Corps Memoire Flore

MISE EN PLACE D’UN PLAN DE MAINTENANCE SUR DES OFFSETS DUT
(GTO 46/32) UNE ET DEUX COULEURS. 2019/2020
DEDICACE
A toute MA famille
I
REMERCIEMENTS
L’aboutissement de ce mémoire de fin d’étude a nécessité la contribution des uns et
des autres à qui j’exprime ma profonde gratitude. Je suis tout à fait reconnaissante à l’endroit
du Seigneur DIEU tout puissant, pour la force et l’aptitude qu’il m’a donnée afin de réaliser
ce travail ensuite :
 Pr. MOHAMMADOU BOUBA ADJI directeur de l’I.U.T pour m’avoir permis
d’avoir ce thème ;
 La division des stages pour l’orientation et le choix du stage ;
 Pr. NTENGA Richard chef de département pour tous les efforts mis en place pour le
bon déroulement de ma formation en maintenance industriel et productique ;
 M. HOUOSSO Clément encadreur académique pour sa disponibilité et les nombreux
conseils qu’il n’a cessé de me répéter ;
 M. KAMWA Directeur Général de KAJEPI PRINT SARL pour m’avoir accordé le
stage au sein de sa structure ;
 M. NOULACME encadreur industriel Pour ses conseils et sa disponibilité ;

 Toute L’équipe KAJEPI Pour les conseils fructueux et la disponibilité qu’ils m’ont
accordé ;
 Tous mes enseignants pour m’avoir procuré toutes ces connaissances acquises et leurs
disponibilités ;
 Mes parents M. BEBOURAKA Jean-Pierre, et Mme NGA’A ALIMA Estelle Pour
toute leurs affections dont ils ne cessent de me démontrer ;
 À M. TAMO François, toute ma famille, en particulier mes frères, mes sœurs et ma
grand-mère en qui je retrouve tout le réconfort dont j’ai besoin ;
 À tous ceux qui ont contribué de près ou de loin à la rédaction de ce document.
II
PRESENTATION DE L’ENTREPRISE
I. PRESENTATION GENERALE DE KAJEPI PRINT
1. Historique
La société KAJEPI PRINT SARL est une entreprise spécialisée en imprimerie crée
depuis août 2002, installée à DOUALA/MAKEPE en face de l’usine CINPHARM au
carrefour Rhône Poulenc à côté de l’hôtel MAKEPE PALACE.
2. Objectifs de KAJEPI PRINT SARL

L’ambition des promoteurs de ce projet est de rénover le secteur de l’imprimerie de
par l’innovation technologique du parc machine et la diversité des produits finis
d’imprimeries jumelée à la qualité.
Comme toute entreprise, le souci de KAJEPI PRINT SARL est de maximiser son
profit tout en satisfaisant les besoins de sa clientèle. Elle s’est aussi engagée dans un
processus de qualité propres aux sociétés modernes en vue de leur donner satisfaction. Ainsi,
elle a pour mission principale :
 Répondre aux attentes de son personnel et de sa clientèle.
 Lutter contre la pollution en fabriquant les sacs 100% biodégradable.
3. Moyens d’action de KAJEPI PRINT SARL

Afin d’accroître sa marge bénéficiaire et atteindre ses objectifs, KAJEPI PRINT
SARL dispose des moyens financiers, matériels et humains.
 Moyens financiers : C’est l’ensemble des ressources propres ou emprunts qui

concourent au bon fonctionnement des activités d’une entreprise. KAJEPI compte sur
des ressources provenant de ces prestations commerciales pour gérer et développer le
secteur de l’imprimerie au Cameroun.
 Les moyens matériels : Ils constituent l’ensemble des ressources et capacités
d’instruments nécessaires et disponibles dans la société et permettant la réalisation des
tâches. KAJEPI PRINT SARL dispose dont d’un matériel de qualité,
 Plusieurs Machines offset (GTO 32*46 cm), d’une offset (GTO 2 couleurs
32*46 cm) ; toute de marque HEIDELBERG,
 D’une ROLAND 200 (2COULEURS),
III
 D’une continue 4 têtes,

 D’une masticot de marque POLAR 86,
 Une Tipo,
 Une pelliculeuse de marque CAUTION,
 Une débobineuse,
 D’une howeg bag,
 D’une machine de presse numérique XEROX
Qui le rend très concurrentiel sur le marché de l’offre de service.
 Les moyens humains
KAJEPI PRINT SARL compte à ses actifs environs 22 employés. Ses ressources
humaines sont constituées de machinistes, de comptables, d’informaticiens, de commerciaux,
de menuisiers et d’ouvriers.
4. Partenaires ou clients de kajepi print

C’est l’ensemble des personnes ou groupes de personnes, représentants externes de la
branche professionnelle de la direction et du personnel d’une entreprise. On a entre autres :
 SERVICE SEBIO (sachets et emballages biodégradable)
 Boulangeries : acropole ; santa Lucia, Saker …

 Caves : bon vin, du sommet, …
 Pharmacies : de l’aéroport, dép. de Dschang, de la bourse.
 Restaurants : mazaj, Socrate …
 SERVICE IMPRIMERIE
Total, brasseries du Cameroun, p.h. p (plantation du haut pendja), ecobank , écoles.
La liste n’est pas exhaustive.
5. Secteur d’activité
KAJEPI PRINT SARL offre sur le marché de l’imprimerie un large panel
d’impression de supports de communication
 Offset : flyer, magazine, livre, rebranding, dépliant, facturier, carnet, agenda,
calendrier, faire part (mariage, obsèques…), enveloppe personnalisée.
 Hollweg bag : fabrication des sacs ou emballages biodégradable avec imprime en
fonction du motif désiré par le client,
IV
 Bobinage
 Coupage du papier avec imprime.
 PAO : conception et réalisation des maquettes à imprimer ou pas et spots
publicitaires.
 Un laboratoire : transmission de l’image ou de l’information reçu sous forme de
Filme ou de Calque sur une plaque via une machine appelée INSOLEUSE.
Quelques exemples d’applications.
Figure 1 : Carnets Figure 2 : Flyers
Figure 3 : Bordereaux de versement Figure 4 : Carnets de bon de livraison
V
Figure 5 : Sac biodégradable de pharmacie Figure 6 : Sac biodégradable de super marche
II. SITUATION DE KAJEPI PRINT SARL
1. Localisation de l’entreprise
Parcours Tradex parcourt Vita

Vita
Rond-point
petit pays
Makepe saint
tropez
Rhône
Poulenc
Hôtel Makepe palace
Boulangerie
SAKER
Kajepi print
SARL
Logpom
Figure 7: localisation de l’entreprise

VI
Figure 8: Vue de dessus
2. Identification de l’entreprise
Dénomination de l’entreprise KAJEPI PRINT SARL

Forme juridique Société Anonyme a responsabilité limité
Siège Social MAKEPE face CINPHARM, Douala
(République du Cameroun)
Gérant statutaire de l’entreprise M.KAMWA
Nature de l’activité Imprimerie
Lieu d’implantation Douala, République du Cameroun
Boite postal 4724 Douala Cameroun
Téléphone (237) 233 470 672
Boite e-mail/site web Kajepi-print@hotmail.com
Numéros de contrat M080200014002D
Nombre d’employés 22
VII
3. Organisation hiérarchique
Directeur :
M. KAMWA
Responsable
Secrétariat : administrative et fi. :
Mme TACHE Mme. KAMWA
Attache
commerciale :
M.DEFO
Chef d’atelier :
M.NOULACME
Responsable Responsable
infographie : labo : M. TAMBI
M.KAMDEM
Responsable brochures :
ZUAH EMMACULATE FON
Livraison et achats :
M. SONFACK
VIII
4. sécurité
Kajepi print dispose de plusieurs équipements de sécurité a l’instar :
 Des extincteurs
 Les panneaux d’interdiction de fumer au sein de l’entreprise.
Le port des E.P.I : équipements de protection individuel
 Les vigiles de sécurité au portail qui vérifient les entrées et sorties au sein de
l’entreprise.
 Chaque machine dispose au moins 15 systèmes de sécurités automatique en
plus des boutons d’arrêt d’urgence.
Figure 9: Extincteur Figure 10: Panneaux d’interdiction de fumer
IX
TABLE DES MATIERES

Dédicace ................................................................................................................................................... I
Remerciements ....................................................................................................................................... II
PRESENTATION DE L’ENTREPRISE........................................................................................................... III
I. présentation générale de KAJEPI PRINT ......................................................................................... III
1. Historique ............................................................................................................................... III
2. Objectifs de KAJEPI PRINT SARL....................................................................................... III
3. Moyens d’action de KAJEPI PRINT SARL .......................................................................... III
4. Partenaires ou clients de kajepi print ...................................................................................... IV
5. Secteur d’activité .................................................................................................................... IV
II. Situation de Kajepi Print Sarl ......................................................................................................... VI
1. Localisation de l’entreprise .................................................................................................... VI
2. Identification de l’entreprise.................................................................................................. VII
3. Organisation hiérarchique .................................................................................................... VIII
4. sécurité.................................................................................................................................... IX
Table des matières .................................................................................................................................. X
LISTE DES FIGURES................................................................................................................................. XII
LISTE DES TABLEAUX ............................................................................................................................ XIII
RESUME ................................................................................................................................................ XIV
ABSTRAT ................................................................................................................................................ XV
Avant-propos ........................................................................................................................................ XVI
INTRODUCTION .................................................................................................................................... xvii
CHAPITRE I : REVUE DE LA LITTERATURE................................................................................................. 1
I. Généralités sur la maintenance ........................................................................................................... 1
1. Définition de la maintenance ................................................................................................... 1
2. Typologies de maintenance ..................................................................................................... 1
3. Activités connexes à la maintenance ....................................................................................... 3
4. 5 niveaux de maintenance ....................................................................................................... 5
5. Gammes de maintenance ......................................................................................................... 6
6. Plan de maintenance ................................................................................................................ 6
a. Définition ................................................................................................................................. 6
b. But du plan de maintenance ................................................................................................... 7
II. GENERALITE SUR LES OFFSETS (GTO 46/32) UNE ET DEUX COULEURS ............................................. 7
X
1. Historiques .............................................................................................................................. 7
2. Procédés d’impression ................................................................................................................... 8
CHAPITRE II : MATERIEL ET METHODES ................................................................................................ 12
I. MATERIEL .......................................................................................................................................... 12
1. Outil numérique ......................................................................................................................... 12
a. Ordinateur ............................................................................................................................. 12
2. Outils-machines ............................................................................................................................ 12
a. Offset (GTO) UNE COULEUR .................................................................................................. 12
b. Offset (GTO 32*46) DEUX COULEURS.................................................................................... 15
c. notice ..................................................................................................................................... 16
II. METHODE ......................................................................................................................................... 18

