FORMATION NEGOCIATIONS COMMERCIALES – Droit Français

(Scope hors alimentaire).

Ce droit bouge beaucoup, bcp d’actualité d’une année à l’autre

EN France le droit de la négociation Ciale est plus fourni que dans les autres pays.

Il s’agissait, à l’origine, de protéger els Fournisseurs à l’égard de la Gde distribution

1 réforme / An en moyenne !

Mars 2023 Loi :

- avantage les Fourn (F)

- introduit 1 nouvelle pratique restrictive sur l’absence de Négo de BF
- + sanctuarise du régime des Grossistes (dans 1 article autonome du Code)
- Confère 1 caractère d’OP à tt les dispositions du Titre IV Livre IV du CCom dès lors que les
produits sont vendus sur le Territoire Fse (impose compétence exclusive des Tribunaux Fse
sans préjudice des traités internationaux et du recours à l’arbitrage)
- Cpt Bruxelles 1-BIS prévoit possibilité
 Côte mal taillée, intérêt direct compliqué mais intérêt direct plus important
 Dans 1 litige entre Parties dès lors que clause attributive de compétence valable va
rester compliqué d’imposer la compétence
 Intérêt pour tt les clauses attributives de compétence en faveur d’Etats Hors d’Europe
 Quid des clauses attributives en faveur des Tribunaux Anglais (APPLE a 1 prédilection
pour les Tribunaux Londoniens) pour lesquels le Règlement 1 Bis n’est plus applicable
mais tjs tenus du Règlement de La Haye – Question très compliquée
 Tt les actions de la DGCCRF ou syndicats professionnels qui défendent les F contre les
GAFAM
 Arrêt Eurelec 22/12/2022 CJUE (rendu sur question préjudicielle de la C.A. Paris)–
Oppose Ministre de l’Economie (DGCCRF en pratique) à la centrale d’Achats Eurelec : ne
relève pas de la « matière civile et commerciale » et donc ne relève pas du Règlement
Bruxelles 1 Bis.
 Donc en pratique qd le Min de l’Eco demande des mesures qu’1 partie privée ne pourrait
pa demander (amendes, perquisitions, etc) et donc cette action ne relève pas de la
matière civile & Ciale.
Donc, si Pvrs exorbitants du droit Cn, agit en vertu d’1 pvr Administratif, quasi pénal.
L’arrêt Eurelec dit que dès lors qu’en partie pvrs exorbitants, tt l’action ne relève pas de
la « matière civile et commerciale » mais plutôt d’1 action Administrative
 Question de la qualification de la Loi de Police :
o En matière de rupture il y a des décisions dans les 2 sens des Tribunaux
o En matière d’obligations déséquilibrées, les Tribunaux on tendance à dire qu’il
s’agit d’une Loi de Police
 Les débats au fond sont retardés par des questions préjud

Loi 17/11/2023 (Loi LEMAIRE) a eu pour objectif de lutter contre l’Inflation et accélérer le calendrier
de négociation pour les PGC et anticiper la date butoir (avancée au 15/1 ou 30/1/ 2024 du calendrier
de négociation de la Convention Annuelle) + date butoir pour communication des CGV.
Co
nfi
de
nti
al
C
Bcp de confusion entretenue par la Gde distribution.

3 tendances marquantes en matière de pratique restrictives :

- Multiplication de nouvelles pratiques :

o En 2029 coup d’accordéon nbre de pratiques réduit drastiquement et depuis 2019,
on re-rajoute des pratiques :
 Obtention avtage sans conPtie
 Soumission à déséquilibre significatif
 Imposition de pénalités logistiq
 Interdiction pratiques discriminatoires s’agissant des Produits de Grande
Consommation
 Obligation de négocier de BF la Convention Ecrite
 Interdiction de la Rupture brutale des relations Ciales

+ d’autres pratiques restrictives plus accessoires.

