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ECOLOGIE – BASTIAAN IBELINGS Apprendre à trouver et interpréter

I. La position de l’écologie dans la société l’information scientifique qui a été obtenue


1. Ecologie ≠ Ecologisme à l’aide de méthodes scientifiques.
➔ Science ayant pour objet étudier les relations des être vivant
avec leur environnement
➔ Position dominée par le souci de protéger la nature et l’homme lui-même contre les pollutions, altérations et
destructions diverses issues des activités des sociétés industrielles.
L’essor de l’industrie posent des nouveaux problèmes, mais la déstructuration des habitats naturelles par
l’Homme est qqch de tous les temps et tous les lieux.
La cause précède l’effet
2. Corrélation → aucune preuve de causes à effet La cause était liée à l’effet
Conditions pour savoir On ne peut pas trouver aucune explication
alternative possible pour l’effet autre que la cause.
3. Science objective → Systématique connaissances
acquises par la raison, basé sur l’observation de la REALITE
→ METHODE SCIENTIFIQUE Apprendre de la nature → Elle produit aucun
Economie linéaire → utilisation de matières premières déchet, rien ne se perde, tous les matériaux sont
pour produire de bien → utiliser la marchandise → la jeter décomposés et recyclés.

TRAVAILLER SUR UNE ECONOMIE CIRCULAIRE INSPIRE PAR LA NATURE

4. La fin du phosphore et la prévisible crise agricole


Le phosphore est indispensable comme engrais dans l’agriculture. Il y une prise de conscience car bientôt il y
aura un manque → Solutions → RECYCLER LES PHOSPHATE (passer à une économie circulaire)
Pas surexploiter nos propres ressources naturelles.

II. Avertissement sur le chaos et les changements de régime


➢ Systèmes de la Terres → systèmes dynamiques qui ont tendance à changer subitement et sont difficiles à prévoir
➢ Les points de NON-RETOUR → Le moment où une série de petits changements est suffisamment important
pour provoquer un changement plus grand, plus important.
➢ Les points de basculement → le moment où un « système » qui a changé lentement et de manière prévisible
sera soudainement déplacé vers un autre état qui n’est plus prévisible. Cette transition = CHANGEMENT DE
REGIME
➢ L’état après un changement de régime est radicalement différent de l’état original. Lorsque le premier état est
fonctionnel, le 2eme état peut être difonctionnel causant de gros problème pour la société.

1. Le chaos
➔ Les tipping points → sont difficiles à prévoir. Ils ont en commun avec le chaos.
➔ Les petits changements à long terme peuvent conduire à des conséquences graves
➔ Fait référence à l’imprévisibilité fondamentale de la nature.

A. Modèle linéaire: dégradation linéaire. Grande


prédictibilité
B. Changement non – linéaire : Resistance contre le
changement à un niveau critique de stress. Grande
surprise. Il peut avoir une récupération.
C. Tipping point: peu comparable aux autres. Pas de
changement jusqu’à un point critique, qui change de
manière critique. Pas d’amélioration même s’il y a de
diminution du stress dans l'environnement.
2. Eutrophisation → Changement d’état d’un lac en raison de l’augmentation en élément
nutritifs (l’apport de phosphore et d’azote provenant des ménages, d’industries, etc.) ce qui
entraîne souvent des proliférations massives des algues bleues toxiques.

Deux états:
1.ETAT CLAIRE : Faible niveau de stress. Grande biodiversité. Production de
l'eau potable (mais la concentration de phosphore augmente, mais on reste
toujours avec de l'eau clair, on reste dans un état fonctionnel, jusqu’au point
critique)
2. ETAT TROUBLE : Tipping point, point critique et changement de régime. Un
lac avec des troubles. Vaste perte de la biodiversité et des algues bleues
toxiques. On a comme but de réduire le niveau de stress, pour retourner à un
écosystème stable et
fonctionnel. ETAT FONCTIONNEL →
ETAT DISFONCTIONNEL
Les deux états montrent résilience à changer C’est bcp mieux d’empêcher
RESILIENCE = RESISTANCE A CHANGER l’effondrement de l’état clair car la
Loin du point critique il y a plus de résilience. résistance travailler pour maintenir le
système dans l’état fonctionnel

3. Ralentissement critique → Si le changement de régime survient sans


avertissement, il y a quand même UN SIGNAL D’AVERTISEMMENT PRECOCE dans tous les systèmes.
Un système près d’un point de basculement reviendra + lentement à l’état d’origine qu’un système sain.
4. Anthropocène → Période dominée par l’humanité. L’impact de l’humanité sur la Terre est si grand que certains
ne parlent plus de l’Holocène, la période géologique dans laquelle nous vivons.