1. brainstorming .............................................................................................................................. 18
2. Analyse structurelle descendant (ASD) ........................................................................................ 18
3. Analyse fonctionnelle descendant (AFD) .................................................................................... 20
4. Diagramme Ishikawa .................................................................................................................... 21
5. Analyse des modes de défaillance de leurs effets et de leurs criticités(AMDEC) ........................ 22
6- Fiches de suivi de l’équipement ................................................................................................... 26
CHAPITRE III : RESULTATS ET DISCUSSION ............................................................................................ 27
I. RESULTATS .......................................................................................................................................... 27
1. Brainstorming .............................................................................................................................. 27
2. Analyse Structurel Descendant (ASD) de l’offset une couleur. .................................................... 28
3 . Diagramme Ishikawa ................................................................................................................... 31
4.ANALYSE DES MODES DE DEFAILLANCE DE LEUR EFFETS ET DE LEUR CRITICITE ......................... 34
II. PROPOSITION D’UN PLAN DE MAINTENANCE................................................................................... 36
1. Plan de maintenance préventive ................................................................................................... 36
2.Historique des pannes.................................................................................................................... 38
3. Fiche d’entretient.......................................................................................................................... 40
III. OUTIL D’AIDE AU CORRECTIF........................................................................................................... 41
1. Diagramme de diagnostic ............................................................................................................ 41
2. Incidents, causes et remèdes......................................................................................................... 43
CONCLUSION ET PERSPECTIVES ............................................................................................................ 48
RÉFÉRENCE BIBLIOGRAPHIQUE ............................................................................................................. 49
XI
LISTE DES FIGURES
Figure 1: Extincteur Figure 2: panneaux d’interdiction de fumer .............................. IX
Figure 3 : carnets Figure 4: flyers ..................................................... V
Figure 5: bordereaux de versement Figure 6: carnets de bon de livraison ................................. V
Figure 7:sac biodégradable de pharmacie Figure 8 : sac biodégradable de super marche .................. VI
Figure 9: localisation de l’entreprise ...................................................................................................... VI
Figure 10: vue de dessus ........................................................................................................................ VII
Figure 11: Subdivision des typologies de maintenance ........................................................................... 4
Figure 12: Schéma d’un système d’encrage pour l’impression offset par voie humide. ....................... 10
Figure 13: Ordinateur............................................................................................................................ 12
Figure 14: offset GTO 32×46 cm une couleur (mouillage moulleton) ................................................. 13
Figure 15: offset GTO 32×46 cm une couleur (mouillage AQUAPRINT) .......................................... 14
Figure 16: offset GTO 32×46 cm deux couleurs (mouillage SEMI-AQUAPRINT) ........................... 15
Figure 17: catalogue des pièces détachées. ............................................................................................ 17
Figure 18: Méthode d'analyse structurelle descendante...................................................................... 19
Figure 19: Méthode d'analyse fonctionnelle descendante .................................................................. 21
Figure 20: Structure d’un diagramme d’Ishikawa ................................................................................. 22
Figure 21: Procédure d’élaboration d’une AMDEC .............................................................................. 23
Figure 22: Ishikawa d'un problème de mouillage ................................................................................. 31
Figure 23: Ishikawa d'un problème de Bourrage papier ........................................................................ 32
Figure 24: Ishikawa d'un problème d’Ecoulement continue d’eau ........................................................ 32
Figure 25: Ishikawa d'un problème d’encrage ....................................................................................... 33
Figure 26: Ishikawa d'un problème d’arrachage .................................................................................... 33
XII
LISTE DES TABLEAUX
Tableau 1: NOMENCLATURE DES OFFSETS UNE COULEUR ..................................................... 13
Tableau 2: NOMENCLATURE DE L’OFFSET DEUX COULEURS ................................................ 16
Tableau 3: les indices de la fréquence de la défaillance ........................................................................ 24
Tableau 4: les indices de la non détection de la défaillance .................................................................. 24
Tableau 5: les indices de la gravité de la défaillance ............................................................................ 25
Tableau 6: les indices de la criticité d’une défaillance .......................................................................... 25
Tableau 7: Tableau d’AMDEC ............................................................................................................. 25
Tableau 8: plan de maintenance préventive .......................................................................................... 37
Tableau 9: Fiche d’entretien de l’offset ................................................................................................ 40
Tableau 10: Tableau des causes, effets et remèdes ............................................................................... 43
XIII
RESUME
Ce mémoire de fin d’étude traite le problème d’entretien par la : « MISE EN PLACE
D’UN PLAN DE MAINTENANCE SUR DES OFFSETS (GTO 46/32) UNE ET DEUX
COULEURS ». Il a pour objectif de cerner les différents composants des offsets une et deux
couleurs tout en cherchant ceux qui présentent les défaillances qui ont des effets critiques. Par
la suite, il consiste à identifier les organes élémentaires de ces composants qui portent
préjudices au fonctionnement normal de la machine. Les méthodes proposées ont pour but de
focaliser les efforts sur les défaillances qui causent des effets nuisibles à la production, la
qualité et la sécurité. Elle repose essentiellement sur l’analyse structurelle et fonctionnelle
descendante (ASFD), l’analyse des modes de défaillance de leur effet et de leur criticité
(AMDEC) et du diagramme cause à effet ou ISHIKAWA des machines. Ces techniques
consistent non seulement à identifier les anomalies et les dysfonctionnements du système,
mais elles remontent jusqu’à leurs causes et suggèrent des actions préventives et correctives
appropriées. L’analyses AMDEC est basée sur un raisonnement logique et simple ; en
évaluant les effets des éléments qui ont pour conséquences de nuire au bon fonctionnement de
la machine ; nous avons décidé de les gérer d’une part par un plan de maintenance préventive
et d’autre part corrective afin d’anticiper sur la défaillance et de la corriger. Le plan de
maintenance ainsi élaboré doit être exploiter pour le meilleur suivi de la machine. Nous avons
également proposé les diverses fiches d’interventions et de suivi de maintenance préventive
pour lesdites machines.
Mots clés : plan de maintenance ; offset.
XIV
ABSTRAT
This end of study project deals with the maintenance problem by the: “setting up a
maintenance plan on one- and two-color offsets”. Its objective is to identify the different
components of the one- and two-color offsets while looking for those which have critical
effects. Subsequently, it consists in identifying the elementary parts of these components
which are detrimental to the normal operation of the machine. The proposed methods aim to
focus efforts on failures that cause adverse effects on production, quality and safety. It is
essentially based on the top-down structural and functional analysis (ASFD), the analysis of
failure modes of their effects and their criticality (AMDEC) and the cause-and-effects
diagram or ISHIKAWA of machines. These techniques not only consist in identifying
anomalies and dysfunctions of the system, but they go back to their causes and suggest
appropriate preventive and corrective actions. The FMECA analysis is based on logical and
simple reasoning, by evaluating the effects of element which have the effect of interfering
with the correct functioning of the machine; we have decided to manage them on the one hand
through a preventive maintenance plan and on the other hand corrective in order to anticipate
the failure and correct it. The maintenance plan thus drawn up must be used for the best
possible monitoring of the machine. We have also proposed the various intervention and
preventive maintenance monitoring sheets for the said machines.
Keywords: maintenance plan; offset
XV
AVANT-PROPOS
Dans le but d’assurer son développement et de fournir à son industrie des agents
compétents dans divers domaines, l’État Camerounais a créé de nombreuses structures et
formations, au rang desquelles figure l’Institut Universitaire de Technologie (IUT).
L’IUT forme dans divers cycles, notamment :
1. Cycle DUT qui forme dans les domaines et filières suivants :
 Maintenance Industrielle (MIN),
 Génie Mécanique et Productique (GMP),
 Génie Électrique (GEL),
 Génie Thermique et Énergétique (GTE),
 Génie de l’Environnement (GEN),
 Analyse Biochimique et Biologique (ABB),
 Industrie Alimentaire et Biotechnologie (IAB),
 Génie Informatique (GIN).
2. Cycle LICENCE qui forme dans les domaines et filières suivants :

