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DEPARTEMENT GESTION
OPTION MARKETING
REMERCIEMENTS
INTRODUCTION
CONCLUSION
ANNEXES
BIBLIOGRAPHIE
Liste des tableaux et illustrations :
Nous tenons à remercier Dieu, le Seigneur Tout Puissant qui a guidé nos pas, nous a
donné force et santé pour la réalisation de ce présent Mémoire.
L’assistance de plusieurs personnes m’a aussi aidé à concrétiser ce travail. Je tiens à leur
témoigner ma sincère reconnaissance et gratitude.
Aussi, je tiens à remercier :
Sans oublier :
-Madame RAZAFIARIVELO Berthe Elysée, notre Chef de Service pour son
assistance,
-Monsieur RAKOTOMALALA Martin, Chef de division Technique du SIEM, notre
encadreur professionnel.
-Ma très chère famille et mes proches pour leur soutien moral.
Ainsi que tous ceux qui, de près ou de loin, ont contribué à l’élaboration de ce Mémoire.
INTRODUCTION
OBJECTIFS :
Dans le cadre de Madagascar Action Plan MAP, engagement numéro cinq, défi
numéro un, la réhabilitation et l’équipement des centres de Santé de Base sont des activités
prioritaires.
Il en est de même, pour le défi numéro six, la mise aux normes (réhabilitation et/ou
équipement, médicaments essentiels) de tous les centres sanitaires.
En plus, le Ministère de la Santé a comme politique, la mise aux normes de ces
équipements afin d’avoir des services de soins de qualité.
Les équipements hospitaliers jouent un rôle très important dans l’amélioration de la
santé de la population. Ses indisponibilités (équipements en panne ou en cours de
réparation), ou leurs manquements dans les centres de santé peuvent entraîner des
conséquences néfastes pour les patients.
EQUIPEMENT et MAINTENANCE sont deux domaines indissociables et
complémentaires : la réorganisation des équipements a comme finalité une meilleure
organisation de la maintenance et vice versa.
Chaque année, le Ministère dépense des milliards d’ariary pour l’acquisition et la
maintenance de ces équipements au profit des centres de santé. C’est le Service des
Infrastructures des Equipements et de la Maintenance S.I.E.M qui est l’Atelier Central pour
s’occuper de la gestion du suivi, du contrôle de ces équipements et la planification de leur
maintenance.
Or, actuellement, il est très difficile de savoir leur nombre exact (même si le
Ministère fait l’inventaire tous les cinq ans en moyenne), leur répartition, leur
mouvement. De plus, beaucoup tombent souvent en panne et il est difficile d’organiser leur
maintenance (maintenance préventive,…..).
C’est pourquoi, nous avons choisi le thème : « AMÉLIORATION DE LA
GESTION DES EQUIPEMENTS HOSPITALIERS ET DE LEUR MAINTENANCE »
qui consiste donc à étudier ces équipements et leur environnement dès leur acquisition, en
passant par leur utilisation et leur maintenance, jusqu’à leur condamnation technique (*),
d’identifier les problèmes y afférents et, ensuite de donner ou de proposer des
recommandations pour l’amélioration de leur gestion.
1
L’objectif de cette étude est de proposer aux Responsables de notre service et du
Ministère en général, une ou des solutions pour mieux gérer les équipements biomédicaux
(ou hospitaliers) ainsi que leur maintenance, et de permettre aux publics cibles (utilisateurs
finaux, patients) une disponibilité des équipements d’une façon permanente et dans les
normes (soins de qualité).
Nous avons également choisi ce thème pour les raisons suivantes : d’une part, nous
avons de bonnes connaissances sur la Gestion des équipements hospitaliers (stage au
Groupement Hospitalier- Sud Réunion) ainsi que sur la Maintenance (formation sur les
techniques du froid, stage auprès du SIEM, ….). Donc c’est le sujet sur lequel nous
maîtrisons le mieux. D’autre part nous voulons apporter à notre service un projet qui
pourrait améliorer son fonctionnement. Ce projet consiste à la mise en place d’un système de
norme et de qualité, que le Ministère devrait adopter d’ici quelques années.
Comme outils de travail, nous avons déjà travaillé au sein du SIEM pendant plus de
cinq ans. Notre expérience, les archives du service ainsi que les différentes interviews ou
enquêtes que nous avons faites auprès de certains responsables (chef de service ou
Responsable d’Hôpital), nous permettent également de réaliser ces travaux de recherche.
Ces travaux comportent trois grandes parties : la première partie concerne
la présentation en général de notre service, ainsi que les théories sur la Gestion de la
Maintenance assistée par Ordinateur. Dans la seconde partie, nous essaierons de voir les
différents problèmes rencontrés et leur analyse. Et enfin, dans la troisième partie, nous
allons voir les différentes solutions possibles et les recommandations
2
PREMIERE PARTIE : ENVIRONNEMENT PRATIQUE ET THEORIQUE DE
LA GESTION DES EQUIPEMENTS ET DE LA MAINTENANCE HOSPITALIERE.
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Dans cette partie, nous allons essayer de voir dans le chapitre premier la situation
actuelle sur la gestion des équipements et leur maintenance, ceci afin de nous permettre de
connaitre la réalité sur leur situation actuelle au sein du SIEM.
