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TECHNIQUES D’EXPRESSION ORALE

L’expression orale, en matière de communication, nécessite la maîtrise de mécanismes et de


techniques adéquats et un processus interactif dynamique. Ces techniques ont pour objectifs :
 Gagner en aisance et en sécurité dans sa prise de parole
 Accrocher, stimuler et conquérir son auditoire
 faire passer le message par la voix, le regard, la gestuelle, le mouvement.
 favoriser l’empathie
 Exprimer clairement ses idées
 Parler sans notes et gérer son temps de parole.

Pour atteindre ces objectifs, il ya un certain nombre de compétences à acquérir. Il faut savoir :
 hiérarchiser et anticiper les informations invitant au questionnement post-exposé ;
 développer une attitude interactive face au questionnement.
 trouver la cohérence entre la pensée, le dire et le faire.
 éviter les argumentaires standards
 développer une image positive de soi-même afin de renforcer la confiance en soi
 reconnaître ses points faibles pour les intégrer dans son attitude.
 apprendre à improviser pour améliorer la créativité de la parole et faire face à
l’imprévue.
 L’art de trouver le mot juste et de se faire écouter.

Cet art obéit à un certain nombre de règles :


 Règle 1 : toujours penser à l’autre : cette attention à l’autre dépend du statut de ce
dernier : on ne parle pas de la même façon lorsqu’on parle à un supérieur hiérarchique,
à un chef religieux ou à un copain. Mais dans tous les cas, cette attention doit être
permanente « au tir à l’arc, on ne pense pas à l’instrument qui est entre nos mains mais
plutôt à la cible ».
 Règle 2 : accorder son attitude à son discours, ne jamais adopter une attitude en
contradiction avec ses propres : si l’on veut un discours d’autorité, il ne faut pas être
mou. Si l’on veut un discours de charme, il ne faut pas être autoritaire. Si l’on veut un
discours de confidence il ne faut pas être distant.
 Règle 3 : croire en ce que l’on dit : celui qui est convaincu de ses propos trouve
forcément les mots pour s’exprimer ; il est éloquent, convainquant et émouvant.
 Règle 4 : rester maître de ses émotions : se laisser aller à la colère, à la tristesse ou à la
joie peut faire perdre ses moyens au locuteur qui devient incapable d’être à l’écoute de
son auditoire. Cette maîtrise de soi s’acquière par des techniques de relaxation et de
contrôle de la respiration.
 Règle 5 : lire, écrire, réciter : lire pour se construire un bagage linguistique, écrire pour
apprendre à discipliner son verbe, réciter pour s’entraîner à parler à haute voix.
Nota bene :
Abraham LINCOLN lisait le journal chaque matin en s’adressant à voix haute à un auditoire
imaginaire.

LES REGISTRES DE LANGUE

Selon l’environnement, le milieu où l’on évolue, le destinataire de notre message, nous


utilisons des registres (niveaux de langues) différents. C’est ainsi qu’on distingue trois
registres de langue :
- Le registre soutenu (recherché) ;
- Le registre courant ;
- Le registre familier.
1. Le registre soutenu : il est surtout employé à l’écrit (dans les lettres officielles et dans
les textes littéraires), il est caractérisé par :
 un vocabulaire châtié (perfectionné);
 un respect scrupuleux, des règles d’orthographe et de grammaire.
Nota bene : on dit que c’est le niveau de langue des universitaires et des plénipotentiaires.
2. Le registre courant : il est utilisé pour communiquer avec un destinataire anonyme. Il
respecte les règles de grammaire mais utilise juste le vocabulaire usuel. Il est
caractérisé par :
 un vocabulaire qui n’a aucune connotation (qui n’a pas d’affectation, de respect) ;
 un respect des règles de grammaire et d’orthographe.
3. Le registre familier : il est utilisé pour s’adresser à des personnes familières, des amis,
des parents etc. Il est caractérisé par :
 un vocabulaire relâché, affectueux ;
 une inobservance des normes grammaticales et orthographiques, il fait usage
d’abréviations, d’abrègements, d’ellipses…
Exemple :
Soutenu Courant Familier
soulier Chaussure godasse
demeurer Habiter crécher
manquer rater louper
enfant Gamin môme