 Maintenance Industrielle (MIN),
 Génie Mécanique et Productique (GMP),
 Génie Électrique (GEL),
 Génie Thermique et Énergétique (GTE),
 Génie de l’Environnement (GEN),
 Analyse Biochimique et Biologique (ABB),
 Industrie Alimentaire et Biotechnologie (IAA),
 Génie Informatique (GIN) où l’on a entre autres :
 Génie Logicielle Génie Réseau.
XVI
INTRODUCTION
Le procédé offset est actuellement le procédé majeur d’impression professionnelle.
Son succès est dû à sa souplesse et sa capacité à s’adapter à une large variété de produits.
Déplus, il fournit des produits de qualité a un coût relativement faible ; C’est pourquoi il
demande aux machinistes sur le terrain une bonne qualification, une maîtrise du type de
machine mais surtout une connaissance des techniques moderne d’impression. Conçus autour
d'une technologie de pointe, les imprimantes industrielles demandent un examen minutieux,
bref une maintenance de haute qualité. Mal maintenu, ils peuvent être la cause d’une perte
économique tant du gérant de la société que du technicien assurant la maintenance de ces
équipements ; Le fonctionnement optimal des offsets GTO une et deux couleurs est
avantageux pour les deux parties, il suppose pour le technicien une bonne maîtrise de cet
équipement mais également une mise en place d’un plan de maintenance fiable afin d’assurer
dans une large mesure sa disponibilité, mais aussi de réduire les coûts liés aux différentes
défaillances. Pour chaque structure d’imprimeries, il est souhaitable de mettre son équipement
à la disposition de toute opération de maintenance.
C’est dans ces objectifs qu’il nous a été proposé le thème suivant : « MISE EN
PLACE D’UN PLAN DE MAINTENANCE SUR DES OFFSETS (GTO 46/32) UNE ET
DEUX COULEURS ».
Pour mener à bien notre travail, nous respecterons le plan de travail suivant : une revue de la
littérature dans laquelle nous présenterons les généralités sur la maintenance, sur les offsets
ainsi que les outils appliqués dans ce domaine. Par la suite nous présenterons le matériel de
notre étude et les méthodes utilisées pour mener cette étude. Puis nous présenterons les
résultats des différentes méthodes utilisées et les discussions de ces résultats afin de dresser le
plan de maintenance approprié. Enfin nous présenterons la conclusion tirée de tous les travaux
effectués ainsi que les différentes suggestions apportées à cet effet.
xvii
CHAPITRE I : REVUE DE LA LITTERATURE

I. GENERALITES SUR LA MAINTENANCE
1. Définition de la maintenance
L’AFNOR, par la norme NF X60-010, définit la maintenance comme : « l’ensemble
des activités destinées à maintenir ou à rétablir un bien dans un état ou dans des conditions
données de sûreté de fonctionnement, pour accomplir une fonction requise ». Ces activités
sont une combinaison d'activités techniques, administratives et de management.
2. Typologies de maintenance
La norme définit 2 catégories de maintenance, la maintenance préventive et la
maintenance corrective. Chaque catégorie est elle-même subdivisée en différents types de
maintenance dont la définition est reproduite ci-dessous :
 La maintenance préventive : c’est celle appliquée dans le but de réduire la

probabilité de défaillance d’un bien ou d’un équipement. Elle a pour objectif:
- D’améliorer la disponibilité des équipements en augmentant leur fiabilité et en
diminuant le nombre de défaillances en service ;
- D’augmenter la durée de vie des équipements en diminuant le nombre de
défaillances secondaires ;
- De diminuer le coût global des équipements en réduisant le coût des défaillances ;
- Assurer la sécurié ;
- D’améliorer les relations avec la fonction en connaissant les dates d’intervention
de la maintenance ;
- De réduire et réguler la charge de travail en répartissant les tâches de maintenance
préventive.
De cette maintenance, découlent trois autres maintenances à savoir :
 La maintenance préventive systématique : elle est effectuée selon un échéancier

établit selon le temps ou le nombre d’unité d’usage, sans contrôle préalable de
l’état du bien ;
 La maintenance préventive conditionnelle : d’après AFNOR c’est une
maintenance subordonnée à un type d’événement prédéterminé (auto
diagnostique, infirmations d’un capteur, mesure…). On peut ainsi dire qu’elle est
1
basée sur la surveillance du fonctionnement de l’équipement. Cette surveillance

peut être faite selon un calendrier, à la demande, ou de façon continue.
La maintenance préventive conditionnelle se fait par mesure pertinentes sur le matériel
en fonctionnement ; les paramètres mesurés sont :
 Le niveau et la qualité de l’huile
 les temperatures et les pressions
 Les variations et les jeux mécaniques
 Les tensions et les intensités des équipements électriques
 La maintenance préventive prévisionnelle : d’après la norme EN 13306 (avril
2001), c’est une maintenance conditionnelle exécutée suivant les prévisions
extrapolées de l’analyse et de l’évaluation des paramètres significatifs du bien ;
Comme nous l’avons dit précédemment, quel que soit le niveau du préventif, il existera
toujours des défaillances d’où une forme de maintenance appelée maintenance corrective.
 La maintenance corrective : d’après la norme AFNOR X-60-010, c’est l’ensemble des

opérations de maintenance effectuées après défaillance. Elle correspond à une attitude de
défense dans l’attente d’une défaillance fortuite.
Elle est subdivisée en deux parties dont :
 Maintenance corrective palliative : activités de la maintenance corrective destinées à

permettre à un bien d’accomplir provisoirement et /ou en partie une fonction requise.
Elle est encore appelée dépannage ;
 Maintenance corrective curative : activités de la maintenance corrective ayant pour
objectif de rétablir un bien dans état spécifié ou lui permettre d’accomplir une fonction
requise. Elle est encore appelée réparation.
La maintenance corrective a pour objectif de redonner au matériel les qualités perdues

nécessaires à son utilisation. Conformément à la norme AFNOR, la maintenance corrective
peut être :
 Différée : c'est-à-dire qu’elle n’est pas exécutée immédiatement après la détection

d’une panne mais est retardée en accord avec les règles de maintenance données.
 D’urgence : c'est-à-dire qu’elle est exécutée sans délais après détection d’une panne
afin d’éviter les conséquences inacceptables.
2
Selon l’état d’urgence et le degré d’importance de la panne, la maintenance corrective

peut conduire à :
 Un dépannage : c’est une action physique exécutée pour permettre à un bien en panne
d’accomplir sa fonction requise pendant une durée limitée jusqu’à ce que la réparation
soit faite ;
 Une réparation : c’est une action physique exécutée pour rétablir la fonction d’un
bien en panne. La réparation correspond donc à une action définitive ; l’équipement
réparé doit assurer les performances pour lesquelles il a été conçu. L’application de
réparation peut être décidée soit immédiatement à la suite d’un incident ou d’une
défaillance, soit après un dépannage, soit après une visite de maintenance préventive
conditionnelle ou systématique.
3. Activités connexes à la maintenance

Ces activités complètent les actions de maintenance citées précédemment et
particulièrement pour une part non négligeable à l’optimisation des coûts d’exploitation. Il
s’agit de :
 La maintenance d’amélioration : elle consiste à procéder à des modifications, des

changements, des transformations sur le matériel. Cependant, pour maintenance
d’amélioration, une étude économique sérieuse s’impose pour s’assurer de la
rentabilité du projet ;
 La rénovation : inspection complète de tous les organes, reprise dimensionnelle
complète ou remplacement des pièces déformées, vérification des caractéristiques et
éventuellement réparation des pièces et sous-ensembles défaillants, conservation des
pièces bonnes. La rénovation apparait donc comme une suite de la révision générale. ;
 La modernisation : remplacement des équipements, accessoires et éventuellement de
logiciel apportant, grâce à des perfectionnements techniques n’existant pas sur le bien
d’origine, une amélioration de l’aptitude à l’emploi du bien ;
 La reconstruction : remise en état défini par le cahier de charges initial, qui impose le
remplacement des pièces vitales par des pièces d’origines ou des pièces neuves
équivalentes ;
3
 La cannibalisation : située entre la rénovation et la reconstruction, elle consiste à

