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Laboratoire d’hématologie

Hôpital RAZI – CHU MED VI

Diagnostic au laboratoire d’un Syndrome des


AntiPhosphoLipides (SAPL)

Dr. MHIRIG Ibtissam

Pr. SAYAGH Sanae

Laboratoire d’hématologie, hôpital Razi des spécialités

CHU Mohamed VI de Marrakech


Plan
Introduction

Rappel

A. Physiologique

B. Physiopathologique

III. Circonstances de découverte

IV. Diagnostic au laboratoire des SAPL

A. Etape pré-analytique

B. Etape analytique

a. Tests d’orientation

b. Tests spécifiques

V. Critères diagnostiques des SAPL

VI. Conslusion
Plan
I. Introduction
II. Rappel

A. Physiologique

B. Physiopathologique

III. Circonstances de découverte

IV. Diagnostic au laboratoire des SAPL

A. Etape pré-analytique

B. Etape analytique

a. Tests d’orientation

b. Tests spécifiques

V. Critères diagnostiques des SAPL


I. Introduction
A. Définition

 Une entité clinico-biologique:

* Evénements thrombo-emboliques veineux et ou artériels

* Complications obstétricales

* Présence persistante d’anticorps anti-phospholipides


 Appanage de la femme jeûne avec un âge moyen de 42 ans

 Pouvant être primitive ou secondaire

 1ère cause de la thrombophilie acquise


I. Introduction
A. intérêt de la question

 Fréquence et des pathologies thrombo-emboliques

 Gravité des pathologies thrombo-emboliques

 La recherche des ACC dans le cadre d’un SAPL est une prescription de

1ère intention dans le bilan de la thrombophilie


 Éviter les récidives.

 Complexité diagnostique.

 Rôle primordial du laboratoire dans le diagnostic positif et le suivi


Plan
I. Introduction

II. Rappel

A. Physiologique

B. Physiopathologique

III. Circonstances de découverte

IV. Diagnostic au laboratoire des SAPL

A. Etape pré-analytique

B. Etape analytique

a. Tests d’orientation

b. Tests spécifiques

V. Critères diagnostiques des SAPL

VI. Conslusion
II. Rappel
A. Physiologique
a. Coagulation : In vitro
II. Rappel
A. Physiologique
a. Coagulation : In vivo
II. Rappel
A. Physiologique
a. Coagulation : In vivo
II. Rappel
A. Physiologique
a. Coagulation : Inhibiteurs de la coagulation
II. Rappel
A. Physiologique
a. Coagulation : Inhibiteurs de la coagulation
II. Rappel
A. Physiologique
b. Phospholipides
II. Rappel
B. Physiopathologique ( Anticorps anti-phospholipides APL)
D’où vient les aPL?

Dans la situation physiologique

•L’antigène qui est la Phosphatédylsérine (PS) = PL anioniques peu immunogène et présente à

la face interne de toutes les membranes cellulaires

•En cas d’apoptose, inversion et exposition des phospholipides anioniques à la surface des

cellules

•La PS peut lier de nombreux cofacteurs protéiques, comme la β2GP I, et constitue alors des

stimuli répétitifs des lymphocytes B naïfs de la moelle osseuse

• Synthèse de lymphocytes B producteurs d’aPL qui restent sous le contrôle des mécanismes

de tolérance
II. Rappel
A. Physiopathologique ( Anticorps anti-phospholipides APL)
D’où vient les aPL?

Dans la situation physiologique


II. Rappel
A. Physiopathologique ( Anticorps anti-phospholipides APL)
D’où vient les aPL?

En cas de SAPL

• Prédisposition génétique

• Stimulus antigéniques persistants: la récurrence des infections bénignes aigues; des

épitopes viraux ou bactériens qui peuvent simuler la β2GP I:

• Production des aPL pathologiques : sont davantage mutés au niveau des régions

variables PL et ont une affinité moyenne aux PL, supérieure à celle des aPL du sujet
normal,
II. Rappel
A. Physiopathologique ( Anticorps anti-phospholipides APL)
D’où vient les aPL?
II. Rappel
B. Physiopathologique ( Anticorps anti-phospholipides APL)
a Grande hétérogéinité

• Les APL : Large famille hétérogène d’auto

anticorps:

• Ils reconnaissent diverses antigènes, soit

+ Directement les phospholipides (PL)

anioniques (Anti Cardiolipines) ou neutres.

