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Valeur = CA
1) leader ou chef de file : plus forte part de marché, 1ere place su rue marché
Peut adopter une stratégie de plagiat : imitation des concurrents, acteurs majeur du
marché, copie des bonnes pratiques
-Lieux de conso
-motivat° et freins
LES DIFFÉRENTS TYPES DE CONSO VOIR LIVRE 16 (conso, non-conso relatif, non-conso
absolu)
- décideur - acheteur
- leader (influenceur)
- utilisateur
- payeur
Les ventes en valeur : CA réalisé par la vente de produits ou de services -> CA = Qté vendue * PV
unitaire
La fréquence d’achat : temps moyen qui s’écoule entre 2 achats d’un même produit ou service
Le panier moyen : dépense moyenne effectuée par un client dans un magasin à chaque passage
ne caisse CA / Nbre de clients
Le budget moy périodique : somme moyenne consacrée à l’achat d’un produit sur une période
(Volume des achats destinés au remplacement d’un produit / total des achats en volume) * 100
Le lieu d’achat : dans quel type de point de vente ? UC physiques et/ou virtuelles
IV ) Analyser l’environnemt
Macro-environnement :
C’est à partir de son système d’information mercatique que l’entreprise pourra recueillir des info
sur son environnement dans un contexte élargi et évaluer ses marchés cibles.
—> le macro environnement se compose de tous les facteurs d’environnement qui exercent une
incidence sur l‘activité de l’entreprise, sur l’émergence ou la disparition d’un marché.
PESTEL
L’environnement économique :
Sources d’information permanentes sur la conjoncture éco d’un secteur d’activité en particulier,
d’un pays ou à échelon mondial.
Presse éco : le monde Eco, le nouvel économiste, l’usine nouvelle, les échos ect…
-Syndicats professionnel
Ex : les marchés émergents bouleversent les équilibres macro eco mondiaux et devraient jouer un
rôle de premier plan dans les années à venir
L’environnement démographique :
La structure et la répartit° géo de la populat°, l’évolution de la pyramide des âges et des cycles de
vies, la mobilité géo, expliquent les nouvelles tendances de société et l’émergence de mvx
marchés. EX : « l’enfant roi » « célibataires » « papy boomers »
L’environnement socioculturel :
- culture
- Religions croyances
- Valeurs
- Tendances conso
- Traditions
- Modes
- Communautés ethniques
Les lois sociales, les dispositions fiscales, les décisions politiques, les normes, le poids des
institutions publiques réglementent l’activité commerciale.
L’environnement technologique :
L’environnement écologique :
La politique de produit est un élément du marketing mix et comprend notamment les choix
relatifs:
- À la politique de gamme
- Au packaging
- Au design
- Ect
I) LA QUALITÉ
La qualité, bien plus qu’un concept abstrait, est une réalité dont les entreprises se sont emparées,
car elle fait vendre.
La qualité, aux yeux du Conso, c’est l’assurance que les caractéristiques du produit sont
authentiques et méticuleusement vérifiées.
La qualité touche autant les process des entreprises industrielles et commerciales, qui vont
chercher à afficher des normes de certification, que les produits alimentaires, qui eux vont
chercher à arborer les labels.
La qualité est une notion difficile à définir car elle repose sur : des critères objectifs ou subjectifs
Dimension objective : l’ensemble des propriétés et caractéristiques d’un produit ou d’un service
qui lui confèrent l’aptitude à satisfaire des besoins
Les caractéristiques sont des éléments concrets pouvant être objectivement mesurables. Pour
déterminer un niveau de qualité acceptable, il faut mettre en évidence des caractéristiques
communes sur lesquelles la majorité des utilisateurs porte son jugement.
- Jugement liés aux attentes légitimes que l’on a par rapport à un produit donné et à la qualité
perçue
La qualité perçue évolue à chaque expérience conso, selon qu’elle s’est bien passée ou non. En
cas d ‘expérience malheureuse, la réaction du Conso peut-être très différente :
- L’autre, qu’il s’agit d’un incident, sans effet sur la qualité des prestations futures.
