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La réponse se trouve principalement dans le premier chapitre du cours, mais aussi dans le
chapitre 6. L’étudiant sera principalement noté sur ces connaissances et secondairement sur
la problématique et le plan mis en oeuvre.
Proposition de corrigé :
Introduction :
- la nature de la monnaie
II - Fonctions et qualités
2 - Les qualités
Chapitre 2
Proposition de corrigé :
Introduction :
- traité de Maastricht
1 - 1973
2 - 1993 (l’indépendance)
(à partir du 1/1/99)
1 - Le SEBC
Sujet 2 : Quelles seraient, selon vous, les conséquences d'une indépendance accrue de la
Banque de France ? Après avoir situé cette évolution dans l'histoire de cet organisme, vous
développerez votre argumentation, en ne négligeant pas les aspects théoriques et en en restant
au cas français et au plan intérieur. (Faculté de sciences économiques et de gestion, Université
Lumière-Lyon 2, session de mai - juin 1993, DEUG 2)
Que ce soit un gadget pour séduire les marchés financiers et stopper la spéculation contre le
franc, ou une volonté de s'affirmer face à la Bundesbank, ou plus simplement l'anticipation
des mesures contenues dans le traité de Maastricht, l'indépendance de la Banque de France est
un événement majeur dans le paysage économico-financier français qui risque de modifier
beaucoup d'analyses et de comportements. On assiste, en effet, à une rupture dans la tendance
au renforcement des prérogatives de l'Etat et de l'influence de la politique économique au sein
de cet organisme et à une reconnaissance officielle de certains principes monétaristes.
Après avoir situé cette évolution dans l'histoire de la Banque de France, j'analyserai les
conséquences de cette indépendance accrue, tant sur le plan institutionnel que dans ses aspects
théoriques.
I : La Banque de France : un instrument au service de l'Etat
La Banque de France a été créée le 13 février 1800 par Bonaparte pour favoriser le
développement de l'activité économique par l'émission de billets payables à vue et au porteur
en contrepartie de l'escompte d'effets de commerce. Ses statuts fondamentaux datent de 1808.
A l'époque, c'est un établissement privé sous forme de société anonyme, administré par un
gouverneur et deux sous-gouverneurs, nommés par décret. Ils sont assistés d'un "conseil
général" composé de 15 personnes choisies par les assemblées d'actionnaires parmi
l'aristocratie financière. Seuls les actionnaires les plus importants ont le droit de vote - "les
200 familles". La Banque de France fonctionne à la fois comme une banque ordinaire (dépôts
et escompte) et comme banque d'émission. En tant que banque d'émission son monopole ne
date que de 1848.
La mission de "banque des banques" s'est affirmée politiquement à partir de 1936, mais ne
sera confortée que tardivement, en 1973.
Tout d'abord, l'Etat a renforcé son contrôle grâce à la nationalisation. Celle-ci s'est faite en
deux temps : loi du 24 juillet 1936 et loi du 2 décembre 1945. En 1936, il n'y a pas eu à
proprement parler nationalisation, mais plutôt démocratisation. Tous les actionnaires ont
obtenu le droit de vote (assez illusoire). Le conseil formé des 15 régents est remplacé par un
conseil de 23 membres dont 2 seulement sont élus par les actionnaires, les autres étant
désignés par l'Etat. Plutôt que d'une nationalisation, il s'agit d'une étatisation. En 1945, c'est la
véritable nationalisation officielle par expropriation des actionnaires. Les actions sont
transférées à l'Etat qui en devient propriétaire.
La réforme de 1973 reste marquée par la période interventionniste antérieure, où, dans le
cadre des idées keynésiennes, la politique économique de l'Etat s'impose à tous, y compris aux
autorités monétaires. La politique monétaire n'est qu'un des rouages de la politique
économique. De ce point de vue, le premier alinéa de l'article 1, qui précise la mission
d'ensemble de la Banque de France est très clair : "La banque de France est l'institution qui,
dans le cadre de la politique économique et financière de la nation, reçoit de l'Etat la mission
de veiller sur la monnaie et le crédit. A ce titre, elle veille au bon fonctionnement du système
bancaire". Elle doit préserver, à travers la mise en oeuvre de la politique monétaire, la stabilité
de la valeur interne et externe de la monnaie ; pour atteindre cet objectif final, la Banque de
France vise, au moyen des instruments dont elle dispose, à la réalisation d'objectifs
intermédiaires de maîtrise de la quantité de monnaie d'une part et de stabilité du taux de
change d'autre part. Le gouverneur est nommé en conseil des ministres pour une durée
indéterminée, il est donc révocable à tout moment et dépend fortement du gouvernement. Ce
poids politique est accentué par la présence d'un censeur, parfois même le directeur du Trésor,
qui peut opposer son veto aux décisions du conseil général. Depuis 1984, les responsabilités
sont partagées entre le ministère de l'économie et des finances et la Banque de France en ce
qui concerne le contrôle du système bancaire.
