plus responsable et à agir sur
ces sujets.
Cela permet à ce que l’entreprise prennent ses
engagements RSE de manière durable.
Et demain, qu’en sera-t-il des actions RSE ?

RSE est une approche en constante évolution.

Les enjeux économiques, sociaux,


environnementaux évoluent
se mettre à niveau et adapter les actions
RSE afin d’être toujours plus efficace.

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