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TECHNOLOGIE DES
POMPES
Enseignant:
N’DA Yannick
Responsable Etudes Procédés / Ingénierie à la SIR
Mastère Spécialisé Génie Industriel, INSA Lyon
Ingénieur Génie des Procédés, INP-HB Yamoussoukro
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Règles à respecter:
Inscrire son nom et/ou prénoms sur un présentoir
Respecter les uns et les autres avec politesse, courtoisie – avoir de la tenue et de bonne
manière
Être bienveillant envers les autres et responsable aussi des actes poser
Ne pas manipuler son téléphone pendant le cours – aucune sonnerie à entendre – demander
la permission au chef ou sous-chef avant de sortir
Mise en place de la salle de cours propre avec tous les équipements disposés
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PRESENTATION ENSEIGNANT:
3
PRESENTATION ENSEIGNANT:
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Chapitre I : ECOULEMENT
DES FLUIDES
Chapitre I
Partie 1 : Lois d’écoulement
pour les fluides non visqueux
I. FORME D'ENERGIE
l’énergie de pression
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I. FORME D'ENERGIE
𝑬𝒂=𝒉∙ 𝒈
8
I. FORME D'ENERGIE
𝒎 𝟏 𝟐
𝑬 𝑪= 𝒎 𝒗
𝒎 𝟐
Ec : énergie cinétique J/kg
m : masse du fluide kg
v : vitesse en m/s
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I. FORME D'ENERGIE
3. Energie de pression
𝑷
𝑬𝑷=
𝝆
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II. LOI DE CONSERVATION DE L’ENERGIE
1. Charge totale
𝑪𝒉𝒂𝒓𝒈𝒆 𝒕𝒐𝒕𝒂𝒍𝒆= 𝑬 𝒂 +𝑬 𝒄 +𝑬 𝒑
𝑬 𝒂 =𝑬𝒏𝒆𝒓𝒈𝒊𝒆 𝒑𝒐𝒕𝒆𝒏𝒕𝒊𝒆𝒍𝒍𝒆 ;
𝑬 𝒄= 𝑬𝒏𝒆𝒓𝒈𝒊𝒆 𝒄𝒊𝒏é 𝒕𝒊𝒒𝒖𝒆;
𝑬 𝒑 =𝑬𝒏𝒆𝒓𝒈𝒊𝒆𝒅𝒆 𝒑𝒓𝒆𝒔𝒔𝒊𝒐𝒏
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débit.JPG
II. LOI DE CONSERVATION DE L’ENERGIE
𝑬 𝒂 =𝑬𝒏𝒆𝒓𝒈𝒊𝒆 𝒑𝒐𝒕𝒆𝒏𝒕𝒊𝒆𝒍𝒍𝒆 ;
1. Transformation hauteur-pression
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III. TRANSFORMATION D’UNE FORME D’ÉNERGIE À UNE AUTRE
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IV. PRESSION STATIQUE ET PRESSION TOTALE
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V. MESURE DE DÉBIT
1. Débit
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V. MESURE DE DÉBIT
Il existe de nombreux appareils qui mesurent des débits. On peut notamment citer :
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V. MESURE DE DÉBIT
18
V. MESURE DE DÉBIT
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V. MESURE DE DÉBIT
Conservation de l’énergie
𝒖𝟏
𝟐
𝒖𝟐
𝟐
𝒖𝟐=
𝟏
∙
√
𝟐∙∆ 𝑷
√
𝝆∙ + 𝑷 𝒂𝒎𝒐𝒏𝒕 =𝝆 ∙ + 𝑷 𝒂𝒗𝒂𝒍 𝝆
𝟐 𝟐 𝒅𝟒𝟐
𝟏−
𝑫𝟒𝟏
𝟐
Hypothèses : 𝝅 ∙ 𝒅𝟐 𝟏
𝑸 𝒎= ∙ ∙ √𝟐 ∙ 𝝆 ∙ ∆ 𝑷
√
𝟒 𝟒
𝒅𝟐
Ecoulement isotherme et sans frottement 𝟏− 𝟒
𝑫𝟏
Fluide incompressible de masse volumique 20
VI. RISQUES ET CONSÉQUENCES DE LA VAPORISATION
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VI. RISQUES ET CONSÉQUENCES DE LA VAPORISATION
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VI. RISQUES ET CONSÉQUENCES DE LA VAPORISATION
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Chapitre I
Partie 2 : Lois d’écoulement
pour les fluides visqueux
I. NOTION DE PERTE DE CHARGE
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II. REGIMES D’ECOULEMENT
l’écoulement laminaire
l’écoulement complètement turbulent
Le régime d’écoulement peut être caractérisé par le calcul d’un nombre adimensionnel appelé nombre
de Reynolds (Re).
