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La poésie du XIXe siècle au XXIe siècle

XIXe :
Les nombreux soubresauts politiques du XIXe siècle et l’avènement progressif des idées
républicaines incitent certains poètes à s’engager dans le débat public. La poésie romantique
domine alors. Dans la seconde moitié du XIXe siècle, les poètes se désengagent de la vie
publique et politique pour se consacrer à la poésie pure. C’est le cas des poètes rattachés au
Parnasse et au Symbolisme.

Le Romantisme (1820-1850) :
Le Romantisme est un mouvement européen né au XVIIIe siècle. Il s’inspire du « Sturm und
Drung » allemand. Le nom découle de l’anglais « romantic » et de l’allemand « romantisch »,
deux mots qui désignaient initialement les émotions du lecteur de roman.
- le « Mal du Siècle »
- un Moi exacerbé (lyrisme porté par une nouvelle rythmique du vers, des genres anciens…)
- l’imagination et l’évasion
- l’engagement des artistes dans le siècle

Le Parnasse (1850-1880) :
Le Parnasse est un mouvement qui né en réaction au Romantisme, devant l’échec de ses
engagements politiques. Le nom est une image qui provient du Mont Parnasse où séjournent
les muses et qui est par conséquent un lieu sacré pour les poètes.
- une poésie impersonnelle
- l’exigence formelle
- le poète incompris en quête d’inspiration pour atteindre une beauté idéale
- l’Art pour l’Art (valorisation de l’esthétique plutôt que le message, culte de l’art…)

Le Décadentisme (fin du siècle) :


Le Décadentisme est une mouvement qui né d’un sentiment de déclin , lié à la défaite de
1870, la chute de l’Empire, la Commune. Il apparait lors de l’ascension sociale d’une
bourgeoisie matérialiste et conformiste (pessimisme face aux progrès sociaux et techniques).
- le désenchantement
- une écriture en quête d’innovation (recherche d’images inattendues…)
- dérision et provocation
- la figure du Dandy (fuyant le monde à travers le culte de l’art et de l’élégance)

Le Symbolisme (fin du siècle) :
Le symbolisme est un mouvement influencé par la théorie des correspondances de Baudelaire
(rapprochement d’images, de sensations, d’idées). Les artistes partagent une même sensibilité.
- les images et les symboles (poète voyant, références mythologiques…)
- l’expression d’une sensibilité
- l’expérimentation poétique (nouvelles typographies, variété des formes poétiques…)
- une écriture musicale

XXe et XXIe:
Avec la Première Guerre mondiale, l'art qui se développe rejette les normes et les règles du
passé, la liberté et l'imagination créatrice dominent. La Seconde Guerre mondiale incite les
intellectuels à s'engager contre l'oppression et lutter pour la liberté, mais on ne peut plus parler
de courants poétiques tant les tendances se multiplient.

Le Surréalisme :
Le Surréalisme est un mouvement marqué par le traumatisme de la Première Guerre
mondiale. Le mouvement est influencé par la science (théories de Sigmund Freud sur
l’inconscient) et par l’art (dadaïsme).
- la force de l’inconscient (exploration du rêve, de la folie des hallucinations…)
- le rôle des images (remise en cause de la perception et de la compréhension des images…)
- une écriture libérée (refus de la frontières entre genres et arts, jeux poétiques…)
- une poésie de l’insolite (descriptions des rêves et fantasmes, introduction à l’étrange…)
- l’ « amour fou »

La poésie depuis 1940 :


Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, on ne peut plus parler de courant littéraire en
poésie. Les tendances sont multiples et chaque poète exprime son originalité et sa singularité.
- une poésie engagée
- une écriture libre et parfois ludique (poésie jouant avec les contraintes)
- la permanence des thèmes lyriques
- une poésie sensible au banal et au quotidien
- une réflexion sur le langage et l’écriture poétique
La littérature d’idée du XVIe siècle au XVIIIe
siècle

XVIe
L’invention de l’imprimerie en 1450, dont l’usage se développe rapidement au XVe siècle
contribue à une diffusion plus large et plus rapide des productions écrites et des textes
antiques. Certains intellectuels d’Europe favorisent l’émergence d’un courant de pensée à
l’échelle européenne : l’Humanisme.