La Banque de France semblait donc régie par des textes modernes. Aucun des aspects de sa
mission n'était négligé ; de plus, ses moyens d'intervention étaient définis en termes
suffisamment généraux pour que son action puisse s'adapter avec beaucoup de souplesse à
toutes les évolutions. Mais, elle demeurait étroitement dépendante des pouvoirs publics et
n'offrait donc pas les garanties souhaitées par les opérateurs financiers pour avoir une totale
confiance dans la monnaie ; en outre, ses statuts n'étaient pas conformes au traité de
Maastricht.
Le premier objectif de la Banque de France est maintenant la stabilité des prix. Cela ressort
très nettement du nouvel article 1 : "La Banque de France définit et met en oeuvre la politique
monétaire dans le but d'assurer la stabilité des prix. Elle accomplit sa mission dans le cadre de
la politique générale du gouvernement." La comparaison avec l'ancienne formulation fait
ressortir une double restriction : d'une part, la Banque est désormais seule à définir la
politique monétaire - la référence à la politique générale du gouvernement n'est qu'une clause
permettant d'éviter l'inconstitutionnalité du texte - d'autre part, le rôle dévolu à la politique
monétaire se résume en une action stabilisatrice des prix en dehors de tout autre objectif
économique. L'influence monétariste est évidente. Le régime de change et la parité du franc
restent cependant du ressort du gouvernement. La Banque régularise le taux de change ; à cet
effet, elle détient et gère les réserves de change de l'Etat en or et en devises.
Il est désormais interdit à la Banque de France d'autoriser des découverts ou d'accorder tout
autre type de crédit au Trésor public ou à tout autre organisme ou entreprise publics. Cette
restriction est plus symbolique qu'effective dans la mesure où les procédures de financement
du déficit de l'Etat ne font plus appel à "la planche à billets" depuis longtemps ; l'achat ou la
prise en pension de bons du Trésor sur le marché monétaire restant évidemment possibles.
Le gouverneur préside les deux conseils. Il est nommé, ainsi que les deux sous-gouverneurs,
par décret en conseil des ministres, pour une durée de six ans. Il n'est pas révocable et en
principe, est donc, totalement indépendant. En réalité, beaucoup dépendra de la personnalité
du titulaire de ce poste.
Mais surtout, désormais, la politique monétaire cesse d'être une composante de la politique
économique du gouvernement. On assiste là à une reconnaissance officielle de l'influence des
thèses monétaristes. Les politiques monétaires de relance ou d'accompagnement sont rangées
parmi les accessoires périmés de la science économique. Il n'y a plus, à vrai dire, de
possibilité de politique monétaire active. Le triomphe de Friedman ou d'Hayek est presque
total, il ne manque que la règle monétaire automatique et la privatisation de la Banque.
Contrairement à ce qui a pu parfois être écrit, il n'y a donc pas vraiment de risque de conflit
entre la Banque et le gouvernement puisqu'ils n'interviennent pas au même niveau : l'un est en
charge de la stabilité des prix, l'autre est responsable de la croissance économique ; sous
réserve, bien entendu, de la compatibilité des deux. Si cela va de soi pour un monétariste, il
n'en est pas de même pour un keynésien ou un post-keynésien qui en soulignera les risques
déflationnistes.
Selon le modèle post-keynésien, celui de Kaldor par exemple, la création monétaire doit être
endogène, c'est-à-dire élastique par rapport à la demande de crédits de l'économie. Sinon, les
faillites bancaires et la stagnation économique (credit crunch) se développeront. La stabilité
des prix sera bien obtenu, mais au détriment de la croissance économique et de l'emploi.
L'indépendance de la Banque centrale est donc inutile, voire dangereuse.
