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Im Revue lpiritualizto forme chaque année un vollllq'
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sonnée, renfermant douze livraisons. _
mat niísgh les doctrines et les faits aduela ol: ` ' -'
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tac ent au spiritualiame ou aux sciences occultes. ;_ `
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communiqués on accueille ga
référence tous ceux qui
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Désirée Godn le Puis
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li isiie
l'É-ole de médecine. 7 Des anges rebelles, des anges dechus, du paradis perdu
(rer flernier article). Apparitions (3° article). -La Bible est-elle le neuf
-
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oSPathåismeî Bmuooueun (20
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Toue V.-6'L1vxuusou. 13 ,
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-194-
A
dignitaires de la cour c a l e de
þÿ p o n t iû l'objet , tentatives divers
tentatives încroÿables et sur la nature desquelles il serait tr
exercer.
_;Q6_
Z. J. Puttuer.
Voici le fait : _
pomme morale. il vaut mieu: etre dupe que fripon, nous devons
savoir gré a M. le docteur Trousseau de nous avoir ainsi mena-
-19l-
'
[ue les femmes qui participent à nos etudet. ne sont pas épon-
antees et- n'ont pas d'attaques de nenfs.;.Elles.porteut comite
ms un très-vifintéret a ces eomm.unicatione.evec-_le¢. monde
Hpirituel, obtenues au moyen de coups intelligents qu`aucun
ãiocapparent ne vient
produire. Sl elleshéprouvent quelquefois
le Pémotiou, c`estquand ces coups accusent, le présence d`une
ersonne chère qu'elles regrettent, d'un père. d'une mère, d'un
_' ~
.
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P. F. Mminzu.
v - - .
_..ii.._.
DU PARADIS PERDU.
' X
livraison.)
'
(9 et dernier article. -
Voir le précédente
4 .
§.,._.
'
-Alapage5,onlit:
1 Selon Fenseignement donnépar les Esprits supériutrs, les
migrations et les immigration: des Esprits incarnée-sur la
erre ont lieu de temps en temps individuellement; mais, le
.~
À»
Tou V. -
6' Livnlusou. Il
- -
.
þÿ tû l hû gû û l t 1- >
u
~Les«Esprits @fmqnes nous le disent : ils iront «lnbiterdnxs
¢ des mondes nouveaux, où ils trouveront des etres plus anis
u
þÿ S é s q u i vetqufilsseunt-ohsrgås
ïí-bas, *de xfavlre pngnsser en
-
Ala page 1, on fait observer que la question d'Adan1,
comme souohe unique de Pespèce humaine est tres-contro-
,
versée :
þÿ 4 - ' c h e m S n p Fhbmme
p l i q i restun
s e a non-sens, sans le reines;
ni nation, demeure que la responsabilite que nous
porteríonsdi
«,le fente-de notre premierpere. » i
_
5
dittpu.
'
*
r
-
'
ftant admis que les hommes sont des' Esprits incarnée, que
mt les mutértalietes et lee athées, sinon des Anges ou
la 1-eincamution ? ï
'
oc
p r i t s l'ont aftirmé.
þÿ S e s i a ssuperiems -
~
-
Per-celle= de leur- dootririe., «sans doute!
-
ieu? - *
-
** -
_
Mais revenons å votre citation. *Si a 'mon tour je disais I
l'auteur :
_
ne
-
-
A les faire progresser, sans doute. Mais Pauteur vous a
«
perd rien de ce qu'il *a acquis; son developpemeutmorsl en
« intellectuel est le meme,
.quelque soit le milieu où il se
u trouve
placé
*
»-
....
-
Quelle logique! L'homme peut commettre le vol, le viol, lt
meurtre, tous les crimes; et son developpement moral sera tou-
jours le meme, de par les Esprits supérieurs et leur inter-pren
M ! Voilà une de ces idees grandioses comme le spiritisme ei
....