LA FORMATION DES MOTS


Une des clés de l’apprentissage des langues c’est la connaissance des principaux mécanismes
de formation des mots. Elle permet de comprendre énormément de termes à partir d’un
nombre restreint d’éléments lexicaux.
Il est donc très utile de s’habituer à découvrir le sens des mots nouveaux que nous entendons
ou que nous prononçons tous les jours. C’est un procédé instructif et amusant.
Le dynamisme de la langue lui permet de construire des mots nouveaux à partir de différents
matériaux linguistiques.
La formation des mots peut se faire par :
1. Dérivation :
1.1 Préfixation :
bi / gama poly / gama
Préf. /radical Préf. /radical

1.1.1 Suffixation :

magasin/ier buv / able


Préf. /radical Préf. /radical

Cata : changement, vers le bas à travers / dys : difficulté / dia : à travers / épi : sur /

eu : bien / con : avec

2. Composition
Arc en ciel, tire-bouchon, pied-à-terre, queue de cheval…
3. Abrègement – Réduction
auto (mobile) ; télé (vision) ; (auto) bus

4. Onomatopée
Gring gring , miaou miaou, frou frou crac, aoutch ! bzzz, cot cot, ouille, vroum vroum
tic tac ; oua oua ; miaou miaou, tinter, croasser…
5. Abréviation, Sigles et acronymes
Il s’agit en fait de trois notions imbriquées :
Une abréviation est le raccourcissement d’un mot ou d’un groupe de mots.
Exemple : etc. pour « et cætera »

Un sigle est l’abréviation d’une locution qui n’en garde que les initiales (en général). Chaque lettre d'un sigle est alors suivie d'un
point ;
Exemples : J.O. pour « jeux olympiques » ; TGV « Train à Grande Vitesse » ; TVA pour « Taxe sur la valeur ajoutée »
SA pour « Société anonyme » OMVS ; UFR
Un acronyme est un sigle dont l’enchaînement des lettres se lit comme un mot simple (il est prononçable au lieu de devoir être
épelé) ; parfois ces acronymes deviennent des mots ordinaires, processus qui commence par leur passage en minuscules ;
Exemple : ONU ; SIDA « Syndrome d’ImmunoDéficience Acquise » ; RADAR « RAdio Détection And Ranging » ; UCAD ; SET

ELEMENTS DE PONCTUATION

INTRODUCTION
A l’oral, la voix monte, descend, observe des temps de pause etc. Elle permet ainsi, grâce aux
éléments prosodiques de cadencer et de rythmer notre discours permettant ainsi au
destinataire de mieux décoder le message.
A l’écrit par contre, on n’entend pas la voix de l’émetteur c’est pourquoi on fait appel à la
ponctuation pour une meilleure lisibilité du message. Une bonne ponctuation rend le message
écrit plus aéré et plus intelligible.

DEFINITION
La ponctuation est l’ensemble des signes qui, dans la langue écrite, servent à délimiter les
unités syntaxiques et à repérer les unités de sens. La ponctuation n’est pas une affaire
d’intuition. Il faut, au contraire, lui accorder une grande importante pour éviter tout risque
d’ambiguïté et faciliter la compréhension du message.
Exemples :
1. A la fin de la journée, les ouvriers, qui ont travaillé fort, sortent de l’usine. (tous les ouvriers sortent).
1’. A la fin de la journée, les ouvriers qui ont travaillé fort sortent de l’usine. (seuls les ouvriers qui ont travaillé fort sortent)
2. Laissez, pas tuez. (la personne est libre)
2’. Laissez pas, tuez. (la personne est tuée)

Quelques éléments de ponctuation


1) La virgule : elle est employée dans les cas suivants :
 Dans une énumération pour séparer les mots ou les groupes de mots.
Mordre, griffer, grogner, rugir, je ferais tous pour vaincre.