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II. REGIMES D’ECOULEMENT
On considère que pour Re < 2100, le régime est laminaire et que pour Re > 40 000, le régime est
complètement turbulent. Entre ces 2 valeurs on trouve un régime dit trouble, souvent instable et pour
lequel la valeur des pertes de charge est difficile à calculer. En général, on admet de considérer
En résumé :
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III. PARAMETRES INTERVENANT DANS LES PERTES DE CHARGE
Les pertes de charge constituent un facteur essentiel de résistance à l’écoulement qui dépend du
fluide, des caractéristiques des appareillages rencontrés et des conditions de l’écoulement.
Nature du fluide
la viscosité qui traduit la capacité du fluide à s’opposer à l’écoulement. Il est clair que les
frottements internes au fluide augmentent avec la viscosité et qu’il en est de même en conséquence
pour les pertes de charge
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III. PARAMETRES INTERVENANT DANS LES PERTES DE CHARGE
Conditions d’écoulement
faible vitesse : pertes de charge modérées + tuyauteries onéreuses, de grand diamètre
vitesse forte : grandes pertes de charge, coûteuses en énergie
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IV. CALCUL DES PERTES DE CHARGE LINEAIRES
La loi générale qui exprime la perte de charge en unités de pression de la manière suivante :
f est le nombre sans dimension appelé facteur de frottement ou coefficient de friction dont la
valeur dépend notamment du régime d’écoulement.
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IV. CALCUL DES PERTES DE CHARGE LINEAIRES
Régime turbulent
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V. CALCUL DES PERTES DE CHARGE SINGULIERES
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Chapitre 1
Partie 3 : Etude des circuits en écoulement
isotherme
I. ENERGIE DEMANDÉE PAR UN CIRCUIT
Soient :
H e = Zr + h f
He = Zr - Za + (PBr - PBa) + hf
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II. COURBE CARACTÉRISTIQUE D’UN CIRCUIT
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II. COURBE CARACTÉRISTIQUE D’UN CIRCUIT
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III. MODIFICATION DE LA COURBE CARACTÉRISTIQUE D’UN CIRCUIT
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III. ETUDE DES CIRCUITS EN ECOULEMENT ISOTHERME
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IV. ETUDE DES CIRCUITS EN ECOULEMENT ISOTHERME
Z1 Z0
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IV. ETUDE DES CIRCUITS EN ECOULEMENT ISOTHERME
Z1 - Z0 0
Ecoulement gravitaire.
On suppose que dans l’installation un échangeur placé après la pompe sur la ligne de
refoulement fait passer la densité du liquide de d1 à d2 .
1ier cas : les tubulures d’entrée et de sortie de l’échangeur sont au même niveau
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1IER CAS : Les tubulures d’entrée et de sortie de l’échangeur sont au même niveau
Bilan d’énergie :
Zs Ze Ze Zs
On remplace dans la formule Zr – Ze) par : Zs – On remplace dans la formule Zr – Ze) par : Ze –
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Chapitre II : LES POMPES
Chapitre II : LES POMPES
Partie I : Généralités sur les
pompes
Définition
On appelle pompe du nom italien « pompa » toute machine hydraulique qui sert à déplacer les liquides d’une région de basse
pression vers une région à haute pression.
