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République Tunisienne 

Ministère de l’enseignement Supérieure et de la


Recherche Scientifique
Université de Monastir

Faculté des sciences de Monastir

PROJET

Pompe a chaleur

PRESENTER PAR : ben naser Ameni


ENCADREUSE: Marwa atrous

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Année universitaire : 2021/2022
REMERCIMENT
Je tiens à remercie Mme ,marwa atrous mon tueur de projet de
physique&chimie à la faculté de sciences de Monastir, qui m’a suivi tout au
long de cette période et m’a conseillée sur l’orientation que celui-ci devait
prendre.
pour sa générosité, sa disponibilité toute au long de l’année.

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SOMMAIRE :

Introduction général
Chapitre 1 : Etude Bibliographique sur la pompe a chaleur
Rappel sur La thermodynamique ……………………………
Système thermodynamique……………………………………………
L énergie d un système …………………….
Le travail de forces extérieures
Principes de la thermodynamique
Premier ET deuxième loi de joule
Moteur et machine thermique
Les cycles thermodynamique
Le principe de fonctionnement de la pompe a chaleur
Définition
Différentes types de pompe a chaleur
Le fonctionnement de pompe a chaleur

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INTRODUCTION

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La thermodynamique correspond à une branche de la physique qui étudie le
Comportement thermique des corps, plus exactement le mouvement  de  chaleur De façon
plus générale, la thermodynamique s'intéresse à l'étude de l  énergie (en particulier énergie
interne) et de ses transformations.

L'étude thermodynamique des corps comprend notamment la conception et la validation de


modèles du comportement thermique des corps, les équations d'état, établies à partir de
valeurs expérimentales. En pratique, les équilibres prédits par la thermodynamique peuvent
être contrariés par l'influence du temps (l'obtention de l'équilibre thermodynamique pourrait
parfois nécessiter un temps infini) et sont régis par des cinétiques

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CHAPITRE I

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I.ETUDE BIBLIGRAPHIQUE :

1_historique de la thermodynamique

C'est au XIXe siècle que cette discipline a connu son essor. Elle permet en effet de
comprendre le comportement des machines thermiques, comme les machines à vapeur
centrales, qui sont au cœur de la révolution industrielle. Depuis, la thermodynamique est
devenue une discipline essentielle pour l'ingénieur.
La thermodynamique démontre que toutes les molécules d'un corps bougent et créent une
énergie sous forme de chaleur. Cette énergie peut être canalisée, à l'aide d'une machine pour
être utilisée de différentes façons.

2_ rappel sur la thermodynamique


a) système

Un système est un ensemble d'objets ou de substances qui appartiennent à un domaine de


l'espace.
 Ce qui n'est pas le système constitue le milieu extérieur.
 L'ensemble du système et du milieu extérieur constitue l'univers.

B) Système fermé ou ouvert


Un système est dit fermé s'il n'échange pas de matière avec l'extérieur.

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Un système est ouvert s'il échange de la matière avec l'extérieur.

système isolé: aucun transfert avec l'extérieur ( ni d'énergie, ni de matière)

c)Variables et fonctions d’état


La Variables d’état est un système est caractérisé par la donnée de grandeurs qui définissent
l’état macroscopique du système. Ces grandeurs sont appelées variables d’état. Une relation
mathématique qui relie des variables d’état est appelée équation d’état.

 On le décrit macroscopiquement au moyen de grandeurs physiques telles que : T, P, n


Quantité de matière, V. . Toutes ces grandeurs sont des variables d'état.
 La loi des gaz parfaits (PV = nRT) est une équation d'état. Ces variables sont des variables
physiques (P, T, V) et des variables chimiques fixant la composition du système
(Les quantités de matière de chacune des espèces)

. On distingue deux types de variables :


 Variables extensives : variables proportionnelles à la quantité de matière, définies pour
l’ensemble du système. Le nombre de moles et le volume par exemple sont des variables
extensives.
 _ Variables intensives : variables indépendantes de la quantité de matière, définies en chaque
point du système. La pression et la température sont des variables intensives. On définit une
phase (liquide, solide, gaz) lorsque, dans tout ou partie d’un système les grandeurs intensives
(température, pression, concentration,...) sont constantes.
 Fonctions d’état :
Sont des grandeurs extensives qui ne dépendent que des variables d’état. Leur valeur ne dépend donc
pas des transformations antérieures. De même, la variation de ces fonctions d’état lors d’une
transformation est indépendante du chemin suivi.