1.1 : Historique :
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1.2 Organigramme
CHEF DE SERVICE
CHEF DE DIVISION
SECRETAIRE TECHNIQUE
ETUDE ET
COMPTABLE PROGRAMMATION
LABORATOIRE
BASE DE DONNEES
CHAUFFEURS DENTISTERIE
PERSONNELS ELECTRONIQUE
D’APPUI MEDICALE
IMAGERIE
MEDICALE
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1.3 Missions
1.3.2 Les installations et les interventions techniques des équipements dans les
différentes formations sanitaires :
- Centre Hospitalier Universitaire C.H.U (*)
- Centre Hospitalier de Référence régional C.H.R.R (*)
- Centre Hospitalier du District C.H.D (*)
- Centre de Santé de Base C.S.B (*)
Bien que certains de ces centres soient dotés d’Atelier Hospitalier A.H (Cf. 1.7.2 Les
Ateliers Hospitaliers) ou d’Atelier Régional de Maintenance A.R.M (Cf. 1.7.1 Les Ateliers
Régionaux de Maintenance), il arrive que certains dépannages sont hors de leurs
compétences, surtout, lorsqu’il s’agit des équipements dits ‘’ complexes’’
Par contre, la plupart de ces centres ne disposent même pas d’un technicien
de maintenance. D’où l’utilité du S.I.E.M.
L’une des missions la plus importante du SIEM est la formation (ou la mise
à niveau) des techniciens des A.H et des A.R.M.
Inscrit dans le cadre de la décentralisation de la maintenance, et le transfert
compétence, elle a pour but de renforcer les capacités des techniciens pour l’amélioration
du fonctionnement des équipements dans les régions. Mais, ceci est souvent limité à la
maintenance surtout curative.
Le S.I.E.M dispose de :
8
1.5 Les moyens logistiques
9
Fig. 2 - Répartition du crédit alloué au SIEM (en 2007)
(Source : division administrative et financière SIEM)
Notons que l’indemnité de déplacement pour une mission est de 2 500 à 3
000 Ar par jour par technicien.
Les A.R.M assurent la couverture des CHRR et des CHDD de leur région
respective. Normalement, chaque région est dotée d’un A.R.M. Or, constat est fait que, ce
dernier est seulement présent dans dix régions sur vingt deux (10/22) (Cf. Annexe….
Répartition des A.R.M sur chaque région)
Les missions de l’A.R.M sont de remettre en fonctionnement les
équipements qui sont en bon état mais non fonctionnels et prévenir les pannes par le biais
des actions de maintenance préventive et de la formation des utilisateurs.
10
1.7.2 Les Ateliers de maintenance hospitalière A.H
Dans cette section, nous allons essayer de voir les différentes procédures
d’acquisition des équipements hospitaliers et leur gestion.
Contrairement aux autres pays, surtout développés ou les services
biomédicaux sont les seuls habilités pour l’achat des équipements, le Service de la
Logistique (SILO), le Service de LABoratoire SLAB et les différents PROJETS (BAD,
CRESAN, JICA, GTZ) sont tous autorisés par le Ministère pour l’acquisition de ces
derniers.
- Equipements simples : Ce sont les bases des outils de travail pour les
médecins ou pour les paramédicaux tels les ventouses manuelles, stéthoscopes,
tensiomètres,…… qu’on peut rencontrer dans tous les CFS quelque soit leur niveau.
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-Equipements lourds : Ce sont en général les appareils de stérilisation comme
les autoclaves, les poupinels, les scialytiques plafonniers,….
-Equipements complexes : comme les appareils de réanimation et
d’anesthésie, les accélérateurs,….
-Equipements très complexes : Ce sont les appareils comme les radiographies
ou scanners, c’est-à-dire tout ce qui est de l’imagerie médicale.
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Par contre, les équipements
dentaires font partie des
équipements non biomédicaux
Les3procédures
Photo d’acquisition
- Equipement dentaire des nouveaux équipements sont les mêmes
pour tous les CFS :
Toutes les spécifications techniques doivent-être validées par le SIEM. Puis, les
passations des marchés suivent les règles générales sur la ¨Passation des Marchés publics
établie par le Ministère des Finances.
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Fig.3 - Evolution du budget du S.I.L.O pour l’acquisition des équipements hospitaliers.
(source : Ministère de la Santé).
Tous les pays ou associations ou ONG peuvent octroyer des dons à un CFS, mais
devraient respecter la Charte de Don du Ministère. En général, les dons sont des
équipements d’occasion.
Les D.I.T sont fréquentes dans les hôpitaux. Elles sont envoyées directement chez le
Chef A.H ou A.R.M suivant le type d’hôpital.
Pour les CFS qui n’ont ni A.RM, ni A.H, ni agent de maintenance, ils peuvent
directement envoyer au SIEM leur D.I.T.
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3.2 Le circuit de demande d’intervention technique D.I.T :
ATELIER PRIVEE
DEMANDE DE DEPANNAGE
INTERVENTION DU SIEM
2. DEMANDE DE PIECE DE
RECHANGE
ATELIER CENTRAL
SIEM
Les Hôpitaux envoient leur D.I.T à leurs A.H. De même, les C.F.S envoient leur D.I.T à
l’A.R.M de leur région. Au cas ou les interventions techniques dépassent les compétences
des techniciens A.R.M ou A.H, le S.I.E.M intervient.
