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Soutenu le 06/05/2022
ETUDE HYDROLOGIQUE ET HYDRAULIQUE DES OUVRAGES
DEFRANCHISSEMENT DE LA PISTE SOVLEGNI M’BOUKEGON :
DIMENSIONNEMENT D’UN DALOT DOUBLE 250 x 250 cm²
L’Auteur :
Date ……………
Signature
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SOMMAIRE
DEDICACES
A l’Eternel mon Dieu, Maître de toutes les sciences, l’Alpha et l’Oméga qui
a rendu possible cette formation et qui a su veiller sur moi dans mes déplacements
tous les jours de Bohicon à Abomey-Calavi sans le moindre incident.
A mes frères et sœurs, Sorel, Joel, Carine, Ironde, Jirel ASSOGBA, vous
qui ne m’aviez pas marchandé vos soutiens, trouvez en ces quelques lignes
l’expression de ma gratitude infinie.
REMERCIEMMENTS
HA : Haute Adhérence
St : Espacement
As : Sections d’armatures
Ep : Epaisseur
M : Moment
T : Effort tranchant
Mod : Modifiée
N : Effort normal
Résumé
Ce présent rapport intitulé « ETUDE HYDROLOGIQUE ET HYDRAULIQUE
DES OUVRAGES DEFRANCHISSEMENT DE LA PISTE SOVLEGNI
M’BOUKEGON : DIMENSIONNEMENT D’UN DALOT DOUBLE 250 x 250
cm² » s’inscrit dans le cadre du projet des travaux d’entretien
périodique/Aménagement de la piste SOVLEGNI M’BOUKEGON.
Ainsi, pour assurer une durabilité des routes, nous avons fait une étude respectant
les conditions techniques, financières et sécuritaires de cette dernière. Dans un
premier temps, nous avons effectué une présentation du milieu d’étude et les
objectifs du projet. Ensuite, une analyse et interprétation des données géotechniques
enfin d’apprécier les caractéristiques du sol devant accueillir les ouvrages
d’assainissement.
Une étude hydrologique et hydraulique nous a permis de faire le dimensionnement
d’un double dalot de section 2,5 x 2,50 m².
Les résultats de cette étude nous ont permis de faire le dimensionnement structural
des collecteurs suivant les règles BAEL 91 mod 99.
La dernière partie de notre étude à consister à l’élaboration d’un devis quantitatif
des différents matériaux entrant dans la construction et à l’estimation du cout global
de la réalisation du double dalot qui est estimé à Treize millions trois cent -soixante-
dix-huit -milles trois- cent-soixante-dix-neuf (13 378 379) Franc CFA TTC.
Abstract
This present report entitled « Hydrological and hydraulic study of sanitation works
of SOVLEGNI M’BOUKEGON track: Dimensioning of a double scupper 250 x
250 cm²» is part of the project Periodic maintenance works/Development of
SOVLEGNI M’BOUKEGON tracks.
Then, to ensure the durability of the roads, we have carried out a study respecting
the technical, financial and security conditions of the letter. First, we made a brief
presentation of the study environment and the objectives of the project. Then, an
analysis and interpretation of the geotechnical data finally to appreciate the
charateristics of the soil to accommodate the sanitation works.
A hydrological and hydraulic study enabled us to size the sanitation works, the
section of a double scupper is 2,5 x 2,5 m²
The results of the study allowed us to make the reinforced concrete dimensioning
of the collectors according to the rules of the rules BAEL 91 mod 99.
The last part of our study consists in the development of a quantitative estimate of
the various materials used in the construction and the estimate of the overall cost of
the realuzation of a double scupper which is estimated at thirteen million three
hundred seventy nine (13 378 379) CFA Franc TTC.
Introduction
Les infrastructures routières sont essentielles pour la performance des activités
économiques d’un pays. Elles favorisent en particulier la circulation des
marchandises, et des personnes. Les routes apportent ainsi de nombreux avantages
du point de vue social et économique. Dans les milieux ruraux, les infrastructures
permettent de les désenclaver et d’assurer la commercialisation des produits
agricoles. Des études ont montré que les investissements publics, notamment en
infrastructures rurales, contribuent fortement à la croissance de la production
agricole et à la réduction de la pauvreté à la base (MIDRAND, 2009 cité par M.
Modeste 2016).
L’aménagement, l’entretien et l’assainissement sont les principaux facteurs à
prendre en compte pour une durabilité des infrastructures routières.
Objectif général
L’objectif général de ce rapport est de faire une étude hydrologique, hydraulique et
structural d’un ouvrage d’assainissement (un dalot) en suivant les règles de calcul
du BAEL 91 mod 99.
Objectifs spécifiques
Les objectifs spécifiques de notre mémoire sont :
- Présentation des différents types d’ouvrages d’assainissement,
- Généralité sur les dalots
- Présentation du milieu d’étude
- Etude hydrologique
- Etude du bassin versant
- Détermination des paramètres hydraulique
- Détermination de la section hydraulique du dalot
- Etude structurale du dalot de la piste SOVLEGNI M’BOUKEGON
- Etude quantitative et estimation financière du dalot étudié.
Notre mémoire est organisé en trois (03) chapitres. Dans le premier chapitre, nous
avons faire une revue de littérature et la présentation du milieu d’étude. Dans un
deuxième chapitre, il a été présenté une étude hydraulique et le dimensionnement
d’un collecteur. Le troisième chapitre est consacré à l’étude quantitative et à
l’estimation financière du dalot.