+ Des protéines se fixant sur les PL: anti


β2GPI ou anti- prothrombine.

+ Anticorps dépendants ou pas aux


cofacteurs (LA)
II. Rappel
A. Physiopathologique ( Anticorps anti-phospholipides APL)
a Grande hétérogéinité

• Les APL : ne sont pas spécifiques du SAPL:

• Transitoires :

- Infections (la syphilis, la lèpre, les


hépatites virales et l’infection par le VIH ou
l’EBV); prise médicamenteuse
(bétabloquants); des néoplasies
(hémopathies malignes et tumeurs solides)

- Ils ne sont pas pourvoyeuses de


thrombophilie
II. Rappel
A. Physiopathologique ( Anticorps anti-phospholipides APL)
a Grande hétérogéinité

• Persistantes ==== SAPL.

- SAPL primitive: en dehors des MAI

- SAPL secondaire : LEAD


II. Rappel
B. Physiopathologique ( Anticorps anti-phospholipides APL)
b Allongement paradoxal des tests de coagulations PL
dépendants (LA)
- APL de type lupique +++ LA

+ LA ne dépendant pas de cofacteurs


rencontrès en cas d’infections

+ LA dépendants de cofacteurs ( B2GP1)


en cas de LEAD ; thrombogènes

NB : De rares LA dépendants de la
prothrombine responsable d’une
hypoprothrombinémie sont pourvoyeuses
des hémorragies
II. Rappel
A. Physiopathologique ( Anticorps anti-phospholipides APL)
b Allongement paradoxal des tests de coagulations PL dépendants (LA)

IN VITRO
- aPL se dirigent contre les complexes de

coagulation PL dépendants (ténase


intrinsèque et pro-thrombinase)
- Lorsque les aPL ne sont pas dirigés contre

les PL du réactif, les tests de coagulation


sont normales
II. Rappel
A. Physiopathologique ( Anticorps anti-phospholipides APL)
b Allongement paradoxal des tests de coagulations PL dépendants (LA)

IN VIVO
(Activation
cellulaire)
II. Rappel
A. Physiopathologique ( Anticorps anti-phospholipides APL)
b Allongement paradoxal des tests de coagulations PL
dépendants (LA)
IN VIVO
(Diminution
Des inhibiteurs)
PC/PS
II. Rappel
A. Physiopathologique ( Anticorps anti-phospholipides APL)
b Allongement paradoxal des tests de coagulations PL dépendants (LA)

IN VIVO
(Diminution
Des inhibiteurs)
ANNEXINE A5
= Rôle protecteur
Plan
I. Introduction