Les C.F.S peuvent faire appel directement aux techniciens des ateliers privés spécialisés s’ils
disposent de budget pour la maintenance des appareils techniques.
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3.3 Statistique :
DEP Dépannage
RET Réception technique/ définitive
INS Installation
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3.4 La gestion du stock des pièces de rechange et des produits d’entretien :
Le SIEM dispose, dans son magasin, très peu de stock de pièces de
rechange PDR et de produits d’entretien. C’est le magasinier qui gère ce stock. Il enregistre
le mouvement d’entrée et de sortie de PDR.
Le SIEM dispose d’une salle pour classer les documents techniques et les
livres techniques.
Les documents techniques sont les manuels d’utilisation et d’installation qui accompagnent
les nouveaux équipements. En général, ces documents sont gardés par les techniciens du
SIEM après l’installation des équipements et formation des utilisateurs.
Par contre, les livres techniques sont, soit des documents de référence technique
(équivalence pour les composants électronique, schéma électronique,…….), soit des
documents d’apprentissage d’un domaine déterminé : leçons d’électricité, principe d’une
imagerie médicale,……..
Les techniciens peuvent les consulter et les emprunter, après avoir rempli une
fiche.
Nous venons de voir la présentation du SIEM, ainsi que les différentes missions
qu’on lui attribue. Maintenant, voici quelques théories, utiles pour la suite de notre étude.
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CHAPITRE II : THEORIE SUR LA GESTION DES EQUIPEMENTS ET LA
GESTION DE LA MAINTENANCE
Dans ce chapitre, nous allons voir quelques théories sur la Gestion de Maintenance
Assistée par Ordinateur ou G.M.A.O, ou nous essayons de voir les différents modules de
gestion : gestion financière, gestion de stock, gestion de personnel, gestion de travail,…….
Mais avant, nous allons donner un aperçu global de ce que c’est la maintenance et son
environnement.
Section 1 : La maintenance :
Tout type de maintenance exige des moyens humains (gestion de leur compétence
et de leur disponibilité), des moyens financiers (gestion financière), de la disponibilité des
pièces de rechange (gestion du stock), de la connaissance du parc matériel (gestion des
équipements), ainsi que la gestion des documents techniques C’est qui nous amène à voir
quelques théories sur la Gestion financière, la gestion du stock, la gestion des personnels
dans la section suivante.
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Le S.A.I est un sous système d’un système d’information dans lequel toutes les
transformations significatives d’informations sont effectuées par des machines de traitement
automatique des informations (ordinateurs). Il permet la conservation et le traitement
automatique des informations.
Deux raisons justifient l’automatisation d’un système d’information :
a. simplification et amélioration du travail administratif par l’automatisation
des procédures répétitives.
b. Aide à la décision.
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2.2 La gestion de stock :
Les stocks regroupent l’ensemble des marchandises, des matières ou fournitures, des
déchets ou produits semi-ouvrés, des produits finis, des produits ou travaux en cours et des
emballages commerciaux qui sont la propriété de l’entreprise et qui ne sont pas destinés à
être récupérés.(1).
Les entreprises ou les services ont cherché l’application de l’informatique où
l’ordinateur pouvait leur apporter des solutions efficaces et rentables, grâce aux économies
enregistrées au niveau du personnel qui en résulteraient.
2.3 La planification :
La planification est préalablement fondée sur la connaissance de chacune de composante de
l’organisation.
2.3.1 Les objectifs :
Les raisons d’être d’une entreprise commerciale ou industriel consistent à produire
et à distribuer des biens et services de type économique. La détermination des objectifs
d’une organisation forme le plan de base de celle-ci.
2.3.2 Les stratégies :
Les stratégies définissent le cadre de contenu global des objectifs des ressources
utilisées pour les atteindre.
2.3.3 Les politiques :
Les politiques constituent le plan, elle représente des énoncés généraux qui servent à
orienter la réflexion et l’action dans le processus de prise de décision.
2.4 La comptabilité :
La comptabilité est un système d’organisation de l’information financière car elle
combine des méthodes, des principes et des procédures permettant de concourir, après
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traitement, à l’élaboration des documents de synthèse
La comptabilité financière a donc pour but de visualiser la situation patrimoniale
d’une entreprise.
Tous ces modules sont incorporés dans un logiciel informatique sous forme de base
de données de programmation. L’ensemble fait ressortir la G.M.A.O.
Essayons de voir maintenant les différents problèmes rencontrés par le service pour
l’exécution de ses missions.
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DEUXIEME PARTIE : ANALYSE DES PROBLEMES RENCONTRES
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Dans cette partie, nous allons essayer de voir tous les problèmes rencontrés tant au
niveau interne, qu’au niveau externe du service. Ces problèmes sont d’ordre technique,
humain et financier.
Comme nous avons dit ci-dessus, on parle toujours de la relation
équipement/maintenance. En effet, les problèmes sont liés entre ces deux domaines (par
exemple la désorganisation de l’un entraîne une conséquence plus ou moins grave pour
l’autre selon les cas.)
La première partie sera consacrée à l’énumération des problèmes sur tous les plans.
La seconde partie sera consacrée à l’analyse de ces problèmes.
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CHAPITRE I : LES PROBLEMES RENCONTRES :
1.1 Incohérence entre les différents services et les projets (SIEM- SLAB- CNLS-SILO-
BAD ET CRESAN) pour l’acquisition des nouveaux équipements.