I- Revue de littérature
I-1 Hydraulique
L’hydraulique est la science qui s’occupe de l’étude des propriétés mécaniques des
liquides et des fluides. Les sujets d’hydrauliques couvrent des questions
scientifiques et des problématiques d’ingénierie. L’ingénierie a recours à
l’hydraulique pour la génération, le contrôle et la transmission de puissance par
utilisation de liquide sous pression. L’ingénierie hydraulique s’intéresse aux
concepts de débits dans les tuyaux, à la conception de barrages, à la micro fluidique,
etc… (Wikipédia, Arcyon 37, 2021)
I-2 Ouvrage hydraulique
Un ouvrage hydraulique est un ouvrage permettant la gestion d’un écoulement.
C’est un simple dispositif permettant à un cours d’eau de s’écouler sous une voie
ferrée ou routière ou un ouvrage plus complexe ayant un autre but. (Wikipédia,
Durifon, 2021)
Les ouvrages hydrauliques regroupent plusieurs familles d’ouvrages : les barrages,
les canaux, les digues, les systèmes de protection contre les inondations ou contre
les submersions et les aménagements hydrauliques. (Portail internet DREAL
Bourgogne-Franche-Comté, novembre 2017) [3]
a- Les barrages
Ce sont des ouvrages destinés à retenir temporairement une quantité d’eau plus ou
moins grande pour différents usages. Ils sont construits, le plus souvent en travers
d’un cours d’eau. [3]
b- Les canaux
Ce sont des ouvrages destinés à canaliser de l’eau pour l’acheminer d’un point à un
autre. Ils servent couramment de voies navigables en lieu et place d’un cours d’eau
difficilement navigable ou pour pallier une absence de cours d’eau. Les parois
latérales d’un canal délimitant un brief, usuellement appelées « digues de canaux »,
sont réglementairement assimilées à des barrages. [3]
Exemple : Dalot, buse, caniveau, collecteur
I-3 Dalot
I-3-1 Définition
Un dalot désigne un petit canal recouvert d'une dalle, un élément de caniveau ou un
ouvrage hydraulique semi-enterré. Il est généralement en béton armé et présente
une section rectangulaire ou carrée. [4]
c- Les dalots portiques semblables aux dalots cadres mais sans radier (les
piédroits sont fondés sur des semelles
Photo 1- 11 : Dalots
Source : Mongi Ben Ouézdou
☞ Il présente un relief qui n’est pas relativement plat et des points bas par
endroit.
Le levé de la route existante a consisté à lever tous les détails liés à l’ouvrage et
se trouvant dans l’assiette de la route. Ils sont levés selon les caractéristiques des
entités géométriques qui les composent et aussi sont renseignés par leur altimétrie.
Méthode rationnelle
Dans le cadre du présent projet, cette méthode est appliquée pour les petits bassins
dont la superficie ne dépasse pas 4 km2. Pour une averse donnée, homogène dans le
temps et dans l’espace, d’intensité I (mm/h), le débit à l’exutoire du bassin versant
atteint sa valeur maximale lorsque la durée de l’averse est au moins égale au temps
de concentration tc du bassin. Le temps de concentration est le temps que met une
goutte d’eau provenant du point le plus éloigné de l’exutoire pour parvenir à celui-
ci. Le débit à l’exutoire est donné par la formule :
I = a tc-b
a et b les coefficients de Montana dépendant du lieu et de la
fréquence pluviométrique.
tc est obtenu par la relation :
tc = (L0,77 / i 0,38) / 52 (formule de Kirpich)
avec :
L = longueur du plus long cheminement hydraulique en m
i = pente moyenne du bassin versant en m/m.
Méthode du CIEH
La formule du débit de pointe Q10 est basée sur un schéma de régressions multiples
et se présente sous la forme :
𝑨 𝑿 𝑷𝟏𝟎 𝑿 𝑺
Q 10 = k x Kr10 x [ ]
𝟑.𝟔 𝑿 𝑻𝒃
avec :
A : Le coefficient d'abattement ;
Après analyse des différentes méthodes d’évaluation du débit, nous avons constaté
que la méthode rationnelle ne peut pas nous permettre d’avoir des résultats précis
car elle est appliquée pour des bassins versants de surface inférieure à 4 km² or dans
le cas de notre projet le sous bassin versant obtenu à une surface supérieure à 4 km²,
ce qui nous amène donc à évaluer les débits par la méthode CIEH et la méthode
ORSTOM.
Superficie en km²
Relief du bassin S < 5 km² 5 km² < S < 10 S > 10 km²
km²
Plaine 1,9 2,2 2,3
Montagne 2,0 2,3 2,5
Le relief du bassin est une plaine et la surface des bassins est supérieure à 10 km²,
nous avons donc pris le coefficient de pointe égal à 2,3.
Tableau 2-2 : Estimation des crues décennales et des apports annuels pour les petits bassins versants non
jaugés de l'Afrique sahélienne et tropicale sèche
Indices de compacité
Indices de compacité : Appelé également coefficient de forme, il correspond au
rapport du périmètre du bassin à celui d'un cercle de même superficie :
Les résultats des calculs de débits pour les périodes T= 10 ans sont résumés dans le
tableau ci-dessous :
Tableau 2-4 : Evaluation des débits de pointe des bassins versants T= 10 ans par la méthode ORSTOM
Q10
S(km²) P(km) K Kr10 Kc L(km) l(km) Ig Tb10(mn) A
(m3/s)
54,00 57,00 2,30 33,08 2,17 26,24 2,06 0,57 2754,23 0,83 41,34
Source : ASSOGBA Sètchégbé Christel
Tableau 2-5 : Evaluation des débits de pointe des bassins versants T= 10 ans par la méthode CIEH
Débit décennal
S(km²) P(km) K Kr10 Kc L(km) l(km) Ig Tb10(mn) A Pm10
(m3/s)
CIEH 1 68,08
54,000 57,000 2,3 33,335 2,172 26,240 2,058 0,572 2754,23 0,83 99,77 CIEH 2 56,64
CIEH 3 64,55
Source : ASSOGBA Sètchégbé Christel
Conclusion : Après l’évaluation des débits par les deux méthodes (ORSTOM et
CIEH) on peut constaté que le débit maximal est donné par la méthode CIEH et est
de 68,08 m3/s. Ce débit sera ensuite utilisé pour le dimensionnement des sections
d’ouvrages.