récupérer, sur un matériel rebuté, des éléments en bon état, de durée de vie possible, et
à les utiliser en rechanges ou en élément de rénovation.
Remarque : toute opération de maintenance n’est pas illimitée dans le temps ; il existe pour
chacune d’elle un temps nécessaire à son exécution.
Figure 11: Subdivision des typologies de maintenance
Cette figure résume les deux grandes familles : la maintenance préventive subdivisée en trois
(03) et la maintenance corrective subdivisée en deux (02).
4
Quelques definitions
 Défaillance : altération ou cessation d’un bien à accomplir la fonction requise.
 Défaillance partielle : altération de l’aptitude d’un bien à accomplir la fonction
requise.
 Défaillance complète : cessation de l’aptitude d’un bien à accomplir la fonction
requise.
 AFNOR : Association Française de NORmalisation, organisation qui représente la
France auprès de l’iso (organisation internationale de normalisation)
4. 5 niveaux de maintenance
A chaque niveau de maintenance, il y’a une part d’interventions curatives et une part
d’actions préventives.
En maintenance autonome :
L’inspection visuelle est une forme de maintenance préventive. Elle est réalisée de
façon systématique selon un calendrier quotidien, hebdomadaire ou mensuel et
permet de détecter des anomalies en référence à des standards. L’objectif est de
supprimer ces anomalies avant qu’elles ne s’aggravent et provoquent des pannes
(jeux, desserrages, fils électriques dénudés, flexibles pneumatiques plies ou
fendus…) ;
La lubrification et le graissage sont également réalisés de façon systématique selon
un calendrier, un temps de marche ou un nombre d’unités produites. C’est la base
de la maintenance préventive systématique ;
Le contrôle périodique qui consiste à vérifier des valeurs de réglage (températures,
pressions, niveaux, cotes, calages...) en référence à des standards, doit faire l’objet
de relevés et d'enregistrements qui entrent dans le cadre d’une maintenance
préventive conditionnelle.
1er niveau
Réglages simples prévus par le constructeur, au moyen d'organes accessibles, sans
aucun démontage ou ouverture de l'équipement ou échange d'éléments en toute sécurité
(voyants, fusibles).
2ème niveau
Dépannage par échange standard et opérations mineures de maintenance préventive
(exemple : graissage, contrôle de bon fonctionnement).
5
3ème niveau
Réparations mineures, opérations courantes de maintenance préventive (réglage,
réalignement, appareils de mesure). Identification et diagnostic des pannes. Réparation par
échange, réparation mineure.
4ème niveau
Travaux importants de maintenance corrective et préventive, à l'exception de la
rénovation et de la reconstruction.
5ème niveau
Réparation, reconstruction ou exécution de réparations importantes.
5. Gammes de maintenance
A chaque type d'équipement correspond des interventions spécifiques de maintenance
préventive. La nature de ces interventions se caractérise par plusieurs éléments énumérés ci-
dessous et qui sont nommées gammes de maintenance :
- Le type de maintenance : systématique S ou conditionnelle C
- Le type d'intervention : inspection I, contrôle C, visite V, opération O, nettoyage N
- Le niveau de maintenance (1 à 3) qui fixe le niveau de compétences requis,
- Le fonctionnement pendant l'exécution de l'intervention : normal N, dégradé D, arrêt
A et en cas de maintenance systématique
- La fréquence de l'intervention.
Les gammes de maintenance permettent de quantifier et d'organiser le travail de
maintenance.
6. Plan de maintenance
a. Définition
C’est un ensemble structuré de taches qui comprennent les activités, les procédures, les
ressources et la durée nécessaire pour exécuter la maintenance.
Pour élaborer un plan de maintenance :
On élabore un dossier de maintenance regroupant notamment l’ensemble des informations,
des plans d’actions, et des interventions effectuées.
6
b. But du plan de maintenance

 Améliorer la fiabilité du matériel ;
 Garantir la qualité des produits ;
 Améliorer l’ordonnancement des travaux ;
 Assurer la sécurité humaine ;
 Améliorer la gestion des stocks ;
 Améliorer le climat de relation humaine ;
 Sécurité, fiabilité, production ;
 Suivi accru des équipements au moyen d’actions précises.
II. GENERALITE SUR LES OFFSETS (GTO 46/32) UNE ET DEUX

COULEURS
1. Historiques
Ce sont les chinois qui sont à l’origine de l’invention de l’imprimerie, dans le but de
simplifier l’utilisation de leur écriture idéographique.
Découverte et perfectionnée en Europe au XVe siècle sous l’impulsion de l’allemand
GUTENBERG, l’imprimerie va contribuer largement à la diffusion de la pensée et des idées
pendant la renaissance.
Les débuts de l’imprimerie au IIe siècle après Jésus christ, les chinois ont largement
répandu l’art d’imprimer des textes. L’impression de dessins et d’images sur des tissus
précéda l’impression de mots d’au moins un siècle. L’invention du papier en 105 et
l’expansion de la religion bouddhiste favorisèrent le développement de l’imprimerie en chine.
Les matériaux d’écriture traditionnels dans le monde occidental, le papyrus et le vélin, ne
convenaient pas pour l’impression.
 1970 : premières plaques offset à base de silicone développées par la société 3M ;
 1977 : présentation de la plaque waterless <<Toray waterless>> par Toray industries
qui a rachète le brevet de 3M ;
 Développement du procédé, développement d’encres spécifiques, création de plaques
computer-to-plate (CTP).
7
L’offset (de l’anglais to set off, reporter) est un procédé d’impression qui est en fait
une amélioration de son ancêtre, la lithographie, par le remplacement de la pierre
lithographique par une plaque cintrable, adaptée à un cylindre, et l’ajout d’un blanchet autour
d’un cylindre porte-blanchet (ou cylindre offset), entre le cylindre porte-plaque et le papier.
En d’autres termes, l’offset est un procédé d’impression par lequel l’image encrée du support
imprimant (une plaque de métal gravée) n’est pas reportée directement sur le papier, mais
d’abord sur un cylindre recouvert d’une feuille de caoutchouc (dite <<blanchet>>), à partir
duquel l’encre est transférée sur le papier.
L’offset permet de couvrir une gamme de tirages relativement large. En effet, le
procédée est préférable à d’autres procédés jusqu’à quelques centaines de milliers
d’exemplaires. Au-delà, on lui préfèrera l’héliogravure.
L’impression est possible sur divers supports (papiers, cartons, polymère…).
Au Cameroun, l’impression offset se fait le plus sur papier dont :
 Papier couche brillant une face, deux faces, mat, satinée de grammage allant de 100 à 350
pour imprimer de carte de visite ou fairepart.
 Le tartine (55g, 60g)
 Le bristol (180g, 250g) utilisé généralement pour les chemises
 Le kraft pour réaliser un emballage
 L’autocopiant (60g)
 L’autocollant
 CF (qui reçoit uniquement)
 CB (qui transmet mais ne reçoit pas)
 CFB (qui reçoit et transmet)
 Le qualet (90g)
 Offset tète de lettre pour la communication d’entreprise par courrier
Le choix du type de papier et son grammage sont fonction du client et de ses exigences
2. Procédés d’impression
Il est basé sur la répulsion d’un corps liquide l’eau, a un corps gras l’encre. Un mince
filet d’encre est déposé sur la plaque imprimante qui la reporte sur un rouleau en caoutchouc
le << blanchet>>, puis du blanchet sur papier.
L’encre issue de l’encrier est éclatée au moyen de la batterie d’encrage. Des rouleaux
distributeurs effectuent un va-et-vient et permettent d’étirer le film d’encre. Les rouleaux
8
<<toucheurs>> en contact avec la forme imprimante déposent l’encre grasse sur les zones
adéquates de la plaque offset. Des vis de réglage de l’encrier réglables manuellement, ou des
segments d’encrier commandes à distance automatiquement, permettent d’écarter plus ou
moins la lame de l’encrier du ducteur, ce qui permet de doser zone par zone le débit d’encre
dans toute la batterie d’encrage, on peut accélérer la vitesse du ducteur. Le nombre important
de rouleaux permet un étalement homogène du film d’encre.
L’encre est par la suite déposée sur la plaque offset ou elle ne persistera que sur les
zones imprimantes (les zones non-imprimante sont protégées par de l’eau dans le cas de
l’offset par voie sèche).
L’encre est alors transmise par pression au blanchet, un matériau caoutchouteux qui
améliore la qualité du transfert du film d’encre de la plaque sur le papier. Le passage par un
blanchet évite l’usure prématurée de la plaque offset et fait intervenir un élément
compressible, le blanchet, qui permet d’améliorer le transfert de l’encre et de corriger les
éventuels défauts de surface du support d’impression.
En offset, la forme imprimante est quasi plane (les différences de relief sont de l’ordre
du micromètre), contrairement aux autres procédés (en creux pour l’héliogravure et en relief
pour la flexographie). La distinction entre les zones imprimantes et les zones non-imprimante
ne se fait que par la différence des propriétés physico-chimiques des zones en question.
9
Figure 12: Schéma d’un système d’encrage pour l’impression offset par voie humide.
L’offset par voie humide est fondé sur l’antagonisme entre l’eau et la graisse qui sont
non miscibles. La plaque offset possède une base, souvent en aluminium servant de support à
deux couches superposées : une couche photosensible lipophile, généralement en cuivre ou
en polymère.
Pour créer la forme imprimante, la plaque offset est gravée ou insolée au laser par le
procédé computer-to-plate qui retire une partie de la couche photosensible afin de former la
zone imprimante avec la couche photosensible lipophile restante et la zone imprimante avec la
couche photosensible lipophile restante et la zone non-imprimante avec la couche hydrophile
en dessous.
La plaque offset est ensuite calée sur le cylindre porte-plaque de la presse offset, dans
laquelle elle va être successivement humidifiée par une solution de mouillage, puis encrée
avec de l’encre grasse : la couche hydrophile (donc lipophobe) accepte l’eau et repousse
l’encre grasse tandis que la couche lipophile (donc hydrophobe) accepte l’encre grasse et
repousse l’eau.
10
Le transfert de l’encre sur le papier s’effectue alors par un double report : de la plaque
sur le blanchet en caoutchouc d’abord, puis du blanchet sur le papier ensuite. Les parties en
sel ne sont lipophobes que si elles sont humides sinon l’encre adhèrera également sur celles-
ci. C’est donc pour cela que la plaque est alimentée par le toucheur mouilleur avant le
toucheur encreur
Les presses peuvent être constituées d’un ou plusieurs groupes d’impression (quatre
dans le cas d’une presse quadriphonique), un groupe d’impression étant un ensemble
imprimant complet. Il existe donc des presses a six groupes d’impression (pour
l’hexachromie) ou plus permettant l’ajout d’un ton direct pantone ou d’un vernis. Les presses
peuvent également être recto-verso (retirage ou direct) allant ainsi jusqu’à quatorze couleurs,
pour des impressions par exemple de quadrichromie plus deux pantone et un vernis de tout en
recto-verso.
PROCEDE PAR VOIE SECHE (WATERLESS)

L’OFFSET par voie sèche (waterless) est un procédé similaire mais sans eau. Les zones
imprimantes sont toujours en cuivre ou en polymère (lipophile), alors que les zones non-
imprimante sont recouvertes de silicone (lipophobe).
La notion de format des GTO est fonction de la taille de la plaque ; nous avons les GTO
46 /32 et 52/45.
11
CHAPITRE II : MATERIEL ET METHODES

