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TP 2
TP 2
COMPTE RENDU : TP Nº 2
Contrôle par photoélasticité
Nom et Prénom :
AKKARI Rayhane
Groupe :
GEM2S3/G1
Professeur:
Mme ALLOUCH Marwa
11
TP contrôle destructif et non destructif
I. But de manipulation :
Le but de ce TP est de déterminer la valeur de coefficient de frange f d’un matériau d’une
Éprouvette à travers l’étalonnage d'une région soumise à un état de contrainte uni axiale à l’aide
du polariscope circulaire et la méthode de Tardy.
ENIS 1 2023/2024
TP contrôle destructif et non destructif
III. Manipulation ;
1. La machine photoélasticité :
2. Manipulation :
La manipulation commence avec l'utilisation d'un polariscope plan pour examiner les
isoclines. On ajuste les polariseurs jusqu'à l'extinction totale de la lumière pour déterminer leur
orientation. En plaçant le modèle perforé avec un poids léger, on observe une isocline à travers
l'analyseur pour identifier son orientation spécifique, puis on marque cette orientation. Ensuite, on
passe à l'utilisation d'un polariscope circulaire pour étudier les isochromes. Après avoir ajouté des
lames quart-d'onde au polariscope plan et verrouillé les polariseurs alignés verticalement et
horizontalement, on marque les orientations après extinction pour l'étude des isochromes dans le
matériau.
Pour déterminer le coefficient de frange f du matériau, on réalise un étalonnage statique en
choisissant deux points A et B dans une région soumise à une contrainte uniaxiale.
ENIS 2 2023/2024
TP contrôle destructif et non destructif
Au point B :
σ = P /d×b
b = 35mm : largeur du modèle
d = 6mm : épaisseur du modèle
o Traçage de N’k(p) :
ENIS 3 2023/2024
TP contrôle destructif et non destructif
f = 1 /SK×b
On a besoin de Sk qui est la pente de la droite.
Pour la droite de point A(bleu) : s = 2 − 1 /6 − 3.5 = 0.4
Donc f = 0.07
Pour la droite de point B(orangé) : s = 3 − 1.5 /15.5 − 8 = 0.2
Donc f = 0.14
Conclusion :
La photoélasticimétrie offre une méthode visuelle et pratique pour étudier les contraintes et les
déformations dans les matériaux. Notre travail pratique a permis de mieux comprendre comment
les contraintes se traduisent par des déformations, en utilisant les franges de photoélasticité pour
cartographier les zones de contraintes. Nous avons également pu évaluer qualitativement les
niveaux de contraintes dans différentes configurations expérimentales et comparer nos
observations aux modèles théoriques pour valider nos hypothèses sur le comportement des
matériaux. Ces connaissances ont des implications importantes pour l'ingénierie des matériaux, en
particulier pour la conception de structures et de composants soumis à des charges mécaniques.
Malgré certaines limitations techniques, telles que la sensibilité aux conditions expérimentales, la
photoélasticimétrie reste une méthode précieuse qui peut être améliorée grâce à l'utilisation de
techniques numériques et d'imagerie avancées. En conclusion, notre expérience avec la
photoélasticimétrie a enrichi notre compréhension de la mécanique des matériaux et ouvert des
perspectives intéressantes pour des applications futures dans le domaine de l'ingénierie.
ENIS 4 2023/2024