-
Je ne sais pourquoi on remet sans cesse sur le tapis la
orie catholique du moyen age, qui n'admet4;ue le sens littéq
du Livre saint. .Lorsque j'habitais votrepmete, il n'ennétait
ts ainsi depuis
longtemps, pour une certaine classe du moins,
.e foule decommentaires avaient paru et disparu : preuve
idente qu'on supposait un sens caché a ce Livre dont chaque
pression n'est qu'un voile posé sur une cliose morale, bonne
.manvaise, suivant queue Livre trace le tableau de l'homme
generé on de Phomme souillé. La,Genese ne parle pas plus de la
sation du monde physique que d'une femme et d`un homme
mdividuels. Elle fait l'histoire de la création morale de þÿ l ' h o m m e , :
est-å-dire de Phumanité. Les six jours dont il est parlé sont
tsdifférents états par lesquels Dieu l'a fait passer, lorsqu'il a
nplanté en elle des sentiments divins¿ Îl serait trop long de
0115
expliquer chacun des mots de ce Livre, dfautant plus que
'Os þÿ c S n'étant
u r s préparés
pas å recevoir la vérité, votre esprit
t
rejetterait. Mettez pratique la morale divine de l'Evangilef
en
sans vous
trop inquiéter des fraudes pienses ou intéressées qui
mt été faites a ce Livre. Dieu saura bien en' faire surgir un in-
þÿ lû ûlorsqu'il
t, s'agira de vous en donner le véritable sens.. G'est
"GTS que vous verrez la vérité divine. soleil des-âmes, apparat-
WB
sons_l'enveloppe grossière du sens littéral, nuage qui' vous
5
tmpeche de découvrir cette vérité.
*
et c`est qtfexprime
ce uiofrelïgion.
votre
Ãimes-vons les uns les autres, voilà toute la loi; mais aimez-
vous comme le Sauveur vous a aimés, c'est-a-dire avec dé-
i
vouement..
-
N'avez-vous plus rien la nous dire?
z
-_
Faites tent par :nour dn bientendoåalsiriú. Ybinmloom.,
pense mn le
témoignage que» þÿ d o n ú e | 1 e : ' s e ndemi*
tihnb.-du
xeooupli. seule récompense þÿ d diam
iû eþÿ n o h l e r o r m r - ¼ i l : * n ' y l o 1 | « a ;
pasdäotret. = *
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\PPARITIONS
JUDlClAlREIBN'l' QU AQTHÇIÎTIQUEQBIT Çó!lS1:A'l'§?S`
(3° HW*-). : Ã ~
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þÿ C h äûþÿûXã l e pdu
«
célèbre Qh8l',1¢,$. XXI» ÎIWÈHH 'ÎGR þÿ fû i ñ
è gû
les plus sages qui oneuperent. le tnppe de.
ÿuede., ll; þÿ g q q t r g iû g i t . .
les privilèges de la uobleese, diminue lïaulnrit¢_ du gsepgtmet,
de þÿ c e l u i - c i maintenu
: l ' å v a i elsa
t plane. Le médecin, a son
9- Cette
þÿû g u r ecachait
i s e dans un manteau de cérémonie,
me en portaientles anciens administrateurs de Suede avant
0 Wasa eût faitde son pays nnroÿaume unitaire. En face du
meétaient assises plusieurs personnes dans une tenue sérieuse
sévère , et revêtues d'une robe noire comme des juges; devant
10$ était une table þÿ a : u v e mpapiers-et
:ae de livres. Entre le
5110 et la trouvait billot couvert
paroi correspondante se un
«
que cesang doit couler; mais, après cinq regnes, mnlh
u sur malheur au sang de Wasa! þÿ : A
I
le roi, u'est pas Pexacte vérité.. je NHODW å tout espoir-diurne
rie meüleure, que j'ai.mâritóe raison de quelques bonnes
en
prit aussi que deux jours avant sa mort, il avait fait couper
e mèche de ses cheveux, qu'il avait donnée å une de ses þÿû l l e s
ur être remise tt sa u rétait
þÿ s Squi , à Rome.
-
Meme ouvrage, p. 159. Le sceptique Macnish dit : « Une
me dame attachée à. nn officier, sir John Moore, tue a la
erre d'Espagne, et vivant dans Pinquiétude, le vit en songe,
ale, couvert de sang et blessé à la poitrine,
_
entrant dans sa
._
219 _
Ecriture
IÎÀIÂNT þÿ n a n mû . directe à rebours. -
Pres (M
dres vivaient M. et M" W... , sans enfants apres seize 811$
ë c t equelqiiun
comme z sans
r.