Art. L. 441-1 1 du Code de Commerce

REGLES DE FORMALISME ET TRANSPARENCE : CE QU’ON DOIT FAIRE

1. CGV
2. CONVENTIONS ECRITES
3. FACTURATION
4. DELAIS DE PAIEMENT

1. LES CGV

Constituent le socle UNIQUE de la négo° Ciale (« NC ») en matière de vente de biens ou de Sces

CAR L’objectif = protéger les Fournisseurs pour que la négo° s’engage sur la base des CGV pour les
protéger des abus des Distributeurs (Ge Distrib° notamment)

Contenu des CGV :

- Condition de règlement, éléments de détermination du prix (tels que notamment barèmes

et réduction de prix éventuelles) : taux d’escompte, absence d’escompte, pénalités de retard
(4,22 pour le taux légal, quasiment égal au Taux BCE), délais de Paiement + indemnité +
forfaitaire de 40 €, barème de prix unitaire + remises & ristournes + Tt autres clauses

- Autre élément devant figurer au sein des CGV = l’identifiant unique (L. 541-10-13 Code de
l’Envisionnement) = tt personne qui élabore, manipule, traite, vend ou importe des produits
générateurs de déchets pour chaquue entreprise soumise au principe de la RC élargie des
producteurs (REP)

Co
nfi
de
nti
al
C
- Pas d’obligation d’établir des CGV mais si on en a établi, il y a 1 obligation de communiquer
les CGV si on en a établi et la communication doit être spontanée si on est soumis à
l’obligation d’établir 1 Convention Unique (CU)
- La communication des CGV peut se faire par tt moyen constituant 1 support durable (art. 4,
25° de la Directive 2007/65/CE) – LE lien vers 1 site internet est OK si relation B to B
- Calendrier de communication des CGV :
o Dans 1 délai raisonnable avant le 1er mars de chq année
o Avant le 1/12/Année N-1 pour les PGC avec LOI LEMAIRE (entrée en vigueur
17/11/2024) , nouvelle date :
 Avant le 21/11/2023
 Avant le 5/12/2023 si C.A. > à 350 M€
- Condition Catégorielles de vente (CCV) selon les catégories d’acheteurs, sont aussi possibles
- IL FAUT ETRE VIGILANT : Les catég. doivent être déterminées par des critères objectifs et non
discriminatoires (par ex. dans magasins physique vs par internet)
Ex. de critères objectifs : C.A., nature de la clientèle, mode de distribution, destination finale
du produit, secteur d’activité concerné
- Conditions particulières de vente (CPV) sont aussi possibles pour des raisons objectives.
Dans ce cas-là il n’y a pas de communication obligatoire. Prévalent sur les CGV si elles
existent et qu’il y a discordance avec les CGV(avis 16-11 de la CEPC)
- Pour qu’elles soient opposables il faut que les CGV aient été acceptées par l’autre Partie (art.
1119 du CCiv.) la charge de la preuve incombe au Vendeur.
- Sanctions Administrative : amende administratives 15 000 € / 75 000 € pour per. Morales
Non respect du calendrier :75 000 € / 375 000 pour pers. Morales

- CGV Grossistes sanctuarisées: L. 441-1-2 nouvel article spécifique « Grossistes) qui

s’applique tant dans leurs relations avec les Fournisseurs (relation amont) qu’avec les
acheteurs (aval). Le contenu n’a pas évolué en revanche par rapport à avant et au reste des
CGV. On veut exclure de la définition de grossiste le commerce de détail.

- L’acceptation des CGV donne lieu à un contentieux très très important. Discutable si CGV
simplement au dos des factures (quid si courant d’affaire très continu sans contestation de
l’autre Ptie pdt tt ce tps)

- Circulaire de l’Administration qui confirme que la communication des CGV n’est obligatoire
que si elles ont été établies.

- Veiller à ce que les CLAUSES des CGV soient les + équilibrées possibles.

- Prévoir le maximum de canaux de communication des CGV (dos des factures, bons de Cndes,
…)

- On peut transmettre les CGA mais sans jamais les imposer. Si contradiction CGA/CGV : rien
ne s’applique c’est le Droit Cn mais peut donner lieu à 1 amende si on impose les CGA.

2. CONVENTIONS ECRITES ET FORMALISME

- Art. L.. 441-1 CU PGC ou grossiste

Co
nfi
de
nti
al
C
- On peut échapper à cette obligation si 1 F vend ses produits uniquement sur base CGV ou
CCV avec des RRR uniforme à l’ensemble des acheteurs = vente que sur la base de
Conditions générales (avis CEPC de 2010 et 17/12/2020 ° Accepté par la Jurisprudence)
puisque les CGV servent de Convention Unique (CU)
- Si on négocie les RRR ou si des Sces de Coopération Ciale sont prévus il faut faire 1 CU
- Pas nécessaire si les produits sont distribués à l’étranger si le Distributeur est étranger et le
Fournisseur Fse ou si les produits sont transformés par l’acheteur.

