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Objectifs de l’activité : on cherche à repérer les différentes catégories de discrimination au travail et propose
des solutions.
Attendus de fin de séquence : sensibiliser l’individu aux différentes dimensions de l’égalité au travail, telles que l’emploi des jeunes, l’emploi des personnes
en situation de handicap et l’égalité femme- homme
Compétences travaillées : C1 – traiter une information ; C2 – analyser une situation ; C5 – argumenter un choix
Le Code du travail impose que les décisions de l’employeur soient prises en fonction de critères professionnels. Les
apprentis et les stagiaires sont également protégés contre la discrimination. La personne reconnue coupable de
discrimination encourt d’importantes sanctions pénales.
Les inégalités de traitement prévues par la loi ne sont pas considérées comme des cas de discrimination. C’est le cas
par exemple des dispositifs permettant de favoriser l’emploi des jeunes ou des personnes en situation de handicap.
Dans les entreprises de plus de 50 salariés, le calcul de l’indice d’égalité professionnelle (également appelé index
d’égalité femmes‑hommes) est une obligation. Si celui-ci est trop faible, l’entreprise doit mettre en place des mesures
correctives dans un délai de trois ans.
- des acteurs internes à l’entreprise : le Comité social et économique (CSE) et les organisations syndicales ;
- des acteurs externes à l’entreprise : l’inspection du travail, le Défenseur des droits et le tribunal des
prud'hommes.
Les victimes peuvent également être accompagnées par des associations de lutte contre les discriminations.