02/05/2023

Vertèbre fondamentale 

Innervation du rachis :

- Nerf sinus vertébrale : sensitif et cutanée

- Branche post : sensitif et cutanée
- Branche ant : motrice

Ces nerf sortent par le trou de conjugaison, formé par l’empilement des deux vertèbres sus et sous-
jacent par les processus articulaire supérieur et inférieur.

 Le branche post se divisera en branche ant et post (la post se divise en deux rameaux) :

Sortie du trou de conjugaison, antérieur volumineuse et post plus minime. Ce n’est pas le cas avec les
premiers et deuxièmes nerf cervicaux. La branche post passe à l’arrière de l’apophysaire articulaire va
innerver les articulations apophysaires, aux ligaments, aux muscles spinaux, aux plans cutané (peau)
du dos, vertex et coccyx. Il y a un rapport étroit entre le nerf et l’apophysaire post à proximité.

- Branche externe

Musculaire (de C0 à T8 après changement de fonction)

- Branche interne

Musculaire et cutané (de C0 à T8 après changement de fonction)

Au niveau lombaires, le rameau interne est à 1cm de son origine, il passe dans un canal ostéo-fibreux
qui l’aplatit contre la racine de l’apophyse transverse, puis il passe entre les muscles
intertransversaires. Il partira en bas et en dedans et en descendant deux vertèbres

- Rameau interne

Innerve toutes structures qui sont en dedans des articulation interépineuse (muscles interépineux,
transverse épineux, piliers interne ilio-costal, la capsule articulaire, le ligament jaune et les ligaments
sus et sous interépineux)

- Rameau externe

Innerve les muscles intertransversaires, ilio-costal et le fascia dorso-lombaires. Toutes les branches
post n’ont pas de rameau cutanée. C’est le cas de C1, L4 et L5. En revanche il est habituel de voir
attribuer un rameau (branche) cutané à C6-7-8 alors que certains auteur souligne que ces rameaux
sont inexistants. Celui de C5 et T1 sont inconstant

Territoire cutané des branches toujours sous-jacent (de deux étages) sauf pour C2 et C3 (ils montent)

Le décalage augment progressivement de haut en bas. La peau des fesses est innervés par T12 et par
la charnières dorsaux lombaires.
Le rameau cutané de T2 est souvent le plus volumineux et prends plus de place dans le dos, il devient
superficiel au niveau de T5 et s’étends jusqu’à l’acromion. Son territoire est contigu en haut avec C4

Innervations du plan cutané du cul, faite par T12, L1-2, elle reçoit parfois un rameau de L3
(inconstant). Au niveau sacral S2 est la plus importante, elle frome avec S1-3-4 un véritable plexus qui
innerve es muscles sacro-lombaires et le plan ostéoligamentaires, sa terminale constitue le nerf
fessiers postérieur qui en réalité innerve aucun téguments fessiers.

 Nerf sinus vertébral

C’est un nerf à la taille d’un gros fil, il est formé de la jonction d’une racine spinale et d’une racine
sympathique.

La racine spinale vient du nerf aussitôt après sa sortie du trou de conjugaison ou de sa branche
postérieure ou de sa branche antérieure.

L’autre est issu du rameau communicant blanc voisin, le plus souvent sous-jacent. Une fois constitué,
il se porte en arrière, pénètre dans le trou de conjugaison suivant donc un trajet récurent en avant du
nerf

C’est une distribution purement segmentaire. Elle se distribue : au corps vertébral, aux lames au
disques sus-jacent, à la vertèbre par des filets nombreux aux ligaments commun post, aux tissus
épiduraux, et à la dure-mère, aux ligaments commun intérieur et à l’anneau fibreux

 Innervation du disque

Pas innervé, sauf partie superficielle de l’annulus et région postéro-latérale

 Innervation des articulaire apophysaires (post)

Innervé par les branches post d’une rachidien, SAUF les articulations occiput, Atlas, et axis qui sont
innervés, qui sont innervés par des rameaux de la branche intérieure. Cette innervation est assurée
par un rameau provenant de l’étage correspondant et un autre provenant de l’étage sous-jacent.

L’innervation de la capsule est très riche comme celles de toutes les articulations. On n’y retrouve des
terminaisons libres, de fibre myélinisées de petit diamètres. Les terminaisons non encapsuler de
diamètre moyen de type de Golgi, ou corpuscule de Ruffini, des terminaisons encapsuler de Golgi.

Le cartilage n’est pas innervé

  Innervations des ligaments

Les ligaments sus-épineux et interépineux sont innervés par la branche post du nerf rachidien. Le
ligament commun antérieur, le ligament commun post et jaune son innervé par le nerf sinu
vertébrale. L’innervation est très riche dans le lig commun post.

 Innervations du perios de la vertèbre

Il est innervé par le nerf sinu vertébral.

 Innervations des muscles spinaux

Innervés par les rameaux musculaires des branches post des nerfs rachidiens.

 Récepteurs articulaire

Les structures articulaires et Péri articulaires sont pourvus de récepteurs qui renseigne le système
nerveux central sur les modifications physiques de ces tissus : mouvement et positions de
l’articulation, tensions exercée sur les tendons, longueurs du muscles.

Les articulations inter-apophysaires sont innervés par la branche postérieur du nerf rachidien. Elles
reçoivent l’essentiel de leur innervations du nerf correspondant qui les contourne et affecte avec elles
des rapports étroits, mais chaque articulations reçoit aussi des rameaux du nerf sus-jacents et du nerf
sous-jacent.

Plusieurs types de terminaisons :

- Récepteur I, II et III : corpuscules mécanorécepteurs

- Récepteur IV : récepteur à la douleur

Le type I est retrouver essentiellement dans l’articulation, il est sensible à la position de l’articulation
et à la rapidité du mouvement

Le type II est deux fois plus grand que le type I, ce sont des récepteurs à adaptations rapides, aussi
dans la capsule, très sensible au mouvement rapide dans n’importe quelle position de l’articulation

Le type III sont les plus grands de tous, existe que dans les ligaments et ont une adaptation lente et
on un seuil d’excitation élevée

Le type IV est un plexus de fibres fines situées dans la capsule, ligaments et coussinet graisseux sauf
dans la membrane synoviale. Ils sont considérés comme récepteur à la douleur. Une stimulation
suffisante permet une contraction des muscles périarticulaire qui ont tendance à immobiliser
l’articulation.