La certification de la qualité
- L’entreprise qui peut faire figurer sur ses produits, son point de vente ou ses documents
commerciaux, insigne de certification de la qualité dispose d’un avantage concurrentiel non
négligeable
- D’autant plus pour les produits alimentaires : recherche du Conso d’indications propres à le
rassurer sur la provenance, le mode de production…
- Les crises qui ont secoué le monde agroalimentaire ces dernières années n’ont fait
qu’amplifier ce phénomène.
Pour bénéficier d’un signe de qualité, les entreprises doivent respecter les spécifications
contenues dans le cahier des charges.
LES LABELS
Les labels ont le vent en poupe. Ils connaissent un développement rapide et sont très prisés par
les consommateurs.
>Le label rouge qui atteste que l’aliment possède une qualité supérieure à un produit équivalent
sur le marché, grâce au respect de conditions de p° spécifiques
>Le label AB indique qu’au moins 95% des ingrédients sont issus de l’ab. Mode de p° naturel,
sans utilisation de produits chimiques de synthèse. Soucieux de la nature et du bien-être des
animaux
>L’AOC (appelation d’origine controler) garantit la provenance géographique d’un produit ainsi
que le savoir-faire inhérent à sa provenance.
>L’AOP (appelation d’origine protégée): prolongement de l’AOC française. Elle s’applique aux
aliments produits et élaborés dans une aire géo déterminée avec un savoir-faire reconnu et
constaté.
LA NORMALISATION
- Son attribution est soumise, de la même manière que les autres signes officiels, au respect des
spécifications contenues dans le cahier des charges qui la définit…
- Permet de développer les marchés en harmonisant les règles et les pratiques et en réduisant
les entraves techniques aux échanges
Elle portée par la marque NF (norme française) et délivrée par l’Afnor (Associat° française de
normalisation).
LA MESURE DE LA QUALITÉ
Quatre critères principaux sur quels se base un acheteur pour évaluer la qualité d’un produit:
> La fiabilité: nbre d’incidents ou de pannes relatifs à un produit. Evaluation par des contrôles
statistiques et intervention en cessant la fabrication des produits défectueux ou en les modifiant
> Les caractéristiques techniques: attendues par le consommateur qui sont f° du niveau de
gamme dans lequel il se situe
> Qualité mesurée, notamment par les outils pour évaluer la satisfaction du client (enquêtes)
> Mesure possible du respect des spécifications édictées par le fabricant: contrôles en cours
de fabrication, essais, tests, contrôlés statistiques des incidents…
Rôle majeur joué par l’emballage dans la réussite d’un produit exposé sur les linéaires d’un point
de vente
DEFINITION
Le conditionnement est la première enveloppe matérielle du produit, celle qui est directement en
contact avec le produit.
Il doit être généralement distingué de l’emballage, qui lui constitue les couches supérieures du
conditionnement.
Emballage primaire: c’est l’enveloppe matérielle matérielle au contact direct du produit, qu’on
appelle aussi le « conditionnement »
Emballage tertiaire: il regroupe les produits en unités de livraison. Ce sont les cartons, les
houssaies plastiques qui recouvrent la palette de produits
> protéger et préserver le produit (la brique de lait Tetra Pas, par ex)
> S’adapte aux besoins des conso (maxi formats ou rosettes individuelles)
1) f° d’alerte
- Dans les magasins en libre service, les produits doivent se vendre seuls. Un emballage peu
attrayant n’incitera pas à l’achat
2) f° d’attribution
- Grace à l’emballage, il sait qu’il sait d’une lessive, de conserves de légumes, de cafés…
3) f° de positionnement
- Souvent seul lien entre le producteur et le conso. Il doit donc faire passer le message que
l’entreprise souhaite communiquer, et être cohérent avec la stratégie commerciale de celle-ci.