Dépose tes peines dans le sein de Dieu et il Paidera. þÿ : :
-
it encore
frappes. Elle* dit alors : « Si c`est un Esprit qui s'an-
we, veut-il répéter les bruits? » -
Le-dessus les coups furent
*tés instantanément et même plus distincts. MH* W... prit
papier ets: main écrivit, mais encore a rebours, toujours les
-NGS R. G. D. Elle demanda dans quel but elle avait été
°V0qn6e aecrire. Il fut répondu, écrivant toujours de droite
þÿ Nû etb ae rebours : -
« To show you that we are thinking
'¿*work£ng foryau. þÿ : :- a Pour vous prouver que vous êtes
'W demos pensées et de mes actions. þÿ : : .
-SN-
sent þÿ ? 'le
- : l'ai
- amene, dit le gentleman, parce que je verni
défaire et que ie savais qu'eu vous Madame il trouverait*
, ,
excellente þÿ n i a l t S
» s s e .
vaguement þÿ c o nû
sa épensee n`avait parlé la qui que ce fe:
*son desir d'avoir un chien semblable, que cela ne fut guère 4
llexpression d'une pensée rapide, et que cette demoisùe n
faits et communications.
Autre fait. -
Aremriou. -
Sir'William Owitt, dear
nom est également connu des deux côtés de -l'Atlautiqae, eta
son lit 'un bruit de pas, qu'elle attrlbuait a son frère Franci
LA BIBLE þÿ l ! § ' l ` - l a l J ¢ B . l B
SHUI-_AN'l'lD0'l'B DE þÿ l f l l lû
.
-
S. C. E. þÿ S o o l t t u í l l S l
_
Monsieur Davis, , V
J`entendis, il y a
quelques jours, un predicateur dire qllèãl
_
in _
.
le-monde =n'aurait aucune cou naissance de Dieu, ni des
des hommes les.uns'envers les autres ou envers le Crea-
Qne þÿ p e n s o aûdevcette
o u sprétention ?
ms: : Nous pensons que c'est la une assertion erronée,
: statement, une' theorie dangereuse, dénuée de preuves
etant.-me profonde ignorance de l'histoire humaine. L'ori-
esBibles ne date pas de tres-loin. L'imprimerie est une in-
vn
comparativement eéoente. La race humaine (d'apres cer-
.traditions
chinoises) est sur terre depuis pres de 40,000
.espyramides et autres monuments anciens démontrent que
iistoire remonte bien au dela des' 0,000 ans du récit mo-
þÿ l l p a r i t i o n d e s - B i b l La : q u ' n'est
e sBible a p r pas
e s .plus néces-
þÿ Î àlû la vraie connaissance de la
poésie. Croyez-vous que
Xislesce d'un livre spécial sur la physiologie soit nécessaire a
*W humain
pour_ la digestion, Passimilation, la' croissance?
Il-on besoin de lireun livre sur l'art de cultiver la terre avant
l
_
313 _
en þÿ a fû rque
mu la tBible est indispensable å la conan
Les facultés
intellectuelles, en découvrant Padaptaáon han
nieuse, les proportions exactes de toutes choses dans la les
þÿ I l l l l l t l ûû l l l l l l l
'
(10 article.)
:Je: premier: luna, ou la Fin du malentendu. révélation écrites sous la
=e d'm Esprit , par lhun. Rome chrétienne d¿vottee,os Revetalton du þÿ n ¼ t e r c
-
ÈIII.. -
Le þÿ r e l lbenuonie,
iû o l par le D* Dlcrmuu. -f La Sptrlltene au
rique et Biographie d¢.4. J. Davis, par þÿ C l é mGuiam.
euS
aient
dépositaires. Elle cite pour épigraphe ces paroles de
Ampère, dans un discours consacré a la mémoire de Bal-
che: « La ville éternelle sait qu`uu nouveau règne lui est pro-
_22[_
in ce pays, livré
aujourd'hui a Voltaire, aux mercadets
ésuites, rappeler son glorieux passé spiritualiste et y
se
tiienautétait
'"
un zélédisciple del`école phalansterienne; c'est
q1'0l`l doit le curieux livre intitulé: Analogies élémentaires
þÿ I r aû t c e ndu
d a règne
n t e s végétal. Imbu des remarquables idées
(1) 2 vol. in-12, chez Dentu et Ledoyen. Prix : 1 fr. le vol. Chaque
lume se vend séparement.
ts-Uuiszsont art-.ivesà notre connaissance. Voir les journaux.
