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Chapitre 8 : Les stocks

Les comptes de stocks correspondent en comptabilité aux comptes de la classe 3 du PCG.


Les stocks constituent un élément important des comptes annuels et les entreprises doivent respecter des
obligations en matière d’inventaire de leur stock.
Lire contexte p 357

I. Définition et composition des stocks


Un stock est défini comme un ensemble de biens (actif) destinés soit à être vendus dans le cadre de l’activité
courante de l’entreprise, soit à être consommés dans l’activité de production de l’entreprise. (voir déf. PCG
p.358)

On retrouve dans les comptes de stocks plusieurs catégories d’éléments, notamment :


- les stocks d’approvisionnements, de matières premières, de marchandises et de produits,
- et les en-cours de production, les en-cours de services et les travaux en cours.
Catégories de stocks : p. 358

II. Évaluation des stocks à la date d’entrée


Les stocks de matières premières, marchandises et approvisionnements doivent être évalués à leur coût
d’acquisition.

Les stocks de produits (en-cours, finis, …) doivent être évalués à leur coût de production.

1. Détermination du coût d’acquisition


Coût d’acquisition = prix d’achat + frais accessoire

Le prix d’achat est retenu pour son montant hors taxes déductibles, compte-tenu des éventuels rabais,
remises et ristournes obtenus sur les factures d’achat.

Les frais accessoires d’achat correspondent à toutes les charges directement attribuables à l’acquisition des
matières telles que :
- les commissions sur achats,
- les frais de transport sur achats, les assurances transport et les dépenses de manutention,
- les droits de douane à l’importation,
- les coûts d’emprunts (sous conditions et sur option).
En revanche, sont exclus de cette catégorie :
- les frais de recherche et de sélection des fournisseurs, les frais d’études des offres
commerciales,
- les frais de passation de commandes,
- la fonction approvisionnement si elle est interne à l’entreprise (dans le cas où elle est sous-
traitée, elle est une composante des frais accessoires d’achat),
- les frais liés au stockage des marchandises à revendre en l’état (transport entre magasins,
consommation d’énergie des magasins etc.).
Voir exemples p.359

2. Détermination du coût de production


Coût de production = coût d’achat des matières + charges directes de production (main d’œuvre…)+
charges indirectes de production (électricité, eau …)

Les charges directes de production sont principalement constituées par la main d’œuvre (salaires, charges
sociales des ouvriers) et la sous-traitance ayant directement contribué à produire le bien ou à réaliser l’en
cours.

Les charges indirectes de production correspondent :


- Aux frais généraux de production encourus pour transformer les mat 1ère en prdts finis

DCG2/UE10/DM Chapitre 7 : Les stocks 1


- Aux coûts encourus pour amener les stocks à l’endroit et dans l’état où ils se trouvent.
(Amortissement des machines, des logiciels ou des brevets, redevances de crédit-bail des biens utilisés pour
la fabrication des produits, des consommations énergétiques nécessaires …).
Sont exclus des coûts de production :
- les frais généraux administratifs du siège,
- les frais de stockage des produits finis,
- les coûts liés à la sous-activité (voir p.360), frais fixes correspondant à la sous-activité non
inclus.
- les frais de distribution et de commercialisation (frais de publicité, marketing…).
Voir exemples p. 360
Application 1 p. 382

III. Évaluation des stocks à la date d’inventaire


1. Inventaire physique
Toutes les personnes physiques ou morales ayant la qualité de commerçant ont l’obligation d’établir un
inventaire physique des stocks au moins une fois tous les 12 mois.
Deux cas sont à distinguer :
- Lorsqu’un inventaire permanent fiable est mis en place, l’entreprise peut réaliser son inventaire
physique à une date antérieure à celle de la clôture de l’exercice (avec un écart maximal de trois
mois) et également procéder à des inventaires physiques tournants ;
- En l’absence d’inventaire permanent, l’inventaire physique doit être réalisé à la clôture de l’exercice
comptable.

