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Storytelling definition
Les fonds = les mêmes = qualité des produits , terme
Reprendre comment ils ont fondés la sociéte , les valeurs familliale , culturelle(produit du
teeroir) , label ….
Sujet sur le vin viticulteur, reprise de la société ; ils ont redressé la barre , attachcement a
fabriqués des produits bio et certifications
Trois formes Valeur familiale , culturelle , produits .
Reformuler*
Formes=lien exemple site web
Incoterm
Connaitre la situation économique et sociale d’un marché permet d’évaluer son potentiel de
développement et d’accueil.
Il convient alors d’analyser des indicateurs (économiques et sociaux) quantitatifs et
qualitatifs, à partir de données réelles, de données estimées et de données prévisionnelles
dans le pays concerné.
En tenant compte de l’évolution de ces indicateurs dans le temps et en les comparant à ceux
des autres pays ayant un niveau de développement similaire. En tenant compte également
de l’effet de la hausse des prix car la plupart des indicateurs sont exprimés en unité
monétaire or la valeur de la monnaie varie du fait de l’inflation, les données peuvent être
comparées en monnaies constantes.
Enfin, les comparaisons internationales doivent tenir compte du taux de change du taux de
conversion monétaire, l’unité la plus souvent utilisée est le dollar américain.
L’environnement géopolitique
L’analyse de l’environnement culturel d’un marché concerne d’une part la culture matérielle
(le niveau d’équipement et les habitudes d’utilisation d’objets, de technologies, de services
dans le cadre privé ou professionnel, en entreprise ou au niveau de l’habitation) ;
Elle concerne également la façon de vivre, de se comporter, de communiquer, de travailler,
d’interagir, de la population en termes de nourriture, d’habitude vestimentaire, de relation
ou d’interaction physique, virtuelle, privé ou professionnelle, les comportements non
verbaux mais également les pratiques sportives ou de loisirs dites nationales, la gestion du
temps, ou les sujets tabous.
Enfin on pourrait élargir l’analyse de l’environnement culturel aux institutions : éducatives,
médiatiques ou religieuses, par exemple. Car elles s’appuient souvent sur un ensemble
d’idées, de valeurs, de symboles et de croyances partagés.
L’analyse de l’offre
L’analyse de la demande
L’analyse de la demande est indispensable pour que l’entreprise puisse adapter son offre.
Elle consiste à identifier essentiellement le type de clientèle, le processus d’achat et le
comportement client, et à déterminer le niveau d’équipement qui provient de la production
domestique du marché, des exportations et des importations existantes.
En fonction de la vente BtoB, BtoC, les attentes des utilisateurs, les prescripteurs, les
décideurs et les payeurs sont différents.
L’approche en termes de communication, de distribution, de négociation, doit donc être
adaptée.
L’analyse du processus d’achat et du comportement du consommateur permet de définir les
motivations et les freins à l’achat, des fréquences, des habitudes sur des produits identiques
ou similaires qui seront déterminant pour faire coïncider l’offre à la demande.
Grâce à Internet, la réalisation d’études documentaires par pays ou par secteur et les veilles
commerciales sont facilitées. Les organismes publics d’aide à l’export proposent une
sélection d’informations complètes.
- Le site www.export.businessfrance.fr (découvrir business France et business France
dans le monde) propose beaucoup de données sous l’onglet « nous connaitre »
- Le site du MOCI -moniteur du commerce international- (www.lemoci.com) qui
propose des fiches pays, des articles d’actualité sur les marchés, la réglementation et
les salons ainsi que des témoignages d’entreprises. Leur newsletter est gratuite.
- Les sites régionaux sont souvent très complets et plus spécifiques aux situations
locales comme : www.cci-international.net ou www.lexportateur.ccpi.fr
- Chaque pays propose un dispositif d’aide à l’export les sites francophones suivants
peuvent compléter les recherches précédentes : www.entreprisecanada.ca /
www.awex-export.be / www.cepex.nat.tn
La démarche mercatique
Historique du marketing
Nous sommes passés d’un marketing de masse après la seconde guerre mondiale, à un
marketing plus segmenté après la crise des années 70 avec la singularisation de l’offre de
manière à répondre au mieux aux attentes des consommateurs.
Puis dans les années 80, la priorité devient la satisfaction des besoins spécifiques et
l’adaptation de l’approche commerciale du marché en proposant des offres ciblées à des
groupes homogènes de consommateurs que l’on appelle des segments. Les caractéristiques
d’un segment de consommation est une similitude en termes de besoins et de
comportement d’achat. Le client est alors au centre de la démarche mercatique.
