Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Q u ’ e s - c e
que l’appréciaton ?
L’appréciaton peu êre défnie comme :« Un jugemen poré par un supérieur
hiérarchique ou collègue de ravail sur le comporemen d’un individu
dansl’exercice de ses onctons. »« Un processus d’appréciaton de la valeur des
agens pour une organisaton, pas de la valeur de l’individu mais lavaleur des
résulas de son actvié e son rendemen »
Les acteurs de l’évaluation sont plus ou moins nombreux selon l’entreprise et le contexte.
Généralement l’évaluation est l’œuvre du supérieur hiérarchique, mais elle peut être faite par toute
personne dans l’entreprise notamment par le salarié lui-même.
2.1L’évaluation par hiérarchie : Elle est la plus fréquente dans les entreprises. Dans 90% des cas c’est
le supérieur hiérarchique direct qui procède à l’évaluation des performances de son salarié, en
général à travers un entretien. Il peut être secondé par la direction des ressources humaines.
En plus de l’évaluation hiérarchique, il peut être demandé au salarié d’effectuer sa propre évaluation.
Celle-ci résulte de l’entretien d’évaluation avec le supérieur hiérarchique.
C’est une approche plus complète d’évaluation qui consiste à demander aux collègues, aux
collaborateurs ou aux autres éléments d’évaluer les personnes sur la base de critères bien définis.
C’est une manière de mettre en contact le personnel de l’entreprise et permettre à chacun de mieux
cerner son image, son comportement, ses qualités et son style de management.
3.L’utilité de l’évaluation :
L’évaluation en entreprise est utile à différents niveaux. Elle aide a l’amélioration des performances,
car les résultats serviront à élaborer des actions pour améliorer les performances, comme elle aide
aussi à ajuster la rémunération du personnel, c’est grâce a cette technique que l’on distingue qu’elles
sont les personne qui méritent une augmentation ou une prime. L’évaluation sert aussi de base aux
mutations, promotions et rétrogradations ou dans les cas échéants aux offres de formation1
3.2L’utilité pour l’évaluateur : L’évaluation est « un moment d’échange permettant de réaliser une
analyse de la pratique du management et de jouer pleinement son rôle de manager, de fixer des
objectifs et des orientations de travail, de prendre en compte les suggestions et les aspirations des
collaborateurs, de négocier des moyens nécessaires et de recenser des plans de formation à prévoir
L’évaluation est donc le moyen efficace pour déceler les anomalies, les incompétences et les soucis
majeurs au sein de l’entreprise.
4.Les objectifs de l’évaluation : Selon PERETTI, J : Le système d'évaluation des performances doit
permettre de mesurer la contribution de chacun, de favoriser l'accroissement de cette contribution et
de garantir un lien avec la rétribution Pour PERETTI toute mise en œuvre d'un système rationnel
d'évaluation des performances doit viser les objectifs tels que :
- Améliorer la gestion du potentiel humain ;
- Rendre plus rationnels les décisions prises à l'égard du personnel tel que mutation et promotion ;
- Situer les capacités, les aptitudes actuelles, et futures et évaluer le potentiel de la courbe des
performances.
- Analyser la situation dans le poste en prenant en compte l'efficacité, les reconnaissances, les
méthodes de travail et la personnalité1 .
-Réaliser un bilan formel des activités accomplies et des résultats obtenus sur une période donnée.
-Gérer les ressources humaines en situant plus précisément les individus en termes de compétences,
de performances et de potentiel.
L’évaluation permet à l’entreprise de faire le point sur sa situation et notamment les compétences
dont elle dispose, elle permet aussi d’obtenir les informations en ce qui concerne l’ensemble de ses
salariés, a savoir leur points forts et leurs points faibles, elle peut ainsi se fixer des objectif au niveau :
4.1Organisationnels :
Les RH sont particulièrement concernés par cette démarche puisque les résultats de l'évaluation
serviront de base pour mettre en place les politiques GRH que sont la formation, la mobilité interne,
les augmentations de salaires ou de primes, la décision de licenciement... et comme le dit si bien
Campoy (2008), l'évaluation peut être vue comme un moment particulier qui permet de développer
la communication entre l'encadrement et les collaborateurs.
En définitive, l'objectif organisationnel de l'évaluation est l'ajustement dans la précision des missions
et responsabilités.
