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REPUBLIQUE DU CAMEROUN REPUBLIC OF CAMEROUN

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DOMAINE I : SCIENCES DE BASE

MODULE : ANATOMIE & PHYSIOLOGIE

UNITE D’ENSEIGNEMENT : SYSTEME URINAIRE

Enseignant : M. SAME SAME Espoir Ivan

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INTRODUCTION
L’appareil urinaire a pour fonction d’assurer l’épuration du sang il extrait
en effet du sang circulant les déchets qui résultent du métabolisme et assure leur
rejet à l’extérieur sous forme d’urine. Par son action d’élimination sélective, il
concourt de plus au maintien de la constance du milieu intérieur.
STRUCTURE GENERALE
L’appareil urinaire se compose de deux organes qui élaborent l’urine, les
reins. Les canaux excréteurs des reins, ou uretères, déversent l’urine dans un
réservoir, la vessie, ou elle s’accumule dans l’intervalle des mictions. La vessie
évacue son contenu à l’extérieur par l’urètre, cette évacuation constitue la miction.
I. ANATOMIE DE L’APPAREIL URINAIRE
Nous étudierons successivement ses différentes parties (figure 194)
1. Les reins
a) Généralités
Les reins sont au nombre de deux : l’un droit, l’autre gauche. Leur forme
est celle d’un haricot. Ils pèsent en moyenne 140g. Leurs dimensions moyennes
sont : 12cm de long, 6cm de large, 3cm d’épaisseur. Leur coloration est rouge,
leur consistance ferme, leur surface lisse et régulière.
b) Situations et rapports
Les reins sont situés dans la cavité abdominale. Ils sont plaqués contre la
paroi abdominale postérieure et placés symétriquement de part et d’autre de la
colonne vertébrale.
A cet endroit, ils occupent chacun une loge, la loge rénale, formée par des
feuillets de tissu fibreux et par un abondant tissu graisseux.
Par l’intermédiaire de leur loge, les reins sont en rapport avec (figure 195)
▪ En avant, le péritoine pariétal postérieur qui les recouvre. Les reins sont
donc des organes réellement extra-péritonéaux. Au-devant des deux reins
se sont produits des phénomènes d’accolement, en particulier du duodénum
et du pancréas, et ils répondent donc à ces organes (figure 181).
▪ En arrière, la paroi postérieure du tronc. Celle-ci comporte deux étages :

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o Un étage supérieur thoracique : par l’intermédiaire du diaphragme,
les reins répondent à la partie inférieure de la paroi thoracique et
notamment aux deux dernières cotes.
o Un étage inférieur abdominal : les reins répondent aux muscles de la
paroi postérieure de l’abdomen ; c’est la région lombaire et l’on
donne le nom de fosse lombaire à l’espace compris entre la douzième
cote et la crête iliaque, espace dans lequel on explore le rein par la
palpitation ;
▪ En dedans, les gros vaisseaux prévertébraux, aorte et veine cave inférieure,
auxquels les reins sont reliés par les vaisseaux rénaux.
c) Configuration intérieure
Le bord interne de chaque rein est creusé d’une cavité profonde de 3cm
environ, le sinus du rein ; l’orifice de cette cavité est le hile. C’est au niveau du
hile que les vaisseaux du rein pénètrent dans celui-ci et que les voies excrétrices
de l’urine en sortent.
Le fond du sinus du rein est soulevé par des saillies coniques appelées
papilles, percées de très nombreux orifices et au nombre de huit à dix environ.
Le rein, vu en coupe (figure196), se montre constitué de deux parties
différentes :
▪ Une partie centrale, la substance médullaire, formée par la juxtaposition de
segments de forme conique, les pyramides de Malpighi ; le sommet des
pyramides forme les papilles ;
▪ Une partie centrale, la substance corticale, jaunâtre. Elle comprend elle-
même différents segments : les colonnes de Bertin séparant les pyramides
de Malpighi, les pyramides de Ferrain séparant les pyramides de Malpighi
de la surface du rein, le labyrinthe séparant les pyramides de Ferrain.
d) Structure
Le rein apparait au microscope comme formé par la juxtaposition d’un très
grand nombre d’unités élémentaires, les néphrons ou tubes urinifères. Chaque rein
en contient environ 1 000 000. Chacun d’eux est un élément élaborant l’urine
(figure197).
Chaque néphron comprend différentes parties :