I. MATERIEL
Le matériel qui nous a permis de mener à bien nos études est constitué de :
1. Outil numérique
a. Ordinateur
C’est une machine électronique de traitement de l’information, capable de classer,
calculer et mémoriser ; exécutant à grande vitesse les instructions d’un programme. La
modélisation a été effectuée avec un ordinateur portable donc la fiche technique est la
suivante :
Caractéristiques
Marque : ASUS
Type du processeur Processeurs Intel
Caractéristiques du processeur Intel coré i5,
avec 500giga de mémoires
Systèmes d’exploitation Windows 3Go de
RAM.
Figure 13: Ordinateur
2. Outils-machines
a. Offset (GTO) UNE COULEUR

Cartouche d’identification de la machine
 Mouillage MOULETON
Marque Type N° de série Nom et prénom du

machiniste
(conducteur)
HEIDELBERG GTO 665075 KWADJIP JEAN-

NOEL
6
12
4 8
5 9
Figure 14: Offset GTO 32×46 cm une couleur (mouillage molleton)
Tableau 1: NOMENCLATURE DES OFFSETS UNE COULEUR
NUMEROS DESIGNATION
1 Réservoir d’encre
2 Sécurité
3 Blanchet
4 Transport de papier
5 Réception
6 Rouleau (molleton)
7 Table
8 Pompe d’air
13
 Mouillage AQUAPRINT

machiniste
(conducteur)
HEIDELBERG GTO 3110194 DEUTCHEU

GEORGE
Figure 15: Offset GTO 32×46 cm une couleur (mouillage AQUAPRINT)
14
b. Offset (GTO 32*46) DEUX COULEURS

Cartouche d’identification de la machine
 Mouillage SEMI-AQUAPRINT

machiniste
(conducteur)
HEIDELBERG GTOZP 668996 NJOYA

ABBOUBAKAR
KARNSANGOU
1 7
8
2
9
10
00
3 00
11
4
12
5
Figure 16: Offset GTO 32×46 cm deux couleurs (mouillage SEMI-AQUAPRINT).
15
Tableau 2: NOMENCLATURE DE L’OFFSET DEUX COULEURS
NUMEROS DESIGNATION
1 Réglage d’encrier
2 Capot de sécurité
3 Blanchie
4 Tôle de cylindre
5 Pinces amenée
6 1er groupe
7 2eme groupe
8 Boite de mouillage
9 Système de mouillage
10 Registre (équilibre l’image)
11 Boite d’air
12 Seau de lavage
c. notice
Ou mode d’emploi est un support explicatif du maniement ou du fonctionnement d’un objet
ou d’un service. En général, il est fourni gracieusement avec le bien ou le service auquel il se
rapporte.
Ici, il est question d’un catalogue des pièces détachées ou encore ensemble des pièces propres
a un équipement ou alors destinée à remplacer une pièce défectueuse ou dégradée d’un bien
en exploitation.
16
Figure 17: Catalogue des pièces détachées.
17
II. METHODE
Pour mener à bien notre travail, nous avons utilisé plusieurs méthodes dont les
principes et les modes opératoires de mise en œuvre des différents outils à utiliser seront
décrite dans cette partie.
1. brainstorming
Ou REMUE-MENINGES, c’est une technique formalisée de résolution créative et
collective de problème. Elle fut élaborée à partir de 1940 par ALEX OSBORN.
L’idée générale de la méthode est la récolte d’idées nombreuses et originales. Elle vise à
séparer la fonction imaginative de la formulation de jugements.
Deux principes de base définissent le brainstorming : la suspension du jugement et la
recherche la plus étendue possible.
Elles se traduisent par 4 règles :
 Se laisser aller pour obtenir le plus grand nombre d’idées possibles ;
 Toute idées, aussi farfelue soit-elle, est la bienvenue ;
 S’abstenir de toute critique des idées émise ;
 Rebondir sur les idées exprimées : toute combinaison ou amélioration est la
bienvenue.
Ici, elle nous permet de faire le point sur l’existant afin d’en dégager les points faibles ou non
conformes (suivant les référentiels).
Elle est constituée de :
 La Date d’établissement ;
 Le lieu ;
 Les responsables ;
 Taux d’engagement (heures d’utilisation par jours) ;
 Rendement ;
 L’état à maintenir +historiques des pannes et taux de défaillance constaté ;
 L’assurance ou garantie ;
 Compétences et disponibilité du personnel.
2. Analyse structurelle descendant (ASD)

L’analyse structurelle descendante est un outil d’analyse en maintenance. Elle
permet au technicien de connaître en général l’appareil sur lequel il assurera la maintenance.
18
Cette connaissance passe donc par une décomposition de l’équipement à maintenir afin de
connaître les éléments maintenables. Cette décomposition se fait en : Ensemble, sous-
ensemble, organes et éléments maintenables On obtient à la fin de cette analyse un
organigramme qui permet d’avoir une idée claire sur la structure du système. Pour établir
cette analyse, on commence par inscrire le système à étudier comme étant le plus haut niveau
de l’organigramme. La question « comment est constitué ce bloc ? »
Aide à éclater le système. La même logique est répétée jusqu’à obtention de la précision
désirée.
Équipement
Système 1 Système 2 Système 3 Système m
Sous Sous Sous Sous

Système 1 Système 2 Système 3 Système n
Organe 1 Organe 2 Organe 3 Organe p
Elément 1 Elément 1 Elément 1 Elément 1
M = nombre de système ; n = de sous-système ; p = nombre d’organe ; q = nombre d’élément
Figure 18: Méthode d'analyse structurelle descendante
19
3. Analyse fonctionnelle descendant (AFD)

Elle permet d’établir les relations entre les différentes composantes de l’équipement.
Pour cette analyse plusieurs méthodes existent parmi lesquelles la méthode du
diagramme à boîte que nous utiliserons.
Celle-ci se décompose en trois niveaux :
 Le niveau I permet de ressortir la fonction principale de l’équipement étudié ou
analysé ;
 Le niveau II permet de ressortir les fonctions secondaires de l’équipement ;
 Le niveau III présente une vue développée des fonctions secondaires.
Le diagramme ci-dessous présente l’analyse fonctionnelle du groupe :
Fonction principale
NIVEAU I Elements Equipement
Elements Sous ensembles de Fonctions

NIVEAU II l’équipement sécondaires
Elements
NIVEAU III Sous-sous ensembles de Fonctions
1, 2, 3, n
l’équipement sécondaires 1,2, n
20
Ou encore par ce chemin :
Figure 19: Méthode d'analyse fonctionnelle descendante
4. Diagramme Ishikawa
Ce diagramme est utilisé dans notre travail comme outil d’aide au correctif par rapport à
un mode de défaillance bien spécifié et permet de recenser l’ensemble des causes possibles.
Pour une bonne utilisation de cet outil de diagnostic on se base sur :
 Les effets qui s’expriment par rapport à une caractéristique de qualité à améliorer et à
contrôler ;
 Les causes dont chacune peut entrainer une dispersion sur la qualité de la
caractéristique. ;
Cet outil se présente sous la forme d’arêtes de poisson classant les catégories de
causes inventoriées par famille (famille1, famille2, famille3…). Il s’exécute en trois étapes
consistant à :
Lister les dysfonctionements;
Recherché les causes possible;
Regrouper les causes par famille.
Dans le cadre de notre étude, nous allons nous atteler autour du concept des 5M :
21
 Matière : les matières et matériaux utilisés en entrant en jeu, et plus généralement les
entrées du processus ;
 Matériel : l’équipement, les machines, le matériel informatique, les logiciels et les
technologies ;
 Méthode : le mode opératoire, la logique du processus et la recherche et
développement ;
 Main d’oeuvre: les interventions humaines;
 Milieu : l’environnement, le positionnement, le contexte .
Chaque branche reçoit d’autres catégories hiérarchisées selon leur niveau de détail.
Matière Main d’œuvre
Effets ou
problème
Matériel Méthode Milieu
Figure 20: Structure d’un diagramme d’Ishikawa
5. Analyse des modes de défaillance de leurs effets et de leurs criticités(AMDEC)

L’AMDEC est une méthode d’analyse de la fiabilité qui recense les défaillances dont
les conséquences affectent le fonctionnement du système ; Il en existe cinq types :
 l'AMDEC fonctionnelle, permet, à partir de l'analyse fonctionnelle (conception), de

déterminer les modes de défaillances ou causes amenant à un événement redouté ;
 L’AMDEC produit, permet de vérifier la fiabilité d'un produit développé par rapport
aux exigences du client ou de l’application ;
 L’AMDEC process, permet d'identifier les risques potentiels liés à un procédé de
fabrication conduisant à des produits non conformes ou des pertes de cadence ;
22
 L’AMDEC moyen de production, permet d'anticiper les risques liés au non

fonctionnement ou au fonctionnement anormal d'un Equipment, d'une machine ;
 L’AMDEC flux, permet d'anticiper les risques liés aux ruptures de flux matière ou
d'informations, les délais de réaction ou de correction, les coûts inhérents au retour à la
normale.
L’idée fondatrice de l’AMDEC est que la fonction globale d’un système est résultante
de toutes les fonctions composantes assurées par les différents composants. Si l’une de ces
fonctions composantes vient à être modifiée (absence, arrêt, dégradation,), la fonction globale
est automatiquement altérée.
L’AMDEC ne révèle pas seulement les dérives probables. Elles permettent en plus de
les quantifier par un indice de criticité. Cet indice crée ainsi une logique et une hiérarchie dans
le traitement des priorités.
Son élaboration se résume aux étapes présentées dans la figure suivante :
Figure 21: Procédure d’élaboration d’une AMDEC
23
Paramètres de la criticité
La criticité définit la gravité des conséquences d’une défaillance par la prise en