4.2Psychologiques :
Le salarié a besoin de situer sa contribution par rapports aux normes de réussites et aux attentes de
la hiérarchie, d’où l’intervention de la motivation qui est désignée comme étant « Le processus
psychologique qui incite un individu, ou un groupe à consentir des efforts »1 . On doit ajouter qu’il
fait non seulement naitre l’effort pour l’atteinte d’un objectif, mais aussi qu’il « Relance l’effort jusqu'à
ce que l’objectif soit atteint »2 .
4.3.Objectifs de performance :
C’est la méthode la plus utilisée par les entreprises, elle concerne l’ensemble du personnel, du simple
salarié à temps partiel au cadre dirigeant. Cette méthode a pour objectif de « Faire un bilan de
l’année passée (points positifs et négatifs) et de fixer des objectifs pour l’année à venir »1 .
L’évaluation porte sur le travail accompli par le collaborateur. Elle n’est pas un jugement, mais une
évaluation, pas sur ce qu’il est mais, uniquement sur ce qu’il fait dans le cadre professionnel. La Fiche
d’évaluation annuelle est une méthode qui permet :
Les résultats de la fiche peuvent se concrétiser dans le cadre d’un entretien d’évaluation annuel.
L’entretien annuel constitue un moment privilégié pour instaurer un dialogue constructif entre
chaque responsable et chaque collaborateur. Il permet de prendre du recul pour analyser l’activité.
Cet entretien porte principalement sur le bilan et l’analyse du travail accompli et vise à déterminer
ensemble :
« Il s’agit d’un entretien face a face entre le salarié et son supérieur hiérarchique avec pour seul
objectif de faire un bilan sur les taches effectuées par le salarié durant l’année écoulée a savoir les
points positifs et les points négatifs pour ainsi fixer des objectifs pour l’année à venir »1 .
En effet, l'entretien individuel est aujourd'hui largement répandu dans la plupart des entreprises
quelle que soient leur taille ou leur secteur, et peu importe le poste ou la fonction occupée dans
l'entreprise. Cet entretien permet au supérieur d'exprimer son jugement sur le salarié. Il permet au
salarié de donner son point de vue et de faire connaître ses souhaits en ce qui concerne son
évolution ou sa formation.
L’entretien doit se dérouler dans un climat propice à la réflexion et à l'écoute, il doit être
soigneusement préparé à l'avance par les deux parties. Ainsi l'évaluateur devra :
- Analyser le travail et mettre en place un référentiel de compétences par la définition, pour chaque
poste, des savoirs, savoir-faire et savoir être,
Guillot Soulez dit de cette méthode qu' « Il s'agit d'un entretien de groupe généralement précédé par
un entretien individuel ou suivi par un entretien individuel »2
Il s’agit la d’une méthode d’évaluation qui se développe fortement dans les grandes entreprises, et un
système par lequel les compétences du salarié seraient évaluées non seulement par le manager, son
responsable hiérarchique, mais aussi par lui-même a travers une auto évaluation.
Le 360° permet d’identifier la capacité d’adaptation, le sens de l’innovation et les compétences. Cette
méthode consiste à « recueillir l’avis d’un certain nombre de collaborateurs dans l’entreprise sur la
façon dont le poste est tenu par le salarié qu’il s’agit d’évaluer »1 .
Pour Guillot-Soulez
«Il s'agit d'une méthode d'évaluation des compétences managériales d'un cadre faite par son
entourage professionnel » 2 . Elle consiste en l'auto-évaluation du salarié, puis il est évalué par ses
collaborateurs, puis par son supérieur hiérarchique.
L'évaluation est constituée d'un formulaire de près de 200 questions distribuée à une vingtaine de
personnes. Toutes les entreprises peuvent la pratiquer, mais elle concerne surtout les managers
(dirigeants, cadres, responsables de projets) et parfois
les agents de maîtrise. Il est conseillé que l'évalué ait au moins 1 à 2 ans d'ancienneté. Elle a
l'avantage d'être anonyme et on a une « photographie » complète de la réalité perçue par l'entourage
sur des compétences précises. Toutefois on peut déplorer le manque de disponibilité des évaluateurs,
la subjectivité des réponses, son coût important dû au matériel (questionnaire & rapport), et à
l'intervention d'un consultant... Cette méthode peut déboucher sur un plan de formation ou un
programme de coaching après que les résultats aient été restitués à l'évalué par un consultant, un
coach, un psychologue, ou encore un responsable RH, sous forme de graphique, débriefing ou de
discussion.