II. Rappel

A. Physiologique

B. Physiopathologique

III. Circonstances de découverte


IV. Diagnostic au laboratoire des SAPL

A. Etape pré-analytique

B. Etape analytique

a. Recherche du LA

b. Recherche des aCL et BIIGPI

V. Critères diagnostiques des SAPL


III. Circonstances de découverte
A. Cliniques

 Evénements thrombo-emboliques veineux et ou artériels récidivants

ou inhabituels par leur localisation


 Neurologiques : Convuslions et chorée

 Hématologiques : Syndrome anémique, hémorragique, infectieux

 Rénales

 Complications obstétricales : HELLP Sd, Préeclampsie, éclampsie

 Complications fœtales : RCIU; MFIU; FC


III. Circonstances de découverte
B. Découverte fortuite

 Allongement des tests de la coagulation

 NFS : Découverte d’une thrombopénie, anémie ou leucopénie

 Dissociation VDRL (aCL) et TPHA

TPHA négatif et VDRL positif


 Demandée dans le cadre d’un bilan pré-thérapeutique, suivi d’une

pathologie générale, bilan général de la santé


Plan
I. Introduction

II. Rappel

A. Physiologique

B. Physiopathologique

III. Circonstances de découverte

IV. Diagnostic au laboratoire des SAPL


A. Etape pré-analytique
B. Etape analytique
a. Recherche du LA
b. Recherche des aCL et BIIGPI
V. Critères diagnostiques des SAPL
IV. Diagnostic au laboratoire des SAPL
A. Etape pré-analytique (externe au laboratoire)
Le respect de ses étapes conditionne la fiabilité des résultats

Patient.
 Assurer le patient: Fg est augmenté en cas de stress majeur.

 Prélévement fait le matin, à jeûn sauf en cas d’urgence.

 Éviter les stimulants: Café, tabac, alcool, exercice physique dans l’heure

suivant le prélèvement:
 Position assise, au repos pendant 5 min.
IV. Diagnostic au laboratoire des SAPL
A. Etape pré-analytique (externe au laboratoire)
le respect de ses étapes conditionne la fiabilité des résultats

Prélèvement.
 PVF

 VGC

 Éviter prélèvement avec la seringue ( risque d’activation plq et de la coagulation)

 Garrot

 Le choix de tube dépend de la nature des bilans qu’on veut réaliser

+ Tube citraté pour la recherche du LA

+ Tube sec pour la recherche des aCL et Anti-BIIGPI.


IV. Diagnostic au laboratoire des SAPL
A.Etape pré-analytique(externe au laboratoire)
le respect de ses étapes conditionne la fiabilité des résultats

Prélèvement.

Tube citraté
 Tube en verre siliconné ou en plastique

 Concentration de 3,2 % OMS ( une concentration de 3,8% est acceptable)

 1 volume d’anticoagulant pour 9 volumes de sang :


Remplissage à 90% : recommandé
Remplissage ≥ 80% : acceptable
Remplissage < 80% : refuser le prélèvement
 Si tube peu rempli  plasma hypercitraté  temps
d’hémostase faussement allongés
IV. Diagnostic au laboratoire des SAPL
A. Etape pré-analytique (externe au laboratoire)
le respect de ses étapes conditionne la fiabilité des résultats

Prélèvement.

Tube citraté
- Hématocrite et anticoagulant :
o Le volume d’anticoagulant dans les tubes citratés est adapté à un

hématocrite entre 20% et 55%


o Si Hte < 20% : volume de plasma augmenté et volume d’anticoagulant

insuffisant  temps de la coagulation raccourcis


o Si Hte > 55% : volume de plasma diminué et volume d’anticoagulant très

important  faux allongement des temps de la coagulation


IV. Diagnostic au laboratoire des SAPL
A. Etape pré-analytique (externe au laboratoire)
le respect de ses étapes conditionne la fiabilité des résultats

Prélèvement.

Tube citraté
 Transport : Rapide 1h à2h; délai max de 4H

 Conservation : T° ambiante ;entre 15°C et 25°C


IV. Diagnostic au laboratoire des SAPL
A. Etape pré-analytique (interne au laboratoire)
le respect de ses étapes conditionne la fiabilité des résultats

Éliminer les non conformités :


• Absence d’identification
• Discordance entre étiquetage et l’identité marquée sur le bon de
demande
• Délai d’acheminement > 4h
• Tube inapproprié
• Prélèvement coagulé
• Prélèvement hémolysé
• Ratio anticoagulant / sang non respecté
IV. Diagnostic au laboratoire des SAPL
A. Etape pré-analytique (interne au laboratoire)
le respect de ses étapes conditionne la fiabilité des résultats
Double centrifugation .