Sur le plan extérieur, on peut en attendre une stabilité du taux de change et donc l'annulation
de la prime de risque, d'où une baisse possible des taux d'intérêt et une reprise de la croissance
économique. En effet, les opérateurs sur les marchés des changes n'auront plus à craindre une
modification intempestive de la politique monétaire de la France, désormais bien ancrée dans
une stratégie de franc fort. N'oublions pas cependant que la fixation du taux de change reste
une prérogative gouvernementale ; le risque d'une dévaluation n'est donc pas à écarter, il
semble cependant peu probable en l'absence d'une dévalorisation de la monnaie que la Banque
à pour mission d'enrayer. L'indépendance de la Banque de France peut également contribuer
au rayonnement des marchés monétaires et financiers français, dans la mesure ou le risque de
change tendra à disparaître.
Lorsque la loi sera adoptée, la Banque de France sera en conformité avec le traité de
Maastricht et pourra facilement évoluer vers l'Union Economique et Monétaire européenne.
Ce ne fut sans doute pas la seule, ni la principale raison de cette évolution vers
l'indépendance. La vision très monétariste des gouvernements qui se sont succédés compte
sans doute plus, la volonté de jouer un jeu égal avec la Bundesbank n'y est sans doute pas non
plus étrangère ; mais par dessus tout, c'est le désarroi devant la crise actuelle qui, à la faveur
du renouveau des idées libérales, a conduit à cette solution...provisoire (?). Reste la
privatisation.
Chapitre 3
Chapitre 4
sujet 1 : le rôle actuel du taux d’intérêt dans les économies développées (Université Lyon 2,
faculté de sciences économiques et de gestion, DEUG 2, janvier 2000)
Proposition de corrigé :
Introduction : rôles multiples, différents selon les théories et les systèmes financiers ;
différents taux d’intérêt : taux administré du marché monétaire interbancaire (instrument de la
politique monétaire), taux de marché, monétaire ou financier (financement de l’économie).
S(i) = I(i)
Le taux d’intérêt est une des conditions de financement de l’économie : prix des ressources
financières et rémunération de l’épargne.
I = I(i) + Ia Þ il faut une politique monétaire accommodante afin de faire baisser les taux
d’intérêt, développer l’investissement et l’activité économique.
II – Taux d’intérêt et politique monétaire
Proposition de corrigé :
II – La conception keynésienne
3 – pour Keynes (et les théories de l’offre exogène de monnaie) la thésaurisation est un frein à
l’activité économique ; ce n’est pas le cas pour les post keynésiens et les théories de l’offre
endogène de monnaie.
Proposition de corrigé :
Question d'actualité. Le plan sera organisé en fonction des grands facteurs explicatifs de
l'évolution : taux d'intérêt et situation des marchés financiers, fiscalité des placements,
désinflation, recul du chômage, endettement, etc.
Proposition de corrigé :
Introduction : rappel sur les marchés financiers (émission et négociation des titres à moyen et
long terme, marchés primaires et secondaires)
2. Financement et croissance
Chapitre 5
Chapitre 6
sujet 1 : le rôle actuel du taux d’intérêt dans les économies développées (Université Lyon 2,
faculté de sciences économiques et de gestion, DEUG 2, janvier 2000)
Proposition de corrigé :
Introduction : rôles multiples, différents selon les théories et les systèmes financiers ;
différents taux d’intérêt : taux administré du marché monétaire interbancaire (instrument de la
politique monétaire), taux de marché, monétaire ou financier (financement de l’économie).
S(i) = I(i)
Le taux d’intérêt est une des conditions de financement de l’économie : prix des ressources
financières et rémunération de l’épargne.
I = I(i) + Ia Þ il faut une politique monétaire accommodante afin de faire baisser les taux
d’intérêt, développer l’investissement et l’activité économique.
Proposition de corrigé :
II – La conception keynésienne
3 – pour Keynes (et les théories de l’offre exogène de monnaie) la thésaurisation est un frein à
l’activité économique ; ce n’est pas le cas pour les post keynésiens et les théories de l’offre
endogène de monnaie.