- 3 types de CU :

o CU de droit COMMUN L. 441-3, I CCom : régime général – CU doit être signée au

plus tard le 1/3/ pour 1 an mais aussi possible pour plusieurs années (CU
Pluriannuelle de 3 ANS MAXI) si elle fixe les modalités suivant lesquelles le Prix est
révisé (par des indices ou par 1 méca de révision) – Le texte de la CU peut être
modifié par 1 avenant Ecrit qui doit indiquer l’élément nouveau justifiant le fait qu’il
y ait 1 avenant.
Les conditions DEROGATOIRES : demandes régulières en cours d’année de remises
complémentaires demandées par le client final (ex. dans el cadre d’1 chantier) on
prévoit dans la CU que l’on peut par simple échange de mails demander 1 remise
complémentaire et le F y répondra par mail. Mais attention : le prix final ne doit pas
être 1 prix imposé
IDEM POUR CU Grossiste

o CU spécifique aux PGC L. 441-4 CCom plus sévère à tt points de vue et plus
complète : produits non durables à forte fréquence et récurrence de consomma° et
dont la liste figure dans 1 décret de 2029. Ne s’applique pas aux Grossites même s’ils
achètent des PGC –
Communication CGV avant le 21/11 ou le 5/12 selon le C.A
Refus/acceptation des CGV notifié par écrit par le distributeur dans 1 délai
raisonnable
Contenu : C.A. prévi, plan d'affaires, modalité de révision du C.A.
Cocomitance entre date d’entrée en vigueur et date d’effet du prix convenu
Date butoir de signature et prise d’effet de la CU : au 15/1 ou 31/1/2024 (Loi
Lemaire)

o CU GROSSISTES L. 441-3-1 CCom: les centrales d’achat ou de référencement de

grossistes – Achète à 1 ou plusieurs Fourn et revend à titre principal à d’autres
Comç, grossistes ou détaillants ou transformateurs
o CONTENU : plus complet : mentionner chacune des obligations réciproques des
Pties, interdiction des pratiques discriminatoires

- CONTENU de la CU :
o Modalités de calcul du prix 3 fois net
o Conditions de règlement
o Sces de Coop° Ciale sces rendus par le distributeur au F. (publicité, emplacement
privilégié des produits, catalogues, attribution d’emplacement privilégiés, location
Co
nfi
de
nti
al
C
 de frigos de boissons fraiches ?) doivent être facturé par le Distributeur au F. Les
Sces Logistiques.
Ne sont pas considérés comme des Sces de Coop° : ni la présentation astucieuse des
produits, ni modalités de livraison, de conditionnement et de stockage, ni la mise en
rayon des produits, ni des prestations d’optimisation des Cndes, de paiement
centralisé et d’unité de négo°, réalisation d’objectifs de vente, ni Sces relatifs à des
produits MDD.
Jurisprudence assez sévère là-dessus et relève des Juridictions Administratives.
o Avantages financiers :
o Autres obligations, Sces distincts qui ne sont pas destinées à favoriser la cialisation
des produits (par ex. fourniture de statistiques)
o Accord international

- SANCTIONS du non-respect des date de signature de la CU :

o Amendes DGCCRF (jusqu(à 5M€ pour les pers. Morales pour les PGC) + Contentieux
devant Trib Administratifs
o En général, l’amende pèse sur le Distributeur dès lors que le F a adressé les CGV
dans les délai, il y a 1 présomption de rc du distributeur
o le F peut mettre fin à la relation avec le Distributeur sans que celui puisse invoquer
la rupture brutale si le F a négocié de BF avant signature de la CU –
o Les amendes CU se cumulent, si 1000 CU sanctionnées, elles peuvent se cumuler !
- Interdiction d’accorder des avantages rétroactifs en cas de modification de la CU

3. FACTURATION DES PRODUITS

La facturation doit être établie ou envoyée dès la réalisation de la livraison et de la prestation

L’obligation repose sur les 2 Pties : l’acheteur est tenu – Il y a 1 CO-RESPONSABILITE – Il faut envoyer
1 LRAR ou 1 mail à personne dénommée comminatoire si manquement de l’autre Ptie

13 MENTIONS SUR FACTURES Art. L. 441-9 C.Com : Il y a énormément de mentions obligatoires dont
certaines dans Code Fiscal

La FACTURE DOIT CONTENIR LE LIBELLE DES PRESTATIONS ? la CU ne suffit pas

Facture électronique Inter-entreprise délais prolongés à 2026 et 2027

SANCTIONS :

- sanctions Administratives élevées

4. DELAIS DE PAIEMENT

Depuis Egalim 1, nouvelle section introduite spécifique au sein du CCom L. 441-10 à L. 441-16

DP de droit Cn : 30 jours après date de réception produits/prestat° = DP par défaut.