- Sensibiliser les participants à l'importance du 360° feed back dans le développement du personnel,
- Elaborer un questionnaire,
Selon Chloé Guillot-Soulez « L’évaluation présente a la fois des avantages et des inconvénients, en
effet parlant des avantages, elle dit que l’évaluation permet de faire le point sur la période écoulée.
L’évaluation est une démarche qui permet de détecter les compétences des salariés, elle favorise la
motivation en offrant aux salariés des perspectives d’évolution dans l’entreprise. Enfin l’évaluation
permet de connaitre les attentes des salariés et d’y répondre (formations, mobilités,
rémunérations...) »2 .
Comme inconvénients observés à la pratique de l’évaluation, l’auteur affirme que l’évaluation peut
comporter une part de subjectivité ; la méthode d’évaluation utilisée peut parfois mélanger aspects
personnels et aspects professionnels. Elle dit aussi que les outils d’évaluation (fiches de notation,
grilles d’évaluation) peuvent générer des répondes tranchées positivement ou négativement, et que
l’évaluation est source de stress
COMPETENCE
« Les compétences d’un emploi correspondent aux savoirs, savoir-faire et savoir-être qu’il est
nécessaire de mobiliser pour pouvoir réaliser correctement les activités propres à cette situation de
travail, tandis que les compétences d’un individus se résument aux mêmes savoirs, qu’il maitrise
effectivement et qu’il est capable de mettre en œuvre, en situation, s’il en éprouve le besoin »1 .
Les savoirs : correspondent à des connaissances aussi bien générales que spécialisées sur un thème
précis.
La compétence d'une personne est : -Sa capacité d'actualiser, d'intégrer et d'utiliser avec habileté ses
connaissances dans des situations diverses et complexes, en vue d'éviter des préjudices pour ceux qui
font appel.
-A ses services de même que pour le public en général. -Sa capacité de juger les limites de sa
compétence, d'en informer ceux qui font appel à ses services et de faire appel aux ressources
professionnelles appropriées lorsqu'il y a lieu. -Sa capacité d'établir ses dossiers, d'en assurer la
confidentialité et de mener ses mandats à bonne fin. -Sa capacité de bien administrer sa pratique
professionnelle. -Ses capacités psychiques et physiques dans son exercice professionnel.
- La compétence est individuelle, elle correspond à une caractéristique de l’individu qui lui permet
d’être performant. - La compétence possède une valeur forte aux yeux du client, et représente donc
un avantage de poids. - La compétence est dynamique, les différentes éléments de la compétence se
développent dans une confrontation avec l’action, celle-ci est donc en permanence adaptée au
contexte dans lequel vit l’individu qui la possède1 . - La compétence est conceptualisée, finalisée, la
compétence ne peut être définie que dans une situation précise, il n’existe pas de compétence
détachée de l’action.
Après l’évaluation :
C. La rémunération
Ø la prime de rentrée scolaire qui est un forfait gratuit alloué à tous les
agents à la rentrée des classes (note de service).
A. La couverture médicale
Ø Pour les cas de force majeure au travail, les agents sont évacués
d'urgence et suivis médicalement.
B. Prévoyance retraite
L'E C W assure une bonne retraite à chaque employé :
1. Aides Financières
§ 21 agents ont bénéficié de l'aide pour les cas de décès en 2006 pour la
fête du mouton ; de la viande a été distribuée aux agents.
2. habitat et transport
Par ailleurs, les prêts des véhiculés sont disponibles pour certains cadres
responsables de la firme.
IV. Les évaluations
Les deux dernières décennies ont vu fleurir les évaluations tous azimuts
dans les entreprises. Ainsi, il y a les évaluations pré et post formation,
évaluations de bilan des compétences, évaluations sur un sujet, un
matériel, un logiciel, un thème ou une aptitude et enfin évaluation dans le
cadre de la gestion de carrière. Nous nous intéressons surtout aux
évaluations de pilotage de carrière.
Autant de questions que se posent les DRH. Chacun est libre de faire ses
choix parmi les nombreuses solutions qui s'offrent à lui. En tout cas, une
méthode unique pour l'ensemble des membres de l'entreprise n'est pas
forcement la voie universelle.
La Gestion des Carrières est une mode de gestion à court et long terme qui
englobe tous les aspects de l'activité de l'Entreprise. Très prisée dans les
pays Anglo - Saxons, la Gestion des Carrières a fait son entrée en force
depuis quelques années dans les entreprises françaises. Certes, il subsiste
encore de nombreuses réticences à mettre en œuvre une véritable politique
de gestion des carrières. La première raison est avant tout philosophique et
culturelle ; pas facile d'imposer ce mode de Gestion du Personnel dans les
pays Latins où l'on considère encore que la Gestion des Ressources
Humaines relève d'un domaine totalement subjectif, uniquement laissé a
l'appréciation de chacun.