Décantation du plasma

permet d’assurer un nb

de plaquettes résiduel

< 10G/L
IV. Diagnostic au laboratoire des SAPL
B. Etape analytique

Le diagnostic biologique du SAPL est centré sur trois paramètres qui sont les aPL

conventionnels :

lupus anticoagulant (LA)

Anticorps anticardiolipine (aCL).

Anticorps anti β2glycoprotéine I (anti β2GPI)

==== d’isotypes IgG ou IgM.

.
IV. Diagnostic au laboratoire des SAPL
B. Etape analytique ( Recherche du LA)
 La recherche du LA doit être pratiquée en suivant les recommandations

du sous-comité «lupus anticoagulant/anticorps antiphospholipides» de la


Société Internationale d’Hémostase et Thrombose (ISTH) de 1995, revues
dernièrement en 2009, comportent quatre étapes.
 Dépistage
 Mise en évidence d’une activité inhibitrice
 Confirmation de la dépendance en phospholipides de l’inhibiteur
 Exclusion d’une autre anomalie de la coagulation (inhibiteurs
spécifiques)
IV. Diagnostic au laboratoire des SAPL
B. Etape analytique ( Recherche du LA)

Dépistage
 Suite à un allongement des tests de coagulation PL dépendant

TCA : explorant la voie intrinsèque de la coagulation

dRVVT (temps de Venin de Vipère Russell Dilué): explorant la voie commune

Temps de Thromboplastine Diluée (TTD): explorant la voie extrinsèque, n’est pas


recommandée.
 2/3 tests positifs sont en faveur d’un dépistage positif.
IV. Diagnostic au laboratoire des SAPL
B. Etape analytique ( Recherche du LA)

Dépistage
TCA sensible (Voie intrinsèque)
Temps de coagulation d’un plasma citraté, pauvre en plaquettes, recalcifié, en

présence de Céphaline (PL synthétiques en faibles quantités) et un activateur de la


phase contact sensible (acide éllagique).
 TCA allongé, exprimé en s et intérprété par rapport à un témoin sup à 1.2

Éliminer une erreur pré-analytique : Tube mal rempli, Hte supérieur à 55%

Éliminer une prise d’ héparine: Temps de thrombine et activité anti Xa : normales

TCA allongé sur un deuxième tube de prélèvement de contrôle.

==== Test de mélange : Indice de Rosner supérieur à 15%


IV. Diagnostic au laboratoire des SAPL
B. Etape analytique (Recherche du LA)

Dépistage
TCA sensible (Voie intrinsèque)

Si les aPL d’un patient atteint du SAPL ne sont pas dirigés contre les PL du réactif ,

le TCA sensible revient normal.

D’où l’intérèt d’ un allongement d’au moins de 2 tests dépendants en PL .


IV. Diagnostic au laboratoire des SAPL
B. Etape analytique (Recherche du LA)

Dépistage
dRVVT (Voie commune) Temps de Vénin de Vipère Russel Dilué
Son allongement est plus spécifique des LA que celui du TCA et plus sensible aux

LA induits par les anticorps anti β2GPI qui sont les plus pathogènes.
La coagulation est déclenchée par un venin activateur direct du facteur X en

présence de Calcium et en faibles quantités en PL ( LA screen)


Il n’est donc pas influencé par les déficits en facteur VIII, IX ou en facteurs du

système contact ou par les inhibiteurs dirigés contre ces facteurs


LA screen est allongé en cas de SAPL.
IV. Diagnostic au laboratoire des SAPL
B. Etape analytique (Recherche du LA)

Dépistage
TTD (Voie extrinsèque)
Le temps de Quick, qui est réalisé en excès de thromboplastine tissulaire dilué.

Il est rarement perturbé par la présence d’anticoagulants circulants lupiques.

Test abondonné
IV. Diagnostic au laboratoire des SAPL
B. Etape analytique ( Recherche du LA)

Mise en évidence d’une activité inhibitrice


 C’est l’épreuve de correction ou mélange à parties égales des plasmas du malade

et d’un témoin "M+T "


 L’obtention d’une correction est en faveur d’un véritable déficit d’au moins un des

facteurs explorés par le test


 L’absence de correction ou la correction partielle du temps de coagulation signe la

présence d’un inhibiteur de la coagulation.