compte :
 De la fréquence d’apparition des défaillances caractérisée par un taux de défaillance,
 De la probabilité de non-détection des causes de défaillance,
 De la gravité des effets de la défaillance, par rapport à la sécurité des personnes et des
biens, ou par rapport à l’importance des coûts de défaillance.
C=F×D×G
F : fréquence ; D : non détection ; G : gravité ; C : criticité
Tableau 3: les indices de la fréquence de la défaillance
Fréquence F
Niveau 1 Une défaillance maxi par an
Niveau2 Une défaillance maxi par trimestre
Niveau 3 Une défaillance maxi par mois
Niveau 4 Une défaillance maxi par semaine
Tableau 4: les indices de la non détection de la défaillance
Non détection D
Niveau 1 Visible par l’opérateur
Niveau 2 Détection aisée par un agent de maintenance
Niveau 3 Détection difficile
Niveau 4 Indécelable
24
Tableau 5: les indices de la gravité de la défaillance
Gravité (indisponibilité) G
Niveau 1 Pas d’arrêt de la production
Niveau 2 Arrêt ≤ 1heures
Niveau 3 1 heure ≤ arrêt ≤ 1 jour
Niveau 4 Arrêt ≤ 1 jour
Tableau 6: les indices de la criticité d’une défaillance
Intervalles de criticité Maintenance applicable
CRITICITE ≤ 16 Maintenance corrective
16 ≤ CRITICITE ≤ 32 Maintenance préventive à fréquence faible
32 ≤ CRITICITE ≤ 48 Maintenance préventive à fréquence élevée
48 ≤ CRITICITE ≤ 64 Travaux de reconstruction et de rénovation
Tableau 7: Tableau d’AMDEC
Date de AMDEC (Analyse Des Modes De Défaillance De Leurs Phase de Page :

l’analyse Effets Et De Leurs Criticités) fonctionne
ment
Système : Nom :
Sous système :
Elément Fonction Mode de Cause de Effet de la Détection Criticité Action

défaillance défaillance défaillance corrective
G F D C
25
6- Fiches de suivi de l’équipement

Ce sont les documents constituants le dossier historique d’un équipement. Elles
permettent de renseigner le service de maintenance sur :
 Les défaillances du système et leurs origines,

 Le choix des indicateurs de maintenance préventive,
 Le coût des interventions,
 Les données nécessaires pour la définition de la politique de maintenance,
 Les opérations et le planning des interventions de maintenance préventive.
Le dossier historique peut être constitué par les documents suivants :
 Planning des visites préventives,

 Compte-rendu des visites préventives,
 Rapport des interventions de maintenance corrective,
 Fiches de sorties de pièces de rechange,
 Fiches de modification des matériels,
 Rapports officiels d’expertises et de visites légales et obligatoires,
 Fiches d’inspection des matériels.
Suivant l’importance des matériels à entretenir et le niveau d’organisation du service
maintenance, le volume du dossier historique peut être plus ou moins important. La recherche
d’une meilleure efficacité, dans son établissement et son exploitation passe par un traitement
informatique de ses documents.
26
CHAPITRE III : RESULTATS ET DISCUSSION

I. RESULTATS
1. Brainstorming
Offset une couleur Offset une couleur Offset deux couleurs
(moulleton) (Aquaprint) (Semi-moulleton)
Date 3ans 9mois 8ans 2ans 9mois
d’établissement
Lieu Imprimerie (kajepi) Imprimerie (kajepi) Imprimerie (kajepi)
Heure/j 7h/j 7h/j 7h/j
Rendement Bon avec une marge Bon avec une marge Bon avec une marge
d’erreur de +ou- 10% d’erreur de +ou- 10% d’erreur de +ou- 10%
 Perte d’un  Le <<  Surimpression
rouleau au bourrage >>  Décalage
niveau du bloc papier d’impression
numéroteur.  Défaut  Problème de
 Défaut de d’impression repère
balourd au du a la d’impression
niveau de fragilité des  Mauvais
Historique l’arbre de la plaques et du équilibrage
Des pannes. poudreuse. papier. entre l’encre
 L’usure des  L’usure et l’eau
roulements. rapide des  La continuité
 Le bourrage blanchets. d’écoulement
papier  L’usure des de l’eau.
 Problème poulies de  L’usure des
d’encrage variateur. poulies de
 Problème de  L’usure du variateur.
mouillage ressort de la  L’usure du
poulie ressort de la
variateur. poulie
 Problème de variateur.
mouillage  Problème de
27
 Problème synchronisatio
d’encrage n avec les
 Rectificateur deux groupes
qui bloque
Taux de Continue et Continue et Continue et
défaillance trimestriel trimestriel trimestriel
Assurance Semi-automatique Semi-automatique Semi-automatique
Garantie / / /
Compétence Formation sur les Formation sur les Formation sur les
offsets (3ans) : offsets (3ans) : offsets (3ans) :
conducteur de conducteur de conducteur de
machine machine machine
Disponibilité Constant Constant Constant
2. Analyse Structurel Descendant (ASD) de l’offset une couleur.
28
Disjoncteurs
Démarrer
Armoire électrique Arrêt
Relais de protection
Enroulements stator principale

Stator principal Encoches
Enroulements du rotor
Rotor principal Aimant permanent
Moteur
Enrouement stator d’excitation
Stator d’excitation
Encoches
Rouleaux d’encrage et de Toucheurs d’encrage
Encrage et
mouillage
mouillage Encrier Ducteur d’encrage
Offset une Les rouleaux baladeurs et preneur
Palier de rouleaux C.E et C.S
couleur Plaque de support Balancier à pinces
Traverse Roulements à bille et aiguille
Pinces oscillantes
Barres de calage
Ressort de pression Les ressorts de pression
Cylindre porte plaque Flasque
Ventilateur de refroidissement
Pinces
oscillante Le chevalier de palier
Cylindre porte blanchet Griffe Levier de broyage
s et Système d’engrenage
Plaquette
cylindre Levier a galet
Cylindre d’impression
Barres sections carrée
Cheville de butée
Margeur Margeur C.E Roue lisse à chaine
Margeur C.S
Palier de support
Taquets Pièces intérieures Tourillon
frontaux Distributeur d’huile
Flasque
 Analyse Structurel et Fonctionnelle Descendant (AFSD) de l’offset une et

deux couleurs.
Démarreur : fermer le circuit
en appelant une intensité
Disjoncteur : sert Relais de protection : sert à protéger le circuit

à fournir l’énergie
électrique au
Arrêt : ouvrir le circuit en
moteur fermant le passage du courant
Rotor : transforme l’énergie Pales : évacuer la chaleur a l’extérieur

Moteur : sert cinétique du vent en énergie mécanique
Offset : à transformer
sert à l’énergie Stator : crée une magnétisation Moyeu : assure la modification du pas de pale
électrique en longitudinale fixe à l’aide
imprimer d’enroulements ou aimant permanent
énergie
mécanique
Aimants permanents : produit le couple
Rouleaux d’encrage et de électromécanique
mouillage : permettent de
récupérer l’encre et l’eau
Rouleaux : relie le lecteur à la mémoire centrale
M. Encrage
: sert à Carte électronique : mémorise les données de
laisse passer Encrier : stoker et
la disquette
distribuer l’encre
l’encre et le
Levier de broyage : assure la mastication de
M. l’encre.
mouillage
Vis de réglage : règle la quantité d’encre
empêche la
sèche sur la Plaque à Bornes de branchement : pour faire le
bornes : porte les couplage
plaque
bornes de branchement
Cables: pour faire la connexion
Pinces
oscillantes : Pinces : attrape le papier
Carter : sert à
saisir et à protéger les Levier du balancier a pince : déplacer les
serrer le composants internes pinces dans un mouvement de rotation.
papier
Palier de support Vérin de montée/Descente de la
: sert de support pour table : assure le déplacement de la table
la table
Ecrous de fixation : sert à immobiliser la table
Taquets
frontaux : Vis de fixation de la table : sert à immobiliser
Tourillon : Assure le
canaliser le guidage en rotation.
la table
passage du Support de table : sert à maintenir la table dans sa
papier position de travail
M. : MÉCANISME
30
3 . Diagramme Ishikawa
C’EST LA REPRÉSENTATION STRUCTURÉE DE TOUTES LES CAUSES QUI CONDUISENT À UNE
SITUATION :
Mauvais
Manque d’eau dans
entretient
le bac
Température élevé (trop chaud)
Bac trop salle ou
bouché Mauvais réglage
Présence de
Microfissures sèche
Roulement usé
Mauvaise maitrise de la
Palier bonne solution de
Pas d’immersion défectueux mouillage
Qualification médiocre
des mouilleurs
Figure 22: Ishikawa d'un problème de mouillage
31

Taquets
fronteaux Rouleaux sale Mauvais
défaillants entretient
Température trop basse
Non respect de
la dynamique
Bac trop sale ou du papier
bouché
Bourrage
Encre non diluée
papier
Mauvais départ du
papier
Papier trop Qualification médiocre
fragile
Figure 23: Ishikawa d'un problème de Bourrage papier
Vieillesse des paliers