L’Humanisme :
L’Humanisme né en Italie au XVe siècle. Il s’étend à toute l’Europe grâce aux livres, aux
lettres et aux voyages.
- la confiance en l’homme (perfectibilité de l’homme, revalorisation de l’humain…)
- la quête d’une société idéale
- l’importance du savoir
- de nouveaux genres

XVIIe
Au XVIIe siècle, la pensée classique nourrit la réflexion des philosophes. La notion de vérité
et la place de l’Homme dans l’Univers sont centrales dans la réflexion. Afin d’éduquer tout en
divertissant, de nombreux écrivains moralistes adoptent le précepte « placere et docere ». Les
formes argumentaires brèves sont privilégiées. L’idéal de « l’honnête homme » est défendu.

Le Classicisme :
Le Classicisme est un mouvement étroitement lié au pouvoir politique fort exercé alors par
Louis XIV monarque absolu. Le mouvement est animé par un idéal d’ordre et de mesure.
- plaire et instruire
- une codification rigoureuse
- le gout de la mesure
- des genres à visée didactique
XVIIIe
Le XVIIIe siècle est marqué par le décès de Louis XIV en 1715. Celui-ci laisse au régent
Philippe d’Orléans le pays dans une situation financière et sociale catastrophique.

Les Lumières :
Les Lumières est un mouvement intellectuel européen à la fois littéraire et philosophique. Il se
développe au XVIIIe siècle et se fonde sur la raison , clef d’accès à la connaissance, à la
liberté et au bonheur.
- l’Ailleurs et l’Autre (rencontre de l’altérité, refus des préjugés…)
- la critique de la monarchie
- la lutte contre les persécutions
- la lutte contre l’obscurantisme
- l’égalité entre les Hommes

Le Libertinage :
Le Libertinage né au XVIIe siècle dans un contexte de conflits religieux. Il y a une influence
réciproque entre ce mouvement est celui des Lumières. En latin le mot « libertinus » désigne
l’esclave affranchi, le nom Libertinage désigne ici l’homme affranchi.
- le libertinage des mœurs
- une démarche philosophique (pensée matérialiste, libre arbitre, réflexions sur la
politique…)
- la critique de la religion
- le roman libertin et le roman sensible

Le théâtre du XVIIe siècle au XXIe siècle


XVIIe
Le XVIIe siècle est marqué par l’absolutisme puisque Louis XIV monte sur le trône en 1643.
Il s’affirme durant son règne comme un maître du bon gout dans le domaine artistique. Le
XVIIe siècle devient alors l’âge d’or du théâtre car les dramaturges sont largement soutenus
par le pouvoir royal qui assiste lui-même aux représentations.

Le Baroque :
Le Baroque est un mouvement européen qui nait dans un monde bouleversé par les guerres de
religion. Il traverse tous les arts du XVIIe au XVIIIe siècle dans un contexte politique et
religieux bouleversé.
- changement, mouvement, métamorphose
- le spectacle de la mort
- rêve, imaginaire, illusion
- des pièces de théâtre spectaculaires (excès et démesure) qui mélangent les genres

Le Classicisme :
Le Classicisme est un mouvement étroitement lié au pouvoir politique fort exercé alors par
Louis XIV monarque absolu. Le mouvement est animé par un idéal d’ordre et de mesure.
- plaire et instruire
- une codification rigoureuse (vraisemblance, bienséance, unités de temps de lieu et
d’action)
- le gout de la mesure
- des genres à visée didactique

Le Libertinage :
Le Libertinage né au XVIIe siècle dans un contexte de conflits religieux. Il y a une influence
réciproque entre ce mouvement est celui des Lumières. En latin le mot « libertinus » désigne
l’esclave affranchi, le nom Libertinage désigne ici l’homme affranchi.
- le libertinage des mœurs
- une démarche philosophique (pensée matérialiste, libre arbitre, réflexions sur la
politique…)
- la critique de la religion

XVIIIe
Le XVIIIe siècle est marqué par le décès de Louis XIV en 1715. Celui-ci laisse au régent
Philippe d’Orléans le pays dans une situation financière et sociale catastrophique.