4) f° de service
- un emballage pratique = facilite l’usage du produit
- Aide à la manutention du produit par les distributeurs et les conso, simplification des conditions
d’utilisation (ouverture aisée, bouchon doseur…) et parfois garantie d’inviolabilité ou de
fraîcheur du produit
5) f° d’information
- véhicule des informations obligatoires et des info commerciales destinées à promouvoir la
vente du produit (qualités, opérations promo, conseils d’utilisation…)
- f° très importante pour les produits à niveau d’implication élevé pour lesquels le conso est
demandeur d’info
Sur étiquettes
mentionslégales: la dénomination de vente, le nom et l’adresse du fabricant, la qtité nette totale,
origine du produit, le mode d’emploi, la composition du produit, la date limite de vente
Mentions pour gestion du point de vente de le code barre: suivi du stock et des ventes, mesure
de la DI
LA GAMME
Rassemblement des produits susceptibles de satisfaire les mêmes besoins
Permet de répondre aux besoins des différents clients en adaptant ses produits
PRODUITS ET SERVICES
Produit: ensemble de caractéristiques destinés à satisfaire au mieux les besoins des conso
Dimension d’image:
S’exprimer
- le conditionnement ou l’emballage
- Le nom ou la marque
- La atypique ou le design
- L’étiquette du produit
LA MARQUE
C’est aussi des éléments immatériels, par des associations qui représentent force de la marque,
sa capacité à transférer de la performance aux produits ou aux services qu’elle désigne.
3 types d’associations
Les attributs
« Description objective du produit ou du service, a des caractéristiques concrètes auxquelles le
consommateur attache de l’importance »
Les bénéfices
« Valeur que le consommateur accorde à ces attributs. Ils peuvent être fonctionnels (l’usage), liés
à l’expérience (issue de la conso du produit ou du service) ou d’ordre symbolique (appartenance à
un groupe) »
Les attitudes
« Évaluation générale de la marque par le consommateur » —> élément décisif du processus
d’achat
La nature de la marque
Marque gamme: l’entreprise commercialise une gamme de produits sous une même marque.
Marque ombrelle: l’entreprise commercialise sous une même des gammes de produits différents
vendus sur des marchés différents.
Marque caution: l’entreprise commercialise des produits sous des marques différentes, mais tous
profitent de l’image d’une marque globale.
Marque distributeur: soit voit le nom du distributeur ou un nom inventer (inter = paturages/
leclerc= marque repère)
Le dépôt de marque
En France
Exception faite des marques de renommée, une entreprise ne peut revendiquer aucun droit sur un
nom qu’elle n’a pas déposé.
Confère un droit de propriété sur la marque, qui permet à son titulaire de l’exploiter paisiblement
et d’interdire toute utilisation sans son utilisation. La protection est acquise pour une durée de dix
ans renouvelable indéfiniment.
Produit: gamme, marque ect… tous sur le produit / politique produit et prix
Prix: stratégie prix / ORAL DU BTS BLANC 5 min et max 10 slides / droit au note
3/4 slides—> présenter le marketing produit (positionnement de l’entreprise (valeur qu’ils veulent
faire passer, qui ils visent), univers (président=fromage, beurre ect), gamme, normes/certification,
et comment les produits sont classés dans le magasin)
2/3 slides—> sur politique prix ( stratégie prix, éventail de prix par famille)
1 slide—> conclusion
LE CYCLE DE VIE
- Après une certaine période, le produit est dépassé par le développement et le lancement de
meilleurs concurrents, il décline donc et est éventuellement retiré.
D’autres connaissent des phases de maturité cycliques où les déclins donnent lieu à des
promotions pour récupérer les clients.
- Les ventes décollent doucement, le temps que le produit s’installe sur le marché, soit distribué
dans les points de vente et se fasse connaître.
- Les bénéfices sont donc souvent réduits, voire négatifs en raison du faible niveau de vente et
de l’importance des dépenses promotionnelles et commerciales.
- Le produit rencontre son marché, il est de plus en plus présent dans les magasins et visible.
- Les producteurs différencient leurs produits et les marques en sont le meilleur moyen.
Recherche de fidélisation.
- Une concurrence intensive est alors établie et c’est la guerre des prix. De nouveaux produits
concurrents plus compétitifs peuvent apparaître.
- Certains producteurs quittent le marché à cause de leur trop faible marge. La promotion est
très répandue est une plus grande panoplie de média est utilisée.
- Ce sont les 2 ou 3 concurrents les plus compétitifs qui resteront sur le marché.
- Les prix doivent être rabaissé de telle sorte que beaucoup de produits doivent être retirés du
marché.
- Les profits peuvent être accrus par une réduction des dépenses marketing et autres coûts.