Fuites d’eau dans le
bac
Température très basse (trop
Mauvais réglage froid)
Roulements usés
Ecoulement
Mouleton usé
continue d’eau
Mauvaise
Mau maitrise du
réglage des mouilleurs
Diminution de Mauvaise qualification
l’épaisseur des
mouilleurs
Figure 24: Ishikawa d'un problème d’Ecoulement continue d’eau
32
Mauvais état du Mauvais réglage

blanchet du contact entre
les cylindres porte Température élevé (trop chaud)
Plaque
Mauvais réglage de la plaque et blanchet
surexposée
pression entre cylindres
L’encre ne sort
pas bien
Papier moisie
Mauvaise
maitrise de
Mauvaise qualité l’équilibre entre
Mauvaise qualification
de l’encre l’encre et l’eau
Figure 25: Ishikawa d'un problème d’encrage
Mauvais couchage du
Mauvais état du papier
blanchet
Température basse (trop froid)
Plaque
Excès de mouillage
surexposée
L’arrachage
Papier moisie
Redémarrage
après arrêt
Encre trop tirant Mauvaise qualification prolongé de la
machine
Figure 26: Ishikawa d'un problème d’arrachage
33
4.ANALYSE DES MODES DE DEFAILLANCE DE LEUR EFFETS ET DE LEUR CRITICITE
Défaillances Criticité
Sous système : Rouleaux
Composants Fonctions Modes Causes Effets Détection F G D C Politique applicable
Empêcher le Échauffement
lubrifiant de Fuites de Usure du usure des surfaces
Joints sortir lubrifiant joint fonctionnelles Visuelle 1 2 2 4 Maintenance corrective
Réduire l’effort Augmentation du
Rondelle de contact Usure Frottements jeu fonctionnel Visuelle 1 2 2 4 Maintenance corrective
Sous-ensemble : Fonction Mode de Cause de la Effets de la Criticité Actions à

organes mobiles défaillance défaillance défaillance mener
F D G C
Bielle Transmettre Rupture Mauvais Baisse du 1 3 4 12 Remplacer,
les efforts montage, rendement du lubrifier
reçus mauvaise moteur
lubrification
Arbre de transmission Transmet le Désaccouplé Mauvais montage Pas de transmission 2 2 2 8 Maintenance
mouvement de préventive
rotation
Cames Recoit le Fonctionneme Usure, frottement Baisse de 1 4 4 16 Remplacer

mouvement de nt irrégulier important performance
rotation
Accoupler Désalignement
l'arbre et la entre l’arbre et la Non transmission du Maintenance
Clavette poulie usure poulie mouvement 1 2 2 4 corrective
Maintenance
Guidage en préventive à
rotation de Grippage de l'arbre fréquence
Roulements l'arbre Vibrations Avarie diverses bruits énorme 2 4 4 32 élevée
II. PROPOSITION D’UN PLAN DE MAINTENANCE

Suite aux études menée plus haut sur les défaillances affectant les offsets, nous
sommes en mesure de pouvoir dresser un planning de maintenance préventif et correctif afin
d’améliorer le système.
1. Plan de maintenance préventive

Ce plan sera établi sur la base des observations et des analyses faîtes durant notre
stage, ainsi que des renseignements pris chez les opérateurs de la machine. Afin de pouvoir
assurer un bon suivi, il sera mis sur pied des fiches d’intervention qui seront présentées ci-
dessous. Les tableaux suivants illustrent les différentes opérations de maintenance préventive
à effectuer :
36
Tableau 8: plan de maintenance préventive
PLAN DE MAINTENANCE PREVENTIVE UNITE A MAINTENIR:

Offset
PERIODICITE
March
e
Nivea
Arrêt
Marc
ACTIONS DE MAINTENANCE
he
J H M T S A
Nettoyer la chambre de travail ou l’emplacement 1 X X
de la machine
Vérifier si tous les équipements sont à leur place, 1 X X
s’il n’Ya pas de corps étrangés sur, dans ou à côté
de la machine qui pourra causer un problème
Mettre la machine en marche en actionnant sur le 1 X X
disjoncteur
Contrôler le niveau d’huile (voyant) 1 X X
1 X X
Regarder le niveau de l’eau et de la solution de
mouillage
Contrôler le taux d’acidé (7 en montant) avec un 1 X X

PH mètre
Contrôler le taux d’alcool (entre 12 et 14) avec un
alcoomètre
Monter les mouilleurs qui se retirent chaque soir 1 X X

pour le lavage
Tourne la machine avec la manivelle ou par 1 X X
accourt
Vérifier l’état des rouleaux, blanchet, encrier 2 X X
2
Effectuer le graissage en fonction des différents
points :
Point rouge X
Point jaune X
Point vert X X
Démarrage à vide de la machine 1 X X

Remplacer les joints 3 X X
Remplacer le blanchet 2 X X
Remplacer les roues de l’engrenage du réducteur 4 X X
de vitesse
37
Remplacer les roulements 3 X X

Lubrifier la barre oscillante 2 X X
Ajuster la course d’excentricité 4 X X
Remplacer les rondelles 2 X X
Remplacer les roulements X X
 TYPES DES LUBRIFIANTS

Le réducteur de levage est à carters fermés avec lubrification par graisse fluide.
En principe, d’après le manuel constructeur, la graisse fluide des réducteurs ne sera

changée que lors de la révision générale fixée par le planning d'entretien. On vidangera donc
l'huile usée du réducteur, puis on procédera au remplissage avec la nouvelle huile.
La chaine et le guide seront graissés conformément à ce qui est décrit sur les sections
de ce mémoire.
2.Historique des pannes

L’historique des pannes permettra de recenser toutes les défaillances survenues sur les
machines et les équipements de l’entreprise. Nous avons élaboré un exemplaire de
l’historique des pannes. Cette fiche d’historique des pannes comprend la date de la panne, la
désignation de la panne, les heures d’arrêt et la cause de la panne. On a une dernière case pour
noter les observations.
38
HISTORIQUES DES PANNES

EQUIPEMENT : offset …
Date Désignation de Heure d’arrêt Causes de la panne Observations

D’apparition l’organe
des pannes défaillant
Nom et Signature de l’intervenant
39
3. Fiche d’entretient
Tableau 9: Fiche d’entretien de l’offset
Fiche d’entretien de l’Offet GTO… N°…
Date : Effectif : Intervenant :
Operations Etat Durée Observations
RAS,
Début de dégradation,
Dégradation avancée,
Intervention immédiate.
Etat :
Visa intervenant visa chef d’atelier
40
III. OUTIL D’AIDE AU CORRECTIF

Malgré les heures de maintenance préventive effectuée afin de prévoir toutes
défaillances, il existe néanmoins quelques heures de maintenance corrective pour cela nous
proposons quelques outils d’aide au correctif.
1. Diagramme de diagnostic
A partir de la défaillance d’un matériel dont :
-Le mode de défaillance a été défini ;
- l’élément par lequel la défaillance se manifeste a été localisé, le diagnostic doit

identifier les causes probables de la défaillance.
Ce diagramme permet de vérifier les causes probables de la défaillance jusqu'à un essai bon.
Dans le cas notre étude nous avons établi le diagramme de diagnostique pour le mode
de défaillance « L’offset ne démarre pas ».
41
L’offset ne
démarre pas
L’offset est-il Non

alimenté ? Alimenter l’offset
Mauvais
Essai
Bon
Fin
Non
Les sécurités sont-
Désactiver les
elles désactivées ?
Mauvais
Essai
Bon
Fin
Le moteur tourne-t-il ? Non
Inverser les phases du moteur
Mauvais
Essai
Bon
Non Fin
Le câblage de
l’armoire est-il
Vérifier le câblage dans
respecté ?
l’armoire électrique (U, I,)
Bon
Essai
Fin
42
1
1 Consulter le
fabriquant
2. Incidents, causes et remèdes

Nous avons par la suite certains incidents leurs causes possibles et les remèdes que
nous proposons à l’utilisateur.
Tableau 10: Tableau des causes, effets et remèdes
Pannes Causes Possibles Solutions
Mauvais séchage  Manque de siccativité  Ajouter le siccatif sans

excéder le pourcentage
 Encre inadaptée au support
préconise.
 Charge d’encre excessive
 Changer d’encre
 Encre trop émulsionne
 Diminuer la charge :
 Eau de mouillage trop acide reconcentrer l’encre.
 Température et hygrométrie de  Trouver le bon équilibre

l’atelier inadaptées. eau /encre.
 Excès de mouillage qui provoque  Respecter les normes pour

une humidité excessive du l’impression offset.
papier :
 Voir stockage du papier
 Emballage ou cerclage trop rapide
 Réduire le mouillage.
(mauvaise oxydation du film
Augmenter si possible le
d’encre)
pourcentage d’alcool
 Attendre le séchage
complet avant la mise sous
film ou le cerclage
43
Doublage  Déformation du papier avant  Changer le papier

impression
 Voir stockage et différence
 Déformation du papier due à une de température entre
variation importante de stockage et atelier
l’hygrométrie d’impression
 Blanchet insuffisamment tendu  Retendre le blanchet
 Excès de pression  Vérifier les habillages
 Essuyage provoque par un  Adapter l’encrage au

encrage trop copieux travail
 Lâche de pinces du cylindre de  Réglages des pinces (usure

marge ou des pinces de transfert. des talons de pinces).
Arrachage  Non-conformité du lot papier  Utiliser une encre plus

