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Introduction 

En 2021, l’impôt sur le revenu en France représentait 9,5 % de son PIB, ce qui la classe
dans les 10 plus hauts pourcentages de l’union européenne.
En effet les impôts sur le revenu sont, d’après l’INSEE « des impôts s’attaquant aux
revenus, aux bénéfices et aux gains en capital. Ils sont basés sur les revenus des personnes
physiques, des ménages, des sociétés et des institutions sans but lucratif au service des
ménages.
Pour les ménages, cet impôt comprend essentiellement l'impôt sur le revenu des personnes
physiques (IRPP), la contribution sociale généralisée (CSG) et la contribution pour le
remboursement de la dette sociale (CRDS). »
De plus l’impôt sur le revenu, après une mise en place assez chaotique à force de conflits
politiques et idéologiques et à force de réformes presque quinquennales, est maintenant
appliqué de manière plus stable et plus juste en France. Il en découle ainsi nombre
d’avantages, mais pour contraster cela, on découvre également de nombreux inconvénients.
Comment est appliqué l’impôt sur le revenu en France, après une mise en place historique
instable ? Et quels avantages/inconvénients en découlent ?

I/Application

D’après le code général des impôts, une personne est soumise à l’impôt sur le revenu, si elle
possède un foyer fiscale situé en France. De fait on considère qu’une personne possède un
domicile fiscal en France si leur foyer ou leur lieu de séjour principal se trouve en France, ou
si celle-ci exerce une activité professionnelle en France. De plus les agents de l'Etat qui
exercent dans un pays étranger sans y être soumis à un impôt sur l'ensemble de leurs revenus,
sont considérés comme ayant leur domicile fiscal en France.
Enfin un dirigeant d’une entreprise aura un domicile fiscal français si son siège se situe en
France et s’il y réalise un chiffre d’affaires dépassant 250 millions d’euros par ans. En effet à
ce moment là son activité professionnelle exercée en France sera considérée comme
principale.
De fait l’état prélève cet impôt en effectuant directement, depuis le 1er janvier 2019, un
prélèvement à la source. En effet celui-ci consiste à déduire chaque moi, du bulletin de paie,
le montant de l’impôt. C’est donc l’employeur qui se retrouve avec la responsabilité de
« collecter les impôts ». Ainsi on ne paye tout d’un coup chaque année comme avant, mais on
étale le payement sur 12 mois
De plus on a des cas particuliers tels que :
- Les indépendants dont l'impôt sur le revenu fait l'objet d'acomptes payés
mensuellement ou trimestriellement
- Les salaires de source étrangère imposables en France, qui eux sont directement
prélevés dans leur compte bancaire par l’administration française.
De surcroît le prélèvement se fait selon un certain taux, fixé par l’état, et ajusté selon plusieurs
critères : les revenus, les personnes à charges, les charges déductibles (les pensions
alimentaires, les déficits fonciers…) crédit d’impôt, …
En effet ce taux a été mis en place pour permettre à l’impôt sur le revenu de s’adapter à la
situation de chacun. Ainsi, pour déterminer le montant de l’impôt sur le revenu, il faut d’abord
déterminer un quotient familial.
Celui-ci est déterminé par la composition du foyer. C’est-à-dire le nombre d’enfants et
d’adultes qui le composent. A chaque adulte est attribué une part, alors que les deux premiers
enfants à charge ne représentent qu’une demi-part. Le troisième enfant ainsi que chaque
enfant supplémentaire représentent une part en plus. Le quotient familial représente donc la
somme de toutes les parts.