Les Lumières :
Les Lumières est un mouvement intellectuel européen à la fois littéraire et philosophique. Il se
développe au XVIIIe siècle et se fonde sur la raison , clef d’accès à la connaissance, à la
liberté et au bonheur.
- l’Ailleurs et l’Autre (rencontre de l’altérité, refus des préjugés…)
- la critique de la monarchie
- la lutte contre les persécutions
- la lutte contre l’obscurantisme
- l’égalité entre les Hommes

XIXe
Le XIXe siècle est une période instable qui voit se succéder plusieurs régimes politiques qu’ils
soient autoritaires (empire et monarchie) ou démocratiques (République). Par ailleurs, la
science et la technique progressent rapidement et donnent lieu à des inventions
incontournables.

Le Romantisme (1820-1850) :
Le Romantisme est un mouvement européen né au XVIIIe siècle. Il s’inspire du « Sturm und
Drung » allemand. Le nom découle de l’anglais « romantic » et de l’allemand « romantisch »,
deux mots qui désignaient initialement les émotions du lecteur de roman.
- le « Mal du Siècle »
- un Moi exacerbé
- l’imagination et l’évasion
- l’engagement des artistes dans le siècle
- le drame romantique (opposition au théâtre classique, mélange des genres, cadres
historiques/exotiques)

XXe
Le XXe siècle est marqué par l'horreur des deux guerres mondiales qui font respectivement
dix-huit et cinquante millions de morts. En parallèle les progrès techniques et scientifiques
accélèrent, ils sont à la fois source de progrès et source de débats et de menaces.

Le théâtre engagé :
C’est un mouvement né en réaction aux guerres mondiales et aux totalitarisme du XXe siècle.
Il remet en question une civilisation capable notamment de commettre les horreurs de la
guerre.
- la condition humaine
- l’engagement politique
- l’écriture comme un acte de résistance
- mise en scène du pouvoir politique et de la violence sociale pour mieux les dénoncer

Le théâtre de l’Absurde :
C’est un mouvement né en réaction aux guerres mondiales et aux totalitarisme du XXe siècle.
Il s’interroge sur l’absurdité du monde et de l’existence et questionne le langage, les codes
sociaux et les relations humaines.
- la condition humaine
- un traitement comique, grotesque de sujets graves
- la fin du personnage, du réalisme, de l’action
- déconstruction du langage, inventions verbales
- dérèglement de l’espace et du temps

XXIe
Le XXIe siècle correspond à notre ère. Notre siècle a vu naitre de nombreux progrès,
innovations et découvertes notamment technologiques et scientifiques. Il connait malgré tous
des problématiques anciennes, telles que les guerres ou encore les épidémies mais aussi
d’autres, plus ou moins récentes, telles que les dérives du numériques et le réchauffement
climatique.

Le théâtre contemporain :
Le théâtre contemporain a la volonté d’explorer de nouvelles voies après le théâtre de
l’Absurde et engagé. Il est marqué par une plus grande liberté des troupes et des innovations
techniques.
- des témoignages du monde contemporain (dérives du monde contemporains :
exclusion….)
- des textes qui explorent l’intime (sujets universels, réécriture de mythes et pièces
classiques…)
- l’exploration verbale (jeu sur le langage, création de langues…)
Le roman et le récit du Moyen-Age au XXIe
siècle

Moyen-Age :
Le Moyen-âge s'étend du Ve au XVe siècle. C’est au XIIe siècle qu'apparaît le mot « roman »,
qui désigne d'abord la langue romane, puis une adaptation en langue romane d'un récit
antique, et plus tardivement un récit narratif en prose relatant les aventures d'un personnage.
Les premiers romans sont écrits en vers et servent surtout à divertir les seigneurs. Ils sont lus à
voix haute par des poètes ou des troubadours.

