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Introduction :
Les individus de même espèce ont des ressemblances dans certains caractères qui
leurs sont spécifiques, et chaque individu il a des caractères héréditaires propres, et
qu’est capable de les transmettre a ses descendants. Au début de sa vie, l’individu
est composé d’une seule cellule, c’est le zygote, qu’est issu de la fécondation d’un
ovule par un spermatozoïde (fusion des gamètes) et il va former toutes les autres
cellules du corps par la multiplication cellulaire (mitose), Cela signifie que cette
unique cellule contient donc l’information génétique de l’individu.
Conclusion :
On en déduit que le noyau est le responsable de la vie de la cellule, et contient
l’information génétique qui détermine les caractères héréditaires de cette algue.
2- Ultrastructure du noyau
La mitose d’une cellule animale se déroule dans les mêmes étapes comme la
mitose de la cellule végétale, sauf deux différences :
Présence d’un organite appelé centrosome responsable de la formation
des fibres du fuseau de division (Aster)
Les étapes de la mitose de la cellule animale La division du cytoplasme
s’effectue par un étranglement équatorial, alors que la division du
cytoplasme de la cellule végétale s'effectue par la construction d'une
nouvelle paroi à l'équateur de la cellule mère.
III-Nature chimique du matériel génétique
Doc1 :
Les expériences de Griffith, ont démontrés l’existence d’une substance dans les
constituants de la bactéries S tué, responsable de la transformation des bactéries R
en S, Ces bactéries (S) se multiplient en donnant d’autres bactéries S, donc le
caractère de la capsule, se transmet de façon héréditaire, Griffith a appelé cette
substance « facteur transformant » mais il n’a pas déterminé sa nature chimique.
Doc2 :
On observe que L’utilisation de protéase ou de ribonucléase, a montré que les
protéines et les ARN ne sont pas impliqués dans la transformation des bactéries R en
S. (la transformation bactérienne se fait mêmes en absence des protéines et des
ARN) On observe que l’utilisation d’une ANASE qui détruit l’ADN, entraine l’absence
de la transformation bactérienne.
Conclusion :