Sinon : 60 j net date facture ou 45 JFDM date de facture à titre dérogatoire (pvant être calculé de 2
manières #)
Co
nfi
de
nti
al
C
Délais spécifiques (alimentaires/boissons, Transports (30 JOURS) / dérogatoires 5 secteurs, Export
hors UE, Outre-Mer)

Multiplication des CONTROLES de la DGCCRF et SANCTIONS prononcées de + en + Lourdes

Particulièrement ciblées les ENtp ayant bénéficié d’1 PGE durant COVID

AMENDES ADMINISTRATIVES : 75 K€ / 2 M€ pour Pers. Morale pvt être doublée si récidive dans les 2
ans. Souvent l’Administration re-contrôle dans les 2 ANS pour vérifier que les DP sont désormais
respectés par l’EntP + PUBLICATION automatique DE LA SANCTION « NAME & SHAME » sur le site de
la DGCCRF pour 1 effet dissuasif + sur Site d’annonces légales + à titre facultatif sur tt support (page
d’accueil du site internet de l’Entp) durée de publication de la Sanction comprise entre 6 et 12 mois
le + souvent

Sanctions non publiées car rendues par l’Adm° : difficile de connaître la motivation spécifique de la
sanction

1 800 amendes notifiées depuis 2014

128 700 Visites dans 88 400 établissements et sites internets en 2022

38,3 M€ d’amendes

II. PRATIQUES DISCRIMINATOIRES

Bilan des décision rendues en 2022 :

La disposition la plus invoquée = le DS (35) vs 7 pour l’ASC

EN 2022 aucune décision n’a condamné pour ASC et 4 pour obligation déséquilibrées (DS)

Ce ne sont pas des procès faciles.

Champ d’application élargi des parties concernées et du moment « à tout moment » = lors de la
négo°, de la conclusion ou de l’exécution de la relation.

A. Obtention d’1 avtge sans contrepartie ou manifestement disproportionné (« ASC ») (un

peu plus objectif)

Obtenir ou même tenter d’obtenir 1 ASC

Infraction au champ d’application large Ccass 11/1/2023 : est réprimé « l’obtention d’1 ASC qq
soit la nature de cet Avtge ».

Simple fait d’avoir obtenu 1 ASC est réprimé même sans soumission.

 Du coup faut-il Tjs baser son action juridique sur ce fondement-là ? Plutôt que
soumission de l’autre Ptie à des obligations déséquilibrées ?
 Chacune des infraction a son propre champ d’application : donc on a intérêt à attaquer
sur le DOUBLE FONDEMENT des 2 car on peut le faire dans la même instance.
Co
On peut reprocher via l’ASC: nfi
de
nti
al
C
 - Contrôle Judiciaire des prix - Des prix ou réductions de prix (avoir ou baisses de prix) – très
discuté en Jurisprudence

o Au début non accepté et la jurisp est allée dans tt les sens

o QPC à l’initiative d’AMAZON => le Conseil Constitutionnel a dit que le contrôle des
prix était conforme à la Constitution.
o QPC au Conseil d’Etat qui a dit que l’on peut contester le prix ou ses composantes
par le biais de l’ASC.

- 6/9/2023 CA de Paris. Sur les Sces de Coop° Ciale : Le Fournisseur doit prouver que prix
payé, le Distributeur doit prouver qu’il a rendu 1 Sce de consistant (nécessité de garder des
documents justificatifs à titre de preuve).