 Dans une inversion : hier soir, je suis rentré à la maison.


 Dans une apposition : Moussa, un étudiant très doué, a obtenu son doctorat.
 Dans une apostrophe : Dalanda, je veux que ce document soit prêt demain.
 Pour mettre en relief un élément placé en tête de phrase :
Moi, je ne croirais jamais à une telle chose.

 Pour séparer des mots, des groupes de mots ou des propositions coordonnées par et, ou, ni
lorsque ceux-ci sont répétés plusieurs fois :
Il ne craint, ni le vent, ni la tempête, ni le soleil.

 Pour encadrer des propositions incises.


Je vais, dit le professeur, vous expliquer la formule
Elle travaille, dit-elle, à la chambre de commerce.
 Après un nom de lieu, dans l’indication d’une date.
Thiès, le 11 février 2012

2) Le point : il marque la fin d’une phrase. Il est utilisé dans une abréviation.
3) Le point virgule :
 il est utilisé pour mettre en parallèle deux propositions.
Moustapha joue au tennis ; son frère Malick préfère le football.

 Pour séparer deux propositions qui ont une relation logique :


La planète se réchauffe ; les glaciers reculent d’année en année.

 Pour séparer les termes d’une énumération sous forme d’alinéa :


Achetez à l’épicerie :
- Trois oranges ;
- Deux pamplemousses ;
- Quatre citrons.
4) Le tiret

 Il indique le changement d’interlocuteur dans un dialogue.


— Si on allait manger !
— Bonne idée, je meurs de faim.
— Henri, tu as toujours faim, de toute façon !

 Il joue le même rôle que la parenthèse en encadrant un segment de phrase.


Les hollandais - les hardis navigateurs - ont sillonné dans tous les océans.
Dans une énumération.
- Trois oranges ;
- Deux pamplemousses ;
- Quatre citrons.

5) Les deux points :


 Il annonce une énumération
Pour faire un bâtiment, il faut : du sable, de l’eau, du ciment, du fer…
 Pour amener une citation ou des paroles rapportées :
Paul Valery : « L’art est fait de beaux détails : »
Il s’écrie : « ciel, je suis perdu ! »
 Pour annoncer une explication dans une relation de cause ou de conséquence.
Je n’ai pas aimé ce film : il était tellement vulgaire.

6) Les points de suspension :


Ils indiquent que la phrase est interrompue:
Pour faire un bâtiment, il faut : du sable, de l’eau, du ciment, du fer…

OBSTACLES A LA COMMUNICATION
(Homonymies, Paronymie, Synonymie)
1. HOMONYMIE
L’homonymie est un cas particulier d’ambigüité de la langue (il prête à équivoque). Le
linguiste décrit l’homonymie comme la relation entre plusieurs formes linguistiques ayant le
même signifiant graphique (homographe) ou phonique (homophone) et des signifiés
entièrement différents. Cette acception généralise la notion habituelle d’homonymie à des
formes, qui ne sont pas des mots.
Exemples : sans / s’en

1.1 Homonyme – Homographe


Ce sont des mots qui s’écrivent de la même manière
Exemple :
Quelqu’un qui travaille dans les mines
Mineur Enfant qui n’est pas majeur

Visage
Roche
Mine
TNT
Crayon

1.2 Homonyme – Homophone


Ce sont des mots qui se prononcent de la même manière mais qui s’écrivent différemment :
Chat / Chas / Shah

Nota bene : les formes linguistiques qui sont à la fois homophones et homographes sont
souvent appelés les vrais homonymes. On parle également homonymie parfaite.
Livre (book), livre (argent), livre (calcul) livre (marchandise), livre (pain).