Son fonctionnement consiste à produire une différence de pression entre la région d'aspiration et la région de refoulement au
moyen de l'organe actif (piston, roue,…etc.) de la pompe.
Du point de vue physique, la pompe transforme l'énergie mécanique en énergie hydraulique. Les pompes en tant que machines,
constituent l’épine dorsale des unités de production, de transport et distribution de produits. Leurs défaillances impliquent de la
dégradation de la productivité à cet effet leurs choix et leurs installations doivent faire l’objet d’un soin tout particulier de la part
des services d’études, de même leur entretien requiert une des spécialistes très qualifiées, afin qu’elles puissent assurer dans les
meilleurs conditions un service continu pendant une longue durée.
Pompe
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Classification des pompes
Pour répondre à toutes les applications industrielles, plusieurs types de pompes ont été mis au point. On regroupe
toutes ces pompes sous deux grandes familles :
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Grandeurs caractéristiques des pompes
• sa hauteur manométrique totale (Hmt) ou hauteur nette (Hn) ou encore pression totale de pompage : elle
représente l’énergie utile fournie par la pompe au fluide refoulé ; elle est exprimée en m ou en Pa.
• son débit : c'est le volume utile refoulé par la pompe pendant l’unité de temps. Il s'exprime en kg/h, t/h,
• sa vitesse de rotation : elle représente le nombre de tours effectués par l'arbre de la pompe pendant l'unité
• ses puissances : il faut distinguer la puissance hydraulique ou puissance utile et la puissance mécanique ou
7. Fouloir
8. Roulements
9. Corps :
une tubulure d’aspiration destinée à guider les liquides jusqu’à la roue.
Un canal de section croissante disposé à la sortie de la roue appelé
volute. C’est la volute qui recueille , soit directement , soit à travers les
aubes fixes d’un diffuseur, le liquide centrifugé par l’impulseur et le
canalise vers la tuyauterie de refoulement.
une tubulure de refoulement
10. Bagues
Elles servent à empêcher une fuite interne entre zone de haute pression et
impulseur sont appelé bagues d’usure. Les jeux entre les bagues sont de
Corps de palier
Vannes
d’isolement
Clapet de
non retour
Accouplement
(spacer)
Réduction
excentrée Corps de
garniture Corps de
palier
Corps
Filtre de pompe Moteur
ROTOR
SEC -
Impulseur
Arbre
Écrou
Clavette
CORPS DE POMPE
SEC -
Purge du
corps de pompe
LIGNES D’ASPIRATION ET DE REFOULEMENT
SEC -
CIRCULATION DU FLUIDE POMPÉ
SEC -
LAMINAGE DES FUITES INTERNES
SEC -
Haute pression
Bagues de laminage
(ou «d’usure»)
Basse pression
ÉQUILIBRAGE DES POUSSÉES AXIALES
SEC -
BESOIN D’ÉTANCHÉITÉ LE LONG DE L’ARBRE
SEC -
GARNITURE MÉCANIQUE
SEC -
Grain (fixe)
Coupelle (tournante)
REFROIDISSEMENT DE LA GARNITURE : FLUSHING
SEC -
Limiteur de débit
Filtre
Auto-flushing
(arrosage de la garniture)
FROTTEMENTS
Besoin de refroidir !!!
DILUTION DES FUITES : QUENCH
SEC -
Vapeur
Récupération
des condensats
REFROIDISSEMENT DU CORPS DE GARNITURE
SEC -
Déflecteur
(éventuellement)
Reniflard
Anneaux
de lubrification
LUBRIFICATION DU PALIER
SEC -
Huileur à
niveau constant
HUILEUR À NIVEAU CONSTANT
SEC -
En cas de
consommation
d’huile,...
l’air pénètre
dans l’huileur
…permettant
à l’huile de
PALIER descendre...
et de rétablir
le niveau.