L’acquisition des équipements est en fonction des besoins des CFS, mais
surtout, en fonction du budget de chaque service ou projets concernés.
Il arrive que les CFS aient envoyé à tous les services ou Projets leurs besoins.
Leurs demandes sont satisfaites en même temps, ce qui fait que certains CFS reçoivent le
double ou voir le triple de leur besoins en un an, alors que certains CFS ne reçoivent rien
(cas du CHD II d’Ambatolampy ou ce dernier a pu acquérir trois bistouris lors de son
ouverture en 2007 (au lieu d’un).
1.2 Absence d’une base de données permettant la bonne gestion des équipements (dès leur
acquisition jusqu’à leur condamnation technique et administrative.
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Au début de l’année 2007, le Projet CRESAN a donné plus de 30 millions
d’ariary pour effectuer l’inventaire des équipements dans les CHU, CHRR et les CHDD
dans tout Madagascar. Mais jusqu’ici, le service n’a pas pu encore exploiter le résultat pour
cause l’insuffisance de personnel.
Or, ces bases de données sont très importantes dans la gestion en général des
équipements.
Ci-dessous le tableau montrant le nombre des CHD et CSB qui disposent d’au moins
un agent de maintenance :
CHD II 20 / 30
CHD I 35 /50 REPARTIS DANS TOUTE L’ILE
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Ci-dessous le tableau montrant la répartition des ingénieurs ou techniciens (A.R.M,
A.H et agents de maintenance) dans les régions :
NOMBRE des
INGENIEURS OU
REGION/ CFS BESOIN OBSERVATION
TECHNICIENS
A.R.M
DIANA- SAVA 2 2
SOFIA-BOINA-MELAKY- 1 5
ATSINANANA-ALAOTRA 3 3
MANGORO-ANALANJIROFO
ANALAMANGA- 1 3
VAKINANKARATRA-ITASY-
BONGOLAVA
HAUTE MATSIATRA- 3 7
AMORON’I MANIA- ATSIMO
ATSINANANA- VATOVAVY
FITOVINANY- IHOROMBE
ATSIMO ANDREFANA- 2 6
ANOSY- ANDROY- MENABE
TOTAL 12 26
28
REGION/ CFS NOMBRE BESOIN OBSERVATION
TECHNICIEN
A.H
DIANA- SAVA 3 4
SOFIA-BOINA-MELAKY- 3 6
ATSINANANA-ALAOTRA 1 4
MANGORO-ANALANJIROFO
ANALAMANGA- 10 20
VAKINANKARATRA-ITASY-
BONGOLAVA
HAUTE MATSIATRA-AMORON’I 3 10
MANIA- ATSIMO ATSINANANA-
VATOVAVY FITOVINANY-
IHOROMBE
29
REGION/ CFS NOMBRE BESOIN OBSERVATION
AGENTS DE
MAINTENANCE
DIANA- SAVA 1 16
SOFIA-BOINA- 2 10
MELAKY-
ATSINANANA- 2 6 Chaque SSD sera
ALAOTRA MANGORO- doté d’un agent de
ANALANJIROFO maintenance pour
ANALAMANGA- 5 15 ses CSB(*)
VAKINANKARATRA-
ITASY-BONGOLAVA
HAUTE MATSIATRA-
AMORON’I MANIA- 4 10
ATSIMO
ATSINANANA-
VATOVAVY
FITOVINANY-
IHOROMBE
ATSIMO ANDREFANA- 4 6
ANOSY- ANDROY-
MENABE
TOTAL 18 63
(*) Pour une région donnée, le Service de santé du District ou SSD est le central des CSB.
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Ci-dessous le tableau récapitulant les besoins en ingénieurs et techniciens suivant
leur niveau d’études :
Les voitures du S.I.E.M sont insuffisantes et très vétustes : la plupart ont plus
d’une dizaine d’années. Or, elles font, en moyenne plus de 8 000 km par an. Seules deux
d’entre eux marchent encore, les autres attendent leur réparation.
Le Responsable du service est obligé de prioriser les missions d’intervention
technique, en fonction de la gravité de la panne et de l’importance des équipements. Par
exemple, le dépannage d’une radio (service radiologie) est toujours une priorité.
Il arrive que les responsables des CFS envoient leurs voitures pour récupérer
les techniciens du S.I.E.M.
Dès fois, les responsables des projets font recourir à la location des voitures
4x4 pour emmener les techniciens pour une mission d’installation ou de réception technique.
31
2.3 Insuffisance des moyens financiers :
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DIR CAB MINISTERE DE LA SANTE ET
DU PLANNING FAMILIAL
SECRETARIAT
UNITE DE GESTION DES GENERAL
PROJETS
D.A.F
A.H
A.R.M
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2.6 Personnel non motivés.
Les techniciens et les ingénieurs du SIEM, ainsi que ceux des régions ne sont pas
motivés dans leur travail. En effet, les indemnités de mission sont trop minimes et
n’arrivent pas à couvrir les besoins journaliers lors des déplacements (3 000 Ar/
jour/personne). De plus, les indemnités ne sont pas payées au moment de la mission (il faut
attendre des semaines, voir des mois après la mission pour que les techniciens soient
seulement payés).
En plus, il n’existe pas un plan de carrière, pas de formation pour améliorer leurs
connaissances.
