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🛑🛑🛑🛑 urgent TP de droit civil de bien.

1. Donnez la nature juridique d'une campagne d' évengilisation faite devant la commune de mvuzi
devant une foule de moins de 50 personnes dont la sonorisation atteint l'Isc Matadi, Imolu et tout
l'espace atteignent le stade Lumumba. Dites comment trouver une solution juridique ?

2. Suite à la succession de ses parents, Nlandu est propriétaire d'un appartement à Buima, en indivision
avec ses deux frères. Le premier Jacques, appris seul l'initiative de faire installer le JACCUZZI sur la
terrasse de l'appartement. Après avoir payer la facture, il soutient maintenant que cette dépense est à
la charge de l'indivision.

Jean, second, connait des graves difficultés financières et souhaiterait quitter l'indivision dans le plus
bref délais. Il assure ses frères, en les informant que leur cousin Jules est prêt à racheter immédiatement
sa compte part dans l'indivision.

Jacques est d'accord, mais Nlandu qui entretient des rapports assez orageux avec Jules , souhaiterait
trouver une autre solution. Il vient vous consultez en vos qualités d'expert . Tout en démontrant les
bémols dans la démarche entreprise par ce dernier ?

Voici le TP à remettre le lundi.

🛑🛑🛑🛑 Le TP est individuel. Il a insisté sur les copies conformes.

Merci et bonne soirée à tous.

1. La nature juridique d'une campagne d'évangélisation faite devant la commune de Mvuzi devant une
foule de moins de 50 personnes avec une sonorisation atteignant l'Isc Matadi, Imolu et tout l'espace
jusqu'au stade Lumumba relève probablement de la réglementation sur le bruit et les nuisances
sonores, ainsi que des règles concernant les rassemblements publics et les autorisations nécessaires
pour de telles activités. Pour trouver une solution juridique, il serait nécessaire de vérifier les lois locales
en vigueur à Mvuzi concernant les événements publics, les autorisations requises pour l'utilisation de la
sonorisation à grande échelle, et les possibles infractions aux règles de zonage ou d'occupation de
l'espace public.

2. Concernant la situation de Nlandu, Jacques et Jean en matière d'indivision et de gestion d'un bien en
copropriété, voici quelques éléments à considérer :

- Jacques a pris une initiative unilatérale en installant le jacuzzi sur la terrasse de l'appartement sans
consulter ses frères. Il pourrait être considéré comme ayant agi seul et engagé des dépenses pour
lesquelles il pourrait être tenu responsable s'il n'a pas obtenu l'accord des autres copropriétaires.
- Jean souhaite quitter l'indivision, ce qui est possible en principe, mais il doit respecter les règles de
sortie de l'indivision telles que prévues par la loi et l'acte de copropriété s'il en existe un.

- La proposition de Jules de racheter la part de Jean dans l'indivision est une option envisageable, mais
Nlandu a des réserves en raison de ses relations tendues avec Jules. Il est légitime pour Nlandu de
chercher une alternative qui préserve ses intérêts et maintienne l'harmonie au sein de l'indivision.

En conclusion, il est important de respecter les règles légales régissant l'indivision, de consulter un
professionnel du droit pour obtenir des conseils personnalisés et de chercher des solutions qui tiennent
compte des intérêts de chacun des copropriétaires tout en préservant les relations familiales.

1. La nature juridique d'une campagne d'évangélisation faite devant la commune de Mvuzi devant une
foule de moins de 50 personnes avec une sonorisation atteignant l'Isc Matadi, Imolu et tout l'espace
atteignant le stade Lumumba relève probablement du domaine du droit administratif en ce qui
concerne les autorisations nécessaires pour une telle activité publique. Pour trouver une solution
juridique, il faudrait vérifier si des autorisations préalables ont été obtenues pour l'utilisation de l'espace
public et de la sonorisation, et s'assurer que l'événement respecte les règles en vigueur en matière de
rassemblements publics et de nuisances sonores.

2. Concernant la situation de Nlandu, Jacques et Jean en matière de propriété d'un appartement en


indivision à Buima :

- Jacques a pris l'initiative d'installer un jacuzzi sur la terrasse de l'appartement et prétend que cette
dépense doit être supportée par l'indivision. Il convient de vérifier si cette dépense était nécessaire à la
conservation du bien commun et si elle a été décidée de manière collégiale.

- Jean souhaite quitter l'indivision et a trouvé un acheteur pour sa part, Jules. Nlandu, quant à lui,
souhaite trouver une autre solution en raison de ses relations tendues avec Jules.

- Il est important de noter que le partage d'une indivision peut être complexe et nécessite l'accord de
tous les coïndivisaires. Nlandu devrait être conscient que s'opposer à la vente de la part de Jean peut
entraîner des conflits juridiques prolongés.