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3_ L énergie d un système
i) énergie interne:
L’énergie interne U (en J) d’un système thermodynamique est la résultante des énergies
cinétique et potentielle à l’échelle microscopique
Une conséquence mathématique : d U = d W + d Q est une différentielle total
ΔU=U final– U initial

ii) L'enthalpie (H):


Est l'énergie totale d'un système, soit la somme de tous les types d'énergie qu'il contient à
pression constante. L'enthalpie se note H et, dans le système international, elle se mesure en
joule(J). Elle est définie par la relation suivante :

H = U + PV
dH = dU + PdV + VdP ⇒ dH = δW + δQ + PdV + VdP
⇒ dH = (P − Pext)dV + δQ + VdP
où U représente l’énergie interne ; P:la pression
et V: le volume

iii) Entropie de réaction:

C’est la variation d'entropie après d'une réaction chimique.


Elle est notée S. Dans le système international, elle se mesure en joule par kelvin (J.K-1). C'est
toujours une différence d'entropie qui est mesurée, dans une transformation réversible

D S= d Q/T.
dS = dU / T + P/ T dV ⇒ dS = CV dt /  T + P /T dV G.P ⇒ dS = CV dT /T + nR Dv / V ∆S =
CV ln T/ T0 + nR ln V/ V0
Autre écriture : S = S0 + CV ln T + nR lnV

4_ Travail de forces extérieures :


Le travail des forces de pressions exercées par le milieu extérieur s’exprime simplement :
δW = −Pext dV où Pext est la pression imposée par le milieu extérieur.
Dans le cas d’un système constamment en équilibre mécanique avec le milieu extérieur, il y a
égalité de la pression extérieure avec la pression du système (P = Pext). On peut donc souvent
Écrire : W =−Pdv

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II_ les principes de la thermodynamique :
a)Principe zéro de la thermodynamique :
Ce principe concerne la notion d'équilibre thermique. Ainsi, il est à la base de la thermométrie
et s'énonce ainsi : si deux systèmes sont en équilibre thermique avec un troisième, alors ils
sont aussi ensemble en équilibre thermique.

b) Le premier principe de la thermodynamique :


a) Énoncé
Un système thermodynamique est constitué de particules qui interagissent entre elles et sont
en mouvement. La somme de l’énergie potentielle résultante et des énergies cinétiques est
l’énergie interne du système, notée U. L’énergie interne est
une fonction d’état extensive. Lors de l’évolution du
système entre deux états d’équilibre, la variation de
l’énergie interne est la somme du travail et du transfert
d’énergie thermique reçus du milieu extérieur :
dU = δW + Δq
Pour une transformation cyclique ∆U cycle = 0

Lors d’une transformation, on a ∆U = W + Q


. U : énergie interne W : travail reçu Q : chaleur reçue.
1ere loi de joule
L’énergie interne d’un gaz parfait ne dépend que de la température c’est à dire U(T, V) =
U(T). dU = CVdT
On peut le voir autrement en écrivant δ Q=nCv ,mdT+Ldv où L est un coefficient
calorimétrique. Et on montre que L=p  pour un gaz parfait. Avec la relation δ w= -pdV, on
retrouve donc la même relation pour  du

c) deuxième principe de thermodynamique


Le second principe de la Thermodynamique postule l’existence de cette fonction et
l’appelle entropie. Sa notation habituelle est S.
Lors de l’évolution infinitésimale d’un système physique fermé , la variation d’une fonction
d’état appelée entropie S du système est donnée par : dS = δQe /TΣ + δS
2 eme loi de joule

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Appliquons le deuxième principe : ∆S = CV ln T/ T0 + nR ln V comme T = T0 et alors :
∆S i = nR ln 2 et puisque :∆S = ∆S e + ∆S i alors ∆S i > 0 : transformation irréversible
(naturelle).