AU TOTAL ! mev de la présence d’un ACC : Spécifique ou Non spécifique ?


IV. Diagnostic au laboratoire des SAPL
B. Etape analytique ( Recherche du LA)

Mise en évidence d’une activité inhibitrice

DRVVT Screen
IV. Diagnostic au laboratoire des SAPL
B. Etape analytique ( Recherche du LA)

Confirmation de la dépendance en phospholipides de l’inhibiteur

 Pour distinguer les LA des inhibiteurs dirigés contre un facteur de la coagulation

(par exemple un anticorps anti-VIII), il faut refaire le ou les tests de dépistage allongés

en présence d’un excès de phospholipides = Tests de neutralisation.

 Si l’inhibiteur présent est bien un LA, on observe une correction au moins partielle

de l’allongement du test.
IV. Diagnostic au laboratoire des SAPL
B. Etape analytique ( Recherche du LA)

Confirmation de la dépendance en phospholipides de l’inhibiteur

 Nous calculons un rapport « normalisé » (RN) selon la formule


Faible
qtes de
PL

Excès de
PL
IV. Diagnostic au laboratoire des SAPL
B. Etape analytique ( Recherche du LA)

Exclusion d’une autre anomalie de la coagulation (inhibiteurs spécifiques)


Les LA de forte activité peuvent interférer dans la mesure chronométrique des

facteurs de la coagulation réalisée dans les conditions habituelles.


 Il est alors recommandé de renouveler la mesure des facteurs abaissés sur

des dilutions croissantes du plasma du patient (pouvant aller jusqu’à 1/80):


 La persistance de l’abaissement d’un facteur est en faveur d’un déficit sous-

jacent ou d’un anticorps antifacteur associé.


 Méthodes de dosage chromogéniques non influencées par le LA doit être

envisagé
IV. Diagnostic au laboratoire des SAPL
B. Etape analytique (Recherche du BIIGPI)
(Recherche des aCL)

Technique immunologique : ELISA


IV. Diagnostic au laboratoire de SAPL
B. Etape analytique (classification de SAPL)

Un bilan biologique positif devrait obligatoirement être controlé sur un deuxième


prélèvement séparé d’au moins 12 semaines
Plan
I. Introduction

II. Rappel

A. Physiologique

B. Physiopathologique

III. Circonstances de découverte

IV. Diagnostic au laboratoire de SAPL

A. Etape pré-analytique

B. Etape analytique

a. Recherche LA

b. Recherche BIIGPI

V. Critères diagnostiques du SAPL


Critères de
SAPPORO

== le critère biologique doit être présent sur 2 semaines ; et entre 12 semaines et 5 ans
après l’événement clinique.
Plan
I. Introduction

II. Rappel

A. Physiologique

B. Physiopathologique

III. Circonstances de découverte

IV. Diagnostic au laboratoire de SAPL

A. Etape pré-analytique

B. Etape analytique

a. Recherche LA

b. Recherche BIIGPI

V. Critères diagnostiques des SAPL


Conclusion
 Le SAPL doit être évoqué devant tout épisode de thrombose ou de complication

obstétricale évocatrice, surtout chez un sujet jeune.


 La recherche de LA, d’aCL et d’anti-B2GP1 est alors indispensable pour poser le

diagnostic.
 La mise en évidence d’un aPL par ces tests biologiques devra ensuite,

impérativement être contrôlée sur un nouveau prélèvement séparé d’au moins 12


semaines.
 Il est obligatoire d’éviter les diagnostics par excès (aPL non spécifiques), car la prise

en charge thérapeutique actuelle repose sur la prescription d’AVK au long cours.


 Une bonne collaboration clinicobiologique permet de mieux identifier les

populations à risque, les diagnostiquer et les traiter comme ile le faut.

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