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De nombreux canadiens ressentirent
cette acquisition, par ce qu'ils
considéraient être une compagnie
appartenant à un pays sous développé,
comme une honte nationale.
Le premier manager envoyé par Vale
parlait un anglais approximatif. Parmi
les 29 ingénieurs canadiens que l'on
comptait dans les années 2007, 23
avaient quitté la compagnie 3 ans plus
tard, pour la plupart volontairement.
Les canadiens considéraient le nickel,
qui demande un savoir-faire minier et
des ressources technologiques
sophistiquées, comme plus complexe
techniquement, et plus noble que
l'extraction de fer.
Si l'on en croit le Financial Times, un
manager canadien de INCO aurait
prétendu que « si I 'extraction de fer
était un diplôme Bachelor en
management, l'extraction de nickel
serait un Ph.d ou doctorat en
management. »
A cela un ingénieur brésilien aurait
répondu « je ne comprends pas, si vous
êtes si intelligents, pourquoi vous ne
nous avez pas acheté, plutôt que le
contraire... »
En juillet 2009, les ouvriers canadiens
de INCO se mirent en grève, et
refusèrent de reprendre leur travail
jusqu'au début de l'année 2010.
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Annexe: Hofstede’s Cultural dimensions
Brési Canad Mozambiqu
l a e
Power 69 39
distance
Individualism 38 80
e
Masculinité 49 52
Tolérance 76 48 14
pour
l'incertitude
Orientation 44 36
Ion terme
Source:
https:l(ggert-hofstede.com/countries.htm
l
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