III. Résumé de l’histoire de l’écologie


1. Racines de l’écologie moderne → Siècle des grandes expéditions, un temps de naturalistes. Le plus célèbre =
DARWIN. La sélection naturelle est la base de l’écologie.
2. Aperçues clés en évolution
→ La sélection naturelle est tout à propos de reproduction, pas de survie (la survie n’est pertinente autant qu’elle
rend la reproduction possible.
→ L’évolution est souvent une rue à un seul sens.
→ Les traits sous forte sélection peuvent évoluer très vite dans un petit nb de générations.
→ L’évolution est loin d’être parfaite
→ Il n’y a aucun objectif à long terme en évolution.

ERNERST HAECKEL → introduit le mot «ECOLOGIE »


STEPHEN FORBES → Le premier qui a compris qu’on ne peut pas étudier des espèces en isolation. ETUDIER
L’ORGANISME DANS SON ENVIRONNEMENT.
→ Assemblage d’espèces (COMMUNAUTE)
→ Relations entre espèces
3. Fin du 19ème siècle → Successions avec notion de climax
Thèmes fondamentaux apparaissent : → Communautés végétales comme super – organisme.
Succession écologique → S’il y a une nouvelle
opportunité dans la nature, la 1ere plante = pionnière qui
va en profiter et d’autres espèces suivront jusqu’au CLIMAX
→ ETAT FINAL D’UNE SUCCESION ECOLOGIQUE OU L’ETAT
LE + STABLE DANS LES CONDITIONS ABIOTIQUES
EXISTANTES.

C.ELTON → INTRODUIT LA NOTION DE CAHINE ALIMENTAIRE

4. Autres fondateurs
- A. Transely → Propose le terme « ECOSYSTEME » = organismes + environnement.
- E. Odume → Analyse quantitatives des flux de nutriments - énergie

Ecologie = science fondamentale + appliquée → cherche à dégager des principes généraux et opérationnels.
5. Niveaux d’organisations
INDIVIDUS → POPULATION → COMMUNAUTE → ECOSYSTEME → PAYSAGE + INTERACTIONS DYNAMIQUES
6. Conclusions
ECOLOGIE :
➔ Science de la distribution – abondante des organismes et des interactions qui les déterminent
➔ Science fondamentale et appliquée.
➔ Cherche à décrire, comprendre et prédire pour gérer et contrôler
➔ Les données viennent d’observation, expériences de terrains et labo et modélisation mathématique.
➔ Progresse sur la base de preuve scientifique.

IV. Des écosystèmes partout dans le monde


ECOSYSTEME → Communité d’organisme et son environnement. Contrôlé par le flux d’énergie. LA grande majorité
de vie sur terre dépend du processus de photosynthèse.

1.Biome → sont des communautés écologiques adaptées à


une certaine condition climatique ou environnementale et
qui se produisent dans une vaste région géographique.
➔ Foret tropicales
- Conditions optimales de croissance avec
précipitations abondante et températures élevées
- Pas de rythme annuel
- Décomposition bactérienne rapide empêche
l’accumulation d’humus dans le sol des forêts.
➔ Savanes
- Climat sec et humide
- Foret saisonnière
- Couverture continue des graminées et plantes
herbacées vivaces

➔ Prairies tempérées
- Riche mélange de graminées et des plantes herbacées reposant sur des sols plus fertiles
- Converties en terres agricoles
- Climat : semi-aride.
➔ Déserts
- Végétation et faune spécialisée
- Sols avec abondante nutrition
➔ Forets tempérés à feuilles caduques
- Climat modéré et humide
- Précipitation répartie uniforme durant l’année
➔ Taïga (Forêt boréale)
- Climat : régions froides et surbasiques. Longs hivers et courts étés<
- Végétations aiguille feuille d’arbres conifères. Très peu d’espèces, 4 genres principaux.
➔ Toundra
- Terres arides ou dépourvues d’arbres
- Climat : hivers froids. Faibles précipitations,
vents desséchants.