Chapitre 7
Chapitre 8
Introduction
Les années 80 ont connu une profonde mutation des systèmes financiers, en France comme
ailleurs, que l'on peut rapidement caractériser par un double mouvement de déréglementation
et de libéralisation. L'environnement international fut également le lieu de transformations
dans le domaine monétaire et financier : ouverture des marchés, libéralisation totale des
mouvements de capitaux, internationalisation bancaire, etc. Dans ces conditions, les politiques
monétaires actives, d'inspiration keynésienne, devinrent beaucoup plus difficiles à mettre en
oeuvre, d'autant plus que le problème de l'inflation demeurait et que les effets conjoncturels
des politiques monétaires traditionnelles s'amenuisaient. A la suite de cela, aujourd'hui, sous
l'influence du courant monétariste, la politique monétaire est plutôt passive. Il s'agit, avant
tout, de combattre l'inflation ; en aucun cas, de relancer la machine économique. Nous
présenterons, dans un premier temps, ce fondement monétariste des politiques monétaires
actuelles. Mais l'acceptation très générale de ces principes ne doit cependant pas conduire à
penser qu'ils s'appliquent sans aucune difficulté ; les contraintes et les limites sont nombreuses
; leur analyse fera l'objet d'une deuxième partie.
Les politiques monétaires actuelles s'appuient sur une dénonciation des politiques
conjoncturelles keynésiennes, considérées comme étant à l'origine de la stagflation. Le
remède, à quelques nuances près, ne peut être qu'une politique monétaire orthodoxe dont
l'objectif unique est la stabilité des prix. Tels sont les points que nous allons développer.
Le seul remède efficace consiste à suivre une politique monétaire orthodoxe que l'on peut
résumer de la manière suivante. L'État devenu libéral, c'est-à-dire non interventionniste, se
focalise sur la stabilité monétaire et mène alors des politiques restrictives et stables. Cela
conduit à la fin de l'inflation d'origine monétaire et à l'assainissement de l'économie.
L'objectif unique, de la politique monétaire est la stabilité des prix. En tant que telle, la
stabilité des prix est un objectif final qui ne peut pas être directement atteint par la politique
monétaire. Pour la rendre opérationnelle, on lui substitue des objectifs intermédiaires qui
correspondent à des variables monétaires qu'elle peut influencer ; ces dernières étant corrélées
avec l'objectif final. Atteindre les objectifs intermédiaires permet ainsi d'atteindre
efficacement et de manière mesurable l'objectif final. Ces objectifs intermédiaires sont
actuellement au nombre de deux : stabilité du taux de change et contrôle de la masse
monétaire M3. La recherche du premier objectif s'inscrit dans le cadre de la participation de la
France au SME. Il est un des éléments de la stratégie de "désinflation compétitive" : un taux
de change stable et fort a des effets favorables sur la valeur interne de la monnaie car il évite
d'importer l'inflation extérieure et contribue, de ce fait, à la stabilité des prix ; en outre, l'effet
défavorable sur les exportations est compensé à la fois par cette compression des prix des
produits importés entrant dans la fabrication des produits exportés et par les gains de
productivité destinés à compenser le désavantage initial. La modération des hausses de salaire
dans un climat désinflationniste y contribue également. C'est ce que l'on a appelé "le cercle
vertueux allemand". Le contrôle de l'agrégat monétaire M3 est une forme d'action conforme
au modèle néo-quantitativiste du monétarisme. Elle permet : de mesurer la liquidité de
l'économie et indirectement le crédit, d'annoncer clairement les objectifs publics en matière de
hausse des prix et donc de maîtriser la formation des anticipations inflationnistes, de renforcer
la crédibilité des autorités monétaires et plus particulièrement d'affirmer l'indépendance de la
banque centrale, d'intervenir en phase avec les autres membres du G7 qui utilisent tous cet
objectif intermédiaire.
II - Contraintes et limites
Ces principes se sont révélés, en pratique, plus difficiles à appliquer que le pensaient les
monétaristes. A la contrainte structurelle du système financier se sont ajoutés les contraintes
de l'environnement international et des limites techniques. Certains ont même remis en cause
le modèle monétariste.