La carrière correspond au parcours professionnel que l'individu, peut être définit comme étant
une succession de poste occupé tout au long de son parcours professionnel. « La gestion de
carrière consiste à concevoir dans le temps les parcours de carrière et la succession des postes
occupés par les salariés : il s’agit de tenir compte du passé, du présent et du futur afin
d’associer les besoin de l’entreprise et les attentes et potentiels des salariés. La gestion des
carrières consiste à définir, de manière plus ou moins formalisée, la succession des
affectations des individus au sein des structures de l’entreprise ».4
Pour Jean-Marie Peretti il définit la GC comme suivant : « une carrière dans une entreprise,
c'est une succession d'affectations. La gestion de carrière inclut le suivi dans la passé, le
présent et l'avenir des affectations d'un salarié au sein des structures de l'entreprise. Elle
apparaît comme un compromis permanent entre les besoins de l'entreprise, des potentiels
disponibles et des désirs exprimés par les salariés. Ce compromis s'exprime en décisions de
recrutement, de formation et de mobilité interne. Gérer les carrières c’est prendre en compte à
la fois les besoins de l’entreprise et les potentiel et souhaits de chaque salarié ».5 « La gestion
des carrières regroupe les activités de l’organisation destinées à satisfaire les besoins futures
de l’organisation, comprenant aussi bien la sélection, l’évaluation, l’affectation et le
développement des salariés »6 .
b) L’établissement et l’avancement :
Ici, le succès de carrière se définit comme une série de mouvements organisationnels tels que
les promotions ou les transferts.
2.4.1 Le salarié :
de carrière et de mobilité, aussi que les différentes formations offertes par l'entreprise et les
différents dispositifs de développement des compétences. Mais aussi connaitre son potentiel
et ses capacités pour pouvoir évaluer l'écart à combler pour acquérir les compétencessouhaités
et identifier les trajectoires possibles et les moyens d'y parvenir. Le salarié ce doit d'être
luimême maitre de son parcours professionnel en portant une attention sur l'information, la
formation et aussi l'orientation professionnel, tout comme il peut faire appel à une assistance
personnaliser auprès de la DRH, ou bien à des organismes spécialisés en dehors de
l'entreprise.
2.4.2 La DRH
Si l’entreprise a une coresponsabilité dans la carrière du salarié, la DRH joue un rôle très
important dans la mesure où, d’une part, elle est censée veiller à l’adéquation des ressources
aux besoins en personnel, et par conséquent s’assurer de l’évolution des compétences de
chacun des salariés pour se maintenir à niveau et renforcer leur employabilité, et d’autre part,
elle est censée motiver et fidéliser les salariés en gérant les attentes implicites des individus
vis-à-vis de la carrière, élément central du contrat psychologique dans la relation salarié-
entreprise.
La DRH ce doit donc de préparer et coordonner les évolutions de carrière en mettant en place
les outils nécessaires à l’évaluation des compétences, du potentiel et de la motivation. Pour ce
faire, elle s’appuie principalement sur la hiérarchie, mais peut également avoir recours à des
organismes spécialisés, en particulier en matière d’orientation et de reconversion
professionnelles.
Dans la gestion de carrière du salarie la place ainsi que le rôle du responsable hiérarchique
sont liés par la pertinence supposer de son appréciation, en effet il parait légitime de
reconnaitre une pertinence dans la mesure où le responsable hiérarchique encadre au jour le
jour ses collaborateurs. C'est notamment pour cette raison que certaines pratiques de GRH
sont partager avec l'encadrement, vu que le responsable hiérarchique est le mieux placer pour
émettre un jugement et évaluer les capacités, compétences, performance, potentiel et
motivation du salarié. Cette appréciation est le premier facteur dont la DRH tient compte sur
sa prise de décision concernant la rémunération, la formation mais également l'évolution
professionnel du salarié. Donc la personne la plus légitime pour prendre une décision relative
à la carrière est le responsable hiérarchique compte tenu de sa proximité du salarié, mais la
DRH et les personnes les plus élevés dans la hiérarchie auront une influence plus importante
sur les décisions d'évolution compte tenu de de leur vision qui est plus large concernant
l'adéquation ressource/besoins.