Ensuite le calcul consiste à prendre le revenu imposable net du foyer et de le diviser par le
quotient familial. Et en fonction du nombre obtenu, on regarde dans quelle tranche on se
trouve, ce qui permet d’appliquer le taux d’imposition pour un pourcentage plus ou moins
grand :
Prenons pour exemple une famille dont les parents sont mariés avec 4 enfants. Leur revenu
imposable net est de 61 029 €. Ainsi leur quotient familial est de 5 (2 pour les parents, 1 pour
les deux premiers enfants et 2 pour les deux derniers). On divise donc (61 029/5) = 12 205,8
€.
D’après le tableau ci-dessus on voit donc que la tranche de revenu jusqu'à 10 777 € imposée à
0 %, donc seul (12 205,8-10 777) = 1 428,8 € sont imposables, et cela pour un taux de 11 %
puisqu’on est dans la tranche entre 10 777 € et 27 478 €.
(1428,8*0,11) = 157,17 €
Ainsi ce foyer na va payer que 157,17 € d’impôts brut sur le revenu.
En revanche si le contribuable ne souhaite pas communiquer à son employer les informations
nécessaires à la détermination de son taux personnalisé, alors on lui applique un taux dit
« neutre ». Celui-ci correspond au taux d'un célibataire sans enfant ne touchant aucun autre
revenu. L'administration l'applique lorsqu'elle n'est pas en mesure de calculer le taux
personnalisé d'un contribuable.
De surcroît, de cet impôt brut dû à l’état, peut être déduit une certaine somme, c’est une
décote d’impôts.
En effet pour pouvoir bénéficier d’une décote, il y a un plafond, qui dépend de la situation du
contribuable, sur le montant brut de l'impôt sur le revenu à ne pas dépasser :
Ensuite le calcul de la décote (pour l’année 2022) consiste à prendre une somme forfaitaire
(qui change chaque année) de 790 € pour une imposition individuelle ou de 1 307 € pour une
imposition commune, et de soustraire à celle-ci 45,25 % du montant brut de l’impôt.
Prenons pour exemple un célibataire dont l’impôt sur le revenu brut est de 602,3 €. Alors il est
éligible à la décote. (790-(602,3*0.4525)) = 517,46 €
Sa décote est donc de 517,46 €.
Enfin il existe plusieurs autres aides pour réduire le montant de l’impôt sur le revenu.
Premièrement le crédit d’impôt. C’est une aide financière octroyée par l’État qui sert à réduire
l’impôt. Cependant ce n’est pas une réduction d’impôt. En effet, si le montant de l’impôt sur
le revenu est inférieur au montant du crédit d’impôt accordé par l’état, alors Direction
générale des Finances publiques versera quand même le surplus. Et si une personne n’est pas
imposable, alors la totalité du crédit d’impôt qui lui sera remboursé.
Une personne peut en bénéficier si :
- Elle emploi un salarié à domicile, et cela quel que soit son statut (salariée, retraitée,
etc...). A ce moment-là le crédit d’impôt sera de l’ordre 50 % des dépenses effectuées
pour les prestations de la personne, mais avec un plafond qui varie entre 12 000 € et
20 000 € par an selon sa situation.
- Elle effectue des dépenses dans des équipements en faveur des personnes âgées ou
handicapées dans son habitation principale. Dans ce cas le crédit d’impôt correspond à
25 % du montant des dépenses, et le plafond est de 5 000 € pour un célibataire et 10
000 € pour un couple.
- Etc…
Deuxièmement il existe de multiples réductions d’impôt, telles que :
- Les réductions d'impôt liées à la famille, comme avoir un enfant poursuivant ses
études. En effet la réduction dépend du niveau d’études : 61 € pour le collège, 153 €
pour le lycée et 183 € pour l’enseignement supérieur.
- Les réductions d’impôt pour les frais d’accueil d’une personne âgée. La réduction
possède un plafond de 3 786 € par personne accueillie.
- Etc…