2. Zone d’eau /Système d’eau


Lacs → sont des vestiges de la glaciation du Pléistocène
Divisées en zones différentes : littorale, limnétique, profonde, benthique
Les lacs son stratifiée en été → deux couche principaux → EPILIMNION + HYPOLIMNION
V. Le flux d’énergie dans les écosystèmes → Transfert d’énergie d’un niveau trophique à l’autre.
1. Photosynthèse
La CHLOROPHYLLE = Pigment photosynthétique vert mise en commune entre les plantes vertes et
cyanobactéries. Elle a un ion Mg2+ à sa base. Chez les plantes → Dans les organites spéciaux = Chloroplaste
CHLOROPLASTE = Granas = Pille membranaire THYLAKOÏDES où la photosynthèse se fait.
Ils capturent les PHOTONS comme une antenne, transfert pour atteindre le centre de réaction.
Les plantes sont vertes car la chlorophylle ABSORBE LA LUMIERE DS LE BLEU (400-500nm) et le ROUGE (600-
700nm) de la lumière visible qui est flanqué d'un RAYONNEMENT UV à COURTE λ ET IR à GD λ
 N'ABS PAS LE VERT au milieu du spectre visible.
2. Le cycle du carbone → Le carbone est échangé entre la
biosphère (vie), lithosphère (sol) – géosphère (roches),
hydrosphère(eau) et l’atmosphère (air)
Solde des échanges de carbone entre réservoir de carbone ou
entre une boucle spécifique du cycle du carbone (ex-
biosphères <-> atmosphère)
L’examen de ce bilan permet d’avoir des infos sur la question
si le réservoir fonctionne comme une source ou puit de CO2.
Ces 2 derniers siècle les activités humaines ont vraiment
changé le cycle mondial surtout dans des atmosphères.
L’absorption océanique de CO2 est l’une des formes plus importantes du processus de la séquestration de
carbone.
Les changements dans la quantité de CO2 atmosphérique modifient sensiblement les conditions
météorologiques et influencent indirectement la chimie océanique.
3. PPN
La production primaire nette = production primaire brute PPB moins la respiration, qui sont les couts de l’énergie
requises par la plante elle-même. → PNN = PBB – respiration.
La PNN n’est pas également répartie sur toute la planète. La disponibilité de la lumière, de nutriments et la T°
ont un effet sur la PNN.
Les plantes sont les premières productrices, utilisent la matière inorganique pour produire la matière organique.
VI. Concepts clés en écologie
1. Habitat et niche
- Habitat : l’emplacement réel de l’environnement dans lequel un organisme vit et se compose de toutes les
ressources physique et biologiques disponibles à une espèce. Unité fondamentale de la conservation de la
biodiversité.
▪ Facteurs physiques (abiotiques) → T°, pH, concentration de nutriments, etc.
▪ Facteurs biotiques → parasites, etc.
- Niche : manière dont l’organisme s’inscrit dans une communauté écologique ou d’un écosystème. Il se
constitue de plus de n dimensions (n possibilité d’être
différent) fait par des adaptations physiologiques
/comportementales dont le résultat sera la sélection
naturelle (pas qqch physiquement réelle, c’est la position
écologique d’un organisme dans le monde)

LOI D’EXCLUSION COMPETITVE → prévoit que deux


espèces ne peuvent pas occuper la même niche et ne
peuvent pas être en concurrence pour exactement les
mêmes ressources dans le même habitat depuis
longtemps.
Les espèces coexistent parce qu’elles sont assez
différentes. Sans niches seulement l’espèce la mieux adaptée pourrait survivre et va supplanter toutes les
autres.
Les niches contribuent à la biodiversité en permettant la coexistence des différentes espèces.

Le concurrent supérieur surclasse le concurrent inférieure, le résultat est l’exclusion compétitive, une espèce
exclue de l’habitat par les forces de la concurrence avec les autres espèces.
2. Spécialisation
Se spécialisant sur les sources de nourriture différentes pour minimiser la concurrence pour limiter les aliments
et être capables de coexister plus paisiblement : la niche est un concept qui aide à la coexistence des espèces.
3. Compétition pour les ressources limitantes
Ex. plancton :
Le phytoplancton utilise différentes ressources pour se développer. Cependant Hutchinson avait observé que
dans un même écosystème, il est possible d’observer de nombreuses espèces différentes de phytoplancton,
même lorsque le nombre disponible de ressources es limité. Cette observation contredit le principe d’exclusion
compétitive et est communément nommée « LA PARADOXE DU PLANCTON »

Les espèces ayant la plus faible « ressource critique (R*) » seront plus fortes tous les autres et gagner la
compétition. Le nb d’espèces qui peuvent COEXISTER EN ÉQUILIBRE NE PEUT PAS ÊTRE SUPÉRIEUR AU NOMBRE
DES RESSOURCES LIMITANT.