Malgré l’acquisition des équipements faits par les différents services, la plupart des
équipements sont vétustes et très hétérogènes (marque, type, modèle), surtout les
équipements lourds et complexes. En effet, ces deux catégories d’équipements coûtent chers
et il est difficile de les remplacer en même temps.
Certaines radiographies ont plus de quinze années de service, alors que la durée
moyenne d’utilisation d’un équipement de ce type est d’environ dix ans. C’est pourquoi, ils
tombent souvent en panne.
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L’Institut Supérieur de Technologie ou I.S.T Tana, est le seul centre de formation en
génie biomédical. La filière y est ouverte pour la première fois en 2005. Mais la formation
est destinée seulement pour les futurs techniciens hospitaliers.
Côté information, il leur est difficile de suivre les nouvelles technologies, faute de
moyens (internet,….).
Bien que le SIEM dispose des PDR, ces derniers sont très insuffisants.
Nous venons de voir que, les problèmes qu’on rencontre dans le service sont
nombreux, et touchent tous les domaines.
Le chapitre suivant essai d’analyser un à un ces problèmes :
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CHAPITRE II : ANALYSE DES PROBLEMES
L’énumération des problèmes ne nous permet pas de bien connaître la réalité sur la
gestion des équipements et leur maintenance. Leur analyse nous permettra de savoir un peu
plus sur leur nature et leurs causes.
Les conséquences :
* la durée de vie de ces équipements est courte, et ces derniers nécessitent beaucoup
plus de maintenance (surtout préventive).
*Les équipements ne sont pas homogènes, ce qui rend encore difficile leur
maintenance.
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c. L’acquisition par les trois services (SILO, SLAB et le DHRR) des
équipements pose des problèmes :
Chaque service peut distribuer ses équipements selon la décision de son chef ou
selon les Responsables du Ministère central. Or force est de constater que la distribution ne
suit pas les besoins du demandeur : en effet il arrive que certains CFS reçoivent certains
types d ‘équipement en surnombre et d’autres en reçoivent rarement, entraînant ainsi un
problème de leur contrôle :
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Section 2. Analyse des problèmes de la maintenance :
La plupart des techniciens ont été formé en vue de réparer (maintenance corrective)
et on a négligé la prévention (maintenance préventive). De plus, les responsables pensent
qu’une telle maintenance demande trop de budget (achat de P.D.R tous les trimestres, ou
semestres selon les matériels.)
Explication : si les résistances chauffantes ne sont pas nettoyées à temps (dont le coût est
seulement de 30 000 Ar par semestre), cela peut provoquer sa calcination (à cause des
calcaires) et entraînant son réchauffement interne et son explosion. Alors qu’elles coûtent
38
dans les environs de 5 000 000 Ar, sans parler du temps d’indisponibilité de l’appareil
pendant un bon moment.
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TROISIEME PARTIE : LES SOLUTIONS PROPOSEES ET
RECOMMANDATIONS
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Dans cette partie, nous allons essayer d’une part, de voir les différentes solutions
possibles, en essayant d’évoquer les points faibles et les points forts de chacune d’entres
elle.
Dans le second chapitre, nous allons essayer de donner une recommandation, en
choisissant une des solutions proposées, et s’appuyant sur des exemples.
41
CHAPITRE 1. LES SOLUTIONS PROPOSEES
En général, il sera chargé de définir les objectifs à long terme dans le domaine des
infrastructures et des équipements : programmation générale et détaillée des formations
sanitaires, textes concernant la sécurité, homologation de matériels médicaux, normes
relatifs au profit de l’offre en termes d’infrastructures et équipements,…etc.…….
42
Il est alors recommandé d’intégrer à nouveau ces trois domaines au service.
Dans les autres pays, c’est le service biomédical qui s’occupe de tout ce qui concerne les
équipements hospitaliers et leur maintenance, dès l’achat jusqu’à la condamnation
technique.
NB : cette étape sera réalisée avec la Commission d’Appel d’Offres C.A.O du Ministère de
la Santé.
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EVALUATION TECHNIQUE
Il appartient à eux de :
-contrôler et suivre les installations.
- Conseiller les techniciens.
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MAINTENANCE DES EQUIPEMENTS :
Par conséquent, pour assurer ses missions, ses moyens devraient être renforcés.
Ils seront renforcés pour pouvoir assurer de manière optimale leur rôle
fondamental, à savoir, la couverture de tous les CHD de leurs régions respectives :
45
1.1.3 Pour les A.H
o Moyens humains :
o Moyens financiers :
o Moyens logistiques :
Doter le service de voitures tout terrain et des motos pour les déplacements.
46
1.2.2 Pour les autres services ou ateliers régionaux de maintenance :
La G.M.A.O permet de :
Résultats attendus :
Points faibles :
48
-Promouvoir des cadres supérieurs, de techniciens spécialisés et des agents qualifiés
en maintenance biomédicale
-Augmenter la durée de vie des infrastructures et équipements.
-Améliorer la productivité des services techniques.
Pour atteindre les objectifs énumérés plus haut, il est essentiel que le Système
National d’Ingénierie et Maintenance puisse être renforcé et disposer des moyens
nécessaires pour accomplir l’action au sein du Système de Santé de Madagascar.
50
Pour chaque CHRR, le budget annuel est de 15
Millions Ariary en moyenne.
Pour chaque CHRR et les CHD, il tourne autour de
Dix millions Ariary.