DIMENSIONS
(m) DEBIT
DEBIT DEBIT MARGE
NOMBRE EVACUE Etats
POINT CRUE PAR PENTE h B H r VITESSE TOTAL DE
N° IDENTIFIANT PK DE Ks PAR des
BAS (m3/s) TRAVEE (‰) (m) (m) (m) (m) (m/s) EVACUE SECURITE
TRAVEE TRAVEE ouvrages
(m3/s) (m3/s) (%)
n B H (m3/s)
1+190 1 8,26 1 8,26 70 1 1,5 2,50 2,00 0,50 1,86 1 2,50 2,00 9,29 9,29 112,49 Nouveau
2+155 2 8,26 1 8,26 70 1 1,5 2,50 2,00 0,50 1,86 1 2,50 2,00 9,29 9,29 112,49 Nouveau
2+600 3 8,26 1 8,26 70 1 1,5 2,50 2,00 0,50 1,86 1 2,50 2,00 9,29 9,29 112,49 Nouveau
4+280 4 8,26 1 8,26 70 1 1,5 2,50 2,00 0,50 1,86 1 2,50 2,00 9,29 9,29 112,49 Nouveau
SOVLEGNI-
1
M'BOUKEGON
0+175 5 2,50 1 2,50 70 1 0,6 1,00 1,00 0,40 3,73 1 1,00 1,00 3,74 3,74 149,59 Existant
3+630 6 2,50 1 2,50 70 1 0,6 1,00 1,00 0,40 3,73 1 1,00 1,00 3,74 3,74 149,59 Existant
2+340 7 8,35 2 4,18 70 1 1,06 2,00 1,49 0,44 1,58 2 2,00 1,50 4,72 9,45 113,15 Nouveau
3+700 8 21,69 2 10,85 70 1 1,97 2,50 2,49 0,53 1,97 2 2,50 2,50 12,25 24,50 112,97 Nouveau
III-1 Généralités
1. Définitions
Béton
Le béton est un mélange de matériaux de nature généralement minérale. Il met en
présence des matières inertes appelés granulats ou agrégats ; un liant c’est-à-dire une
matière susceptible d’en agglomérer d’autres ; l’eau ainsi que des adjuvants qui
modifient les propretés physique et chimique du mélange.
Acier
C’est un alliage métallique constitué principalement de fer et de carbone qui confère
à l’alliage les propriétés de l’acier. Il existe d’autres alliages à base de fer qui ne sont
pas des aciers, comme la fonte et les ferroalliages.
Béton-Armé
Le béton armé est un matériau composite constitué de béton et de barre d’acier alliant
les propriétés mécaniques complémentaires de ces matériaux. Il est utilisé comme
matériaux de construction, en particulier pour bâtiment et le génie civil.
Etats limite de calcul
Un état limite est un état pour lequel une condition requise d’une construction est
strictement satisfaite et cesserait de l’être en cas de modification défavorable d’une
seule action.
Un ouvrage doit être conçu et calculé de manière à présenter pendant toute sa durée
de vie des sécurités suffisantes vis-à-vis :
- de sa ruine ou de celle de l’un quelconque de ses éléments (effondrement de tout
ou partie du bâtiment),
- d’un comportement en service susceptible d’affecter gravement sa durabilité, son
aspect, le confort des usagers.
Tout état limite au-delà duquel une structure ou une partie de la structure ne remplit
pas une des conditions précédentes est dit état limite. Il convient donc de toujours
être en deçà des états limites pour être en sécurité lors de l’exploitation de l’ouvrage.
Le BAEL distingue deux catégories d’états limites :
Contraintes et déformations :
Béton
Contrainte limites
Dans les calculs relatifs à l’état limite ultime de résistance on utilise pour le béton
un diagramme conventionnel dit parabole- rectangle, et dans certains cas par mesure
de simplification un diagramme rectangulaire.
Dans les calculs relatifs aux états limites, on introduit un coefficient de sécurité 𝛾𝑠
qui a les valeurs suivantes :
𝛾𝑠 = 1,15 cas général,
𝛾𝑠 = 1,00 cas des combinaisons accidentelles
3. Actions – Sollicitations
Actions
Les actions sont les forces et couples dus aux charges appliquées aux déformations
imposées (variations de température, tassement d’appuis etc…)
Autrement dit les actions sont les efforts appliqués à la structure d’un bâtiment. Elles
peuvent être : Permanentes, Variables ou Accidentelles.
Actions permanentes (G) : Leurs intensités est constantes ou très peu variables dans
le temps. Ce sont des actions qui généralement entre dans la construction de
l’ouvrage.
Actions variables (Q) : Ce sont des actions dont les intensités varient fréquemment
dans le temps.
Actions accidentelles (FA) : Ce sont des actions qui sont pratiquement imprévisibles.
Les sollicitations
Les sollicitations sont les efforts (effort tranchant, effort normal) et les moments
(moment fléchissant, moment de torsion) calculés à partir des actions par des
méthodes appropriés. D’une façon générale les sollicitations sont calculées en
utilisant pour la structure un modèle élastique et linéaire. On emploie les procédés
de la RDM dans la mesure où la forme des pièces le permet.
