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Commercialiser les produits

de l’exploitation agricole

Moumane Aya

Kriouch Mohammed

Elazaar Omar

Souhaila
I. La segmentation du Marché :
La segmentation marketing d’un marché peut se définir comme l’identification de sous-ensembles
d’acheteurs partageant des besoins et des comportements d’achats similaires. La Terre se compose
de milliards d’acheteurs ayant leurs propres ensembles de besoins et comportements. La
segmentation vise à réaliser des groupes d’acheteurs, aux besoins et comportements similaires. Un
tel group est nommé ‘Segment’.

II. NOTRE PROPOSITION DE VALEURS :


Notre VISION.
La coopération agricole est un modèle d’activité unique à la fois créateur de valeurs pour le monde
agricole et générateur de progrès pour la société.
Notre AMBITION.
est de faire grandir, au service des agriculteurs et de leurs territoires, un modèle vertueux qui
concilie respect de nos valeurs humaines et valeur ajoutée technologique, création de valeur
économique et réponses aux nouvelles attentes des consommateurs-citoyens.
Notre MISSION.
Nous engager solidairement pour promouvoir nos filières et nos productions à travers la
réputation de nos marques, l’ouverture de nouveaux marchés et le développement d’activités
connectées.
Nous mobiliser collectivement au service de la compétitivité de nos coopératives et des
exploitations de leurs adhérents en valorisant un modèle de production agricole plus durable.
Notre ÉTAT D’ESPRIT.
Nous avons le sens du temps long pour inscrire notre action dans la durée.
Nous avons le sens des responsabilités pour préserver et transmettre aux jeunes générations notre
patrimoine agricole.
Nous avons le sens de l’engagement pour concilier ancrage au cœur de nos territoires et
croissance au-delà de nos frontières.
III. Les activités clés :

Il existe de nombreuses activités de base que nous proposons à nos clients, notamment:

-Création et distribution de produits de haute qualité.

- Livraison des produits dans les meilleurs délais.

- Assurer la production de produits 100% naturels.

- Recours à un site Web pour faciliter le processus d'achat et de vente.

- Dépendance à la technique (cutacut) due à la présence de la sécheresse.

IV. Les partenaires clés :

Pour développer notre projet, de multiples partenariats doivent être construits, notamment :

- Société de publicité pour présenter le projet et le livrer à tout le monde.

- Des coopératives pour améliorer notre produit et le livrer aux clients de la meilleure façon.

- Dépendance à un ingénieur agronome pour le suivi de la terre et du sol.


- S'appuyer sur la société (SONACUS) en tant que société numéro un au Maroc, car elle s'appuie
sur la vente de pilules de haute qualité ...

V. les ressources clés :

dans ce cas, le plus important est de mener à bien notre projet qui est lié à l'agriculture ,qui est le
besoin d'une main d'oeuvre capable d'exercer le métier, de terres, de machines, de matériaux
principaux, d’un lieu pour stocker le produit

VI. les canaux :

C'est l'une des choses les plus importantes à savoir car cela nous montre comment bien vendre le
produit. Il existe de nombreuses façons de vendre notre produit agricole. Nous ciblerons les sites
expérimentaux électroniques, les sociétés de distribution, les magasins, ainsi que la

vente vers d'autres projets tels que Carrefour et les grands cafés.

VII. Les relation client :


Aucune entreprise ne peut prospérer sans clients. Tout ce que vous faites en tant qu'entreprise doit
viser à garder et à fidéliser vos clients actuels et à en acquérir de nouveaux. Rendre les clients
heureux est l'essence même de la gestion de la relation client pour votre entreprise. En tant
qu'entreprise, vous voulez apparaître comme un partenaire de confiance et créer des clients plus
fidèles.
VIII. Les flux de revenus :

La mesure du revenu agricole, l’analyse de ses principaux déterminants et l’impact des politiques
publiques sur son niveau et son évolution constituent des enjeux importants. En effet, celui-ci est
tout à la fois un indicateur de la performance des exploitations et de leur capacité à produire de la
valeur, une composante de l’équité entre les différentes filières agricoles et entre le secteur
agricole et les autres secteurs de l’économie, et une dimension essentielle de l’évaluation de
l’efficacité des politiques publiques agricoles.
Avant d’aborder la question de la définition et de la mesure du revenu, il convient de noter que,
dans l’expression « revenu des agriculteurs », par « agriculteurs » et sans plus de précision, il faut
entendre « chef ou cheffe d’exploitation » dans le cas des exploitations individuelles, ou bien «
associé ou associée participant aux travaux » dans le cas des exploitations sociétaires. La question
du revenu des salariés agricoles est en effet plus directement abordable puisque la rémunération
desdits salariés est définie par contrat et qu’elle figure, ainsi que les cotisations sociales qui lui
sont associées, au titre des charges dans le compte de résultat de l’entreprise.
Les déterminants de la formation et de l’évolution du revenu des agriculteurs relèvent à la fois de
facteurs internes à l’exploitation et de facteurs qui lui sont externes.
Au titre des facteurs internes, on peut citer les compétences humaines et notamment managériales
des chefs et/ou associés, ainsi que les caractéristiques structurelles et le mode de gestion de
l’exploitation, ou encore les capacités et conditions financières au moment de l’installation. Tous
ces éléments concourent à définir le niveau et la stabilité du revenu dégagé par l’activité
productive. Ils déterminent en effet les choix de production, les types de pratiques mises en
œuvre, la capacité à maîtriser les coûts, les stratégies de financement de l’activité, les circuits de
commercialisation adoptés, les modes de gestion des risques associés à ces différentes décisions,
etc. Les résultats de l’exploitation ne seront ainsi pas les mêmes selon que les productions choisies
sont plus ou moins rémunératrices (par le marché et/ou le soutien public) et seront soumises, et
sensibles, aux aléas climatiques et/ou économiques. Ils varieront aussi selon que la production
sera orientée vers des commodités distribuées en circuit long ou, au contraire, visera une montée
en gamme vers des produits à plus haute valeur ajoutée, écoulés sur des circuits courts. Ou encore,
ils dépendront des arbitrages entre recours à l’autofinancement versus l’endettement pour financer
les investissements nécessaires. De même, dans un contexte où la volatilité du revenu s’est accrue
depuis le milieu des années 2000 par rapport aux deux décennies précédentes, la capacité des
exploitants à gérer le risque devient un élément déterminant. Enfin, le statut et la structure
juridiques de l’exploitation pourront également avoir un impact : par exemple, un agriculteur,
propriétaire de terres qu’il loue à la société dont il est associé exploitant, perçoit des revenus
fonciers alors que les résultats économiques de son exploitation sont grevés des fermages
correspondants. À une échelle plus macroéconomique, les changements structurels à l’œuvre dans
le secteur agricole, qui résultent en partie des décisions précédentes, conduisent à ce que le revenu
moyen par actif non salarié progresse. En effet, alors que le revenu net des entreprises présente
une tendance à la baisse, le nombre de personnes bénéficiant de ce revenu diminue encore plus
fortement.

IX. La structure de couts :

Prix fixe Prix variables


- Energie solaire -> 140 millions. Salaires des travailleurs -> de 200 dirhams à
- Compteur d'électricité -> 3 millions. 250 dirhams par jour
-Technicien en électricité -> 4000 dirhams.
-Équipement de puits -> 5 millions.
-Installations d'eaux souterraines -> 2 millions.
-Grains d'oignon -> 1000 dirhams le kilo.
-Pommes de terre -> 17,50 dirhams le kilo.

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