Et les CSB II disposent de deux millions Ariary chacun,
fonds provenant du Projet CRESAN II, mais gérés par
les Service de la Santé du District S.S.D.
Ces centres sont obligés de faire appel à des techniciens ou ateliers privées
pour ‘’consommer’’ ces crédits pour la maintenance d’une partie de leurs
équipements.
Conséquences :
• soit les centres perdent souvent de l’argent en faisant appel à
des techniciens non spécialistes,
• soit leur budget de maintenance ne leur permet pas de payer les
ateliers privés de maintenance ou, de limiter l’intervention de
ce dernier.
• Soit le crédit alloué à la maintenance n’est tout simplement
pas consommé.
51
Or, si le S.I.E.M est un E.P.I.C, il pourra tirer des avantages de ces crédits
alloués
aux C.F.S : l’objectif est d’utiliser ces crédits, par le système de paiement des services faits
pour le fonctionnement du service.
De plus, le service pourra être ouvert aux autres C.F.S privés (cliniques,
hôpital,….). Dans ce cas, il pourra réaliser des profits permettant de lui assurer un meilleur
fonctionnement du service.
52
CHAPITRE II – LES SOLUTIONS RECOMMANDEES :
53
de contrôler (sauvegarder) les patrimoines publics, et de
planifier leur maintenance.
Elle permet également la répartition équitable des
nouveaux équipements dans les C.F.S.
54
Section 2 : le logiciel de G.M.A.O SYTEMIS VER 5.
SYSTEMIS VER 5 est un logiciel utilisé par bon nombre de grands Hôpitaux,
comme le Groupe Hospitalier Sud Réunion G.H.S.R de la Réunion. Ce groupe est composé
de l’Hôpital de Saint Clotilde, l’Hôpital de Saint Pierre, de l’Hôpital de………….. En effet,
le service biomédical du G.H.S.R (certifié 9001, 2000) a utilisé SYSTEMIS depuis l’année
2000, date de son introduction.
02 ingénieurs biomédicaux.
03 administratifs
02 Adjoints techniques (et c’est l’un d’entre eux qui « pilotent » le logiciel.
06 techniciens (dont 02 techniciens polyvalents et 03 techniciens
Spécialistes.)
01 gestionnaire de stock (P.D.R et consommables).
03 chauffeurs.
Le service du G.H.S.R a, à peu près, le même profil que le S.I.E.M : nombre des
techniciens par rapport au nombre des équipements. C’est pourquoi nous l’avons choisi.
55
Chaque module est protégé par un mot de passe. Par exemple, le module pour
GESTION FINANCIERE : seule le comptable connaît le mot de passe pour y accéder. Par
contre, le chef de service connaît tous les mots de passe pour accéder à n’ importe quel
module.
56
Pour le S.I.E.M, on peut imaginer le schéma suivant :
GESTION DES
EQUIPEMENTS- DES
TECHNICIENS- DES
ORDINATEUR S.I.E.M DOCUMENTS- DES P.D.R
CENTRAL – DES TRAVAUX – DE LA
MAINTENANCE
COMPTE S.I.L.O
MATIERE
57
L’interconnexion entre les différents services est possible grâce au système de réseau
que le Ministère est en train d’implanter dans tous les vingt deux (22) Directions Régionales
de la Santé et du Planning Familial D.R.S.P.F.
Le logiciel comporte plusieurs modules et autres sous modules :
La Gestion financière : Elle permet la mise en place d’une comptabilité complète
(tenu de livre journal, balance, compte de résultat,….), et utilisée exclusivement par les
comptables.
La gestion des équipements : elle permet aux techniciens (S.I.E.M, A.R.M, A.H) de
Consulter les équipements pour chaque C.F.S
Identifier les besoins en équipement sur chaque centre.
Faire la mise à jour des équipements.
Contrôler la mutation des équipements.
Ce module est généralement réservé aux techniciens de maintenance et aux
différents responsables du ministère qui sont impliqués (S.I.L.O, S.LAB,…) directement ou
indirectement dans l’acquisition des équipements.
La gestion de stock des pièces de rechange : permet de suivre l’Entrée et la Sortie des
P.D.R et réservé au magasinier du S.I.E.M.
La gestion des documents techniques : permet le contrôle des entrées /sorties des
documents techniques ainsi que leurs emplacements Réservé au responsable du S.I.E.M.
La gestion de la maintenance : réservée uniquement aux techniciens : elle permet de :
Planifier la maintenance (préventive) de chaque équipement sur
chaque région.
Suivre et contrôler l’intervention technique de tous les
techniciens.
D’identifier, à temps réel, les problèmes en équipement de chaque
C.F.S.
58
Fig. 6 – Menu principal du Systemis ver 5.
2.3 Coût d’installation et de formation :
A noter que :
o La connexion sur Internet sur chaque site est déjà mise en place dans
chaque Direction Régionale de la Santé concernée.
o Le coût d’installation du logiciel est à peu prés le même que le coût
d’achat d’un appareil de stérilisation de moyenne taille.
o Au départ, il faut avoir toutes les données sur les équipements
(inventaire mise à jour).
Si la mise en place de la G.M.A.O sera effective, une grande partie des problèmes
liés aux équipements et leur maintenance seront résolus. Car, les problèmes de planification
et d’organisation seront bien ordonnés, et les informations circuleront à temps voulu aux
différents responsables concernés, grâce aux interconnexions de ces services.