Les premiers romans :


Le Moyen-Age marque le début de l’usage du français en littérature. Les premiers romans ont
pour but d'exalter les valeurs chevaleresques et féodales et de chanter la fin’amor .
- la dimension épique (chansons de geste, romans de chevalerie…)
- le raffinement de l’amour courtois (amour codifié, idéal de courtoisie…)
- la littérature satirique (fabliaux, parodie, satire amusée plus que critique)

XVIe :
Au XVIe siècle, le roman n’est pas un genre très développé. En effet, les lecteurs se
détournent des romans de chevaleries jugés invraisemblables et stéréotypés. Cependant des
auteurs humanistes utilisant de la fiction pour mieux défendre leurs idées écrivent des romans.

L’Humanisme :
L’Humanisme né en Italie au XVe siècle. Il s’étend à toute l’Europe grâce aux livres, aux
lettres et aux voyages.
- la confiance en l’homme (perfectibilité de l’homme, revalorisation de l’humain…)
- la quête d’une société idéale
- l’importance du savoir
- de nouveaux genres (roman rabelaisien, nouvelles…)

XVIIe :
C'est au cours du XVIIe siècle que le genre du roman se constitue véritablement avec
différents genres comme le roman pastoral, le roman héroïque et la naissance du roman
d'analyse.
Le Baroque :
Le Baroque est un mouvement européen qui nait dans un monde bouleversé par les guerres de
religion. Il traverse tous les arts du XVIIe au XVIIIe siècle dans un contexte politique et
religieux bouleversé.
- changement, mouvement, métamorphose
- le spectacle de la mort
- imaginaire, rêve, illusion
- roman pastoral
- œuvres épiques, visionnaires, hallucinées

La Préciosité :
La Préciosité est un courant aristocratique et féminin qui donne naissance à des salons dans
lesquels des femmes de la noblesse reçoivent intellectuels et artistes.
- les salons, lieux de création littéraire (débats sur les dilemmes amoureux…)
- une revendication : l’éducation des femmes
- l’éloge des sentiments distingués et idéalisés (romans fleuves : histoires d’amour
complexes et raffinées…)
- une langue épurée et renouvelée

Le Classicisme :
Le Classicisme est un mouvement étroitement lié au pouvoir politique fort exercé alors par
Louis XIV monarque absolu. Le mouvement est animé par un idéal d’ordre et de mesure.
- plaire et instruire
- une codification rigoureuse
- le gout de la mesure
- des romans « psychologiques »

XVIIIe  :
Le XVIIIe siècle est marqué par le décès de Louis XIV en 1715. Celui-ci laisse au régent
Philippe d’Orléans le pays dans une situation financière et sociale catastrophique.

Les Lumières :
Les Lumières est un mouvement intellectuel européen à la fois littéraire et philosophique. Il se
développe au XVIIIe siècle et se fonde sur la raison , clef d’accès à la connaissance, à la
liberté et au bonheur.
- l’Ailleurs et l’Autre (rencontre de l’altérité, refus des préjugés…)
- la critique de la monarchie
- la lutte contre les persécutions
- la lutte contre l’obscurantisme
- l’égalité entre les Hommes

Le Libertinage :
Le Libertinage né au XVIIe siècle dans un contexte de conflits religieux. Il y a une influence
réciproque entre ce mouvement est celui des Lumières. En latin le mot « libertinus » désigne
l’esclave affranchi, le nom Libertinage désigne ici l’homme affranchi.
- le libertinage des mœurs
- une démarche philosophique (pensée matérialiste, libre arbitre, réflexions sur la
politique…)
- la critique de la religion
- le roman libertin et le roman sensible

XIXe :
Le XIXe siècle est politiquement troublé : les régimes se succèdent, renversé par plusieurs
mouvements révolutionnaires ; les idées républicaines et progressistes s'imposent peu à peu.
On assiste à la naissance de la bourgeoisie au développement de l'industrie. Ces thématiques
se retrouve alors dans la littérature.