= C.A. Paris 10/5/2023 MPH Distribution / Monoprix

B. Déséquilibre significatif (un peu plus subjectif)

Soumission à des obligations déséquilibrées

EN droit Fse on a plusieurs Catég de clauses abusives qui ont chacun des avtges &
Inconvénients :

- Clause abusive de droit Cn du Code Civil (art. 1171) peut s’appliquer à tt les contrat signés
depuis 1//10/2016 :
o Clauses réputées non écrites et donc imprescriptible
o A 1 application très très résiduelle dans les activités commerciales (Cf. Jurisp Ccass
ci-dessous)
- DS Code de Comç :
o on peut remettre en cause le prix ou les composantes du prix
o on peut saisir la DGCCRF pour qu’elle agisse à sa place
o on peut mettre en cause à la fois des clauses et des comportements unilatéraux
o il faut prouver qu’on a été soumis ce qui n’est pas si facile
o on doit agir devant 8 juridictions spécialisées (CA de Paris unique)
o Presciption de 5 ans
- DS Code de la consommation :
o Régime plus ancien
o Clauses réputées non écrites et donc imprescriptible
o

Articulation entre les 3 actions ?:

- Question très débattue avec Jurisp dans les 2 sens :

o On choisi ce qui nous arrange le plus
Ou bien

Co
nfi
de
nti
al
C
 o on opte pour le CCom si on est Comç : la Ccass a tranché pour le Non Cumul car
Droit Spécial qui exclut le droit Général en se basant sur les travaux préparatoires de
l’Ord. Egalim

EN droit Européen la location Ciale est 1 prestation de Sces donc le DS du CCom va s’appliquer aux
Baux Ciaux (contentieux de masse à prévoir) Arrêt CJCE

2 conditions de LA SOUMISSION :

- Prouver obligations déséquilibrées

- Prouver que l’on a tenté de nous soumettre

Critère déterminant : le fait qu’il n’y a pas eu de négociation effective entre les Pties. Ceci n’est pas
très clair en jurisp où il y a des arrêts dans les 2 sens :

- Le seul fait qu’on ait 1 contrat d’adhésion ne suffit pas, il faut démontrer qu’il n’y a pas eu de
possibilité de le négocier
- Le seul fait que les obligations soient déséquilibrées ne suffit pas.
- Le poids économique n’est pas totalement indifférent (c’est 1 indice) comme notoriété,
caractère incontournable, le fait de Pvr sortir facilement du contrat, le fait que les clauses
sont affreuses, etc
- Il faut prouver 1 système d’indices :
o rapport de force déséquilibré au cas d’espèce
o contexte de la négo° : absence de négo° effectives
o 1 Ptie a demandé de négocier et l’autre partie a refusé la négociation. Il faut
provoquer le « NIET » de l’autre Ptie à titre de preuve.
o Il faut prouver que l’on a contesté le principe d’une obligation et ce même si on l’a 1
peu (mais insuffisamment négocié). SINON LE GAFAM FAIT SEMBLANT DE NEGOCIER
1 PEU
- C’est 1 sujet compliqué
- Peut-on contrôler le prix sur fondement du DS ?
o QPC, etc, etc
o Au Final il a été décidé que l’on pouvait contrôler le Prix / Avtages tarifaires (cf. le
Panorama des clauses déséquilibrées dans la Prez en P. 172)
o Clauses attributives de Juridiction : peuvent-elles être être considérées comme
déséquilibrées lorsque pays lointain, arbitrage cher ce qui désavantage la Partie
Faible que ça empêche d’exercer ses droits. Mais cela se heurte au fait que le
Règlement Bruxelles I Bis prévoit la possibilité d’une clause attributive. Cf. Arrêt
Subway du TC Lyon 1/2/2023
Il y a 1 débat actuellement en DIP sur le fait de savoir si l’on ne va pas trop moin en
prévoyant des clauses attributives de compétence qui empêchent les Pties faibles
d’agir (notamment v-à-v des pratiques des GAFAM).

- Pénalités Logistiques : (P. 182 de la Prez)

o Loi Egalim 2 a créé 1 sous-section dans le CCom qui contient 3 art. L. 441-17 à 19 Co
nfi
de
nti
al
C
  Nouvelle pratique restrictive créé au L442-1, I, 3° CCom
o Loi Descrozaille : Obligation de déclarer tt ls ans le montant des pénalités infligées
o => 3/11/2023 : LIGNES DIRECTRICES PUBLIEES PAR LA DGCCRF

L441-3, I bis Ccom précise que les obligations réciproques en matière logistique (pénalités
logistiques) font l’objet d’une convention écrite distincte (de celle sur les éléments
tarifaires). Dans le but que les Pties se concentrent sur ces éléments. C’est pour cela que le
Législateur en a fait qqchose d’à part.

Dès lors que le contrat contient 1 clause de Conciliation et que cette clause n’a pas été
respectée, cela entraîne automatiquement l’irrecevabilité de la saisine. (Clause obligatoire
de conciliation ou facultative ?)

Co
nfi
de
nti
al
C