III) Moteur et machine thermique :


Les machines dithermes fonctionnent entre deux sources thermodynamiques de température
différentes Tc pour la source chaude et Tf pour la source froide , avec Tc > Tf .

1) Moteur thermique
Il fournit un travail W au milieu extérieur en empruntant une quantité de chaleur Qc de la
source chaude et en restituant obligatoirement une quantité de chaleur Qf à la source froide

- Qc reçue par la machine ⇒ Qc > 0


- Qf , W fournit par la machine ditherme donc Qf < 0 ainsi W < 0.
On définit le rendement ρ d’un moteur par :
ρ = − W /Qc Si ρ = 1 alors Qf = 0 Impossible par Kelvin .
Le premier principe pendant un cycle ∆U = Qc + Qf + W = 0 ⇒ W = −(Qc + Qf)
Donc ρ = Qc + Qf/Qc ⇒ ρ = 1 + Qf /Qc < 1 (Qf < 0)

2) Machine frigorifique
Son rôle est d’extraire une quantité de chaleur Qf à la source froide en recevant un travail W
du milieu extérieur et en fournissant une quantité de chaleur Qc à la source
On a Qc < 0 ; Qf > 0 et W > 0. Exemple : réfrigérateur , climatiseur . On définit l’efficacité de la
machine frigorifique : e = Qf / W > 1 (par but de la machine) Or le premier principe Qc + Qf + W = 0 ⇒
W = −(Qc + Qf) e = −1 ⇒ ρ = 1 + Qc Qf > 1

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IV_Les cycles :

Le moteur idéal : cycle de Carnot.

Le diagramme de Claperton (Pression/Volume) 

A-B

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Détente isotherme, les molécules de gaz sont soumissent à la température T1 (source chaude),
le gaz absorbe la chaleur de la source chaude. La pression descend et le volume augmente. Le
piston effectue un travail positif.
B-C
Détente adiabatique, la source chaude est supprimée, la pression descend et le volume
augmente, au point C la température est égale à T2.
C-D
Compression isotherme, Le gaz est soumis à la température T2 (source froide), le gaz cède de
la chaleur à la source froide. La pression monte et le volume descend. Le piston effectue un
travail négatif.
D-A
Compression adiabatique, la source froide est supprimée, la pression monte , le volume se
réduit. La température augmente jusqu'a atteindre T1.
 
Le travail noté W est égale à la surface comprise entre les points ABCD, c'est le travail total
effectué par le piston, égal à la quantité de chaleur mise en jeu pendant ce cycle.

Pour effectuer la transformation de chaleur en travail il faut nécessairement deux sources à


températures différentes • Machine thermique selon Carnot : cylindre aux parois latérales
adiabatiques, dont le fond peut être mis en contact avec une source chaude ou froide et qui
subit des détentes ou compressions. Cette machine est soit un moteur thermique (W

C'est le moteur idéal car il possède le meilleur rendement faisable pour un travail donné. Il est
réversible, donc il est forcément composé de 2 isothermes et de 2 adiabatiques qui permettent
de passer de l'isotherme chaude T2 à l'isotherme froideT1. Q1 et Q2 sont forcément
échangées sur les isothermes puisque les autres transformations n'échangent pas de chaleur.

On calcule alors le rendement h . Il s'agit du rendement maximal que l'on peut obtenir avec 2
sources de chaleur données.