III -2 Hypothèses
La structure du dalot en béton armé sera étudiée conformément aux règlements ci-
dessous :
1. Normes utilisées pour les calculs
Les calculs sont établis selon les prescriptions des principaux documents suivants :
le Fascicule 62 titre V Règles techniques de conception et de calcul des
fondations des ouvrages de Génie civil ;
le Fascicule n° 61 (Titre II) concernant les charges d'exploitation - Conception
Calcul et épreuves des ouvrages d'art ;
le BAEL 91 et additif 99.
2. Cas de chargements à étudier :
Dallette
La dallette sera étudiée sous une roue isolée 10T (Br) en stationnement.
Voile
Efforts à lui transmettre par la dallette chargée ;
Poussées dues à la roue de 10T concentrée stationnée sur la chaussée à
Rédigé par ASSOGBA Sètchégbé Christel
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ETUD
E
ETUDE HYDROLOGIQUE ET HYDRAULIQUE DES OUVRAGES
DEFRANCHISSEMENT DE LA PISTE SOVLEGNI M’BOUKEGON :
DIMENSIONNEMENT D’UN DALOT DOUBLE 250 x 250 cm²
Ensuite pour s’assurer d’éviter des aciers comprimé on peut utiliser la condition sur
L en fonction de la hauteur de remblai.
𝐋
𝐞= − 𝟓𝒄𝒎 pour une hauteur de remblai < 2 𝑚
𝟏𝟎
𝟐𝟓𝟎
𝐞= − 𝟓 = 𝟐𝟎𝒄𝒎
𝟏𝟎
Avec ;
Contrainte admissible : σbc = 0,6 × fc28 = 𝟏𝟓𝐌𝐏𝐚 ;
Rédigé par ASSOGBA Sètchégbé Christel
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ETUD
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ETUDE HYDROLOGIQUE ET HYDRAULIQUE DES OUVRAGES
DEFRANCHISSEMENT DE LA PISTE SOVLEGNI M’BOUKEGON :
DIMENSIONNEMENT D’UN DALOT DOUBLE 250 x 250 cm²
III-5 Convention
D’où
g1 = 0,62 t/ml
𝟎,𝟐𝒙𝟎,𝟖𝒙𝟐,𝟓𝒙𝟓,𝟔𝒙𝟐
Chgr= = 𝟎, 𝟔𝟏𝒕/𝒎𝒍
𝟕+𝟐𝒙𝟎,𝟐
☞ charge du piédroit
𝒆𝒙𝑯𝒙𝟐,𝟓𝒙𝟏𝒙𝟑
Chpé=
𝟐𝒙𝒍+𝟑𝒙𝒆
𝟎,𝟐𝒙𝟐,𝟓𝒙𝟐,𝟓𝒙𝟏𝒙𝟑
Chgr= = 𝟎, 𝟓𝟖𝒕/𝒎𝒍
𝟐𝒙𝟐,𝟓+𝟑𝒙𝟎,𝟓
P 𝑝𝑝𝑑= 0,61+0,58
𝑃𝑇ℎ = 𝑘𝑎 × 𝛾d × (ℎ𝑟𝑒𝑚)
g2 =2,31 t/ml
𝐏𝐓𝐡 = 0 t/𝐦𝟐
𝑃𝑇𝑏 = 𝑘𝑎 × 𝛾 × (ℎ𝑟𝑒𝑚)
𝐏𝐓𝐛 = 𝟎,333 x 2 x (2,9) 𝐏𝐓𝐛 = 1,93 t/𝐦𝟐
Coefficient bc = 1,10
𝟎,𝟒 𝟎,𝟔
𝛅𝐛𝐜 = 1 + + 𝟒𝐆
𝟏+𝟎,𝟐 𝐱 𝐋 𝟏+
𝑸
Q = (2 x 4) x 6 x bc
Q = 52, 8t
δbc =1,57
3 x 12 x 100
qradier = 1,57 x = 𝟏, 𝟒𝟒𝟐 𝐭/𝐦²
5,6 x 7
Système Bt
Calcul de la charge surfacique équivalente :
Ty = 5,00 + 1,00 = 6 m
Q = (2 x 8) x 4 x bt = 16 x 4 x 1,00 = 64 t
3 x 16 x 1,00
q radier = 1,60 x = 𝟏, 𝟗𝟔 𝐭/𝐦²
5,6x 7
Système Bt
Il correspond à une roue isolée de 10t sue une surface d’impact rectangulaire de 0,60
x 0,30
La roue isolée produit un effet clairement inférieur aux systèmes Br et Bt étudiés
précédemment.
