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Présenté par : IMANE OUSSALEH

SARA EL BIDAOUI

Lycée de : MOHEMED CHRAIBI

Classe : 2 BAC COMPTABILITE

Année scolaire : 2022 / 2023


En cadrée par : Mme EL OURDI
 Définition d’œuvre.
 La littérature maghrébine d’expression française.
 La biographie de Mohammed Khair-Eddine.
 Les personnages.
 Etude de paratexte.
 Résumé.
 Définition d’oeuvre

Ce roman est une œuvre posthume apparue aux éditions du


Seuil en 2002. Il raconte la vie d'un couple heureux où le
vieux passe ses journées à écrire des poèmes en berbère
et à savourer les repas faits par la vielle, sa femme. Le récit
sera développé en fonction du passé agité du vieux et ses
pensées.

 La littérature maghrébine d’expression


française.

C’est une littérature qui est né principalement vers les années


1945-11950 dans les payes de maghrébins arabe: le Maroc,
l’Algérie, la Tunisie. Les auteurs de cette littérature sont des
autochtones, c'est-à-dire originaire du pays. La littérature
maghrébine deviendra une forme d’expression reconnue après
la 2eme guerre mondiale.
 La biographie de Mohammed Khair-Eddine :

Mohammed Khair-Eddine est un écrivain marocain, né en 1941 à Tafraout dans la


région de sous au Maroc, mort le 18 novembre 1995 à Rabat. Il est l'un des grands
écrivains de la littérature francophone marocaine.
Mohammed Khair-Eddine est né à Tafraout, petite ville de la région Souss-Massa-
Draa (province de Tiznit), au sud du Maroc, à 180 km au sud d'Agadir.
Très marqué par le séisme de 1960, il s'installe à Agadir en 1961 et y vit jusqu'à
1963. Il est chargé par la Sécurité sociale d'enquêter auprès de la population. Jeune
écrivain, il fréquente ensuite le cercle des Amitiés littéraires et artistiques
de Casablanca. En 1964, il fonde, avec Mostafa Nissaboury, le mouvement Poésie
toute.

Il s'exile volontairement en France en 1965, et devient, pour subsister, ouvrier dans


la banlieue parisienne. À partir de 1960, il publie dans la revue Encres vives et
collabore en même temps à la revue Les lettres nouvelles et à Présence africaine.
En 1967, c'est la révélation de son roman Agadir, salué par le prix Enfants terribles,
qu'avait fondé Jean Cocteau.

En 1979, il s'installe à nouveau au Maroc. Il meurt à Rabat le 18 novembre 1995, jour


de la fête de l'Indépendance du Maroc.

Parmi ses œuvres :

 Agadir, Ce Maroc ! , L’histoire d’un bon dieu, Moi l’aigre

 Les personnages
Les personnages principales :

Bouchaîb : Le Vieux héros du roman .Il avait beaucoup voyagé dans le


Nord et dans une partie d'Europe à la recherche d'une fortune qu'il n'a
pas trouvée. Il était une fin lettrée et un croyant exemplaire.

La vielle : la femme de bouchaib venue d’un village lointaine, généreux


et attachée aux traditions .Elle rejette la modernité fallacieuse.

Des personnages secondaires :

Les Touaregs : ce sont des nomades qui possèdent d'immenses


troupeaux mais qui ne mangent pratiquement pas la viande. Ils vivent de
lait de chamelle et de dattes. Leurs femmes sont lettrées. Elles lisent et
écrivent le Tifinagh et elles composent des poèmes et des chansons.

Talaquouit : La vieille voisine du couple, C'est une Saint aimée et


respectée par le voisinage. Elle sait lire et écrire couramment l'arabe
classique et le berbère. Elle était capable d'engager une soute avec
n'importe quel alim. Cette vieille pouvait aussi soignait les anciens car
elle maîtrisait la pharmacopée de l'époque.

Lalla Tiizza Tasemlait : Saint et savante dont on disait tort qu'elle fut la
maîtresse attitrée de Sidi Hmad Ou Moussa n’Zzaouit, le saint aux mille
et un miracles et prodiges

Le Moqadem : Il a fait la prison pour trafic du kif. Ces trafics ne l'ont pas
enrichi. Il est revenu avec sa femme arabe qu'il a totalement berbéris

Le guide touristique attitré : c'est un polyglotte né au village .Il habite le


chef-lieu ou' se trouve l'administration du Souk. Il a une femme et des
enfants au village, une autre femme et enfants à Tiznit et une troisième
épouse au Souk, Le Vieux parle de lui en terme de baroudeur et
d'aventurier
 Etude de paratexte

a. Le titre :
il était une fois
• histoire
un vieux couple heureux
• femme et homme

b. L’illustration :
L’image montre un vieil homme avec une Djellaba blanche, des
babouches et un turban blanc, avec une blanche. Ce vieux tient une
jarre dans ces mains. Il semble parler avec un homme sur son âne, les
deux se trouvent à côté d’une porte d’un architecture traditionnelle, où
apparaît un arbre vert dans ce milieu, figure aussi une jeune femme avec
des habits traditionnels, portant une jarre sur sa tête, les deux
personnages qui portent des jarres révèlent la nature de cet endroit, il
s’agit peut-être d’une source d’eau, d’où les habitants du village épuisent
de l’eau.
 Résumée

Il était une fois, effectivement, un vieux couple


heureux. Des berbères de la montagne marocaine,
soumis au rythme doux de la vie villageoise, à
l'observation des saisons et des couleurs du ciel. Le
vieil homme, revenu d'un passé agité, passe ses
journées à calligraphier en langue tifinagh, héritée des
anciens touaregs, un long poème à la gloire d'un saint.
Sa poésie sera chantée à la radio, diffusée en cassettes,
imprimée et reconnue.
Les portraits de visiteurs, étudiants américains ou amis
revenant de l'étranger, ou de héros locaux promis à la
désuétude, tel le forgeron africain, agrémentent le
rythme austère des journées, scandées par la cérémonie
du thé ou la préparation des plats ancestraux, dont un
délicieux couscous aux jeunes pousses de navet.
Tout en maugréant contre la « modernité fanfaronne »
et ceux qu'il appelle les « parvenus », il entreprend un
nouveau poème sur le thème de l'arc-en-ciel.
Loin des fulgurances et des éclats flamboyants et
sombres qui ont fait sa gloire, l'auteur d'Agadir et du
Déterreur, mort en 1995, nous livre ici plus qu'un
testament : le roman de l'apaisement qu'il avait tant
rêvé.

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