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Groupe : 12
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logiques la soutenant
- Développement des liens logiques suffisants
- Pertinence des idées
- Clarté des idées
- Précision et cohérence des idées.
Paragraphe 5: Conclusion
- L’étudiant.e explique avec quelle théorie/argument il/elle est le plus en accord et revient sur les
points importants des enjeux de la question.
- L’étudiant.e amène une observation pertinente pour ouvrir le débat.
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Commentaires :
Notre personnalité est-elle déterminée par les autres?
Dans le monde dans lequel nous nous trouvons présentement, il est remarquable
d’observer que chacun de ses intégrants apporte son point de vue dans le but
d’accomplir des changements dans l’ensemble des aspects qui entourent et forgent
notre société. Cependant, durant le siècle où Karl Marx existait ou bien celui de René
Descartes, père fondamental de la modernité, plusieurs parmi nous auraient été
d’accord avec le fait que notre personnalité est incapable de résister à l’influence de
tiers. C’est pourquoi la question de « Notre personnalité est-elle déterminée par les
autres » surgie à la pensée de plusieurs. Tout d’abord, expliquons ce qui est la
personnalité et la société (les autres). Selon mes connaissances, la personnalité chez
l’humain est l’ensemble des aspects moraux et psychologiques qui nous distinguent les
uns des autres dans la société. La société à sa fois est formée par les diverses personnes
ayant des croyances et valeurs différentes qui se relationnent sur un même territoire les
unes aux autres. Selon René Descartes, la raison est fondamentale pour l’humain, car il
est un être rationnel, sa pensée ne dépende de rien, donc de personne tandis que Marx
n’appuiera pas cette réflexion, car il dit que l’humain dépend de l’organisation
économique dont il fait partie. Selon ma perspective des choses, je dénie le fait que
notre pensée est déterminée par la société.
Pour expliquer le point de vue René Descartes (1596-1650), il faut comprendre qu’il
avait eu un parcours assez vaste dans plusieurs domaines comme la physique, les
mathématiques et la philosophie, il vivait dans un siècle où le passage d’une succession
de pensées signalant les êtres humains comme des divinités avait pris fin, la certitude de
que la terre n’était pas le centre d’un tout, mais le Soleil, en fait, c’est l’évènement de
cette dernière que lui suscite l’envie de chercher des méthodes pour connaître la vérité
absolue (fonder le savoir pour arriver à la certitude). Clairement, Descartes voyait la
capacité d’entendement des choses comme la résolution d’un problème mathématicien,
où l’évidence, l’analyse, la synthèse et le dénombrement de celle-ci devrait être les pas
à suivre pour connaitre la vérité recherchée. Pour lui, on ne devait pas se fier à nos sens,
donc, tout est à douter et c’était justement par le doute, qu’on pouvait ainsi arriver à la
raison. Cependant, « si l’on doute de tout, rien ne peut être certain ». Nonobstant,
comme Descartes dit « Cogito ergo sum », qui veut dire traduit du latin « si je pense,
j’existe ». Selon Descartes, le fait de notre existence qui nous donne une essence, un
but. C’est cette essence qui démontre en quelque sorte notre nature humaine, notre
personnalité et la façon de nous comporter dans la société. À sa fois, son concept de
nature humaine est issu des deux « substances »: le corps et l’âme, ce dernier
autrement appelé « l’esprit » est une substance immatérielle qui n’a pas besoin de
quelqu’un ou quelque chose pour subsister, contrairement au corps, que lui sans lieu où
s’abriter où sans l’aide de tiers ne peut pas se développer. Par conséquent, l’esprit
humain est libre. Bref, Descartes ne serait pas d’accord avec le fait que notre pensée est
déterminée par les autres, puisqu’elle ne dépend que de nous pour s’apprivoiser en
connaissances et non des tiers.
Pour poursuivre avec l’analyse de ces deux penseurs, les concepts sur leurs conceptions
anthropologique et à la raison serait expliquée dans le but de trouver la meilleure
théorie pour comprendre l’humain. Une conception anthropologique fait référence à
l’étude qui compare les diverses cultures durant l’histoire de l’humanité. Pour Marx,
l’humain est un sujet social et travailleur affecté par le matérialisme historique, donc il
serait affecté par les décisions de ceux qui se trouvent dans le haut de la chaine de
l’organisation économique le laissant ainsi incapable d’agir ou penser par soi-même, car
il dépend de la société dont il se trouve, contrairement à Descartes qui implique que
l’humain est rationnel, donc capable de penser et agir par soi-même sans limites et sans
dépendre de la société, chaque décision que se prend dans la société serait donc
l’entière responsabilité de l’individu en question. En ce qui concerne la meilleure
conception anthropologique, je suis tout à fait d’accord avec la pensée de Karl Marx, car
si par exemple : je ne peux pas m’offrir mes études universitaires, je me vois limitée par
une société ou le matérielle (dans ce cas, le capital) détermine mon agir et ma pensée.
Ensuite, la raison est la capacité propre à l’humain de pouvoir juger par ses propres
principes, la façon dont il doit se comporter. Selon Descartes, l’être humain est
rationnel, il croit que sa façon de raisonner n’est pas affecté que par sa volonté et
curiosité, tandis que, Marx dit la raison est un concept construit, duquel les bourgeois
profitent pour aliéner les prolétaires et ainsi développer le capitalisme, leur faisant
croire que c’est ça la voie de la raison humaine. En ce qui concerne cette conception sur
la raison, je suis à nouveau d’accord avec le point de vue de Marx, puisque nous vivons
dans un monde capitaliste, où souvent celui qui possède d’argent, possède plus de
ressources pour obtenir ainsi plus d’information.
Alors, si l’on fait retour à la question du départ « Notre personnalité est-elle déterminée
par les autres ? ». Selon moi, dans l’actualité nous ne dépendons pas de la société pour
former notre personnalité, puisque c’est notre liberté de pensée qui la crée, à travers de
notre curiosité d’apprentissage. Donc, pour moi, la relation entre ces deux concepts est
la liberté de pensée. La liberté de pensée est le droit inné que tous les êtres conscients
possèdent de penser comme ils le souhaitent, en ayant des opinions personnelles même
si l’on contredit, une idéologie externe majoritaire. Grâce à des outils comme l’internet,
les cellulaires entre autres outils technologiques, nous avons l’accès à des milliers
d’archives et des opinions que dans l’époque copernicienne de Descartes ou l’époque
industrielle de Marx, les gens n’avaient pas. Cependant, avant les gens devaient souvent
se fier sur l’information que le peuple pouvait se fournier entre eux-mêmes, sans
pouvoir avoir accès à d’autres points de vue, si l’on compare avec le présent, nous
sommes responsables de ce que nous regardons et ce que nous suivons pour créer
notre individu, notre personne.
Pour conclure, la théorie avec laquelle je me sens plus en accord est celle des René
Descartes, puisque dans l’actualité, la façon de raisonner ne dépend que de nous et de
notre curiosité d’apprentissage, contrairement à Marx qui dû à un contexte sociale
pénible pour les ouvriers avait opté parlait d’aliénation économique, ce qui en ce
moment, grâce à la technologie est de plus en plus une affaire du passé. Cela dit, croyez-
vous que l’on est toujours aliéné même avec l’intégration de la technologie ?