Des systèmes utilisés, on adopte celui qui nous donne les charges les plus
défavorables pour la suite des calculs donc :
q tablier =𝟕, 𝟐𝟔 𝐭/𝐦² q radier = 𝟏, 𝟗𝟔 𝐭/𝐦²
Au niveau du tablier
Sous charges permanentes gl = 0,62 t/ml
☞ M(B-C) = 0,025 x g1 x l²
☞ M(A) =M(D)=0
☞ RA = RD = 0,4 x g1 x l
☞ RB = RC =1,1 x g1 x l
☞ M(A) = M(D) = 0
☞ RA = RD = 0,4 x qtablier x l
Au niveau du radier
Sous charges permanentes g2 = 2,31 t/ml
☞ M(B-C) = 0,025 x g2 x l²
☞ M(A) = M(D) = 0
☞ RA = RD = 0,4 x g2 x l
☞ RB = RC = 1,1 x g2 x l
☞ M(A) = M(D) = 0
☞ RA = RD = 0,4 x qradier x l
☞ RB = RC = 1,1 x qradier x l
Au niveau du piédroit
Piédroits centraux B et C
Sous charges permanentes
Ces efforts sont fonction des réactions d’appui du radier
N1 = RB = RC = 6,35 t
Sous charges routières
N1 = RB = RC = 5,391 t
Piédroits extérieurs A et D
Sous charges permanentes
N = RA = RD = 2,31 t
γ x h3 x kp 20 x 2,53 x 0,5
M= = = 2,6 𝑡. 𝑚/𝑚𝑙
6 6
La force de freinage :
On admet le freinage de deux essieux de 8tonnes chacun placé côte à côte, d’où :
2𝑥8
F= =5,33 t
3
Mu 5,86 x 10−2
μ= = = 0,13
b x d2 x Fb (1 x 0,182 x 14,17)
𝜇 < 0,480
𝜀𝑏𝑐 = 3,5 ‰
1−∝ 1−0,17 fe
𝜀𝑠 = 3,5 𝑥 ( ) = 3,5 𝑥 ( ) = 17,06 ‰ > 𝜀𝑠𝑒 =
∝ 0,17 γs x Es
𝐌𝐮 𝟓,𝟖𝟔 𝐱 𝟏𝟎−𝟐
𝐀 𝐬 𝐭𝐮 = ( )=( ) = 10,03 cm²
𝐙 𝐱 𝛔𝐬 𝟎,𝟏𝟔𝟖 𝐱 𝟑𝟒𝟕,𝟖𝟑
Le moment résistant :
1 1
Mrserb = bo x d2 x σbc x x αser x (1 - αser )
2 3
𝑛 𝑥 σbc 15 𝑥 15
Avec : αser = = = 0,53
𝑛 𝑥 σbc + σst 15 𝑥 15 + 202
Donc Mrserb = 106,04 kN. m > 55,31 : On conclut qu’il n’y a pas d’aciers
comprimés
Mser
Apr =
1
d x (1 − x αser )x σst
3
4,666 x 10−2
Apr = 1 x 104 cm²
0,18 x (1− x 0,53)x 202
3
Apr
Arep =
4
15,59
Arep =
4
0,23 𝑥 𝑓𝑡28 𝑥 𝑏 𝑥 𝑑
𝐴𝑚𝑖𝑛 =
𝐹𝑒
Mu = 1,35 x Mg + 1,50 x Mq
Mu 1,830 x 10−2
μ= = = 0,04
b x d2 x Fb (1 x 0,182 x 14,17)
𝜇 < 0,480
𝜀𝑏𝑐 = 3,5 ‰
1−∝ 1−0,051 fe
𝜀𝑠 = 3,5 𝑥 ( ) = 3,5 𝑥 ( ) = 18,608‰ > 𝜀𝑠𝑒 =
∝ 0,051 γs x Es
𝐌𝐮 𝟏,𝟖𝟑𝟎 𝐱 𝟏𝟎−𝟐
𝐀 𝐬 𝐭𝐮 = ( )=( ) 𝒙 104 cm² = 2,989 cm²
𝐙 𝐱 𝛔𝐬 𝟎,𝟏𝟕𝟔 𝐱 𝟑𝟒𝟕,𝟖𝟑
Le moment résistant :
1 1
Mrserb = bo x d2 x σbc x x αser x (1 - αser )
2 3
𝑛 𝑥 σbc 15 𝑥 15
Avec : σser = = = 0,53
𝑛 𝑥 σbc + σst 15 𝑥 15 + 202
Donc Mrserb = 106,04 kN. m > 14,56 : On conclut qu’il n’y a pas d’aciers
comprimés
Mser
Apr =
1
d x (1 − x αser )x σst
3
1,456 x 10−2
Apr =
1
0,18 x (1 − x 0,53) x 202
3
Apr
Arep =
4
4,86
Arep =
4
0,23 𝑥 𝑓𝑡28 𝑥 𝑏 𝑥 𝑑
𝐴𝑚𝑖𝑛 =
𝐹𝑒
Sur appuis B et C
Calcul à l’Etat Limite Ultime :
Mu 0,733 x 10−2
μ= = = 0,016
b x d2 x Fb (1 x 0,182 x 14,17)
𝜇 < 0,480
𝜀𝑏𝑐 = 3,5 ‰
1−∝ 1−0,020 fe
𝜀𝑠 = 3,5 𝑥 ( ) = 3,5 𝑥 ( ) = 171,5 > 𝜀𝑠𝑒 =
∝ 0,020 γs x Es
𝐌𝐮 𝟎,𝟕𝟑𝟑 𝐱 𝟏𝟎−𝟐
𝐀 𝐬 𝐭𝐮 = ( )=( ) = 1,184 cm²
𝐙 𝐱 𝛔𝐬 𝟎,𝟏𝟕𝟖 𝐱 𝟑𝟒𝟕,𝟖𝟑
Le moment résistant :
1 1
Mrserb = bo x d2 x σbc x x σser x (1 - σser )
2 3
𝑛 𝑥 σbc 15 𝑥 15
Avec : σser = = = 0,53
𝑛 𝑥 σbc + σst 15 𝑥 15 + 202
Donc Mrserb = 106,04 kN. m > 55,31 : On conclut qu’il n’y a pas d’aciers
comprimés