Fepoque, notamment l'Illustration. M"° Guérin nous en
nse encela, elle l'a été dans les matieres de son livre, qui sont
s-bien choisies, résumées, ce qui est plus important. Elle
y fait connaitre les principales individnalites spiritualistes
us
le
s'attnque surtout à ceci : que le nouveau mouvement spiri-
tualiste américain pousse au mañrialismo. Il «faut le
pour le croire. A coup sur, la catlwliquegazatte a fait
connaissance avec ce spiritualisme americain, objet de ses
sures. Fers-t-elle davantage connaissance avec Andrewl
Q -
z. J.
Piultattfíf, þÿ P f o gû e ce-au.
tasfq, }
Plril þÿ
lnpthneüe þÿ d o h l l lþÿ
- :
l ll te pû
tû he, þÿû i l l l - l 'û l l ü
3$8.,n|i
*i
ques savants qui se déclarent parfaitement þÿ é d iû suré sle peu de fondement du spiri-
rxte. sans l'avoir examine, ni etudie. Les phénomènes spiritualistes, les mani-
-
mus saedls-:ioniques sont aussi anciennes que le monde; elles ont eonstitue le principal
me de toutes les , le fonds commun de la des philosophies anciennes.
regégions
-uglemeut inconip hensible de eeux qui en nieut a realite. plupart De Paxistenee des
-
Lsprits des révélations, des enseignements qui, au point on en est la science spiritua-
uesanrsient pas toujours avoir des garanties de eertitude; mais ee qn'il im e
þÿ i m m o r t eû g l e t
,
raiavipes, donnant. des preeeptes de la plus pure morale, toutes autos tl'avia saliuairea,
.sam des malades doivent-elles etre attribuées h l'Bsprit du mal !- Satan n-ts-il
,
is existe, ou n'est-;il_ qu'une importation des doctrines mazdeenues dans les religious
treident! -
Doit-on condamner eeux qui entrent en eommeroe avec les Esprits, qui
rowquent i se manifester! Les manifestations svediutsuqses, au lien d'etre chose
meuse ue.sont-ella pas au contraire de nature k reveiller la sentiment it
.
aitirmer avec plus de_l'oree les vérités les plus eonsolantes de la religion Dg; reliçlanx.
._
.tuslistesi travers les ages , leur existence dans les mysteres d'lsis et de Sen ia, dans
de Cyhels, de Samothraoe et d'Élansis, ches les francs-maçons, les
rentes sectes gl'illum_iués, ete.-f Lespiritualisme constituant le fond des fvara pro-
s de la lteeherelies les doctrines émises Celso et sur la
les
reiutation
þÿ t a u å l pû e r s ,
magie. -
sur par
_. 1 faits
n e ¼ -des auteurs nucleus qui ont ecrit sur les spectres, les
þÿ O r i g eExamen
ms, les apparitions, les vsvoeattuns, la divination, les songes, ete.-tûovrages les plus
au du moyen age et dela renaissance traitant des memes matieres. w- Auteurs spiri-
þÿ . ides
S s
temps analyse deleurs þÿ S u v r eDes
s . proces de sorciers.
-
Golp
moderorã,
-
-xgore,Apol0lins de
ie
TltyllI¢s..8oslÿg:s,Brigits,
lliidegarde, sainte leehtilde,sainte sainte Gertrude,
sainte Catherine ds
s¢, .|i;¢.Pier|l (TÁIÖIIIIYI. saints Alma, saint Bernard, Agnes de Iahùne, saint
iaiqaa, cils-Copctino. Iaris d'Agrsda, saint Bernardin. le bienheureux ûillu, la
e
Dias, Christine þÿ l ' a d n i r s b l e , s S dlldalhaussnf
n r A d e l a t dEapersnea
e þÿ B s e n q sû a .
te Colette. Dalmae de Girons, Bernard de Courlåon, ls frère latter Jeanne
"rique de Jesus-llarie, 'fheodesea de Pise. Elisabeth de Falkenstein,
-
0
.
Rodrigues,
:urbz de Bergame, Damien Vieari, le earme Franc, le dominiesin Robert, Savonaroia. e,
lan, Nieole Aubry Jeanne Fery Brandauo, Broend; 'Il-ne fle* þÿ V l l åû
, ,
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htoinettl .