- Il est recommandé de rechercher un accord amiable entre les coïndivisaires, éventuellement avec
l'aide d'un médiateur, pour trouver une solution qui convienne à tous et éviter des litiges coûteux.
d’y participer individuellement ou collectivement, publiquement ou en privé, dans le respect des lois, de
l’ordre public et des bonnes moeurs.

CHAPITRE II DE LA NATURE DES MANIFESTATIONS ET DES RÉUNIONS

Art. 2. — Sont considérés comme manifestations notamment, les marches, les défilés, les cortèges, les
cérémonies d’accueil, les processions, à caractère politique, culturel ou religieux.

Sont considérés comme réunions tous rassemblements sédentaires d’au moins 2 personnes ne
comportant aucun mouvement continu de déplacement d’un lieu à un autre.

Art. 3. —Sont considérées comme publiques les manifestations et réunions organisées sur la voie
publique ou dans les lieux publics ouverts, non clôturés ou celles auxquelles le public est admis ou invité.

Sont considérées comme privées les manifestations et réunions organisées en dehors de la voie
publique, dans les lieux publics ou privés fermés et clôturés.

CHAPITRE III DE LA DÉCLARATION PRÉALABLE

Section I Du principe

Art. 4. — Sans préjudice des dispositions de l’article 1er du présent décret-loi. les manifestations et
réunions visées à l’article 3, alinéa 1, sont soumises à une déclaration préalable auprès des autorités
politico-administratives compétentes.

Toutefois, les manifestations et les réunions organisées sur le domaine public peuvent être
subordonnées à l’autorisation préalable.

Section II Des autorités compétentes pour recevoir la déclaration préalable


Art. 5. — Pour les manifestations ou réunions publiques visées à l’article 4, les déclarations préalables
sont faites auprès des autorités politico-administratives ci-après:

• pour la province, les chefs-lieux de province et la ville de Kinshasa: le gouverneur de province ou celui
de la ville de Kinshasa;

• pour les autres villes: le maire; • pour la commune: le bourgmestre;

• pour le territoire: l’administrateur de territoire;

• pour la collectivité: le chef de collectivité

• pour la cité: le chef de cité.

Dans le cas des manifestations et réunions organisées sur le domaine public, les autorités précitées sont
compétentes d’accorder, le cas échéant les autorisations préalables.

Section III De la procédure

Art. 6. — II est imparti à l’autorité compétente ou son délégué un délai de 3 jours pour prendre acte de
la déclaration préalable, à dater de son dépôt. Dans le cas qui requiert, outre la déclaration préalable
visée à l’article 4, alinéa 2, l’autorité précitée dispose de 5 jours, à dater du dépôt de la déclaration, pour
répondre à la requête. Dans l’un et l’autre cas, le dépassement de délai emporte respectivement la prise
d’acte et l’octroi d’office de l’autorisation.

CHAPITRE IV DE L’ENCADREMENT DES PARTICIPANTS


Art. 7. — Les autorités compétentes saisies de la déclaration préalable ont l’obligation de veiller au
déroulement pacifique des manifestations ou réunions publiques organisées dans leur ressort territorial
ainsi qu’au respect de l’ordre public et des bonnes moeurs sans tenter de les entraver.

Toutefois, elles peuvent, de commun accord avec les organisateurs ou leurs mandataires, différer la date
ou modifier l’itinéraire ou le lieu des manifestations ou réunions publiques envisagées.

Art. 8. — Les forces de l’ordre n’interviennent pour disperser les manifestants qu’en cas de
débordements ou de troubles graves.

CHAPITRE V DES PÉNALITÉS

Art. 9. —Toute personne qui aura organisé les manifestations ou réunions publiques en violation du
prescrit de l’article 4 du présent décret-loi sera passable d’une amende de 3 à 5.000 francs congolais et
d’une servitude pénale de 1 à 3 mois ou de l’une de ces peines seulement, sans préjudice des
condamnations civiles pour les dommages éventuels causés par les participants à la manifestation ou à
la réunion incriminée.

Art. 10. — Tous les faits infractionnels commis à l’occasion des manifestations ou des réunions publiques
sont réprimés conformément à la loi pénale.

Leurs organisateurs seront tenus pour civilement responsables et condamnés aux réparations dues
solidairement avec les auteurs desdits faits.

CHAPITRE VI DES DISPOSITIONS FINALES

Art. 11. — Sont abrogés le décret du 17 août 1959 et l’ordonnance 25-505 du 5 octobre 1959 ainsi que
toutes les autres dispositions antérieures contraires au présent décret-loi.

Art. 12. — Le présent décret-loi entre en vigueur à la date de sa signature.


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