2. PARONYMIE
Certains mots présentent une ressemblance plus ou moins grande par leurs formes et leurs
prononciations. Ils diffèrent généralement par un seul son : ce sont des paronymes.
NB: les paronymes sont de faux amis dont il faut se méfier : enduire / induire ; infesté /
infecté.
3. SYNONYMIE
Des mots sont dits synonymes lorsqu’ils peuvent être remplacés l’un par l’autre dans un
contexte, sans modification majeure du sens :
Lancé / envoyé
On a lancé une fusée sur la lune
On a envoyé une fusée sur la lune.
Mais la synonymie peut varier avec les contextes. En effet, dans certains contextes, tous les
synonymes ne sont pas interchangeables.
Elle a envoyé (≠lancé) un colis à ses enfants.

Selon le contexte, le même mot peut avoir des synonymes différents.


Elle en envoyé un colis (expédie)
Elle a envoyé un expert (délégué).
Les synonymes peuvent aider à distinguer deux homonymes.
Monter une tente (dresser)
Monter une maquette (assembler)
Monter les escaliers (escalader)
Le choix des mots n’est pas indifférent. Deux mots synonymes n’ont jamais le même sens
dans le même contexte :
- Des synonymes peuvent marquer des intensités différentes :
surpris < étonné < sidéré < stupéfait

- Des synonymes peuvent appartenir à des registres différents :


Pincé, appréhendé, arrêté, épinglé.

- Des synonymes peuvent impliquer un jugement différent.


Un cou gracile (mélioratif)
Un cou grêle (péjoratif)
L’emploi des synonymes permet d’éviter les répétitions, d’apporter des nuances dans le
discours.
- Enfin les mots synonymes présentent des connotations individuelles ou collectives
différentes. Les mots ressentis comme synonymes pour certains ne le sont pas toujours pour
d’autres.
Les dictionnaires eux-mêmes ne proposent pas toujours les mêmes synonymes pour les
mêmes mots.
TYPES DE TEXTE
Les types de texte renvoient à plusieurs actes de communication : raconter, renseigner,
convaincre, expliquer, ordonner ou faire agir. Ces formes ne sont pas exclusives entre elles
car dans un même discours on peut trouver des formes différentes. Ces formes sont au nombre
de sept (07) : le narratif, le descriptif, l’argumentatif, l’explicatif, l’injonctif, l’expressif et
l’informatif.

I. TEXTE NARRATIF :
Il raconte un fait, un évènement en situation et son déroulement dans le temps et dans
l’espace. Il en retrace les étapes et en fixe la durée. Il est souvent entrecoupé de passages
descriptifs, argumentatifs ou explicatifs.
Caractéristiques :
a) Les temps : l’imparfait, le passé simple, le présent de l’indicatif généralement appelé
présent de narration.
b) Les indicateurs temporels : puis, soudain, la veille, le lendemain, plus tard.
c) Les indicateurs spatiaux : à cet endroit, là, là-bas, de l’autre côté de, à côté de.
d) L’emploi de verbes d’action : courir, venir, passer, aller, (marcher, cheminer, arpenter,
enjamber, trotter, trottiner, déambuler, se promener, se traîner).