Deux autres contraintes internationales sont aujourd'hui très fortes. L'une découle de la
convertibilité totale des monnaies et de la liberté des mouvements de capitaux, interdisant tout
contrôle des changes ; l'autre provient de la participation de la France au SME qui oblige à
maintenir des taux de change fixes et stables. Cette dernière contrainte est renforcée par les
perspectives de monnaie unique dans le cadre de l'Union économique et monétaire. L'objectif
du taux de change est désormais privilégié. Cette stabilité externe de la monnaie est obtenue à
la fois par la stabilité interne - réduction du différentiel d'inflation - et par l'ajustement des
taux d'intérêt à un niveau au moins égal à celui des autres pays. Par un effet en retour, la
stabilité externe contribue à l'amélioration de la stabilité interne : mimétisme par rapport à un
pays vertueux, disparition de la prime de risque, etc. Les marges de manoeuvre de la politique
monétaire sont donc singulièrement réduites par les contraints internationales. S'y ajoutent des
limites techniques.
Ces contraintes et ces limites techniques n'ont pourtant pas nuit à l'efficacité. Il faut bien
reconnaître que l'inflation a disparu de la plupart des grands pays industrialisés. Mais, la
médecine appliquée n'a pas été sans effets secondaires ; le chômage a continué à se
développer malgré les prétentions monétaristes. Au point qu'aujourd'hui ce sont les
fondements même de ces politiques monétaires qui sont discutés. Une telle politique ne bute
pas seulement sur des limites, elle aurait atteint ses propres limites.
Conclusion
La politique monétaire aujourd'hui est fondée sur des principes monétaristes qui lui assignent
un seul objectif : la stabilité des prix. Les contraintes structurelles provenant des
caractéristiques du système financier, les contraintes internationales ainsi que les limites
techniques des instruments utilisés ont sans doute réduit son efficacité, mais ne l'ont pas
empêché d'atteindre largement son objectif. Est-ce alors la fin de la politique monétaire ou le
signe de son nécessaire renouvellement ?
QCM
ISFA 1ère année 2007 - 2008
Economie monétaire
Jean-François GOUX
Q .C.M.
Barème : Réponse juste : + 1 point
Réponse fausse : - 1/4 point
Une rature est comptée comme réponse fausse. La question est annulée si toutes les réponses
sont encerclées.
QRU : Question à réponse unique
QRM : Question à réponse multiple
ARNC : aucune réponse ne convient
Le questionnaire comporte 30 réponses exactes
9 - La monnaie : (QRM)
A - Se définit d’abord comme réserve de valeur.
B - Est un objet réel toujours observable.
C - Ne peut être appréhendée que par un effort analytique.
D - A deux fonctions essentielles.
E - ARNC
L2 2007 – 2008
2ème session
Jean-François GOUX
Une rature est comptée comme réponse fausse. La question est annulée si plus de
trois réponses sont encerclées.
L’épreuve est composée de questions à réponse unique (QRU) et des questions à
réponse multiple.
2 – Un actif liquide :
D – est faiblement
rémunéré
E - ARNC
D – la définition d’un
étalon
E - ARNC
E - ARNC
C -
427
D -
651
E -
143
8 – Un actif financier
E - ARNC
A – au financement externe
B – au circuit direct
C – à l’intermédiation de bilan
D – au marché financier
E - ARNC
E – ARNC
11 - Le marché primaire :
E – Fournit de la liquidité
A – 1000 points
B – 2000 points
C – 3000 points
D – 4000 points
E – 5000 points
E - ARNC
E - ARNC
15 – L’intermédiation est :
A – le contraire du marché
E – ARNC
E – ARNC
17 - L’intermédiation de bilan
18 – La désintermédiation correspond à :
E - ARNC
E - ARNC
E - ARNC
E – ARNC
E - ARNC
24 – Une banque crée de la monnaie
E - ARNC
A - Une situation où tous les agents sont haussiers pour les cours
E – ARNC
26 – La monnaie scripturale :
E – ARNC
E - ARNC
28 - La courbe IS :
A - Représente une relation entre le taux d’intérêt et le revenu
B - Correspondant à l’équilibre du secteur monétaire
C – ne repose pas sur l’efficacité marginale du capital
D - Implique un taux d’intérêt élevé pour un revenu de plein emploi
E - ARNC
D – la contrepartie de M1
E - ARNC
30 – La politique monétaire
E - ARNC
31 – EN UEM, la politique monétaire est dite unique :
E - ARNC
E - ARNC
33 - La notion de liquidité :
E - ARNC
E – ARNC
E - ARNC
E - ARNC
38 – L’eurosystème :
E - ARNC
39 – AMF =
A -
COB
B - COB +
CMF
C -
CMF
D - CMF +
AM
E - CMF +
MATIF
E - ARNC