L’hétérogénéité spatiale de l’habitat est un


facteur important contrôlant la richesse en
espaces dans le paysage. La diversité de
micro habitats inclut les différences dans la
disposition des ressources.

4. Lien modèle de Niche et Prédation


La prédation peut affecter la coexistence et la diversité de plusieurs façons :
→ Eliminer des espèces donc réduire la richesse
→ Maintenir certaines espèces à des niveaux d’abondance faibles, donc la compétition et augmenter le
recouvrement de niche et de la richesse.
Espèce clé de voute → Une espèce qui a un effet disproportionné sur son environnement au regard de ses effectif
ou de sa biomasse. Elle joue un rôle analogue à un clé de voûte dans un arche : lorsqu’elle est retirée, l’ensemble
de l’arche, voire tout ou parti de l’édifice de pierres s’effondre.

LA THEORIE DU CHAOS → Prédit que les rétroactions interne complexe dans une communauté phytoplancton
maintient les fluctuations de la composition de la communauté et préviennent les situations d’équilibre.
Les systèmes chaotiques sont dans un état de changement continu dans lequel le même modèle n’est jamais
vraiment répété : perturbation en mode continue.
La grande diversité du plancton qu’on observe dans les lacs peut être le résultat des communautés
intrinsèquement chaotiques dans un environnement fluctuant dans le temps et complexe dans l’espace.

5. Niche vs neutre.
Deux possibilités de coexister :
- Parce que les espèces sont assez différentes, donc évite la concurrence intense
- La théorie de la neutralité → Les espèces au sein d’un niveau trophique ne sont pas différentes, elles sont
toutes le même niveau de concurrence. Aucune espèce unique ne peut dominer toutes les autres espèces.
La dispersion et les processus aléatoires déterminent quelles espèces sont présentes dans une collectivité
locale.
VII. La richesse de la vie
La diversité de la vie est ordonnée sur la base du Systema Natura. Au sommet de la pyramide montre les espèces.
Chaque espèce appartient à un genre, etc. Nom scientifique → GENRE + ESPECE
Espèce = groupe d’organismes capable de se reproduire et donner une descendance fertile
Les barrières entre espèces sont fluides, cad qu’on ne peut pas dire à 100% qu’il y a une barrière qui ne permet pas
le croissement.

Le code de barres de l’ADN est une méthode taxonomique qui utilise un marqueur génétique court dans l’ADN d’un
organisme afin de pouvoir identifier son appartenance à autres espèces.
Une grande partie de la biodiversité sur terre est le résultat d’un processus →
LA RADIATION ADAPTATIVE : dans lequel un seul ancêtre se diversifie
rapidement dans une gamme d’espèces qui en général se distinguent par des
traits principaux utilisé dans l’acquisition des ressources. (Ex : le bec des
oiseaux)
L’origine évolutionnaire de la biodiversité → Les deux espèces peuvent
coexister car elles ont trouvé par le processus de sélection naturelle deux niches
séparées.
➔ Spéciation allopatrique : nouvelles espèces peuvent se former à partir de barrière physique qui divisent l’espace
géographique
➔ Spéciation sympatrique : pas de barrières physiques, mais par exemple, préférence par la couleur de certains
mâles, préférence de nourriture, etc.

VIII.La crise de la biodiversité


Un passé lointain fait référence au taux d’extinction moyen calculé sur les fossiles
Le « passé récent » fait référence au taux d’extinction calculés à partir des extinctions connues d’espèces.
Les extinctions « futures » sont des estimations modélisées à l’aide d’une variété de techniques.
CONSERVATION DES ESPECES , mais aussi des communautés, écosystèmes, gènes, etc.

Causes de perte de diversité


➔ Dégradation des habitats ➔ Pollution
➔ Surexploitation ➔ Catastrophes naturelles
➔ Espèces invasives ➔ Mortes accidentelles
➔ Perturbation humaine
Les espèces envahissent sont introduite par l’Homme et ont un effet négatif sur les habitats
FRAGMENTATION DES HABITATS → fragmentation qui empêchent les espèces de se déplacer et d’interagir comme
elles le feraient dans des conditions naturelles.

L’importance de la taille de population → Des population plus petite sont très vulnérable à l’extinction
puisqu’elles peuvent souffrir de dépression de consanguinité et ont une capacité réduite d’adaptation é un
environnement en évolution rapide.