A partir des années 90, le marketing devient individualisé et l’offre personnalisée. Chaque
client devient un marché particulier, un véritable actif stratégique et la fidélisation de ce
dernier devient un enjeu prioritaire. Les entreprises développent un marketing de proximité
pour mettre en place avec chaque client, les cadres d’une approche commerciale directe (on
parlera de marketing direct) en exploitant en particulier les outils de marketing relation (tel
que les e-mailing ou newsletter).
La veille
L’évolution continue des environnements sur un marché étranger fait apparaitre des
menaces et des opportunités.
Une fois que l’étude de marché est réalisée, il faut observer régulièrement l’évolution de ce
marché et analyser les éléments observés.
La veille est un outil stratégique et opérationnel qui crée de la valeur, elle consiste à
surveiller le marché en collectant et en traitant les informations pour prendre des décisions.
A l’international on pratiquera une veille sociétale, une veille réglementaire, mais aussi
technologique, concurrentielle, d’image, une veille en amont (fournisseurs/partenaires) et
en aval (les clients professionnels-privés/publics – en fonction de leur poids, ou des clients
particuliers).
Comment ? en exploitant des bases de données publiques ou privées, les informations sur
les sites officiels, la presse spécialisée, les sites publics, les comptes réseaux publics, les
comptes professionnels…
PARTIE 4 : Analyse statistique des données, stratégie
d’internationalisation
La prévision
L’intérêt lorsque l’on étudie des données statistiques est de pouvoir déterminer leur
évolution. L’idée est de se baser sur les données passées pour anticiper les données futures.
On utilise l’ajustement linéaire.
Les deux méthodes mathématiques les plus utilisées pour établir une prévision (de la
demande, des ventes …) sont la méthode des points moyens et celle des moindres carrées.
Il faut tenir compte également de l’évolution du marché, du cycle de vie et surtout de la
saisonnalité de l’activité. Les phénomènes saisonniers sont mis en évidence par des
coefficients saisonniers (simple ou moyens).
Diagnostic Export
La démarche de sélection d’un marché vise dans un premier temps à identifier des marchés
potentiels.
Ces marchés font ensuite l’objet d’études plus approfondies afin de valider le choix final du
ou des marchés cibles.
La démarche de sélection de marché se décline en deux temps : la phase de présélection
(exploitation de données, d’informations, de documents, …) et la phase de sélection qui
repose essentiellement sur le potentiel du marché, son degré d’accessibilité ainsi que sur les
risques éventuels.
L’analyse des critères de sélection passe par l’exploitation de la base de données Comtrade
de l’ONU (www.comtrade.un.org), par l’exploitation de données fournies par Business
France et la constitution d’une grille d’analyse multicritère.
20/10
GESTION DES OPÉRATIONS D’IMPORT – EXPORT
La logistique internationale
La logistique est devenue, depuis quelques années, une fonction stratégique pour les
entreprises et plus particulièrement pour celles qui ont des activités internationales.
Elle englobe un certain nombre d’activités, de la production à l’approvisionnement.
Elle concerne donc une chaîne de l’amont de la distribution jusqu’en aval de la distribution.
L’origine de la logistique
Étymologiquement, le mot « logistique » vient du grec « logistikos » ce qui signifie
« administrer » ou « relatif à l’art du raisonnement ». Le dictionnaire de l’Académie française
donne « la science du calcul » comme premier sens au mot logistique.
On peut donc dire que la logistique est une activité qui a pour objet de gérer les flux
physiques et informationnels d’une organisation, mettant ainsi à disposition des
ressources correspondant aux besoins, aux conditions économiques et pour une qualité de
service déterminée, dans des conditions de sécurité et de sûreté satisfaisantes.
Explication du concept
Le terme « logistique » est entré dans le langage courant à partir du début des années 90,
lorsque la première guerre du Golfe a éclaté. C’est la presse qui a démocratisé le mot
« soutien logistique » en parlant des associations caritatives qui venaient en aide aux
militaires.
La logistique est à la base un terme militaire qui correspond à la gestion et au ravitaillement
des troupes.
La logistique d’aujourd’hui
Aujourd’hui, la logistique est un secteur essentiel de l’activité économique et constitue une
nouvelle forme de l’activité industrielle et de service.