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▪ Le corpuscule de Malpighi. C’est le segment initial du néphron. Grand de
200 environ, situé dans les colonnes de Bertin et le labyrinthe, il est formé
de deux éléments :
o Le glomérule de Malpighi (figure198) : c’est un réseau de capillaires
artériels pelotonnés sur eux-mêmes et entourés d’une enveloppe
appelée membrane basale ;
o La capsule de Bowman : c’est un élément a double paroi, formé de
cellules très aplaties entourant le glomérule de Malpighi et dont la
cavité communique avec la lumière du tube contourné qui lui fait
suite.
▪ Le tube contourné ou tube proximal. C’est un tube flexueux qui se détache
de la capsule de Bowman. Long de 12 à 14 mm, son diamètre est d’environ
60 .il est formé de cellules cubiques, hautement différenciées, a bordure
ciliée, en brosse.
▪ L’anse de Henlé. Elle fait suite au tube contourné et se trouve dans les
pyramides de Malpighi. Elle comporte successivement deux parties :
o La branche descendante, rectiligne, grêle, longue de 5mm environ ;
o La branche ascendante, rectiligne, longue de 1cm environ, réunie à
la branche descendante par un coude.
▪ La pièce intermédiaire de Schweiger-Seidel ou tube distal. Longue de 6mm
environ, elle fait suite à l’anse de Henlé. Le segment initial du tube distal
porte le nom de macula densa : il est attenant au pôle vasculaire du
glomérule du même néphron ; il est vascularisé par le même réseau
capillaire que le tube proximal. Cette région joue un rôle fondamental
puisque c’est à son niveau qu’est élaborée la rénine dont nous verrons plus
loin l’importance(figure199)
▪ Le tube collecteur de Bellini. Le tube de Bellini, rectiligne, fait suite à la
pièce intermédiaire. Il traverse la pyramide de Malpighi en augmentant
progressivement de volume. Il est long de 17 mm environ. Il s’unit aux
tubes collecteurs des autres néphrons et forme un canal volumineux qui
s’ouvre au sommet de la papille par un orifice, le pore urinaire.
e) Vascularisation
Elle est assurée par les vaisseaux rénaux (figure 196)
▪ L’artère rénale. Elle nait de l’aorte abdominale, de chaque côté, à la hauteur
de la première vertèbre lombaire. C’est une artère très volumineuse, ce qui
tient au fait qu’elle est à la fois l’artère nourricière et l’artère fonctionnelle
du rein. De son origine sur l’aorte, l’artère rénale se dirige obliquement en
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dehors et un peu en bas, vers le hile du rein, et pénètre à cet endroit dans
l’organe.
A l’intérieur du sinus du rein, l’artère rénale se divise et donne ainsi les
artères inter papillaires. Celles-ci pénètrent dans le parenchyme rénal, entre les
pyramides, et donnent naissance à leurs branches terminales, les artères radiées.
Le fait essentiel à retenir est qu’il n’y a aucune anastomose entre les
différents rameaux artériels et que l’oblitération de l’un d’eux, à un niveau
quelconque, entrainera infailliblement la mort du territoire rénal qui en dépend,
sans qu’aucune suppléance soit possible par les artères voisines. L’oblitération de
l’artère rénale elle-même entrainera de la même façon la mort du rein entier. On
dit que ces artères sont terminales.
Les artères radiées se terminent en se divisant en un grand nombre de
rameaux dont chacun aboutit à un corpuscule de Malpighi. Chacun de ces
rameaux constitue l’artère afférente du glomérule. L’artère afférente du glomérule
se résout en un lacis de capillaires qui constitue le glomérule de Malpighi. De
celui-ci se résout é son tour en un deuxième réseau de capillaires qui entoure les
autres segments du tube urinifère. De ce second réseau naissent les capillaires
veineux d’où sont issues les veines efférentes, branches d’origine des veines
rénales.
Les ramifications des artères glomérulaires et leur disposition en deux
réseaux capillaires réunis par une artériole intermédiaire forme un système porte
et plus précisément un système porte et plus précisément un système porte artériel.
On a donné à ce système porte le nom de réseau admirable du rein.
▪ La veine rénale. Nous avons vu les capillaires qui en constituent l’origine.
Ceux-ci donnent naissance à des veines efférentes, puis a des veines inter
papillaires dont le trajet est parallèle à celui des artères correspondantes.
Ces veines forment par leur confluence la veine rénale qui sort du rein par
le hile et va se jeter dans la veine cave inférieure.
2. Les voies urinaires
On désigne sous le nom de voies urinaires, l’ensemble des canaux
excréteurs que l’urine traverse depuis les reins jusqu’au milieu extérieur. Les
voies urinaires comprennent donc : les calices, l’uretère ; la vessie ; l’urètre.