2. Valorisation des stocks


Une fois les quantités déterminées par l’inventaire physique, il faut valoriser les stocks.
Deux méthodes sont autorisées.

a. Méthode du coût moyen pondéré


Le coût moyen pondéré est le rapport entre le total des coûts d’acquisition et les quantités acquises ou total
coût de production et les quantités produites, sur une période donnée.
Ce calcul peut être effectué soit à chaque entrée, soit sur la durée moyenne de stockage.

b. Méthode du premier entré, premier sorti (PEPS/FIFO)


Toutes les sorties de stocks au cours de l’exercice sont valorisées au coût de l’article le plus ancien.
Par différence, il en résulte que les stocks sont valorisés au dernier coût d’acquisition/de production connu.

Application :
Une entreprise a effectué un inventaire physique le 31/12/N et a constaté l’existence d’un stock de
marchandises au 31/12/N de 50 unités.
Les mouvements de stock de la marchandise en N sont les suivants :
01/01/N 15/03/N 20/03/N 20/09/N 01/12/N
Stock initial Entrée de Sortie de 120 unités Entrée de Sortie de 60 unités
100 unités à 10 € 50 unités à 11 € 80 unités à 8 €

Valoriser les stocks au 31/12/N selon la méthode du PEPS et du CMUP.

Valorisation selon la méthode du PEPS :


Entrées Sorties Stock
Date Opératio Qté Prix Monta Qté Prix Monta Qté Prix Monta
s ns s unitai nt s unitai nt s unitai nt
re re re
01/0 SI 100 10 1000
1
15/0 Entrées 50 11 550 100 10 1000
3 50 11 550
DCG2/UE10/DM Chapitre 7 : Les stocks 2
20/0 Sorties 100 10 1000 30 11 330
3 20 11 220

20/0 Entrées 80 8 640 30 11 330


9 80 8 640
01/1 Sorties 30 11 330 50 8 400
2 30 8 240
Valeur du stock au 31/12/N = 400

Valorisation du stock selon la méthode du CMUP sur la durée moyenne de stockage :

CMUP = (100*10 + 50*11 + 80*8 ) / 230 = 9,52

Valeur du stock au 31/12/N = 9,52 * 50 = 476

Valorisation du stock selon la méthode du CMUP après chaque entrée:

Entrées Sorties Stock


Date Opératio Qté Prix Montan Qté Prix Montan Qté Prix Montan
s ns s unitair t s unitair t s unitair t
e e e
01/0 SI 100 10 1000
1
15/0 Entrées 50 11 550 150 10,33 (1) 1549,5
3
20/0 Sorties 120 10,33 1239,6 30 10, 33 309,9
3
20/0 Entrées 80 8 640 110 8,64 (2) 950,4
9
01/1 Sorties 60 8,64 518,4 50 8,64 432
2

(1) (10*100 + 50 * 11) / 150


(2) (640 + 309,9) / (80 + 30)

3. Constatation des dépréciations


La valeur d’inventaire est égale à la valeur actuelle : valeur la + élevée entre VU et VV, mais pour les stocks,
en fonction de leur destination, on retient soit l’une soit l’autre (voir p.365).

Matière 1ère et approvisionnement (31 et 32) VU


En cours de production (33) VU
Produits intermédiaires (351) Si revendus en l’état VV = prix de vente –
frais de distribution
Si intégrés dans un VU : prix de vente pdt
autre processus de fini – coût
production d’achèvement et
frais de distribution
Prdts finis et marchandises VV : Prix de vente des prdts finis ou m/ses net
des coûts de sortie (frais restant à supporter
pour parvenir à la vente)

Une comparaison doit être effectuée, élément par élément, entre la valeur comptable et la valeur actuelle.
Si valeur comptable > valeur actuelle : constatation d’une dépréciation.