Elle s’est imposée comme une différenciation des entreprises en termes de service (délai de
livraison, lieux, conformité de la commande, gestion des retours) et d’offre (gammes larges).
La chaîne logistique correspond à l’enchainement de chaque étape, de la production à la
distribution.
La commission de transport
La commission de transport est une opération par laquelle un commissionnaire de transport
organise et fait exécuter, sous sa responsabilité et en son propre nom, un transport de
marchandises selon les modes de son choix pour le compte d’un commettant (importateur
ou exportateur).
Les critères de choix sont souvent le coût, les délais, la sécurité (signature ou non)
Les Incotermes
Les InCoTermes
Les International Commercial Terms (ou termes commerciaux internationaux) ont été mis en
place par la Chambre de Commerce International (ICC) ;
Ce langage commun permet de définir avec précision certaines obligations du contrat
commercial.
Ces contrats types écrit en langue anglaise sont identifiés par des acronymes (sigles) qui
définissent certaines obligations de l’exportateur et de l’importateur, leur usage n’est donc
pas obligatoire.
Les Incoterms sont apparus dès 1936 et ont subi plusieurs révisions compte-tenu de
l’évolution des techniques dans le domaine du transport international. La dernière révision
date de 2020.
Les incoterms sont regroupés en famille (EFCD) et les termes représentent des
caractéristiques communes.
Pourquoi ?
Principes :
Les incoterms prennent aussi en compte les obligations de sûreté et de sécurité relatives au
mouvement de marchandises (ex. l’incoterm FOB (free on bord) est toujours suivi du nom
d’un port d’embarquement par exemple : FOB Dunkerque)
https://www.youtube.com/watch?v=JUZaeE2KdsA&feature=youtu.be
Le transport :
Dans un souci de compétitivité à la fois sur le plan commercial et logistique, les entreprises
sont amenées à choisir des solutions de transport appropriées.
Les principaux modes de transport sont maritimes, fluviaux, ferroviaires, routiers et postaux.
Il s’ajoute également le transport multimodal qui est une combinaison de différents modes,
ce mode de transport est spécifique dans la mesure où les marchandises ne subissent pas de
rupture de charge.
- Les coûts
- Les délais
- La sécurité
Enfin, est pris en compte l’emballage qui consiste à protéger la marchandise à tous les stades
supply chain : transport et stockage.
Notions de stock :
Un grand nombre de produits (références) régissent à la loi des 20/80 (loi de Pareto : 20% de
la population donne 80% des richesses de l’Italie). Ainsi, bien souvent, 20% des références
représentent 80% du CA et inversement.
La méthode ABC permet de répartir la gestion des références en trois groupes :
(Répartition à titre indicatif non fixe)
Groupe A : 10 à 20% des références font 60 à 80% du CA,
Groupe B : 40 à 30% des références font 30 à 15% du CA,
Groupe C : 50% des références ne réalisent que 10 à 5% du CA.
Le premier groupe de produits doit donc faire l’objet d’une gestion toute particulière afin
d’éviter les ruptures de stock.
Amélioration continue
Mise en place d’inventaires avec 2 méthodes d’évaluation des stocks :
- Coût Unitaire Pondéré
- Premier Entré-Premier Sorti
Indentification des démarques (différence entre ce qu’on est sensé avoir et ce qu’on a
réellement :
- Démarque connue : on sait pourquoi il y a une démarque (échange, produit cassé)
- Démarque inconnue : quand on ne sait pas pourquoi il y a une démarque (vol
internet ou vol externe)
La Gestion financière
C’est le fait de faire un Bilan, un Compte de résultat.
FRNG : Fond de Roulement, c’est de quoi l’entreprise a besoin pour fonctionner.
Besoins : ce sont les besoins théoriques dont l’entreprise a besoin pour fonctionner
La trésorerie doit donc être supérieure aux besoins pour l’entreprise fasse un bénéfice
Cf. Cours de Compta et Gestion L1 – L2
Au sein de l’Union européen vous ,e devez pas &tablir de declaration dexpedition et vos
operations seront exonérés de TVA
De la même facon les entreprises françaises qui reçoivent des biens en provenance d’un
autre ETAT membre de l’Union euroopeenne, ne font plus de declaration d’introduction et
ne paient la TVA qu’au moment ou les biens entrent en France
QUELQUES LIMITES ; Certains produit ne circulent pas librement sur le territoire de l’UE
comme les produits alimentaires, soumis à la reglementation
Les échanges intra-communautaires
Les accords UE-Pays tiers