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de l’exploitation agricole
Moumane Aya
Kriouch Mohammed
Elazaar Omar
Souhaila
I. La segmentation du Marché :
La segmentation marketing d’un marché peut se définir comme l’identification de sous-ensembles
d’acheteurs partageant des besoins et des comportements d’achats similaires. La Terre se compose
de milliards d’acheteurs ayant leurs propres ensembles de besoins et comportements. La
segmentation vise à réaliser des groupes d’acheteurs, aux besoins et comportements similaires. Un
tel group est nommé ‘Segment’.
Il existe de nombreuses activités de base que nous proposons à nos clients, notamment:
Pour développer notre projet, de multiples partenariats doivent être construits, notamment :
- Des coopératives pour améliorer notre produit et le livrer aux clients de la meilleure façon.
dans ce cas, le plus important est de mener à bien notre projet qui est lié à l'agriculture ,qui est le
besoin d'une main d'oeuvre capable d'exercer le métier, de terres, de machines, de matériaux
principaux, d’un lieu pour stocker le produit
C'est l'une des choses les plus importantes à savoir car cela nous montre comment bien vendre le
produit. Il existe de nombreuses façons de vendre notre produit agricole. Nous ciblerons les sites
expérimentaux électroniques, les sociétés de distribution, les magasins, ainsi que la
vente vers d'autres projets tels que Carrefour et les grands cafés.
La mesure du revenu agricole, l’analyse de ses principaux déterminants et l’impact des politiques
publiques sur son niveau et son évolution constituent des enjeux importants. En effet, celui-ci est
tout à la fois un indicateur de la performance des exploitations et de leur capacité à produire de la
valeur, une composante de l’équité entre les différentes filières agricoles et entre le secteur
agricole et les autres secteurs de l’économie, et une dimension essentielle de l’évaluation de
l’efficacité des politiques publiques agricoles.
Avant d’aborder la question de la définition et de la mesure du revenu, il convient de noter que,
dans l’expression « revenu des agriculteurs », par « agriculteurs » et sans plus de précision, il faut
entendre « chef ou cheffe d’exploitation » dans le cas des exploitations individuelles, ou bien «
associé ou associée participant aux travaux » dans le cas des exploitations sociétaires. La question
du revenu des salariés agricoles est en effet plus directement abordable puisque la rémunération
desdits salariés est définie par contrat et qu’elle figure, ainsi que les cotisations sociales qui lui
sont associées, au titre des charges dans le compte de résultat de l’entreprise.
Les déterminants de la formation et de l’évolution du revenu des agriculteurs relèvent à la fois de
facteurs internes à l’exploitation et de facteurs qui lui sont externes.
Au titre des facteurs internes, on peut citer les compétences humaines et notamment managériales
des chefs et/ou associés, ainsi que les caractéristiques structurelles et le mode de gestion de
l’exploitation, ou encore les capacités et conditions financières au moment de l’installation. Tous
ces éléments concourent à définir le niveau et la stabilité du revenu dégagé par l’activité
productive. Ils déterminent en effet les choix de production, les types de pratiques mises en
œuvre, la capacité à maîtriser les coûts, les stratégies de financement de l’activité, les circuits de
commercialisation adoptés, les modes de gestion des risques associés à ces différentes décisions,
etc. Les résultats de l’exploitation ne seront ainsi pas les mêmes selon que les productions choisies
sont plus ou moins rémunératrices (par le marché et/ou le soutien public) et seront soumises, et
sensibles, aux aléas climatiques et/ou économiques. Ils varieront aussi selon que la production
sera orientée vers des commodités distribuées en circuit long ou, au contraire, visera une montée
en gamme vers des produits à plus haute valeur ajoutée, écoulés sur des circuits courts. Ou encore,
ils dépendront des arbitrages entre recours à l’autofinancement versus l’endettement pour financer
les investissements nécessaires. De même, dans un contexte où la volatilité du revenu s’est accrue
depuis le milieu des années 2000 par rapport aux deux décennies précédentes, la capacité des
exploitants à gérer le risque devient un élément déterminant. Enfin, le statut et la structure
juridiques de l’exploitation pourront également avoir un impact : par exemple, un agriculteur,
propriétaire de terres qu’il loue à la société dont il est associé exploitant, perçoit des revenus
fonciers alors que les résultats économiques de son exploitation sont grevés des fermages
correspondants. À une échelle plus macroéconomique, les changements structurels à l’œuvre dans
le secteur agricole, qui résultent en partie des décisions précédentes, conduisent à ce que le revenu
moyen par actif non salarié progresse. En effet, alors que le revenu net des entreprises présente
une tendance à la baisse, le nombre de personnes bénéficiant de ce revenu diminue encore plus
fortement.