REFROIDISSEMENT DU PALIER
SEC -
PERFORMANCE D’UNE POMPE CENTRIFUGE
COURBE CARACTERISTIQUE DES INSTALLATIONS COMPOSEES DE PLUSIEURS CIRCUITS
Circuit Quelconque
Dans le cas où plusieurs circuits composent une installation il est possible de tracer sa caractéristique globale en
s'arrangeant pour avoir tous les tronçons en série. Les circuits en parallèle ou en dérivation sont donc transformés
en circuit équivalent lequel sera ensuite mis en série avec les autres circuits dérivés équivalents. 73
PERFORMANCE D’UNE POMPE CENTRIFUGE
COURBE CARACTERISTIQUE
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PERFORMANCE D’UNE POMPE CENTRIFUGE
La puissance hydraulique ou puissance disponible dans le fluide entre l’entrée et la sortie de la pompe est :
Ph = ρ·g ⋅ Hn ⋅ Qv ,
où Ph en W ; ϖ : poids volumique du fluide en N/m3 ; Hn en m ; Qv : débit volumique en m3/s
3. Rendement de la pompe
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PERFORMANCE D’UNE POMPE CENTRIFUGE
DETERMINATION DE LA HAUTEUR D’ELEVATION ET ACCROISSEMENT DE PRESSION
1. Hauteur d’élévation
He =
v en m/s; P en bar; h en m; He en m.
=
Elle est d’autant plus grande que la hauteur d’élévation et la densité sont élevées.
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PERFORMANCE D’UNE POMPE CENTRIFUGE
DETERMINATION DE LA HAUTEUR D’ELEVATION ET ACCROISSEMENT DE PRESSION
Roue centrifuge
Roue axiale
PPPP (plus petite pression dans la pompe), on définit la chute de pression par le NPSH R :
1. La cavitation
condensation de celui-ci.
Il en résulte :
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PERFORMANCE D’UNE POMPE CENTRIFUGE
2. Eléments de calcul de cavitation
Liquide saturé dans le ballon
Avec Pa = TV + ( ) d - .
H – hf
H
Exemple
Pour NPSH = 4; hf = 0,5. On a : H > 4,5 m
Avec Pasp = Pb + ( ) d - .
+ hf
H
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PERFORMANCE D’UNE POMPE CENTRIFUGE
H
ϵ [-50% ;20%]
( )
2
𝑸 𝒗 𝑸′
( )
2 ′
=
𝑯
=
𝒗 𝑯 =𝑯 ∙
𝑸′ 𝒗 ′ H′ 𝒗′ 𝑸 83
PERFORMANCE D’UNE POMPE CENTRIFUGE
2. Variation des courbes caractéristiques avec le diamètre de la
roue
𝑸 𝑫
( )
2
𝑯 𝑫
= =
𝑸′ 𝑫′ 𝑯′ 𝑫′
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PERFORMANCE D’UNE POMPE CENTRIFUGE
DETERMINATION DU POINT DE FONCTIONNEMENT
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PERFORMANCE D’UNE POMPE CENTRIFUGE
DETERMINATION DU POINT DE FONCTIONNEMENT
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PERFORMANCE D’UNE POMPE CENTRIFUGE
DETERMINATION DU POINT DE FONCTIONNEMENT
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PERFORMANCE D’UNE POMPE CENTRIFUGE
MODIFICATION DU POINT DE FONCTIONNEMENT
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PERFORMANCE D’UNE POMPE CENTRIFUGE
MODIFICATION DU POINT DE FONCTIONNEMENT
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PERFORMANCE D’UNE POMPE CENTRIFUGE
MISE EN SERIE DE POMPES CENTRIFUGES
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PERFORMANCE D’UNE POMPE CENTRIFUGE
MISE EN PARALLELE DE POMPES CENTRIFUGES
Pompe 1 seule Q1
Pompe 2 seule Q2
1 + 2 en parallèle Q = q1+ q2
NB : q1 + q 2 < Q 1 + Q 2
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SOLUTIONS TECHNIQUES EN INDUSTRIE
CRITERE DE CHOIX D’UNE POMPE CENTRIFUGE