Coût d’Achat des Marchandises Vendues (CAMV) + coût distribution+ centre de structure
—> marge brute = marge commerciale (prix de vente HT - prix d’achat HT)
—> taux de marge et taux de marque (marge commerciale / prix d’achat HT x100)
Stratégie d’alignement
+ Lorsque l’entreprise propose une offre peu différenciés sur un marché très concurrentiel, elle
peut mettre en oeuvre une stratégie d’alignement.
+ Dans ce contexte, elle dispose d’une faible marge de manoeuvre pour fixer ses prix.
Stratégie d’écrémage
+ Lorsque l’entreprise vise une cible restreinte, elle peut fixer des prix élevés, ce qui lui procurera
des marges plus importantes.
Stratégie de pénétration
+ L’entreprise veut toucher l’ensemble du marché par une diffusion rapide de l’offre à des prix bas
(en dessous du marché)
- des coûts de revient unitaires qui baissent grâce à des économies d’échelle;
Tableau page 50
Élasticité-prix:
Indicateur avéré ou prédictif de la réaction de la demande face à une variation du prix:
—> Biens spéculatifs: lorsque le prix augmente, le consommateur anticipe d’autres hausses et
augmente la demande
—> Effet GIFFEN : un produit de première nécessité dont le prix augmente (ex: pain); le
consommateur va renoncer à d’autres produits plus couteux
EXERCICE 4
= 0,56/(-0,42)
= -0,227
= 1,5/0,67
= -0,42
EXERCICE 3
= -0,25
=0
EXERCICE 5
2) 4 go = 6 / (-4) = - 1,5
4) 16 go = 3 / (-2,7) = -1,11
Le consommateur interprète le prix selon ses caractéristiques psy et son environment social.
—> Prix théorique: pour lequel les ventes d’un produit = max en f° des seuils psy auxquels fait
face le Congo.
Pour calculer un prix psy, voici la liste de ce dont vous avez besoin:
- Un fichier Excel dans lequel vous allez reporter vos données selon l’exemple ci-contre:
Nombre Répartitio %
de n en % cumulés
réponses
Prix Qualité Trop cher Qualité Trop cher Qualité Trop cher Non achat Achat CA
insuffisant insuffisant (%) insuffisant (TC en %) potentiel
e e (%) e (QI en (100- (QI
%) +TC)
1000 1000
100
75
50
25
0
Moins de 1€ 1,50 € 2,00 € 2,50 € 3,00 €
La fixation du prix par rapport à la concurrence.
Facteur de la concurrence:
—> alignement sur le prix pratiqué par les concurrents qui dominent afin d’éviter une
confrontation sur les prix (guerre des prix).
- Les entreprises leaders, qui sont en position de force sur le marché décident d’un prix inférieur
ou supérieur à celui du marché.
- Les entreprises peuvent enfin choisir un prix plus élevé que la moyenne.
—> elles pensent que le Congo acceptera de payer ce prix pour un produit ou une entreprise
auxquels il est fidèle (produit de luxe).
- Acheter des analyses sur l’’offre du secteurs = Instituts type Nielsen, organisation LSA…
- Réaliser des enquêtes « client mystère » = connaissance également des services associés,
remises accordées aux clients… Grille d’observations remplie pour comparer les offres.
-
Adapter le prix selon la position concurrentielle:
+ Le challenger = différenciation par la baisse des prix (attention à ne pas tomber en guerre des
prix).
Selon sa tactique
+ Le prix d’appel
Prix fixé en dessous du prix du marché pour encourager l’achat et pousser à acheter d’autres
produits aux prix du marché voire plus chers.
+ Le premier prix
Produit dont le prix est le moins cher dans sa catégorie. Peut-être utilisé pour valoriser les
produits courant de meilleure qualité.
+ Le prix magique
Afin d’optimiser le chiffre d’affaires, de plus en plus d’entreprises adaptent le prix de vente de
leurs services aux fluctuations de la demande (transport ferroviaire, aérien, hôtellerie, cinéma..)
—> Un secteur d’activité de services ayant un processus de réservation et une capacité d’offre
limitée ou contrainte: 400 places dans un train, 100 places dans un restaurant…