En plus des acteurs cités auparavant il y'en a d'autres qui interviens d'une manière plus au
moins distantes dans la carrière du salarié. Cela arrive dans de rare cas ou l'entreprise et le
salarié font appellent a d'autres organismes spécialisés qu'ont appel des prestataires extérieurs,
et cela pour aider le salarié à construire et mettre en œuvre son projet professionnel.
La DRH coordonne souvent leur intervention auprès des salariés. Les représentants du
personnel peuvent indirectement avoir une influence dans la carrière et l’évolution
professionnelle du salarié. Cette influence reste toutefois relative, dans la mesure où les
politiques de formation, de gestion des emplois et d’évolution des salariés sont soumises à
certaines instances de représentation.
Il est possible que le développement des pratique de gestion de carrière comme correspondant à un
moment daté de l'état du marché du travail et de l'environnement de l'entreprise.si l'ensemble du
personnel de l'entreprise est concerné par la notion de carrière, on constate que le personnels
d'encadrement constitue souvent le principal bénéficiaire des politiques de gestion de carrière
formalisées et organisées.
Meilleure satisfaction des besoins RH du fait d’une meilleure utilisation des ressources disponibles
dans l’entreprise Plus grande motivation et productivité des salariés Gestion des promotions
Développement des compétences des salariés Meilleur équilibre entre l’offre et la demande de
travail à l’intérieur de l’entreprise Réduction du turnover.11
La plus part du temps, ces dispositifs sont mis en œuvre dans les grandes entreprises qui souhaitent
développer des politiques de mobilité au sens large.il pourront être évolué aisément a deux critères :
leurs proportion à éliminer les freins à la mobilité, ainsi que leurs capacité à produire des enjeux
positifs pour les salaries. Ils peuvent être représenté en deux types
Ils visent à développer la motivation des salariés en faveur de la mobilité. Ils s'efforcent surtout de
combler leur manque d'information sur les possibilités réelles et objectives de mobilité. Ils ne
répondent donc qu'a une partie des difficultés de la mobilité.
Les bourses de l'emploi : Elles informent sur l'ensemble des emplois à pourvoir au sein de
l'entreprise, chacun est ainsi supposer connaitre précisément et de façon fiable les opportunités de
mobilité. Donc c'est des informations sur des supports (papiers ou électroniques). Si les supports sont
multiples (journal interne, intranet, affichage, lettre sur la mobilité, etc.) certaines critiques sont
récurrentes : biais des outils en raison de la cooptation fréquente, information partielle, problème de
mise à jour, d’accès aux outils, notamment informatique, etc.
Les cartes des métiers : Ce sont des représentations graphiques, qui permettent d'améliorer les
connaissances générales que les salariés peuvent avoir de leurs entreprises. L'objectif recherche
consiste à élargir les représentations que les salariés se font d'éventuelles opportunités de mobilité
afin d'envisager des passerelles possibles à partir des emplois qu'ils occupent. Dans ce cas,
l'entreprise aura intérêt à veiller à la cohérence entre les discours qu'elle affiche et la réalité
quotidienne que vivent les salariés.
Les forums métiers : Les forums métiers s'inscrivent dans une démarche similaire, mais plus
concrète dans la mesure où ils permettent aux salariés d'entrer directement en relation avec les
personnes exerçant ces métiers. L'objectif consiste à développer l'intérêt des salariés pour ce qui ce
passe un peu plus loin d'eux dans l'entreprise, et qui pourrait, éventuellement, les intéresser pour
une orientation nouvelle.
Les cellules d'orientation : Ces instances ont pour but d'aider les salariés à élaborer des projets
professionnels et les guider tout au long de leur carrière. Les informations obtenues peuvent ensuite
être utilisées et examinées dans le cadre d'une négociation entre l'entreprise et le salarié.
Conçus comme des aides à la décision, ces outils sont complémentaires des précédents dans la
mesure où ils constituent des démarche concrètes d'organisation de la mobilité.
Ces instances réunissent diffèrent responsables hiérarchique au sein d'une même direction, ainsi
qu'un membre de la DRH, selon les cas, et pour les populations dites sensibles, les comités carrière
peuvent êtres positionnes au niveau de la direction générale. La question de leur positionnement au
sein de la structure renvoie à celle du choix entre deux exigences parfois contradictoires :
a. D'une part, la nécessite de dispose d'une vision suffisamment élargie de l'entreprise et de ces
orientations et des possibilités de mobilité existante ;
b. D'autre part, le besoin de connaitre suffisamment les personnes dont il est question de manière à
leur proposer les affectations les plus adaptés.
