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Introduction 4
I. La Puberté : données actuelles 6
V. Diagnostic étiologique 32
VI. Traitements 36
VII. Conclusions 42
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Introduction
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Avance séculair e
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Calendrier pubertaire
Les limites de la puberté normale
10 12 14
Testicules
11 13 15
Pénis
111/2 131/2 151/2
Poils pubiens
8 9 10 11 12 13 14 15 16 17
8 11 133/12
Seins
91/2 12 14
Poils pubiens
101/2 13 16
Premières règles
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B2 P2 Règles
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cm
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* 170
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*** Début à 10 ans 160
Début à 11 ans
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Début à 12 ans
150
Début à 13 ans
140 *** p < 0,001 140
* p < 0,05
130 130
-3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 6 7
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cm
180
180
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170
170
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***
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160
*** Début à 11 ans
170 *** Début à 12 ans
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150 ** Début à 13 ans
Début à 14 ans
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140 *** p < 0,001
** p < 0,01
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130
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-3 -31 -32 -33 -34 -35 -36 -37 -38 99
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Facteurs géographiques
Parent Endocrine Reviews 2003;
24: 668 ● Les différentes données mondiales sont concordantes
sur un âge plus précoce d’apparition des signes puber-
taires des filles et des garçons ainsi qu’une avance sécu-
laire de l’âge des premières règles :
Filles : Âge d’apparition et date des premières règles : quelques soit le pays et la race, les
règles surviennent entre 12 et 13 ans
Âge d’apparition de B2
Date des premières règles
Âge 15
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Influence Socio-Economique
Parent Endocrine Reviews 2003;
24: 668 ●L’influence de l’en vir onnement est importante dans
le rythme de développement pubertaire :
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Facteurs migratoir es
Parent Endocrine Reviews 2003;
24: 668
● Les japonaises nées et vivant en Californie ont une
puberté 1.5 ans plus précoce que celles nées en Califor- S.Baron Arch Ped 2000; 7:809
nie et vivant au japon !!! Influence du milieu ? De l’ali-
mentation ? du rythme de vie ?
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SIGNAL HYPOTHALAMIQUE
gènes (familial, ethnie)
Neurotransmetteurs
Neuropeptides
Récepteurs
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SIGNAL HYPOTHALAMIQUE
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D’après
Cunningham et al,
Biol. Reprod.,
1999, 60, 216-222;
Magni, 18.
Schéma récapitulant différentes influences auxquelles sont soumis les neurones à GnRH, et impli-
quées dans le démarrage pubertaire.
Les neurones à GnRH (violet) reçoivent des influences directes des neurones à GABA (en bleu) ou
à glutamate (en ciel) et indirecte, de la leptine, par l'intermédiaire des neurones à POMC (en jaune)
ou à NPY (en marron), sur lesquels elle se fixe par ses récepteurs (carrés noirs).
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Regulation du GnRH
Copyright © 2003 Elsevier Science
(USA). All rights reserved.
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1. D IAGNOSTIC CLINIQUE
●Le diagnostic de Puberté précoce est avant tout cli-
nique et se manifeste par l’apparition des caractères sexuels
secondaires avant l’âge normal.
S1 : stade infantile S2 : bourgeon mam- S3 : saillie sein et S4 : saillie aréole et S5 : saillie mamelon
maire, soulèvement aréole, pigmentation mamelon en avant en avant aréole et
et Ø aréole aréole du sein sein
P1 : pas pilosité P2 : qq poils droits P3 : poils plus denses, P4 : pilosité triangu- P5 : extension partie
grandes lèvres épais et bouclés laire fournie interne des cuisses
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 ge osseux
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Échographie
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• Test LHRH
Ar guments biologiques hor monaux
• injection de 100 mcg de Stimul LH
● Dans les deux sexes, la réalisation d’un test LHRH • Prélèvements de LH et FSH aux
temps 0, 15, 30, 45 et 60 minutes
permet de mettre en évidence une activité gonadotrope
• La réponse est positive
● Certaines équipes proposent le dosage urinaire de LH – Positive si Pic LH > Pic FSH et dès
pratiqué sur les urines du matin, cinq jours de suite. que le pic de LH > 7 mUI/ml
– Franche si le pic de LH est >
● Le dosage des stéroides sexuels est effectué au temps 15 mUI : ml et ratio Pic LH/Pic FSH
0 du test LHRH . > 0.66 (critère d’évolutivité)
Le test LHRH permet ainsi un dia-
gnostic étage :
– Réponse positive : activation hy-
pophysaire par puberté précoce
centrale
– Absence de réponse : en faveur
d’une puberté précoce d’origine
périphérique
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IRM
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V. Diagnostic étiologique
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10
0
Tous Fille Gar on
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Hamartome du Tuber
• Il s’agit d’une tumeur embryonnaire bénigne de neurones
ectopiques à GnRH et cellules Gliales exprimant TGF α et
Epidermal Growth Factor
• Puberté précoce (2- 4 ans) centrale et crise épileptique
(gélastique)
– les crises surviennent pour des tumeur > 10 mm
– Les PP sont plus fréquente chez fille
• La position et la connexion sont différentes chez les filles
et les garçons
– dymorphisme sexuel dans la migration des Cellules à GnRH
– Garçons : situation intrahypothalamique .
Filles : au niveau du 3ème ventricule.
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V. Diagnostic étiologique
● Tumeurs de SNC
Œ Gliomes, astrocytomes, épendimomes
Œ Hamartome du tuber cinereum
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● Radiothérapie cérébrale
Œ Déficit GH et PPC pour 18 Grays (activation LH)
Œ Déficit en Thyréotrope, Gonadotrope, Cortico-
trope pour 40 Grays
● Infectieuses ou inflammatoires
Œ Encéphalite, sarcoïdose, méningite
● Congénitales/ malformatives
Œ Hydrocéphalie, atrophie corticale, kyste arach-
noidien.
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VI. Traitements
1. M ODALITÉS DE TRAITEMENT
● Par ailleurs les patientes qui ont une puberté non évo-
Paul - JCEM 80: 546
lutive ou lentement évolutive ont un bon pronostic de taille
sans traitement du fait de l’absence majeure d’avance d’âge
osseux et de la normalité du ratio âge statural/âge osseux.
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VI. Traitements
2. S UIVI
Sur veillance du poids et de la composition corpor elle
1,5 Massemaigre
1,3 % M. Grasse
1,1 BMI
0,9 SDSTaille
0,7
0,5
0,3
0,1
-0,1
-0,3
-0,5
D but arr t 1 an 2ans
Tt arret arret
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THAMDRUP- Springfield :
Pubertés Précoces non traitées, Séries historiques 1961 44-63
SIGURJONSDITTIR Am J Dis
Child 1968, 115: 309
DONNEES DE LA LITTERATURE
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VI. Traitements
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VII. Conclusions
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Réf
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