Mser
Apr =
1
d x (1 − x αser )x σst
3
0,584 x 10−2
Apr =
1
0,18 x (1 − x 0,53) x 202
3
Apr
Arep =
4
1,951
Arep =
4
0,23 𝑥 𝑓𝑡28 𝑥 𝑏 𝑥 𝑑
𝐴𝑚𝑖𝑛 =
𝐹𝑒
Piédroits
Piédroits extérieurs A et D
Calcul à l’Etat Limite Ultime
Mu = 1,35 x Mg + 1,50 x Mq
Mu 23,174 x 10−2
μ= = = 0,5
b x d2 x Fb (1 x 0,182 x 14,17)
3
√4 𝑥 𝛾 𝑥 (2+г)
𝜇𝑙𝑢 =
(3+г)²
𝜇𝑙𝑢 = 0,24
Avec :
𝑀𝑢 23,174
𝛾= = = 1,455
𝑀𝑠𝑒𝑟 15,925
100
г= =4
𝑓𝑐28
Vérification :
Z = d x (1- 0,4 x ∝)
𝑀𝑢
− 𝑁𝑢
𝐴𝑠𝑢 =( 𝑍 )
𝜎𝑠
23,174 𝑥 10−2
− 13,70 𝑥 10−2
0,1
𝐴𝑠𝑢 =( )
347, 83
𝑀𝑠𝑒𝑟
𝐴𝑝𝑟 =
1
𝑑 𝑥 ( 1 − 𝑥 𝛼𝑠𝑒𝑟 ) 𝑥 𝜎𝑠𝑒𝑟
3
18,50
𝐴𝑝𝑟 =
1
0,18 𝑥 ( 1 − 𝑥 0,53) 𝑥 202
3
𝐴𝑝𝑟
𝐴𝑟𝑒𝑝 =
4
61,789
𝐴𝑟𝑒𝑝 = = 15,447 𝑐𝑚²
4
Rédigé par ASSOGBA Sètchégbé Christel
66
ETUD
E
ETUDE HYDROLOGIQUE ET HYDRAULIQUE DES OUVRAGES
DEFRANCHISSEMENT DE LA PISTE SOVLEGNI M’BOUKEGON :
DIMENSIONNEMENT D’UN DALOT DOUBLE 250 x 250 cm²
Radier
A mi- travée A-B, C-D (lit supérieur)
Calcul à l’Etat Limite Ultime
Mu = 1,35 x Mg + 1,50 x Mq
Mu 3,029 x 10−2
μ= = = 0,066
b x d2 x Fb (1 x 0,182 x 14,17)
𝜇 < 0,480
𝜀𝑏𝑐 = 3,5 ‰
1−∝ 1−0,085 fe
𝜀𝑠 = 3,5 𝑥 ( ) = 3,5 𝑥 ( ) = 37,676‰ > 𝜀𝑠𝑒 =
∝ 0,085 γs x Es
𝐌𝐮 𝟑,𝟎𝟐𝟗𝐱 𝟏𝟎−𝟐
𝐀 𝐬 𝐭𝐮 = ( )=( ) = 4,976 cm²
𝐙 𝐱 𝛔𝐬 𝟎,𝟏𝟕𝟓𝐱 𝟑𝟒𝟕,𝟖𝟑
Le moment résistant :
1 1
Mrserb = bo x d2 x σbc x x σser x (1 - σser )
2 3
𝑛 𝑥 σbc 15 𝑥 15
Avec : σser = = = 0,53
𝑛 𝑥 σbc + σst 15 𝑥 15 + 202
Donc Mrserb = 106,04 kN. m > 55,31 : On conclut qu’il n’y a pas d’aciers
comprimés
2.331 x 10−2
Apr =
1
0,18 x (1 − x 0,53) x 202
3
Arep = 1,947cm2
0,23 𝑥 𝑓𝑡28 𝑥 𝑏 𝑥 𝑑
𝐴𝑚𝑖𝑛 =
𝐹𝑒
Sur appuis B et C
Calcul à l’Etat Limite Ultime
Mu = 1,35 x Mg + 1,50 x Mq
Mu 0,659 x 10−2
μ= = = 0,014
b x d2 x Fb (1 x 0,182 x 14,17)
𝜇 < 0,480
𝜀𝑏𝑐 = 3,5 ‰
1−∝ 1−0,018 fe
𝜀𝑠 = 3,5 𝑥 ( ) = 3,5 𝑥 ( ) = 190,94‰ > 𝜀𝑠𝑒 =
∝ 0,018 γs x Es
𝐌𝐮 𝟎,𝟔𝟓𝟗𝐱 𝟏𝟎−𝟐
𝐀 𝐬 𝐭𝐮 = ( )=( ) = 1,076 cm²
𝐙 𝐱 𝛔𝐬 𝟎,𝟏𝟕𝟔 𝐱 𝟑𝟒𝟕,𝟖𝟑
Le moment résistant :
1 1
Mrserb = bo x d2 x σbc x x σser x (1 - σser )
2 3
𝑛 𝑥 σbc 15 𝑥 15
Avec : σser = = = 0,53
𝑛 𝑥 σbc + σst 15 𝑥 15 + 202
Donc Mrserb = 106,04 kN. m > 1,95 : On conclut qu’il n’y a pas d’aciers
comprimés
0,516 x 10−2
Apr =
1
0,18 x (1 − x 0,53) x 202
3
0,23 𝑥 𝑓𝑡28 𝑥 𝑏 𝑥 𝑑
𝐴𝑚𝑖𝑛 =
𝐹𝑒
Sections Sections
d’aciers Choix d’aciers Choix
(cm²) (cm²)
Tablier
Radier
16HA18 10HA10
I- Généralités
Le dalot est un ouvrage de franchissement placé sous la chaussée. Il est
généralement en béton armé et présente une section rectangulaire ou carrée. Le dalot
est constitué par les éléments suivants :
Les dalots ordinaires constitués de piédroits verticaux, fondés sur une semelle
ou un radier général, sur lesquels repose une dalle ou les dallettes en béton
armé ;
Les dalots cadres dans lesquels la dalle, les piédroits et le radier constituent
une structure rigide en béton armé ;
Les dalots portiques semblables aux dalots cadres mais sans radier (les
piédroits sont fondés sur des semelles.