1er principe : Wcycle = -Q1 - Q2 car D Ucycle = 0 


2nd principe : D Scycle - (Q1/T1 + Q2/T2)= 0 car transfo réversible or D Scycle = 0 Þ 

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Q1/T1 + Q2/T2 = 0 (résultat fondamental) Û Q1/Q2 = -T1/T2

Q2 =QA→B =−W A→B =−∫ −PdV avec P= nRT 2 / V

➢Q2 =nRT 2 ln V B/ V A >0 également Q1 =nRT 1 ln V D/ V C < 0 

Efficacite, pompe = Tc / Tc - Tf

Le sens de parcours du cycle est important ➔ Sens horaire : W < 0 : la machine produit un
travail

➔ Sens antihoraire : W > 0 : la machine consomme un travail Si cycle réversible :

Q2 / T 2 =− Q1 /T 1

. Cycles réels
Tous les points représentatifs des cycles réels sont situés d’un même coté de la droite ΔΔ.
On démontre que tous les pointsdes demi-axes [Q2=0 ; Q1<0]et [Q1=0 ; Q2<0][Q1=0 ; Q2<0] sont du coté des
cycles réels. Tous les points situés au dessus de cette droite correspondent à des cycles irréalisables.

IV_Le principe fonctionnement pompe à chaleur :


Son rôle est de fournir une quantité de chaleur Qc à la source chaude , en recevant un travail
W du milieu extérieur et une quantité de chaleur Qfde la source froide .

On a Qc < 0 ; Qf > 0 et W > 0.

et l’efficacité) est donc définie par : e = − Qc / W > 1

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e = Qc /( Qc + Qf )> 1

Or le premier principe Qc + Qf + W = 0 ⇒ W = −(Qc + Qf)

a)les différentes types de pompe a chaleur

Le chauffage par PAC :


La différence principale entre les différents types de pompes à chaleur est la ressource
naturelle utilisée. La pompe à chaleur géothermique puise les calories du sol. Le modèle
aérothermique utilise les calories de l’air. Enfin, la PAC aqua-thermique récupère ses calories
dans l’eau. Ce mode de chauffage permet, par conséquent, de réaliser des économies d’énergie.

une pompe à chaleur air/air :

La pompe à chaleur air/air est aussi appelée climatisation réversible puisqu'elle permet le


chauffage et le rafraîchissement du domicile à la fois. Ce système renvoie de l’air chaud par une
unité intérieure. Quand il y a plusieurs modules de diffusion, il est dit "multisplit".

une pompe à chaleur air/eau :

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Cette pompe à chaleur aérothermique (air/eau) se raccorde à un circuit de chauffage central.
L’énergie thermique du fluide frigorigène augmente la température du liquide de ce réseau. Selon
la gamme, ce procédé peut, en plus du chauffage, fournir l’eau chaude sanitaire de votre
logement.

b) Le fonctionnement de pompe a chaleur :


Notre projet est basé sur l’étude de la pompe à chaleur, il a donc fallu dans un premier temps
appréhender son principe pour mieux comprendre ce que nous réalisions lors des
manipulations. Tout d’abord, la pompe à chaleur (PAC) est composée de 4 éléments
principaux :
 La compression : le compresseur va aspirer le fluide frigorigène qui est sous forme de
gaz à basse température. En comprimant le gaz, sa température va s’élever en même
temps que sa pression. Nous aurons donc à la sortie du compresseur un gaz chaud à
une pression élevée. La diffusion de la chaleur au condenseur: Le gaz chaud va être
dirigé vers un échangeur
 le condenseur - dans lequel circule un fluide à réchauffer : de l’eau du réseau de
chauffage par exemple ou l’air intérieur. Le gaz chaud va donc transmettre une partie
de son énergie au fluide à chauffer dont la température va augmenter. Du coup, le gaz
frigorigène va condenser, c’est à dire qu’il va passer de l’état gazeux à l’état liquide,
d’où le nom de condenseur
 La détente : Le frigorigène à l’état liquide, qui est toujours à pression élevé, va être
ensuite détendu au travers du détendeur. Dans ce dernier, la pression va chuter
abaissant ainsi la température du frigorigène qui reste à l’état liquide. A la sortie du
détendeur, la température du frigorigène est beaucoup plus basse et est inférieure à la
température de la source de récupération.
 La récupération de la chaleur de l’environnement par l’évaporateur : Le frigorigène,
froid et à l’état liquide, va traverser un deuxième échangeur
- l’évaporateur - dans lequel circule le fluide extérieur (air extérieur, eau de nappe ou eau
échangeant avec un capteur enterré dans le sol) est plus chaud que le frigorigène. Ce dernier
va donc récupérer les calories, l’énergie en quelque sorte, de ce fluide extérieur. En récupérant
cette énergie, le frigorigène va entrer en ébullition et donc se transformer en gaz, c’est
l’évaporation, d’où le nom d’évaporateur. Le gaz ainsi formé est ensuite aspiré par le
compresseur pour un nouveau cycle.