Les organigrammes de remplacement : Sont en quelque sorte des organigrammes virtuels qui
s’efforcent d’identifier pour certains postes clés dans l’entreprise les personnes les mieux
positionnées pour remplacer les titulaires en poste. Cette projection permet à l’entreprise d’anticiper
et de préparer les évolutions de l’organigramme à plus au moins long terme, notamment en formant
les futurs remplaçants.
La mobilité est la capacité à se mouvoir ou à être mis en mouvement, la mobilité peut contribuer à
une amélioration globale de l’efficacité : une réactivité accrue, plus d’agilité, une meilleure
adaptabilité des principales fonctions. En gestion des ressources humaines, elle renvoie à la capacité
d’un individu à accepter un changement dans le contenu ou la forme de son emploi.
2.1 Définition :
« La mobilité professionnelle désigne le passage d’un individu d’une profession ou d’un groupe de
profession à une autre profession ou un autre groupe de profession ».
On peut distinguer plusieurs formes de mobilité interne qui soulèvent des problèmes de gestion.
En générale la mobilité verticale implique une promotion au sein de l’entreprise après une hausse des
qualifications et des compétences puis généralement accompagner d’une augmentation de la
rémunération et d’avantages. Car on considère que le salarié est apte à occuper un poste de niveau
supérieur vu son potentiel.
2. La mobilité verticale (vers le bas) : Dans ce cas-là il s'agit d'une rétrogradation ou d'une
dégradation dans la hiérarchie, mais on réalité l'entreprise préfère rompre son contrat avec le salarié
que de le voir incapable a continuer à occuper son poste. Cela ce génère par de différentes causes
que ce soit par une promotion accordée qui n’a pas été concluante, soit par la disparition du poste.
3. La mobilité horizontale : Mise en avant par l’entreprise pour plus de flexibilité, elle renvoi a un
changement de poste seulement de même niveau hiérarchique. Donc le changement de poste ne
s’accompagne pas d’un changement de position hiérarchique.
On distingue de différentes formes de mobilité externe que ce soit par le plein gré du salarié (retraite
anticipé) ou bien subie (licenciement collectif).
1. Le licenciement :
Le licenciement est la rupture du contrat de travail à l'initiative de l'employeur. Mais de nos jours il
faut à toute employeur voulant résilier le contrat le reliant a un salarié doit avoir un motif réel et
sérieux.
2. Le licenciement économique : Une entreprise peut procéder à un licenciement pour motif
économique lorsque des difficultés économiques ou des mutations technologiques entraînent une
suppression ou une transformation du poste de travail, ou bien une modification du contrat de travail
(refusée par le salarié). Le licenciement économique doit être distingué du licenciement pour motif
personnel : en aucun cas, le motif invoqué ne peut ici être lié à la personne du salarié. Ce dernier
peut ici être licencié sans pour autant avoir commis une faute.
4. La fin du CDD : Au terme de l'échéance du contrat du travail dit CDD, l'employeur a le droit de
mettre un terme à ce contrat en toute légitimité, mais il doit tenir compte d'informer le salarie de
l'achèvement du contrat il crée donc un délai de prévenance.
5. La démission : Tout salarié souhaitant résilier son contrat de travail a le droit de le faire et cela on
respectant certaines procédures, il prévient son employeur de sa décision de mettre un terme à son
contrat définitivement. Et ça ce fait soit de maniéré écrite ou bien verbalement tout en respectant les
dispositions particulières des conventions collectives. La démission n'a pas à être motivée. Car la
jurisprudence considère que la volonté de résiliation du contrat du salarié doit se manifester de façon
certaine et définitive.
Par contre il est important de connaitre pour la personne qui gère le personnel les raisons qui
poussent le salarié à présenter sa démission car cela est surement du a un dysfonctionnement au sein
de son entreprise.
Toutefois, le salariés avance dans une lettre de démission ou un entretien de démission les raison qui
l'on pousser à démissionner, et la notification par le salarié de sa décision permet de fixer la date à
laquelle le contrat prendra fin. La période pendant laquelle le contrat continue de produire ses effets
constitue le préavis. La durée du préavis résulte en général de la convention collective, du contrat de
travail, ou du règlement intérieur de l’entreprise et on générale il est fixé comme suit :