4. Cas particuliers
a. Stocks acquis avec clause de réserve de propriété (A SAVOIR)
DCG2/UE10/DM Chapitre 7 : Les stocks 3
Voir p. 367 : comptabilisation des transactions avec clause à la date de livraison du bien et non à celle du
transfert de propriété + information au pied de bilan (idem immobilisations)
b. Sinistre
Lorsqu’une partie du stock est détruite (incendie, dégât des eaux etc…), la conséquence pour l’entreprise est
une diminution du résultat d’exploitation puisque le stock final est diminué du stock sinistré.
Pour ne pas fausser le résultat d’exploitation, cette perte est compensée par un compte de produit (transfert
de charge)
L’écriture est la suivante lors du sinistre :
6718 Autres charges exceptionnelles sur opérations de gestion X
791 Transfert de charges d’exploitation X
Montant du stock détruit

Ecriture lors de la réception de l’indemnité d’assurance


512 Banque X
791 ou 797 Transfert de charges d’exploitation/exceptionnelles X
Montant de l’indemnité perçue
Voir Contexte SA Technik

IV. Comptabilisation des stocks


À la clôture de l’exercice comptable, deux phases d’écritures sont à enregistrer.

1. Constatation du stock final

- Il faut annuler le stock initial :


o Le montant total du stock initial est inscrit au crédit des comptes de classe 3 concernés,
o En contrepartie, on débite les comptes 603 ou 713.
603 Variation des stocks (MP, approvisionnements, marchandises) X
713 Variation des stocks (produits, en cours…) X
3. Stocks (*) X
(*) A subdiviser selon la nature des stocks

- Il faut constater l’existence du stock final :


o Le montant total du stock final est inscrit au débit des comptes de classe 3 concernés,
o En contrepartie, on crédite les comptes 603 (matière premières, marchandises …) ou
713 (produits finis, en-cours …) ;
3. Stocks (*) X
603 Variation des stocks (MP, approvisionnements, marchandises) X
713 Variation des stocks (produits, en cours…) X
(*) A subdiviser selon la nature des stocks

Ainsi, dans les comptes annuels, les stocks apparaissent de la manière suivante :
- A l’actif du bilan, dans les comptes de classe 3 : le montant total des différents stocks : stock final
- Dans le compte de résultat, dans les comptes de classe 603 ou 713 : uniquement la  de stock par
rapport à l’exercice précédent. Attention au signe. Voir fiche

Suite application : comptabiliser les écritures nécessaires en utilisant la valorisation selon la méthode
PEPS.

31/12/N 6037 Variation des stocks de m/ses Annulation 1000


37 Stock de m/ses SI 1000

31/12/N 37 Stock de m/ses Constatatio 400


6037 Variation des stocks de m/ses n SF 400

DCG2/UE10/DM Chapitre 7 : Les stocks 4


Incidence bilan : SF = 400

Incidence CDR :

Résultat
Achats m/ses
+Stocks de m/ses.
+600

Application 2 p. 382

2. Comptabilisation de la dépréciation des stocks


a. Reprise de la dépréciation existante (sur SI)
39. Dépréciations des stocks et en cours (*) X
78173 Reprises sur dépréciations des stocks et en cours X

(*) A subdiviser selon la nature des stocks

b. Enregistrement de la dépréciation nécessaire (sur SF)


68173 Dotations pour dépréciations des stocks et en cours X
39. Dépréciations des stocks et en cours (*) X

(*) A subdiviser selon la nature des stocks

3. Contrat de vente ferme


L’existence d’un contrat de vente ferme peut être une exception à la constatation d’une dépréciation sur
stock

Voir article 214-23 PCG p.368 : si prix de vente stipulé > VE + frais restant à supporter pour la bonne
exécution du contrat (frais administratifs…), alors pas de dépréciation.
Exemple p. 368
Application 3 p. 383
Info à fournir en annexe : Voir p.369
Incidences sur docs de synthèse : doc polycopié.