Le Romantisme (1820-1850) :
Le Romantisme est un mouvement européen né au XVIIIe siècle. Il s’inspire du « Sturm und
Drung » allemand. Le nom découle de l’anglais « romantic » et de l’allemand « romantisch »,
deux mots qui désignaient initialement les émotions du lecteur de roman.
- le « Mal du Siècle »
- un Moi exacerbé (roman autobiographique : le récit de l’intime)
- l’imagination et l’évasion
- l’engagement des artistes dans le siècle

Le Réalisme :
Le Réalisme est un mouvement né en réaction à l’idéalisme romantique. Il est influencé par la
science et est fondé sur l’observation. Il cherche à rester fidèle au réel.
- des sujets tirés de la vie réelle
- le rôle de la description (portrait physique et moral des personnages, effet de réel…)
- de nouveaux types de personnages
- un regard pessimiste (familles minées par l’argent et l’ambition, échec et ennui…)
Le Naturalisme :
Le Naturalisme est un mouvement héritier du Réalisme dont il reprend les principes et les
caractéristiques. Il est influencé par la médecine expérimentale de Claude Bernard
(contemporain de Zola figure majeure du mouvement).
- une démarche d’observation scientifique (travail documentaire, utilisation de cas
exemplaire…)
- l’hérédité familiale et le milieu social
- montrer toute la société, y compris le peuple

Le Décadentisme (fin du siècle) :


Le Décadentisme est une mouvement qui né d’un sentiment de déclin , lié à la défaite de
1870, la chute de l’Empire, la Commune. Il apparait lors de l’ascension sociale d’une
bourgeoisie matérialiste et conformiste (pessimisme face aux progrès sociaux et techniques).
- le désenchantement
- une écriture en quête d’innovation (recherche d’images inattendues…)
- dérision et provocation
- la figure du Dandy (fuyant le monde à travers le culte de l’art et de l’élégance)

XXe :
Le XXe siècle remet en question les fondements et les codes du roman : le traitement de
l’intrigue et du personnage romanesque sont renouvelés.

La littérature engagée :
C’est un mouvement né en réaction aux guerres mondiales et aux totalitarisme du XXe siècle.
Il remet en question une civilisation capable notamment de commettre les horreurs de la
guerre.
- la condition humaine
- l’engagement dans l’écriture
- l’écriture comme acte de résistance
- roman existentialiste et engagé (récits de vies inutiles, engagement contre le fascisme…)

Le Nouveau Roman:
Le Nouveau Roman est une aventure collective, celles de jeunes auteurs rompant avec le
roman réaliste pour s’engager dans l’écriture. C’est un mouvement qui revendique le caractère
essentiel du regard.
- la nouvelle logique narrative (refus de l’intrigue linéaire, fragmentation du récit…)
- le rôle central de l’écriture (rejet des codes de l’écriture réaliste, expérimentations
formelles…)
- la mort du personnage (disparition de la figure du héros, anonymat, omniprésence des
objets…)
- le nouveau pacte de lecture (effacement du narrateur omniscient pour un narrateur
interne…)

XXe et XXIe :
Le roman contemporain:
Au XXIe siècle, le roman est devenu le genre le plus populaire. Les auteurs explorent toutes
les formes romanesques : roman social, historique, policier…
- l’importance accordée à l’histoire
- la société et ses valeurs en question
- ouverture du roman numérique
- les nouvelles formes de l’autobiographie

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