a) Les calices

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Nous avons vu plus haut que les néphrons se terminent au niveau du
sommet des pyramides de Malpighi. Les voies excrétrices proprement dites du
rein commencent à ce niveau.
Le sommet de chaque pyramide de Malpighi est coiffé par le début de la
voie excrétrice qui s’insère à son pourtour et forme à ce niveau le petit calice. Il
existe donc autant de petits calices que de pyramides de Malpighi. Ces petits
calices sont des tubes creux recueillant l’urine émise par les pyramides.
Les petits calices s’unissent entre eux et forment des calices plus
larges, les grands calices. Il existe en général trois grands calices dans chaque
rein : le supérieur, le moyen et l’inférieur.

b) Le bassinet
Le Bassinet résulte de la fusion des grands calices. Il constitue au niveau de
chaque rein un réservoir membraneux qui collecte l’urine sécrétée par le rein et la
déverse dans l’uretère. Il émerge du rein au niveau du hile où il est en rapport
intime avec les vaisseaux rénaux.
Le bassinet n’est pas un simple réservoir passif, il est doué d’un pouvoir
contractile qui aide à la progression de l’urine dans les voies urinaires.

c) L’uretère
C’est un conduit très long s’étendant du bassinet à la vessie. Sa longueur
est de 25 cm en moyenne son diamètre varie de 3 à 5 mm (figure 194).
Trajet et rapports
Au cours de son trajet, l’uretère traverse successivement différentes
régions :
- La région lombaire où il descend appliqué contre la paroi abdominale
postérieure (psoas) et recouvert en avant par le péritoine ;
- Le petit bassin région dans laquelle il pénètre après avoir creusé les
vaisseaux iliaques au niveau du détroit supérieur. Dans le petit bassin il
entre en rapport avec :
o Le rectum en arrière ;
o L’appareil génital en avant du rectum ; chez l’homme il répond
essentiellement aux vésicules séminales et au canal déferent ;
chez la femme, il chemine dans la base du ligament large et contre
la paroi latérale du dôme vaginal ;
o Les vaisseaux de la région et notamment chez la femme, l’artère
utérine croise son trajet.

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L’uretère pénètre ensuite dans la vessie à 4 cm de l’uretère du côté opposé.
Il traverse sa paroi obliquement par un trajet long de 1 cm et débouche dans la
vessie par un orifice distant de 2 cm de celui du côté opposé.
Structure
La structure de l’uretère ressemble à celle du tube digestif : il présente en
effet une tunique externe une tunique musculaire avec des fibres circulaires et
longitudinales et enfin une muqueuse.
Physiologie
Comme l’intestin, l’uretère est doué d’un pouvoir contractile. C’est grâce à
ses mouvements péristaltiques que l’urine chemine vers la vessie.

d) La vessie
C’est un réservoir musculo-membraneux dans lequel l’urine s’accumule
dans l’intervalle de mictions.
Généralités
Lorsqu’elle est vide, la vessie est aplatie de haut en bas et d’avant en arrière.
Pleine, elle devient ovoïde à grosse extrémité dirigée en arrière et en bas. Sa
capacité est très variable : en moyenne, le besoin d’uriner est ressenti pour une
contenance de 300 cm3 c’est la capacité physiologique ; mais la vessie est très
extensible et sa capacité maximale peut être bien plus grande : elle atteint parfois
2 à 3 litres, en cas de rétention d’urine
Situation et rapports
La vessie est située dans le petit bassin dont elle constitue l’organe le plus
antérieur. (Figure 200).
Ses rapports varient selon le sexe et selon le degré de réplétion.
La face antérieure répond à la symphyse pubienne et à la partie basse de la
paroi abdominale dont elle est séparée par l’espace pré vésical.
La face supérieure répond au péritoine qui la tapisse et à la grande cavité
péritonéale.
La face postérieure à des rapports différents selon le sexe :
▪ Chez l’homme, elle répond au rectum dont elle est séparée par un
prolongement du péritoine qui sépare les deux organes, le cul de sac de
Douglas. Au-dessous du cul de sac de Douglas la vessie répond aux
vésicules séminales, aux canaux déférents et à la base de la prostate ;

▪ Chez la femme, elle répond à l’utérus et au vagin (figure 201).

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Sur le sommet de la vessie à l’union des parois supérieures et antérieures,
s’implante un reliquat embryonnaire qui va jusqu’à l’ombilic le canal de
l’ouraque.
Configuration intérieure :
La surface interne de la vessie présente trois orifices :
• Deux orifices latéraux : ceux des uretères ;
• Un médian antérieur : l’orifice de l’urètre ou col de la vessie
Ces trois orifices dessinent un triangle, le trigone.
Structure de la vessie :
Elle est constituée par une tunique externe, fibreuse, une tunique moyenne
musculaire et une tunique interne muqueuse. L’ensemble des fibres musculaires
de la vessie constitue le détrusor.
Physiologie
Le besoin d’uriner apparait lorsque la capacité physiologique est atteinte.
L’évacuation vésicale est assurée par la contraction du détrusor.