V. Droits d’émission de gaz à effet de serre


Lire contexte p 373
1. Définition
Art L229-7 du code de l’environnement « un quota d’émission de gaz à effet de serre est une unité de
compte représentative de l’émission de l’équivalent d’une tonne de dioxyde de carbone faisant l’objet
d’un titre émis par l’Etat, valable pour une période spécifiée ».
Les quotas sont alloués chaque année par l’Etat en fonction d’un volume d’émission de gaz autorisé.
Les quotas d’émission répondent à la définition d’un actif car :
- Ils sont identifiables ;
- Ils permettent d’exercer l’activité de production (droit à polluer) : bénéficier des avantages
économiques ;
- L’entreprise les contrôle ;
- Ils sont destinés à être vendus (selon les besoins de l’entreprise, en cas d’excédent de quotas) ou
consommés dans un processus de production. Il n’y a pas de consommation directe dans le processus

DCG2/UE10/DM Chapitre 7 : Les stocks 5


de production, car c’est une matière première administrative et non physique. Ici, c’est l’activité
qui consomme les quotas de GES (pollution liée à l’activité).

2. Entreprises concernées
Entreprises industrielles, exploitants d’installations autorisées à émettre ces gaz comme le raffinage du
pétrole, la production de pâte à papier, l’industrie nucléaire, les compagnies aériennes…
3. Fonctionnement
La loi définit les quantités de gaz à effet de serre pouvant être émises par les entreprises concernées en
France et attribue à chaque installation concernée un volume global pour la période 2013-2020 et un quota
pour l’année en cours.
En fin d’année, l’entreprise doit restituer à l’Etat les quotas correspondant à ses émissions effectives de GES
durant l’année, sous peine de sanctions.
Au cours de l’année, les quotas sont négociables sur un marché. Ainsi, une entreprise ayant besoin de quotas
pourra les acheter auprès d’une autre entreprise qui est en excédent.

4. Les modèles économiques


Deux modèles économiques peuvent être distingués :
- Modèle économique production : destiné à se conformer aux exigences de la règlementation relative
aux émissions de GES (modèle à connaître)

- Modèle économique négoce : destiné à servir à des fins de négoce ; ce modèle ne s’applique pas aux
entreprises qui ne sont pas soumises au système d’échange des quotas.

Voir tableau p. 371


Les deux modèles économiques peuvent coexister au sein d’une même entreprise.
- Dans le cadre d’une activité de production, les quotas, au même titre que les matières premières,
sont indispensables à l’activité. En tant qu’éléments sans substance physique, ils ne peuvent pas être
consommés physiquement. Ils doivent être traités comme un stock de matière administrative.
Indispensable à la production lorsque celle-ci concerne des entreprises polluantes soumises à la
réglementation sur les quotas.
- Dans le cadre d’une activité de négoce, les quotas doivent être traités comme un stock de m/ses,
l’achat et la vente de quotas étant considérés comme des m/ses (comptes 607 et 707).

5. Traitement comptable modèle économique « production »


a. L’attribution des quotas par l’Etat
Le stock de quotas est comptabilisé pour une valeur nulle.
Il fait l’objet d’un suivi dans une « comptabilité matière » : aucune écriture ne doit être comptabilisée.
NB : Aucune allocation de quotas n’est attribuée par l’Etat à l’entreprise dans le modèle de négoce.
b. Les achats et ventes de quotas au fur et à mesure des émissions successives
Les entreprises ayant dépassé le niveau d’émission autorisé doivent acquérir les quotas manquants. A
contrario, elles peuvent céder leurs quotas excédentaires. Les acquisitions et les cessions de quotas sont
comptabilisées
Valeur d’entrée : coût d’acquisition pour les quotas achetés (compte 601)
601 Achats stockés de MP X
512 Banque X

Valeur de sortie : stock évalué selon la méthode PEPS ou CMUP. Ventes (compte 701)
512 Banque X
701 Vente de produits finis X

DCG2/UE10/DM Chapitre 7 : Les stocks 6


c. L’évaluation des quotas à la clôture
Deux cas de figure peuvent se présenter :

- Les émissions de quotas de CO2 sont inférieures aux quotas de CO2 détenus
Les stocks de quotas non consommés doivent être comptabilisés. Ils correspondent aux quotas d’émission
disponibles pour couvrir les émissions futures de gaz à effet de serre. Ils sont évalués au CMUP ou selon la
méthode PEPS.
Si la valeur actuelle est inférieure au coût des quotas en stocks, une dépréciation du stock doit être constatée,
en respect du principe de prudence.