59
2.4 Résultats attendus :
une base de données permettant aux différents responsables de prendre de décision : achat
équipements, leur répartition, amélioration des existants,…elle permet également de réduire
le vol, l’utilisation abusive des équipements.
d’avoir à temps voulu un équipement, fonctionnant suivant les normes, donc sans risque
d’utilisation (Équipement bien entretenu)
risque.
travail : pas besoin de se déplacer pour faire l’inventaire. C’est une économie aussi pour le
Ministère de la Santé car il permet d’économiser dans les 20 000 000 Ar par année.
60
CONCLUSION GENERALE
L’étude que nous avons faite est pour le service S.I.E.M. Mais les problèmes que
nous avons évoqués ci-dessus concernent le Ministère de la Santé. En effet, quels que soient
les compétences des médecins, la qualité des soins dépend surtout aussi de la qualité des
équipements et matériels médicaux utilisés.
La G.M.A.O, qui est la solution que nous avons recommandée est un outil de travail
obligatoire dans des hôpitaux dans plusieurs pays, surtout pour ceux qui appliquent la
norme ISO : c’est un instrument de travail rapide, efficace, et qui permet de gérer toutes les
activités de gestion d’équipements et de maintenance d’un hôpital.
61
ANNEXE I : Liste des CENTRES HOSPITALIERS UNIVERSITAIRES
Les C.H.U se distinguent par le niveau de leurs plateaux techniques très élevés,
caractérisés par l’existence des appareils complexes tels le Scanner, le Cobalthérapie, et le
nombre très important des autres appareils biomédicaux simples et lourds.
En plus, le nombre des lits dépasse la centaine (plus le nombre du lit est élevé, plus
l’hôpital est dit GRAND).
Tous les services sont presque présents dans ce type d’hôpital.
62
ANNEXE 2 : Liste des CENTRES HOSPITALIERS DE REFERENCE REGIONAL
C.H.R.R
Les C.H.R.R sont les centres de santé de référence pour une région donnée. Le
plateau technique y est moyen (en nombre et en qualité). Le nombre du lit est entre 50 à 75.
63
ANNEXE III : Liste des Centre Hospitalier du District CHD :
-CHD1 AMBILOBE
-CHD2 AMBANJA
-CHD2 NOSY BE
-CHD1 ANDAPA
-CHD2 ANTALAHA
-CHD2 MANDRITSARA
-CHD1 ANALALAVA
-CHD1 PORT BERGE
-CHD2 TSARATANANA
-CHD2 MAHITSY
-CHD2 ANKAZOBE
-CHD1 ANJOZOROBE
-CHD2 AMBATOLAMPY
-CHD2 VATOMANDRY
-CHD2 ANOSY BE ANALA
-CHD2 MORAMANGA
-CHD2 MANJAKANDRIANA
-CHD AMBATOLAMPY
-CHD2 SAINTE MARIE
-CHD1 FANDRIANA
-CHD12 AMBATOFINANDRAHANA
-CHD2 SOALALA
-CHD2 MAROVOAY
-CHD2 MIDONGY DU SUD
-CHD BEZAHA
-CHD1 MIANDRIVAZO….
64
ANNEXE V Extrait d’une liste des Centres de Santé de Base.
Les Centres de Santé de Base sont les plus petites en terme de formations sanitaires. Ils se
trouvent en général au niveau du fokontany.
Les C.S.B 1 sont dirigés par un paramédical et un personnel administratif.
Par contre, les C.S.B 2 sont dirigés par un médecin, un paramédical, et un personnel
administratif.
Exemple de CSB
66
15 920 MONITORAGE
15 999 TELEMETRIE FOETALE/CARDIAQUE
16 002 HOLTER
20 000 BALANCE DE LABORATOIRE
20 100 BAIN THERMOSTATE
20 204 ETUVES
20 306 PREPARATION ET DISTRIBUTION DE MELANGE REACTIONNEL
20 800 CENTRIFUGEUSE
20 900 MICROSCOPE DE LABORATOIRE
21 000 MICROSCOPE ELECTRONIQUE
21 100 COLORATION DES LAMES (EP)
21 200 OSMOMETRE
21 301 LYOPHILISATION ET DESHYDRATATION
21 400 ENREGISTREUR GRAPHIQUE
21 500 PETIT MATERIEL DE LABORATOIRE
21 600 PAILLASSE ET ENVIRONNEMENT
21 700 ANALYSEUR D'IMAGES CYTOLOGIQUES
24 000 ANALYSEUR MULTIPARAMETRIQUE DE BIOCHIMIE
24 106 ANALYSEURS SPECIALISES
24 199 ANALYSEUR SPECIALISES DE BIOCHIMIE
24 207 ANALYSEURS PARTICULIERS
24 208 ANALYSEURS PARTICULIERS DE BIOCHIMIE
24 304 PHOTOMETRIE MOLECULAIRE
24 405 IMMUNOCHIMIE (EQUIPEMENTS SPECIFIQUES POUR)
24 501 ELECTROPHORESE
24 600 NUMERATION/FORMULE LEUCOCYTAIRE (EP)
24 603 CYTOHEMATOLOGIE
24 700 AUTOMATE POUR GROUPAGE SANGUIN
24 801 EXPLORATION DE L'HEMOSTASE
24 901 BIOLOGIE MOLECULAIRE
28 007 PREPARATION DES TISSUS
28 099 PLATINE REFRIGERANTE
28 101 BACTERIOLOGIE
28 199 PETIT MATERIEL DE LABORATOIRE
28 201 MATERIEL POUR MORGUE
32 001 ANESTHESIE
32 101 OXYGENOTHERAPIE
32 201 RESPIRATEURS
32 303 ASPIRATEUR MEDICO-CHIRURGICALE
32 397 BOUTEILLE O2 1M3
32 398 DETENDEUR DE BOUTEILLE DE GAZ
32 399 TIRE LAIT ELECTRIQUE
32 412 POMPE A PERFUSION/NUTRITION/TRANSFUSION
32 501 CARDIOSTIMULATION
32 600 REANIMATION PEDIATRIQUE
32 700 SYSTEMES REFRIGERANTS/CHAUFFANTS POUR PATIENTS
32 701 ENSEMBLE REFRIGERANT/CHAUFFANT POUR PATIENT
36 001 TABLE D'OPERATION
36 100 ECLAIRAGE OPERATOIRE
36 199 LAMPE ECLAIRAGE MEDICAL
36 200 MICROSCOPE OPERATOIRE
36 299 DIVERS POUR MICROSCOPE
36 300 BISTOURI ELECTRIQUE/COAGULATEUR
36 399 ACCESOIRES BISTOURIS ELECT.