II/Evolution

L’imposition d’abord progressive des revenus, en France, a été instaurée en 1914. Cela s’est
d’ailleurs fait tardivement par rapport aux autres pays européens. Par exemple la Grande-
Bretagne met en place un impôt sur les revenus dès 1842. Et des impôts progressifs sont
introduits notamment en Suède en 1861, en Italie en 1864 et en Prusse de 1891 à 1903
En France, tandis que dès 1901 on a introduit l’impôt sur les successions, l’imposition
progressive des revenus a quand a-t-elle suscité moultes polémiques et cela pendant plusieurs
décennies. C’est ainsi qu’entre 1880 et 1907, plus de 200 textes législatifs ont été abandonnés
ou rejetés. La discorde était sur la forme déclarative et contre la mise en place d’une fiche
personnelle, mais également sur le côté progressif de l’impôt jugé injuste.
Finalement c’est le projet de loi de 1907 de Joseph Caillaux, ministre des Finances, qui
donnera lieu à la loi du 15 juillet 1914. Le « projet Caillaux » est initialement constitué de
deux parties :
- Des taux d’imposition différents selon la catégorie de revenu
- La superposition d’un impôt général au barème progressif
En effet les socialistes, étant contre le système d'imposition des « quatre vieilles »
(contribution financière, personnelle mobilière, patentes, et portes et fenêtres) jugé
inégalitaire, soutiennent ce projet de loi. Adopté dans un premier temps par la Chambre des
députés en 1909, en se basant principalement sur des arguments patriotiques, puis bloqué par
le Sénat conservateur. Il sera par la suite voté le 15 juillet 1914 par la Haute Assemblée, dans
le cadre de l'effort de guerre. Bien qu’il ait été allégé par la majorité conservatrice,
représentant les agriculteurs et les classes moyennes de l'industrie, contraire à toute forme
d'impôt sur le revenu. C’est en 1916 que fût réellement appliquée la loi, suite a son report en
raison de la première guerre mondiale. En 1917 il est revisité sous le prétexte de l’effort de
guerre. Le nouvel impôt fait aussi polémique car :
- Il implique la déclaration de revenus de chaque contribuable. Il a notamment existé six
impôts « cédulaires » (car déclarés sur des feuillets de déclaration distincts, des «
cédules »)
- Il introduit la notion de progressivité (notamment sur les droits de succession).
On peut rajouter le fait qu’en plus de toute cette instabilité, le barème mis en place n’a pas
aidé, puisqu’il a alterné entre l’utilisation d’un taux moyen et d’un taux marginal
À la suite de la loi du 25 juin 1920, qui selon Thomas Piketty correspond à « la seconde
naissance de l'impôt sur le revenu en France », un nouveau barème est défini en taux
marginal, qui correspond au taux auquel est imposée le contribuable sur la dernière tranche de
son revenu. En effet entre 1919 et 1935 les revenus d'un contribuable étaient découpés jusqu’à
25 tranches et cela avec un pas de 1/25. Cette loi a fait passer le taux marginal s’appliquant
aux revenus les plus élevés de 2 à 50 %, alors qu’avant la première Guerre Mondiale ce taux
n’avait jamais dépassé 5 %. Mais c’est dans les années 1942-1949 qu’on en vient à la forme
contemporaine de l’impôt sur le revenu.
De fait en 1949, on supprime les impôts cédulaires et on met en place l’impôt sur le revenu
des personnes physiques (IRPP), ce qui correspond aux impôts prélevés sur le revenu net. Au
début l’IRPP possède un barème composé d’une taxe proportionnelle (~ impôts cédulaires) et
d'une surtaxe progressive, ce qui fonde l’imposition progressive des revenus. Néanmoins, en
1959, ces deux taxes seront fusionnées pour créer un impôt unique.
De surcroît, une imposition à la source a été mise en place entre 1940 et 1948, mais fut
abandonnée en 1949 en faveur d’une déclaration de revenus de l’année précédente et d’une
imposition effective de l’année suivante.
Pendant toute la IIIe République, l’impôt sur le revenu un impôt personnel avec un système
de déductions forfaitaires en fonction du quotient familial.
Après un passage à un barème à 5 tranches en 1946 puis à 9 tranches en 1949, le taux
marginal supérieur va quant à lui rester à 60 % entre 1946 et 1982, sauf en 1964 et 1967.
Ainsi les taux et le nombre de tranches sont restés quasiment identiques entre 1949 et 1974.
Aussi, vu que les seuils d’imposition n’ont pratiquement pas bougés, cela a mené à une
augmentation du nombre de contribuables et à une hausse du montant de l’impôt moyen.
D’ailleurs si on doit établir un barème pour cette période, celui-ci possédait 8 à 9 tranches
accompagnées d’une progression très simple des taux : 0 %, 10 %, 15 %, 20 %, 30 %, 40 %,
50 % et 60 %.
A partir de 1970, les seuils d’imposition n’ont pas vraiment varié, et ont même été revalorisés
chaque année, en fonction de l’inflation.
Ensuite entre 1975 et 1986 qui constitue la période de l’après-guerre où le barème est le plus
progressif, la progressivité a été étalée sur 13 à 14 tranches accompagnées de taux se situant
entre 0 % et 65 % et variant avec un pas de 5.
On a donc vu que l’impôt sur le revenu a connu de nombreuses reformes au cours du 20ème
siècle. On peut ainsi noter une baisse du nombre de tranches et des taux marginaux à partir de
1987. Ainsi, on a une réduction de 14 en 1986 à 7 en 1994, et cela avec un taux marginal de
56,8 %. Ensuite on est passé à 5 en 2007 avec un taux marginal supérieur de 40 %. De plus
cette division par deux des tranches s’est faite avec une « remise à plats des seuils » de celles-
ci.
Cependant, en 2013 on a augmenté le nombre de tranches à 6, cela accompagné d’un taux
marginal supérieur de 45 %. Dans d’autres cas, les taux d’imposition sont souvent revalorisés
en tenant compte de l’inflation, cependant on peut les geler comme cela a été le cas entre 2011
et 2013.
III/Avantages et inconvénients

L’impôt sur le revenu offre un avantage financier parfois significatif.


