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UE 1.

3 S1 : La dignité.

Dignité est-elle intrinsèque (propre) à l’être humain ? Une personne peut-elle ne pas être digne  ?

Consentement : Pas d’atteinte à la dignité.

Il y a quelque chose en nous sur quoi nous n’avons pas de maitrises et qui est quelque chose
dont nous devons nous rendre digne.

Ontologique : Relève de l’être qui est dans son essence, dans sa nature.

Dignité ontologique : Injonction : Devoir de l’humanité que j’ai envers l’autre avant de me poser la
question de ma dignité. C’est dans la relation à l’autre.

La dignité est dans la nature humaine. On ne peut imaginer un être humain qui ne soit pas digne. On
ne peut pas renoncer à la dignité au contraire, c’est une charge à assumer. En tant que soignant, est-
ce que je me comporte de façon humaine ? Est-ce que je fais preuve d’humanité ? C’est avant tout
une question de reconnaissance. Tout être humain comporte en lui-même une dignité : pour qu’elle
soit réalisée il faudra passer par la relation à l’autre, l’interaction à autrui. Être humain compte plus
qu’un objet ? Reconnaître l’individu comme digne.

Perte de dignité si celle-ci est impossible ?

Semble être quelque chose qui ne se perd pas. « Respect qui mérite quelqu’un ou quelque
chose », c’est une « attitude empreinte de réserve […] sentiment que quelqu’un à de sa valeur. »
Renvoie à la notion de reconnaissance : renvoie à quelque chose de l’ordre du ressenti, de
respectable.

La dignité au lieu d’être un concept absolu, il va y avoir +/- de possibilités à être digne. 2 types de
dignité : Ontologique et Décence chez les bourgeois : L’honneur des nobles, leur distinction par
rapport à d’autres classes sociales.

La dignité, d’un point de vue légal ne peut pas se perdre. Mais le sentiment de dignité lui
peut être remis en question. Il revient donc à chacun d’être attentif à ces petites ou grandes
atteintes quotidiennes et notamment dans le soin.

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