Pour pouvoir choisir une pompe qui correspond à vos besoins, vous devez déterminer ses caractéristiques en
type de fluide
débit
pression
température
hauteur d’aspiration
hauteur de refoulement
pertes de charge
SOLUTIONS TECHNIQUES EN INDUSTRIE
CRITERE DE CHOIX D’UNE POMPE CENTRIFUGE
type de fluide
En premier lieu, vous devez donc vous interroger sur le type de fluide qui doit être transféré afin d’éviter
des phénomènes de corrosion et par conséquent l’usure prématurée de votre pompe. Il est donc fondamental
de connaitre la composition chimique du fluide à pomper, sa viscosité et l’éventuelle présence de composants
solides. Une connaissance approfondie de
toutes les propriétés physiques du fluide traité vous permettront de choisir la technologie idéale pour votre
application et les matériaux de construction compatibles avec le fluide pompé.
Le type de fluide à transporter a une grande importance dans le choix d’une pompe, car les caractéristiques
de la pompe dépendront notamment de sa viscosité (c’est-à-dire de la résistance que le fluide va opposer à
son déplacement), de sa température au niveau de l’aspiration et de la présence ou non d’éléments
solides dans le fluide. Vous devez aussi déterminer si le fluide à transporter est chimiquement neutre ou s’il
est corrosif afin de choisir une pompe prévue pour fonctionner dans ces conditions.
SOLUTIONS TECHNIQUES EN INDUSTRIE
CRITERE DE CHOIX D’UNE POMPE CENTRIFUGE
Le débit souhaité : exprimé généralement en m3/h (mètres cubes par heure), l/s (litres par seconde)
ou GPM ( gallons par minute ), le débit influence nécessairement la taille et les dimensions de votre
pompe;
La hauteur d’aspiration (hauteur entre l’entrée du tuyau d’aspiration et la pompe) : de façon générale, la
hauteur d’aspiration ne doit pas dépasser 10 mètres. Au-delà il est nécessaire d’envisager l’utilisation
d’une pompe immergée.
Les pertes en charges liées aux obstacles sur le circuit de pompage (vannes, coudes, etc.).
Ces différentes valeurs permettent de calculer le NPSHa (Net Positive Suction Head available ou hauteur de
charge nette disponible) de l’installation. Vous pourrez ainsi choisir une pompe adaptée pour éviter tout risque de
cavitation. Vous devez aussi contrôler le rendement ; celui-ci doit être optimal à plus ou moins 30 % du débit
nominal souhaité.
Une pompe centrifuge doit être choisie selon les caractéristiques réelles de l’installation dans laquelle on doit
l’installer. Les données nécessaires pour un dimensionnement correct sont les suivantes:
• Débit Q, Quantité de liquide débitée par la pompe dans l’unité de temps, normalement exprimée en m3 /h ;
• Hauteur manométrique totale HMT. C’est la somme de la hauteur géométrique dans les niveaux du liquide
et les pertes de charge causées par de frottements intérieurs qui se forment au passage du liquide dans les
Hg = hauteur géométrique à l’aspiration (Hga) + hauteur géométrique au refoulement (Hgp) ∆pc = somme des
• Quantité et type des coudes dans la tuyauterie et accessoires hydrauliques comme clapet de pied avec
crépine, vannes, clapet de non-retour, filtres éventuels Nature du liquide (si différent de l’eau),
En faisant varier le nombre de tours, les performances des pompes changent selon les règles suivantes :