Dispositions constructives
- Le radier ou la semelle est en béton armé dosé à 350 kg/m3 posé sur un béton
de propreté de 5 cm d'épaisseur minimale dosé 150 kg/m3.
- Les piédroits sont en béton armé (dosage 350 kg/m3) ou en maçonnerie de
moellons.
- La dalle ou le tablier est en béton armé (dosage 350 kg/m3).
- Les deux murs de tête peuvent être en béton ou en maçonnerie de 40 cm
d’épaisseur; par rapport au remblai fini, ils doivent être visibles sur une
hauteur d'au moins 40 cm.
- Les quatre murs en aile en amont et en aval sont sous forme de diffuseur en
béton ou en maçonnerie pour protéger la piste et diriger l'écoulement sous le
dalot.
- La protection amont et aval sert à la protection contre l'érosion et/ou les
affouillements. Il peut être en pierre sec ou en gabions (solution plus durable)
et il doit mesurer au minimum 2 m.
- Les balises de signalisation sont placées à l'entrée et à la sortie du dalot.
- Le remblayage du dalot et de ses accès se fait en matériaux adéquats
compactés par couches successives de 0,15m. Le remblai s'étale de 10 m de
Rédigé par ASSOGBA Sètchégbé Christel
75
ETUD
E
ETUDE HYDROLOGIQUE ET HYDRAULIQUE DES OUVRAGES
DEFRANCHISSEMENT DE LA PISTE SOVLEGNI M’BOUKEGON :
DIMENSIONNEMENT D’UN DALOT DOUBLE 250 x 250 cm²
part et d'autre de l'ouvrage en une pente douce pour permettre aux véhicules
de s'y engager avec aisance et sécurité. Les talus de ce remblai seront protégés
par du perré maçonné si l'écoulement des eaux risque de provoquer l'érosion.
Entretien du dalot
Le contrôle de l'ouvrage est organisé après chaque saison pluvieuse et après
chaque crue importante afin de détecter les anomalies ou dégradations éventuelles.
L'entretien consiste en la réparation des dégradations diverses qui peuvent se
produire sur le radier, ses protections (amont ou aval) et le remblai d'accès. Il faut
surtout enlever régulièrement tous les détritus (terres, branchages, ...) qui se
déposent à l'entrée du dalot et qui peuvent peu à peu diminuer la section
d'écoulement et rendre l'ouvrage inefficace.
I-1 Définition
La quantification d’un ouvrage dépend de sa forme et de son unité
conventionnelle de calcul. Par exemple, les éléments en béton sont quantifiés en
calculant leurs volumes. Pour l’enduit et le coffrage, ce sont les surfaces qui sont
déterminées et pour les aciers, la quantification est faite par la détermination de leurs
poids. Les unités utilisées pour les calculs sont inscrites dans le tableau suivant :
La tonne T
Les plans
Il s’agit à ce niveau de toutes les illustrations donnant d’informations sur
l’ouvrage à quantifier. On peut avoir à ce niveau les vues en plan, les coupes et
façades.
n’est pas disponible, il faudra rechercher attentivement les informations sur les
différents ouvrages élémentaires à partir d’une identification préalable de l’ouvrage
à construire.
Vérifier deux fois vos calculs (les erreurs de frappe sont fréquentes).
- Béton de propreté ;
- Radier ;
- Bêches ;
- Piédroits ;
- Tablier ;
- Murs en aile ;
- Bordurette ;
- Garde-corps métallique.
- Partie 1 et 2 - Partie 3
Grande base (Gb) = 915 cm
Longueur (L) = 740 cm
Petite base (Pb) = 560 cm
Largeur (l) = 560 cm
Hauteur du trapèze (Ht) = 290 cm
Epaisseur (e) = 5cm
Epaisseur du béton de propreté (e) =
V3 =𝑳 × 𝒍 × 𝒆
5cm
(𝑮𝒃+𝑷𝒃)×𝑯𝒕 V3 =𝟕, 𝟒𝟎 × 𝟓, 𝟔𝟎 × 𝟎, 𝟎𝟓
V1 et 2 =[ ]×𝟐×𝒆
𝟐
V3 = 2,072 m3
(𝟗,𝟏𝟓+𝟓,𝟔𝟎)×𝟐,𝟗𝟎
V1 et 2 =[ 𝟐
] × 𝟐 × 𝟎, 𝟎𝟓
VBP = V1 et 2 +V3
V1 et 2 = 2,139 m3
VBP = 2,139 + 2,072
VBP = 4,211m3
- Partie 1et 2
Grande base (Gb) = 915 cm
(𝑮𝒃+𝑷𝒃)×𝑯𝒕
V1 et 2 =[ ]×𝟐×𝒆
𝟐
(𝟗,𝟏𝟓+𝟓,𝟔𝟎)×𝟐,𝟗𝟎
V1 et 2 =[ ] × 𝟐 × 𝟎, 𝟐
𝟐
V1 et 2 = 5,90m3
- Partie 3