Politiques pour ralentir la crise de la biodiversité


✓ Gérer les causes sous-jacentes de l’appauvrissement de la diversité biologique en intégrant la diversité
biologique dans l’ensemble du gouvernement et de la société.
✓ Réduire les pressions directes exercées sur la diversité biologique et encourager l’utilisation durable
✓ Améliorer l’état de la diversité biologique en sauvegardant les écosystèmes, les espèces et la diversité
génétique
✓ Renforcer les avantages retirés pour tous de la diversité biologique et des services fournis par les écosystèmes.
✓ Renforcer la mise en œuvre au moyen d’une planification participative, de la gestion des connaissances et du
renforcement des capacités

IX. Les services écosystémiques


Nous dépendons de la nature pour notre économie et notre bien-être. Des écosystèmes nous fournissent de
nombreux servies.
Renforcer la résilience des écosystèmes → Maintien et renforcement de la biodiversité de toutes les communautés.
En 1997 on a tenté une estimation de la valeur monétaire des services assurés par les écosystèmes de la planète. Ils
considèrent 17 services assurés à divers titres à l’intérieur des différents biomes de la planète.
Valeur estimée = 33 mille milliards de dollars par an.

Mis en place des scénarios → MEA présente 4 scenarios qui explorent les aspects plausibles pour l’avenir qui ne peut
être prédite par extrapolation des tendances passées et actuelles.
Les 4 scenarios peuvent être commandé le long de deux axes principaux,
- Niveau d’internationalisation ( globalisé contre un monde régionalisé)
- Conscience environnementale dans la société.
Orchestration Global une société globalement connectée
TechnoGarden → Un monde connecté globalement en
dans laquelle les marchés mondiaux sont bien développés.
s'appuyant fortement sur la technologie et les écosystèmes
Les institutions supranationales sont bien placées pour faire
hautement gérés qui offrent les services et marchandises
face aux problèmes environnementaux mondiaux. Leur
nécessaires. L’éco-efficacité s'améliore, mais elle est
approche réactive de la gestion des écosystèmes les rend
occultée par les risques inhérents aux solutions faites par
vulnérables aux surprises découlant de l'action retardée ou
l’homme à grande échelle. Nouvelles initiatives politiques
des changements régionaux inattendus. Les gens sont
bénéficient de la sensation forte de coopération
généralement confiants que les connaissances nécessaires
internationale. Les conditions sont bonnes pour trouver des
et la technologie pourra adresser les défis
solutions aux problèmes environnementaux mondiaux.
environnementaux émergeants

Adaptation en mosaïque : Un monde fragmenté résultant des


L'ordre de la force représente un monde régionalisé et institutions mondiales discréditées. Il voit l'émergence de
fragmenté concerné avec la sécurité et la protection, stratégies de gestion d'écosystème locales et le renforcement
soulignant principalement les marchés régionaux et de des institutions locales. Investissements en capital humain et
faire peu d'attention pour les biens communs et avec une social visent l'amélioration des connaissances sur le
attitude fonctionnement des écosystèmes et de la gestion, ce qui
entraîne une meilleure compréhension de l'importance de la
résilience, fragilité et souplesse locale des écosystèmes. Il est
optimiste sur ce que nous pouvons apprendre, mais humble
sur la préparation face aux surprises. Eventuellement, l'accent
mis sur la gouvernance locale peut conduire à des défaillances
dans la gestion des biens communs.

X. L’avenir de notre planète


Empreinte écologique → Mesure de la pression humaine sur les écosystèmes de la Terre. Il s’agit d’une mesure
standardisée de la demande de ressource naturelle mis en contraste avec la capacité écologique de la planète à se
régénérer. Elle présente la quantité de terre biologiquement productive et la zone de la mer nécessaire pour fournir
les ressources de consommées par une population humaine et pour assimiler les déchets associés.
Estimation de la proportion de la Terre que serait nécessaire pour soutenir l’humanité si toute le monde suit un
monde de vie donnée.

La durabilité → Le pouvoir de la population est infiniment lus grand que le pouvoir qu’à la Terre de produire la
subsistance de l’Homme. L’augmentation de la population est nécessairement limitée par les moyens de subsistance.
Dans la nature les ressources sont presque toujours limitantes. La prédation met souvent une limite à la taille de la
population de leurs proies. La prédation met une limite à la capacité de charge d’un écosystème.

Impact écologique = Population * Richesse * Technologique → I = P* R * T


Economie linéaire classique, nous exploitons les matières premières, nous produisons des choses, nous utilisons les
choses puis on les jette

PASSER D’UNE ECONOMIE LINEAIRE → ECONOMIE CIRCULAIRE (cycles biologique et technologiques travaillent
ensemble et les matériaux son recyclés.

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