Tout d’abord on peut le réduire grâce aux crédits d’impôts et a certaines réductions, comme
évoqué précédemment. Cela aide énormément de nombreuses personnes puisque certaines
n’auraient pas les moyens pour payer cet impôt brut. De plus cela aide les entreprises par le
fait que notamment en fonction de toute dépense professionnelle, il sera retiré un certain
montant, suivant un certain seuil, à votre impôt.
Ensuite il présente un avantage administratif puisqu’il ne requiert pas de fiches de paye et n’a
pas besoin du contribuable comme intermédiaire. Son montant est directement prélevé à la
source et le contribuable voit ce montant directement sur sa fiche de paie. Cela offre donc une
tranquillité d’esprit au contribuable puisqu’il n’y a plus d’échéances au payement de l’impôt
comme précédemment.
De plus ce prélèvement à la source permet à chaque contribuable de connaître chaque mois
son véritable revenu disponible et donc de pouvoir mieux organiser sa vie, étant donné que le
salaire versé par son employeur est net de charges sociales mais aussi d'impôt. De surcroît il
permet de réduire considérablement les fraudes, car il est directement prélevé avant que le
contribuable ne reçoive son salaire.
Ensuite le système de foyer attribuant à chaque membre une part, permet aux familles de faire
plus d’enfants en étant moins « inquiétées », puisque cela réduit considérablement leur impôt
sur le revenu. En effet cela explique pourquoi la France a le plus haut taux de fécondité
d’Europe, même si cela n’est pas la seule raison, et même si ce taux est encore insuffisant.
De surcroît, le fait que le taux d’imposition soit largement plus élevé pour les personnes
« riches » par rapport aux personnes « pauvre » peut être, pour un certain point de vu, un
avantage. De fait, comme ce « faible » taux est appliqué pour une majorité de la population,
on peut considérer celui-ci comme un avantage en France.
Néanmoins, l’impôt sur le revenu présente également des désavantages. Selon le CPO, le
prélèvement à la source peut constituer une charge pour le tier payeur, en effet cela pour le
faire changer de politique au niveau des salaires qu’il donne et au niveau du recrutement, car
celui-ci va chercher à payer le moins possible. De plus l’employeur va devoir connaître la vie
privée de son salarié tel que le nombre d’enfants qu’il a ou le fait qu’il soit marié ou non.
Ainsi cela nous montre un problème de confidentialité.
En outre, à l'employeur, peut potentiellement connaître le niveau de revenu global de son
salarié, c’est-à-dire ses autres rémunérations telles que ses revenus du patrimoine, ses plus-
values, les revenus de son conjoint, etc.
Cela peut influencer la relation entre l’employeur et son salarié, notamment lors négociations
salariales. Ainsi, si le salarié demande une augmentation alors qu'il touche de confortables
revenus via ses diverses activités (revenus fonciers, placements, etc.), cela peut créer des
conflits relationnels dans l’entreprise. D’où la mise en place du taux neutre.
Et deux personnes possédant les mêmes diplômes, les mêmes compétences et la même
expérience n’auront pas le même salaire à la fin du mois à cause de leurs différences au
niveau du foyer fiscal et des différentes aides qu’ils obtiendront. Cela peut également créer
des tensions au sein d’une entreprise.
Enfin il n’est pas parfait car il existe des moyens de frauder. On distingue alors la fraude
fiscale qui consiste fiscale qui consiste minimiser la charge fiscale d'une personne ou d'une
entreprise en enfreignant la loi. Par exemple en ne déclarant pas totalement l’ensemble de ses
revenus. Et l’évasion fiscale, qui consiste minimiser la charge fiscale d'une personne ou d'une
entreprise en utilisant des moyens légaux. Par exemple utiliser des paradis fiscaux.

Conclusion :

En conclusion, après une mise en place particulièrement instable que ce soit


économiquement ou politiquement, la France a réussi mettre en place un impôt sur le revenu
qui s’applique selon le modèle du prélèvement à la source. De fait après avoir calculer les
parts familiales du foyer fiscal et après avoir déterminé à quelle tranche de revenus on
appartient, nos revenus sont soumis à un certain taux, qui va nous donner le montant final que
l’on doit payer.
De plus, pour accompagner cela, l’état a mis en place des aides. Ainsi les contribuables
disposent de crédit d’impôts et de réductions diverses.
Cette application implique des avantages et des inconvénients. Ainsi ce système de
prélèvement à la source offre un avantage administratif, une tranquillité d’esprit au
contribuable, une meilleure gestion de la part du contribuable de ses revenus, le fait que les
« riches » soient lourdement taxés (à nuancer). De plus le barème offre un avantage
personnalisé puisque qu’il adapte l’impôt aux revenus de chacun.
Cependant cet impôt a pour inconvénient, le manque de confidentialité, et même si le taux
neutre existe, celui-ci dessert fortement ceux qui l’utilisent. On a aussi les risques de
mésentente au sein d’une entreprise. Et pour finir tous les faits d’évasion ou de fraude fiscale.
On pourrait naturellement se demander comment évoluera cet impôt dans le futur, et si il
n’existerais des axes d’amélioration, voir une meilleure alternative.
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