36 401 LASER THERAPEUTIQUE
36 500 CRYOCHIRURGIE/CRYOTHERAPIE
36 601 COMPLEMENTS DE BLOC OPERATOIRE
67
36 700 INSTRUMENTATION CHIRURGICALE
36 801 ENSEMBLE DE CHIRURGIE ODONTOSTOMATIQUE
36 901 CHIRURGIE SPECIALISEE
37 001 ENDOSCOPIE
37 101 CIRCULATION EXTRACORPORELLE
40 001 SUPPLEANCE RENALE
40 099 POMPE DE RECIRCULATION
40 201 TRANSFUSION SANGUINE/HEMAPHERESE
40 301 SUPPLEANCE CARDIOVASCULAIRE
40 401 SUPPLEANCE ENDOCRINIENNE
40 501 SUPPEANCE NEUROLOGIQUE
40 601 SUPPLENCE ORL
40 701 SUPPLEANCE OPHTALMOLOGIQUE
40 801 PROTHESES DENTAIRES
40 901 SUPPLEANCE ORTHOPEDIQUE
40 905 MATERIEL DE REEDUCATION FONCTIONNEL
44 001 THERAPIE PAR ONDES ELECTROMAGNETIQUES
44 199 RADIOTHERAPIE
44 201 KINESITHERAPIE
44 301 HYDROTERAPIE
44 302 HYDROTERAPIE
44 401 AEROSOLTHERAPIE
44 500 CHRONOTHERAPIE (EP)
44 501 THERAPIES AUXILIERES
44 601 THERAPIE PAR ONDES MECANIQUES
44 703 ELECTROTHERAPIE
44 800 HYPERTHRMIE
44 901 OXYGENOTHERAPIE
48 001 TRAITEMENT DE L'AIR
48 101 ENCEINTES DE DESINFRECTION
48 201 DESINFECTION DES LOCAUX
48 301 STERILISATEURS PAR LES GAZ
48 401 STERILISATEURS PAR LA CHALEUR
48 501 ACCESSOIRES DE STERILISATION
48 601 NETTOYAGE DES INSTRUMENTS ET DE LA VERRERIE
48 701 ENCEINTES STERILES
48 801 TRAITEMENT DE L'EAU
54 201 MOBILIER DE SOINS
54 301 TRANSPORT DES MALADES
54 405 EQUIPEMENTS SANITAIRES
54 500 MOBILIER SPECIFIQUE DE PEDIATRIE
56 001 ARMOIRES
56 006 ARMOIRES
56 201 SIEGES
60 204 TRAITEMENT PHOTOGRAPHIQUE
60 299 ARMOIRE DE SECHAGE
64 601 STOKAGE ET DISTRIBUTION DES FLUIDES
68 001 CLIMATISATION
68 204 CONGELATION
68 300 CHAUFFERIE (EP)
68
BIBLIOGRAPHIE
4. Nomenclature des équipements hospitaliers CNEH faire équipe pour la santé, édition
1992.
Cours :
Organisation de l’Entreprise
Auteur : M. Rahajarizaka Richard.
Année 2007
Lien internet :
http://www.sitealpha.com/upload/cpsystemis170904.pdf
69
TABLE DES MATIERES
INTRODUCTION
70
2.1.2.2 Cas des CHD. 14
2.1.3.3 Cas des CSB. 14
2.1.4 Acquisition des équipements par les Projets 14
2.1.5 Les dons en équipements 15
71
DEUXIEME PARTIE : ANALYSE DES PROBLEMES
RENCONTRES
72
TROISIEME PARTIE : LES SOLUTIONS PROPOSEES ET
RECOMMANDATIONS:
73
Section 2 : Présentation du logiciel SYSTEMIS VER 5
2.1 Choix du logiciel 55
2.2 Fonctionnement du Systemis VER 5 55
2.3 Coût d’installation et de formation 59
2.4 Résultats attendus 60
CONCLUSION 61
ANNEXES
BIBLIOGRAPHIE
74