II. LE TEXTE DESCRIPTIF


Il s’efforce par les mots d’évoquer une réalité que le destinataire ne voit pas. Ce qu’on lui
décrit, il ne peut que l’imaginer. Il renseigne sur un événement, un espace, un personnage… Il
peut aussi traduire des impressions, des sensations ressenties par le l’émetteur.
Caractéristiques :
a) Le temps : l’impératif et le présent de l’indicatif.
b) Les repères spatiaux : pour localiser et donner des informations sur les lieux.
c) Les mots utilisés : des verbes d’état, des adjectifs, des comparatifs…
d) Le style : la comparaison, la personnification, la métaphore.
I. LE TEXTE ARGUMENTATIF
Il vise à convaincre de la justesse d’une idée, d’un avis, d’une pensée en s’appuyant sur des
arguments et des exemples qui ont une valeur de preuve. L’idée défendue s’appelle la thèse et
l’idée combattue s’appelle l’antithèse.
Caractéristiques :
a) Le temps : le présent de l’indicatif à valeurs de vérité générale, d’actualité,
d’intemporel.
b) Connecteurs logiques : ils servent à marquer les liens logiques entre les arguments et
les exemples : en effet, en outre, car, parce que, mais, puisque.
II. LE TEXE EXPLICATIF
Il est considéré comme le niveau supérieur du texte informatif qui prépare l’argumentation et
cherche à rendre plus clair un sujet que l’interlocuteur est censé ignoré. Il a une dimension
pédagogique.
Caractéristiques :
a) Le temps : le présent de l’indicatif
b) Les termes d’articulation : mots de liaison, adverbes, etc.
III. LE TEXTE INFORMATIF
Il a pour objectif de renseigner, de communiquer des connaissances suivant un sujet donné.
Caractéristiques :
a) Absence d’indice de la personne (neutralité)
b) Emploi de présent de vérité générale ou d’actualité
c) Connecteurs logiques de type chronologique.
IV. LE TEXTE INJONCTIF
Il incite à passer à l’action, à faire expliquer des consignes. Il implique parfois l’ordre,
l’interdiction.
Caractéristiques :
Le temps : l’impératif, futur de l’indicatif, l’infinitif.
les références à la 2e personne sont nombreuses.
V. LE TEXTE EXPRESSIF
Il exprime des sentiments et des émotions comme dans les analyses psychologiques.
Caractéristiques :
a) Le temps : le présent de l’indicatif
b) Indices de personnes : 1ere et 2e personne
c) Types de phrase : exclamatif, interrogatif, injonctif.
d) Procédés de style : hyperbole, gradation, répétition, anaphore.

VALEURS DES TEMPS ET DES MODES


L’utilisation des temps et des modes n’est pas indifférente.
Les modes et les temps ont des valeurs différentes : l’indicatif, l’impératif, le participe, le
subjonctif, le conditionnel.
- L’indicatif : mode du réel ;
- Le subjonctif : l’irréel, l’hypothétique, la supposition ;
- Le conditionnel : c’est s’appuyer à une valeur de conditionnel.
Pour les besoins de notre cours, nous insisterons davantage sur l’indicatif présent, le futur
simple, l’impératif présent, le subjonctif présent et le conditionnel présent.
- Le présent de l’indicatif : c’est le temps des faits réels qui se passe au moment de la
parole. Il revêt des valeurs différentes selon le contexte :
 Le présent de vérité générale
 Valeur de futur ; Mamadou arrive dans deux heures.
 Valeur de passé : nous sortons de chez Birahim
 Présent de répétition (itératif) : chaque matin je vais à l’université.
 Valeur historique : Christophe Colomb découvre l’Amérique en 1492.
 Présent actuel : Je prends mon cours.
- Le futur simple : il marque un fait à venir par rapport au moment de la parole. Il peut
revêtir les valeurs suivantes :
 Valeur injonctive pour exprimer un ordre : Tu prendras ce cahier
 Valeur de politesse pour atténuer un ordre : Je vous prierai de bien vouloir vous
lever.
 Valeur historique : son œuvre aura peu d’écho et il ne vendra qu’une fois de
son vivant.
- Le présent du subjonctif :
Il s’emploie pour marquer :
 l’ordre (injonction) : qu’il sorte de chez lui.
 la volonté, le souhait ou la crainte : je crains qu’il ne puisse le faire.
 le souhait : que Dieu nous bénisse
- Le présent du conditionnel
Il peut avoir :
 Une valeur temporelle : je pensais qu’il finirait
 Valeur imaginaire : Ce serait magnifique si je pouvais aller à Dubaï.
 Valeur de politesse : J’aimerais pouvoir vous rencontrer pour un entretien.
- L’impératif présent:
Il s’emploie pour marquer :
 un ordre: sors de ma maison!
 une interdiction: ne joue pas avec le feu!
 une exhortation: aidez les enfants démunis!
 un conseil: arrêtez de fumer!
 une consigne: suis les indications!

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