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Généralité :
Du point de vue étymologique, le mot « commerce » vient du latin commercium qui veut dire
négociation, relation humaine et relation charnelle. Le terme « éthique » dans la fonction du
commerce est apparu en Moyen-âge après avoir rencontré plusieurs problèmes tels les faits en
l’absence des règles commerciales. On peut définir l’éthique de commerce comme un
ensemble de principes et de règles fixant les pratiques du « bien agir » vis-à-vis de ses clients
et prospects.
Du point de vue juridique, on désigne « acte de commerce » les activités d’une personne
physique ou d’une entreprise tout en s’alternant par des codes de conduites où l’éthique en fait
partie.
Par contre, les questions d’éthique peuvent surgir dans une grande variété de situations
commerciales en se conformant à toutes lois et aux règles de la société. Par exemple, l’abus
ou le vol des actifs de l’entreprise est un autre domaine où les employés pourraient
enfreindre l’éthique professionnelle. Les entreprises qui font preuve d’éthique à un haut
niveau, ils rapportent une plus grande satisfaction de leur clientèle. Autrement dit, l’éthique
de commerce s’intéresse plus particulièrement au cas où les producteurs à soutenir les
employés tout en reposant sur de objectif sous-entendus, de fait non seulement à contribuer
des conditions de travail et de rémunération du travail décente.
Bien que le commerce soit entré dans les mœurs, certains consommateurs ou prospects n’en
demeurent pas moins réticent à y effectuer leurs achats. Ils ont peur de se faire arnaquer
davantage.
2. Livraison tardive :
La gestion de la livraison aux clients joue également des enjeux au niveau du commerce. Les
clients ont du mal à recevoir leur commande en un minimum de temps d’où quelques
dommages peuvent être provoqués pendant la livraison.
C’est l’aspect le plus complexe dans la gestion d’un commerce. L’évaluation de nombre de
vente d’un produit ou d’une marchandise peut tomber sur une rupture de stock à une période.
4. la concurrence déloyale :
Le comportement déloyal se manifeste par des pratiques contraires aux usages loyaux et
honnêtes du commerce. D’ailleurs, il existe notamment 5 actes de concurrence déloyale :
6. La fraude et corruption :
Autrement dit, certains vendeurs s’obstinent autant pour obtenir une marge bénéfique des
produits vendus et même voir les produits non consommables sont encore mis en vente.
Comme référence, plusieurs produits périmés sont en vente dans certains coins des marchés
notamment dans les pays en développement.
Bien que le commerce soit entré dans les mœurs, certains vendeurs ont tendance de profiter
abusivement leurs prospects en vue de dégager profit.
Afin d’éradiquer de nombreux problèmes, voici les codes de conduite et les règles que les
commerçants doivent assumer.
Effectuer les ventes en toute transparence : c’est le fait de s’ajoute une volonté de
satisfaire et de fidéliser le client en répondant à son besoin. Il faut éviter à tout prix de
lui imposer un produit ou un service sur lequel un commercial est objectivé.
Refuser de suivre toute politique commerciale mal étreint: autrement dit, contraire
à la législation et l’honnêteté.
De nombreuses entreprises l’ont compris : les ventes forcées, les scripts trop rigides, et
l’absence de transparence nuisent aujourd’hui à une relation « socialement responsable ».
Dorénavant, les commerciaux responsables visent à instaurer des relations ouvertes et
honnêtes.
prévention de corruption
respect de la concurrence
libre choix éclairé du client.
Alors, l’éthique de commerce nous aide à faire la vente mais en toute transparence.
Quels sont les devoirs du commerçant vis-à-vis de ses mandants et de ses clients ?