Ecritures comptables :
Constatation du stock
31 Stocks de matières premières X
6031 Variation des stocks MP X
Dépréciation du stock
6817 Dotations aux dépréciations des actifs circulants X
391 Dépréciation des stocks MP X

- Les émissions de quotas de CO2 sont supérieures aux quotas de CO2 détenus
Dans ce cas, il s’agit d’une dette vis-à-vis de l’Etat et obligation d’acheter les quotas manquants pour les
restituer à l’Etat : dette évaluée à la valeur de marché.
Ecriture comptable :
601 Achats stockés MP X
449 Quotas d’émission à acquérir X

Remarque : Une amende pour non-restitution d’un nombre de quotas suffisant est fixée à 100 € par quota
non restitué. Elle est comptabilisée en charge exceptionnelle (compte 671). Si l’entreprise acquiert les quotas
manquants avant le 30/04/N+1, elle n’est pas redevable de l’amende.
Exemple p 373
d. Les régularisations au cours de l’exercice suivant
Le compte 449 doit être soldé et le stock constaté antérieurement doit être repris (cas lorsque les quotas émis
étaient < aux quotas dispo).
Ecritures comptables :
449 Quotas d’émission à acquérir X
601 Achats stockés MP X
6031 Variation des stocks MP X
31 Stocks de matières premières X
Remarque : Pour le modèle négoce : écriture de variation de stocks pour les quotas non vendus
Régularisations au cours de l’exercice suivant
Application :
Le 1er mars de chaque année, l’Etat alloue à une entreprise un quota de 1 000 tonnes de CO2. Le 15/05/N,
l’entreprise acquiert 500 tonnes supplémentaires au cours unitaire de 12 €. Au 31/12/N elle a émis 1 800
tonnes de CO2. Le cours au 31/12/N est de 18 €.
L’entreprise acquiert 600 quotas le 28/02/N+1 au cours unitaire de 13 €. Suite à une baisse d’activité, elle
a émis 1 200 tonnes de CO2 au 31/12/N+1. Les stocks sont valorisés selon la méthode du PEPS.
Comptabiliser les écritures de N et celles de N+1
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1- Exercice N
Au 01/03/N pas d’écriture.

15/05/N 601 X Facture n°… 6000


512 X 6000
Quotas disponibles au 31/12/N : 1000 + 500 = 1500
Quotas émis : 1 800>1 500 ; le stock a été entièrement consommé d’où nombre de quotas à acquérir : 1800 –
1500 = 300

31/12/N 601 X Quotas à restituer à l’Etat 5400


449 X 5400
Aucun stock à constater car il a été entièrement consommé.
2- Exercice N+1

28/02/ 601 X Facture n°… 7800


N+1
512 X 7800
Quotas disponibles au 31/12/N+1 : 1000 + 600 – 300 = 1300
Quotas émis : 1 200<1 300 ; le stock n’a pas été entièrement consommé. Il reste 100 quotas évalués à 13€

31/12/ 449 X Annulation quotas à acquérir 5400


N+1
601 X 5400
31/12/ 31 X Constatation SF 1300
N+1
6031 X 1300
Suivi des quotas d’émission en comptabilité matière : voir p.374 et exemple p.375
Les infos à fournir en annexe : voir p.375 : A SAVOIR
Application 4 p. 383

6. Informations à fournir en annexe


Voir p. 375

SYNTHESE p. 377 à 378


Références articles p. 379/380
QCM p.381
Exercices Entraînement à l’examen, p. 384/385

DCG2/UE10/DM Chapitre 7 : Les stocks 8

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