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Schéma du principe de fonctionnement de la pompe à chaleur.

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Coefficient de performance COP :
COP d’une PAC La structure générale d’une PAC est donnée ci-dessous. Grâce à l’énergie
mécanique (ou équivalente) W fournie à ce système, on absorbe à la source froide (qui est à la
température Tf  >Tc l’énergie thermique Qf et on rejette à la source chaude (à la température
Tc ’énergie thermique QC.

Schéma cop dune pompe à chaleur


L’énergie utile à une PAC étant la chaleur rejetée à la source chaude , le COP d’une PAC
idéale peut alors s’écrire :
COP=Qc /w
L’application du premier principe à ce système donne : W=Qc_Qf
En supposant que la machine ainsi considérée décrit un cycle thermodynamiquement idéal
(donc réversible), l’application du second principe au système, permet d’écrire :
Qf /Tf - Qc /Tc=0

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Q Q I. 2 En supposant que la machine ainsi considérée décrit un cycle thermodynamiquement idéal
(donc réversible), l’application du second principe au système, permet d’écrire :

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0 soit

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Q W I. 1 L’application du premier principe à ce système donne : W

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Q Q I. 2 En supposant que la machine ainsi considérée décrit un cycle thermodynamiquement idéal
(donc réversible), l’application du second principe au système, permet d’écrire :

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0 soit

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I. 3En considérant la condition (I.2) et (I.3), l’équation(1) s’écrit COP

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T- T T

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1 1 T T Ce COP (appelé parfois efficacité de Carnot ou COP de Carnot) constitue la limite théorique
que l’on peut obtenir pour une machine quelle que soit la perfection technique de celle-ci. Ce
rapport indique néanmoins un résultat intéressant : la machine est d’autant plus efficace que T/T est
proche de l’unité : c'est-à-dire que la température de la source froide est proche de la température
de la source chaude. Les courbes ci-dessous montrent l’évolution des COP idéal et réel en fonction
des températures Tf et Tc. L’énergie utile à une PAC étant la chaleur rejetée à la source chaude , le
COP d’une PAC idéale peut alors s’écrire : COP

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Q W I. 1 L’application du premier principe à ce système donne : W

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Q Q I. 2 En supposant que la machine ainsi considérée décrit un cycle thermodynamiquement idéal
(donc réversible), l’application du second principe au système, permet d’écrire :

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0 soit

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I. 3En considérant la condition (I.2) et (I.3), l’équation(1) s’écrit COP

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T- T T

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1 1 T T Ce COP (appelé parfois efficacité de Carnot ou COP de Carnot) constitue la limite théorique
que l’on peut obtenir pour une machine quelle que soit la perfection technique de celle-ci. Ce
rapport indique néanmoins un résultat intéressant : la machine est d’autant plus efficace que T/T est
proche de l’unité : c'est-à-dire que la température de la source froide est proche de la température
de la source chaude. Les courbes ci-dessous montrent l’évolution des COP idéal et réel en fonction
des températures Tf et Tc.

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https://theses.hal.science/tel-02068216/file/these.pdf

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