(mauvais couchage) adaptée
 Encre trop tirant  Utiliser la pommade anti-

tirant
 Concentration trop élevée de
siccatif (desséchement)  Ajouter un diluant ou un
produit anti oxydant.
 Redémarrage âpres arrêt prolonge
de la machine  Utiliser une encre moins
siccative.
 Excès de mouillage
 Pulvériser sur les rouleaux
de la bombe de démarrage.
 Mettre un peu de diluant

sur les rouleaux.
 Laver les rouleaux
 Réduire le mouillage
44
Pétouille : tache  Non-conformité d’un lot (peaux  Réduire le tirant de

d’encre sur une dans la boite) l’encre. Faire un passage
page (petit défaut en blanc.
 Qualité du papier (peluche,
visible)
arrachage de la couche).  Laver les rouleaux
mouilleurs. Prévention :
 Accumulation d’encre sur les
mettre à la place du
mouilleurs et /ou sur les rouleaux
toucheur un rouleau anti
mouilleurs.
pétouilles. En cas de
refente du papier, bien
équerrer celui-ci, en
évitant une coupe de rejet.
Plissage : former  Gondolage du papier avant  Stocker le papier dans de

des plis impression. bonnes conditions de
température et
 Hygrométrie du papier trop forte.
d’hygrométrie
 Mauvais équerrage du papier.
 Stocker le papier dans
 Lors d’un second passage avec l’atelier machines avant
déformation au premier passage l’impression.
du a une forte charge ou à une
 Equerrage soigne du
encre trop tirant.
papier.
 A la marge, mauvais réglage des
 Diminuer le tirant.
pinces ou mauvais réglages des
roulettes (pression trop forte).  Régler les pinces à des
pressions régulières.
 Tension insuffisante du blanchet.
Alléger la pression des
roulettes.
Retendre le blanchet.
Filage de la  Dépôts des particules abrasives  Faire un passage en blanc

plaque : sur les blanchets provenant de la
 Réduire le tirant en
dégradation des
45
zones imprimantes couche du papier. utilisant la pommade anti-

et /ou du grainage tirant ou le diluant 501.
 Encre trop tirant.
(zones non
 Refaire la plaque. Protéger
imprimantes)  Encre abrasive (contenant des
la plaque pendant le
charges minérales)
roulage et l’arrêt de la
 Plaque présensibilisée ayant subi machine.
une exposition à la lumière trop
 Réglage de la touche des
importante.
rouleaux.
 Mauvais réglages des rouleaux
 Réglage des pressions.
toucheurs (pression trop forte).
Rouleaux usagés ou glacés,
 Excès de pression CPP/CPB
déglacer les rouleaux.
 Dureté excessive des rouleaux
Changer les bagues ou les
toucheurs.
roulements.
Peluchage : défaut
 Collage ou surfaçage insuffisant de  Imprimer un aplat total sans
du papier
la feuille. mouillage de laque
caractérisé par le
transparente, faire un
détachement des  Encre trop tirant
passage en blanc.
fibres de la surface
par suite d’une  Blanchet neuf ou mal lavé qui
 Réduire le tirant (pommade
mauvaise présente une adhésivité
anti-tirant).
adhérence importante.
 Bien laver le blanchet et le
 Pression excessive entre cylindre
talquer.
blanchet et cylindre de contre
pression.  Ajuster les pressions.
Maculage : est un  Température et hygrométrie du  Stoker le papier à l’avance

défaut papier. dans un endroit tempéré a
d’impression qui se environ 20 degrés Celsius,
 Température et hygrométrie de
traduit par des avec une humidité
l’atelier.
taches ou des traces d’environ 60 pourcent ou
46
d’encre, appelée  Aimantation du papier. dans une salle des

aussi machines plusieurs jours
 Manipulation de la pile après
« maculatus » avant le tirage en laissant
impression.
les piles emballées.
 Vérifier la bonne
hygrométrie du papier (voir
stockage).
 Adaptation d’un système

anti statique.
Mise à la terre de la machine.

Humidifier l’atelier.
 Descendre doucement la
recette.
Manipuler la pile avec soin
Mauvais repérage  Feuilles mal rectifiées lors du

premier ou second passage en
machine.
 Mauvaise stabilité dimensionnelle

du papier dans le mauvais sens) et
excès d’eau.
 Lâchés de pinces du a un mauvais

réglage et a une encre tirant
47
CONCLUSION ET PERSPECTIVES
Durant notre travail portant sur la mise en place d’un plan de maintenance sur les
offsets (GTO 46/32) une et deux couleurs de la société Kajepi print Sarl, nous avons
effectué la description détaillée des machines d’impression ; une étude de ses modes de
défaillance. Ensuite, nous avons planifié les opérations à effectuer en fonction des
périodicités. Nous avons enfin proposé quelques outils aide au correctif.
Nous pouvons donc affirmer sans crainte que nous avons atteints les objectifs fixés et
que nous avons acquis de nombreuses connaissances sur le plan technique dans divers
domaines.
Néanmoins, afin que nos travaux n’aient pas été inutiles, nous recommandons :
- L’application effective de notre protocole de maintenance via l’utilisation des fiches

de maintenance établies ;
- La sensibilisation du personnel de maintenance quant à l’importance de ces fiches
dans le suivi des équipements
Nous pensons que l’application de ce plan permettra de :
- Résoudre les problèmes en termes de rentabilité de l’équipement en réduisant le temps

d’arrêt ;
- Réduire les temps d’arrêt de l’équipement en augmentant sa productivité ;
- Suivre le fonctionnement de ces équipements un rendement optimal.
48
RÉFÉRENCE BIBLIOGRAPHIQUE
Documents non-publiés :
 Cours de maintenance 1 et 2.
Documents publiés:
 Memotech éditions CASTILLA-25, rue monge-75005 PARIS.
Les sites :
 www.edu-camer.com
 www.mongosoukoulo.com
 www.google.com
 www.yahoo.fr,
49

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MISE EN PLACE D’UN PLAN DE MAINTENANCE SUR DES OFFSETS DUT

(GTO 46/32) UNE ET DEUX COULEURS. 2019/2020

 M. NOULACME encadreur industriel Pour ses conseils et sa disponibilité ;

2. Objectifs de KAJEPI PRINT SARL

 Répondre aux attentes de son personnel et de sa clientèle.

 Lutter contre la pollution en fabriquant les sacs 100% biodégradable.

3. Moyens d’action de KAJEPI PRINT SARL

 Moyens financiers : C’est l’ensemble des ressources propres ou emprunts qui

 D’une continue 4 têtes,

4. Partenaires ou clients de kajepi print

 SERVICE SEBIO (sachets et emballages biodégradable)

 Boulangeries : acropole ; santa Lucia, Saker …

Quelques exemples d’applications.

Figure 1 : Carnets Figure 2 : Flyers

Figure 3 : Bordereaux de versement Figure 4 : Carnets de bon de livraison

Figure 5 : Sac biodégradable de pharmacie Figure 6 : Sac biodégradable de super marche

II. SITUATION DE KAJEPI PRINT SARL

Parcours Tradex parcourt Vita

Hôtel Makepe palace

Figure 7: localisation de l’entreprise

Figure 8: Vue de dessus

Dénomination de l’entreprise KAJEPI PRINT SARL

Mme TACHE Mme. KAMWA

ZUAH EMMACULATE FON

Figure 9: Extincteur Figure 10: Panneaux d’interdiction de fumer

TABLE DES MATIERES

b. But du plan de maintenance ................................................................................................... 7

b. Offset (GTO 32*46) DEUX COULEURS.................................................................................... 15

II. METHODE ......................................................................................................................................... 18

LISTE DES FIGURES

Figure 1: Extincteur Figure 2: panneaux d’interdiction de fumer .............................. IX

Figure 3 : carnets Figure 4: flyers ..................................................... V

Figure 5: bordereaux de versement Figure 6: carnets de bon de livraison ................................. V

Figure 9: localisation de l’entreprise ...................................................................................................... VI

Figure 10: vue de dessus ........................................................................................................................ VII

Figure 11: Subdivision des typologies de maintenance ........................................................................... 4

Figure 13: Ordinateur............................................................................................................................ 12

Figure 17: catalogue des pièces détachées. ............................................................................................ 17

Figure 18: Méthode d'analyse structurelle descendante...................................................................... 19

Figure 19: Méthode d'analyse fonctionnelle descendante .................................................................. 21

Figure 20: Structure d’un diagramme d’Ishikawa ................................................................................. 22

Figure 21: Procédure d’élaboration d’une AMDEC .............................................................................. 23

Figure 22: Ishikawa d'un problème de mouillage ................................................................................. 31

Figure 23: Ishikawa d'un problème de Bourrage papier ........................................................................ 32

Figure 24: Ishikawa d'un problème d’Ecoulement continue d’eau ........................................................ 32

Figure 25: Ishikawa d'un problème d’encrage ....................................................................................... 33

Figure 26: Ishikawa d'un problème d’arrachage .................................................................................... 33

LISTE DES TABLEAUX

Tableau 1: NOMENCLATURE DES OFFSETS UNE COULEUR ..................................................... 13

Tableau 2: NOMENCLATURE DE L’OFFSET DEUX COULEURS ................................................ 16

Tableau 3: les indices de la fréquence de la défaillance ........................................................................ 24

Tableau 4: les indices de la non détection de la défaillance .................................................................. 24

Tableau 5: les indices de la gravité de la défaillance ............................................................................ 25

Tableau 6: les indices de la criticité d’une défaillance .......................................................................... 25

Tableau 7: Tableau d’AMDEC ............................................................................................................. 25

Tableau 8: plan de maintenance préventive .......................................................................................... 37

Tableau 9: Fiche d’entretien de l’offset ................................................................................................ 40

Tableau 10: Tableau des causes, effets et remèdes ............................................................................... 43

Mots clés : plan de maintenance ; offset.

Keywords: maintenance plan; offset

2. Cycle LICENCE qui forme dans les domaines et filières suivants :

CHAPITRE I : REVUE DE LA LITTERATURE

 La maintenance préventive : c’est celle appliquée dans le but de réduire la

De cette maintenance, découlent trois autres maintenances à savoir :