Longueur (L) = 740 cm
Epaisseur (e) = 20 cm
V3 =𝑳 × 𝒍 × 𝒆
V3 =𝟕, 𝟒𝟎 × 𝟓, 𝟔 × 𝟎, 𝟐
V3 = 8,288 m3
VRadier = V1 et 2 +V3
VRadier = 14,188 m3
Largeur (l) = 25 cm
Epaisseur (e) = 70 cm
VBêches = 𝟐(𝑳 × 𝒍 × 𝒆)
VBêches = 𝟐(𝟗, 𝟏𝟓 × 𝟎, 𝟐𝟓 × 𝟎, 𝟕)
VBêches = 3,202m3
Epaisseur (e) = 20 cm
VPiédroits = 𝟐(𝑳 × 𝒍 × 𝒆)
VPiédroits = 𝟐(𝟕 × 𝟐, 𝟓 × 𝟎, 𝟐)
VPiédroits = 7,000m3
Epaisseur (e) = 20 cm
VTablier = (𝑳 × 𝒍 × 𝒆)
VTablier = (𝟕, 𝟒 × 𝟓, 𝟔 × 𝟎, 𝟐)
VTablier = 8,288 m3
Largeur (l) = 50 cm
Epaisseur (e) = 20 cm
VBordurettes = 𝟐(𝑳 × 𝒍 × 𝒆)
VBordurettes = 𝟐(𝟓, 𝟗 × 𝟎, 𝟓 × 𝟎, 𝟐)
VBordurettes = 1,180 m3
Epaisseur (e) = 20 cm
(𝑮𝒃+𝑷𝒃)×𝑯𝒕
VMurs en aile= 𝟒 × [ ]×𝒆
𝟐
(𝟑,𝟐𝟓+𝟎,𝟐𝟓)×𝟑,𝟎𝟓
VMurs en aile = 𝟒 × [ ] × 𝟎, 𝟐
𝟐
Matériaux
N° Désignations Unité Quantité Ciment Sable Gravier
Dosage Quantité (t) Dosage Quantité (m3) Dosage Quantité (m3)
Béton de
1 propreté dosé m3 4,211 0,15 0,631 0,4 1,684 0,8 3,369
à 150kg/m3
Béton dosé à
2 m3 38,128 0,35 13,345 0,4 15,251 0,8 30,502
350kg/m3
85
ETUD
ETUDE HYDROLOGIQUE ET HYDRAULIQUE DES OUVRAGES
DEFRANCHISSEMENT DE LA PISTE SOVLEGNI M’BOUKEGON :
DIMENSIONNEMENT D’UN DALOT DOUBLE 250 x 250 cm²
Pour le calcul du poids unitaire, une seule masse volumique à utiliser quel que soit
le diamètre du fer. Cette masse volumique a pour valeur :
= 7850 kg/m3
10
1 15 HA8 2 37 74 150 11100
65
Bordurette
290
18 15 HA10 2 40 80 310 24800
10 10
30-197,5
20 15 HA10 2 17 33 var 4083,75
10
10
21 15 HA8 2 62 124 150 18600
65
Bèche
190
25
60
0
Chevalets 23 100 HA10 120 1 120 115 13800
10 10
25
25
60450
Source : : ASSOGBA Sètchégbé Christel 190
0 25
o Calcul du poids total des aciers 60
Le Tableau 12 suivant nous montre le poids total de chaque fer et le poids total de 25
450
tous les fers qui entreront dans la réalisation de l’ouvrage. 60
190
0 25
450 25
60
1 HA8 0,394 1294,400 509,9936 450 25
190
2 HA10 0,616 5408,275 3331,4974 600
25
190
Source : ASSOGBA Sètchégbé Christe 0
60 25
o Quantité totale des matériaux gros œuvres
450
60 25
1 Ciment t 13,976
2 Sable m3
16,937
3 Gravier m3
33,871
4 Fers kg 1617,97088
Source : ASSOGBA Sètchégbé Christel
Le Tableau 3-6 ci-dessus présente donc les quantités de ciment, sable, gravier et
fers nécessaires pour la réalisation du dalot 250 x 250cm²
III-Etude estimatif
Les prix ont été établis en faisant référence à la situation économique
actuelle et aux appels des différents matériaux et composantes entrant dans la
construction des ouvrages de franchissement.
Tableau 3-7 : Devis quantitatif et estimatif de la réalisation du dalot 2x250x250
Abattage d'arbres et
1.5 déracinement circonférence > U 3 2 500 7 500
à 60 cm
Réalisation d'études
1.6 FF 1 PM 300 000
géotechniques
OUVRAGES DE
B FRANCHISSEMENT ET
D'ASSAINISSEMENT
Implantation, réalisation et
B.2a ff 1,00 190 000 190 000
entretien de déviation
1
B.2d Acier kg 700 1 132 580
617,97
Conclusion
La construction des ouvrages d’assainissement en République du Bénin participe au
développement de la nation.
Ainsi, il en ressort que l’étude hydraulique et structurale d’un ouvrage
d’assainissement est une phase capitale dans la réalisation d’un projet
d’assainissement et que ces dernières devraient être fait avec grand soins.
Références bibliographiques
WWW.google.com ;
www.4geniecivil.com ;
WWW.Wikipédia.com ;
Annexes
95
ETUD
ETUDE HYDROLOGIQUE ET HYDRAULIQUE DES OUVRAGES
DEFRANCHISSEMENT DE LA PISTE SOVLEGNI M’BOUKEGON :
DIMENSIONNEMENT D’UN DALOT DOUBLE 250 x 250 cm²
a) Ferraillage 1
97
ETUD
E
ETUDE HYDROLOGIQUE ET HYDRAULIQUE DES OUVRAGES
DEFRANCHISSEMENT DE LA PISTE SOVLEGNI M’BOUKEGON :
DIMENSIONNEMENT D’UN DALOT DOUBLE 250 x 250 cm²
b) Ferraillage 2
c) Ferraillage 3