e) L’urètre
C’est le canal excréteur de la vessie. Son aspect est différent dans les deux
sexes.
Urètre chez l’homme
Sa longueur moyenne est de 16 cm, son diamètre de 7 mm Le trajet de
l’urètre comporte différentes portions.
Dès son origine au niveau du col de la vessie l’urètre s’enfonce
immédiatement dans la prostate et traverse cette glande : c’est l’urètre prostatique.
A ce niveau, sa paroi postérieure présente une saillie, le veru montanum, au
sommet duquel débouche dans la lumière de l’urètre, les canaux éjaculateurs et
l’utricule prostatique.
A sa sortie de la prostate, l’urètre est entouré par un muscle strié, le
sphincter strié de l’urètre dont la contraction permet la continence volontaire et
permet de résister au besoin d’uriner.
L’urètre traverse ensuite les muscles et aponévroses du périnée auxquels il
adhère : urètre périnéal, ou urètre membraneux.
Il pénètre alors dans un organe érectile, le corps spongieux (urètre
spongieux) dans tout son trajet sur toute la longueur de la verge.
Il se termine à l’extrémité antérieure de la verge, au niveau du gland par un
orifice, le méat urétral.

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L’urètre est constitué par une tunique musculaire tapissée intérieurement
par une muqueuse. A son origine, le muscle s’épaissit et forme le sphincter lisse
qui assure la continence involontaire (continence nocturne).
Urètre chez la femme
Sa longueur ne dépasse pas 3 cm.
Il descend verticalement en avant du vagin ; le méat urétral s’ouvre à la
partie antérieure du vestibule vulvaire.
Comme chez l’homme, il est constitué par une tunique musculaire épaissie
à sa partie supérieure en un sphincter lisse et par une tunique muqueuse. Un
sphincter strié entoure aussi son origine.

Physiologie du rein
Le rôle du rein est la sécrétion de l’urine. Cette sécrétion n’est que la
traduction finale des fonctions du rein qui sont nombreuses.
L’urine
C’est un liquide jaune ambré d’odeur spéciale, de réaction en général acide
de densité voisine de 1,016 à 1,020. La quantité émise par 24 heures est en
moyenne de 1500cm3. Voir composition de l’urine dans le tableau suivant :

CONSTITUANTS URINE (quantité PLASMA (quantité


pour 1000 cm3) pour 1000 cm3)

Eau 950 cm3 900 cm3

Protides 0 75 g

Lipides 0 6g

Glucides 0 1g

Urée 25 g 025 g

Acide urique 05 g 0,03 g

Créatinine 1,5 g 0,010 g

Chlorures 5 à 15 g 3,65 g

Sodium 45 g 325 g

Potassium 15 g 0,20 g

Calcium 0,15 g 0,10 g

Acide hippurique 0,5 g 0g

Ammoniaque 1g 0g

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Le rein élimine en les concentrant certains élements du sang, cette
élimination est sélective ; le rein a des fonctions de synthèse puisque l’urine
contient des éléments que l’on ne retrouve pas dans le sang et qui ne peuvent avoir
été fabriqués que par le rein.
Mécanisme de l sécrétion urinaire
L’éléboration de l’urine comprend trois temps différents et succésifs : la
filtration glomérulaire, la réabsorption tubulaire et l’excrétion tubaire (figure
202).
La filtration glomérulaire
La capsule de Bowmann se comporte comme un filtre ou mieux comme un
ultrafiltre.
A travers les parois des capillaires du glomérule, puis à travers la capsule
de Bowmann vont passer tous les éléments du sang qui sont assez petits pour
filtrer. Cet ultrafiltre ne peut retenir que les éléments figurés du sang (globules) et
les substances organiques dont le poids moléculaire est supérieur à 70 000 (les
protéines). Tous les autres éléments du sang vont filtrer à travers le glomérule et
forment ainsi l’urine glomérulaire (Figure 203).
L’urine glomérulaire a donc une composition analogue à celle du plasma
sanguin, exception faite des protéines, qui sont retenues et restent dans la
circulation sanguine.
La filtration glomérulaire s’éffectue sous l’influence de la pression
sanguine dans les capillaires glomérulaires : sa valeur est à peu près la moitié de
la pression sanguine dans les grosses artères (70 mm de Hg). Cette pression doit
vaincre celle exercée par la capsule de Bowmann (20 mm de Hg) et la pression
oncotique des protéines (25 mm de Hg).
Le volume du filtrat glomérulaire est considérable : 160 à 200 litres par
jour. Puis survient la réabsorption tubulaire.
La réabsorption tubulaire
De l’urine glomérulaire, la presque totalité est réabsorbée au niveau du
tubule : le volume de l’urine définitive n’est en effet que de 1,5 litre par 24 heures
environ.

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