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SUJET 

: Les modes de règlements des litiges en matières contractuelles dans le cadre de


l’action publique.

L’action publique cherche à atteindre des objectifs, la satisfaction de l’intérêt général


est primordiale dans ce tel domaine. Elle désigne l’action de l’administration publique et ce,
dans le cadre de la mise en œuvre de la politique publique qui sont considérés comme « un
ensemble d’action coordonnées, réalisées par une puissance publique dans l’optique d’obtenir
une modification ou une évolution d’une situation donnée », en un mot un résultat. Le droit de
l’action publique peut être considéré comme l’ensemble des règles juridiques qui régissent
l’action des autorités publiques. Comme toute matière de droit, la survenance des litiges est
fortement possible dans l’action publique surtout dans un contrat d’action publique. Le
traitement de ce sujet nous offre la compréhension et une connaissance suffisante des droits
administratifs et nous permette de percevoir et d’évaluer l’incidence des règles juridiques sur
l’action et le fonctionnement de l’administration. Ici, il convient de se demander, dans quelle
mesure on peut régler les litiges contractuels dans le cadre de l’action publique ? Pour
répondre à cette question, il est crucial de suivre le plan suivant : dans une première partie
nous allons parlez des recours à des modes de règlement des litiges en matière contractuelle
dans le cadre de l’action publique et des avantages procurées(I), puis dans une seconde partie
des différentes modes de règlements des litiges contractuelle dans le cadre de l’action
publique(II).

I-LE REGLEMENT DES LITIGES CONTRACTUELLES DANS LE CADRE DE


L’ACTION PUBLIQUE

Dans cette partie, nous allons voir deux grandes parties, d’abord le recours à des
règlements de conflit (A) ce dernier présentant de nombreux avantages (B).
A- Le recours à un mode de règlement des litiges

Il est possible d’avoir recours aux modes de règlement des litiges de différentes
manières qui varient en fonction de la qualité des parties et du type de relations qu’elles
entretiennent. Si la survenance d’un litige est anticipez dans le cadre d’une relation
contractuelle, il est possible de prévoir au sein d’un contrat une clause organisant le recours à
un mode de règlement des conflits qui semble plus adaptée à la situation afin de faciliter les
démarches au moment venu. Toutefois, si le litige survient outre le rapport contractuel, ou
alors qu’aucune clause de règlement amiable préalable n’a été prévue, il est toujours possible
de suggérer d’y avoir recours au moment de la survenance du conflit.

Dans de nombreuse situation il peut être opportun de préserver vers les méthodes de
règlements alternatifs de conflits pour préserver plus facilement une solution. Les parties qui
sont passés par ces méthodes pour résoudre leur diffèrent finissent par aboutir a un accord qui,
selon le cas, pourra être reconnu directement par la justice ou faire l’objet d’une
homologation. Le juge devra dons respecter les accords intervenus à la suite de ces processus
et ne pourra intervenir qu’en cas d’échec des initiatives de résolutions amiables ou dans le cas
où les parties n’exécuteraient pas leur accord. Ce sont donc des procédures efficaces et
efficientes qui méritent d’être mieux connues et plus souvent conseillées aux parties
rencontrant un diffèrent.

A- L’autorité chargée de régler les litiges

II- Le règlement extrajudiciaire des litiges dans le cadre de l’action public

Ils existent différentes types de mode alternatif de règlement des litiges contractuels
dans le cadre de l’action public (I), et nous pouvons y procurer plusieurs avantages(II).

A- Le règlement à l’amiable des litiges


Tout d’abord, la négociation, un mode de résolution amiable des litiges, utilisée par les
parties qui tentent de rapprocher leurs positions afin de préserver leurs propres intérêts. Elle
peut être mise en place de différentes manières avec l’accompagnement ou non d’un avocat.
La négociation peut intervenir à tout moment : avant, pendant ou après une procédure
judiciaire et porter sur tout ou partie du diffèrent opposant les parties.

Puis, la conciliation qui consiste à permettre aux parties de trouver une issue amiable
à leur différend en ayant recours à un tiers c’est-à-dire un conciliateur qui va tenter de trouver
une solution, souvent pécuniaire. Le conciliateur a un rôle actif : il prend connaissance des
points de vue des parties et donne son avis. Apres s’être exprimées, les parties attendent de lui
qu’il propose des solutions de règlements qu’elles sont libres ou non d’accepter.

Enfin, dans le cas de la médiation, les personnes en conflits, aidées par un médiateur
sont amenées à trouver elles-mêmes une solution à leur difficultés. La médiation est
volontaire lorsque le médiateur est désigné de commun accord par les parties, en dehors de
l’intervention d’un juge ou d’un arbitre. La médiation est judiciaire lorsque le médiateur est
désigné par un juge à la demande des parties ou suggéré par un juge.

B- L’arbitrage

L’arbitrage a la différence des modes amiables de résolution des conflits sus évoqués,
est une procédure juridictionnelle qu’on pourrait qualifié de similaire à celle qui se déroule
devant les juridictions à ceci près que c’est une procédure privée donc confidentielle. Le
différend existant entre les parties est soumis à un arbitre, ou à un tribunal arbitral
indépendant et impartial qui tranchera le litige en fonction des règles de droit qui lui sont
applicables. L’arbitrage fonctionne comme un tribunal et les parties ne peuvent se retirer
unilatéralement de la procédure des lors qu’elles ont soumis leur litige a un arbitre.

Les arbitres sont en général des personnes hautement qualifiées dans le domaine des
échanges commerciaux internationaux. Ils sont aussi généralement disponibles et peuvent
rendre une justice plus rapide que devant les tribunaux avec une procédure flexible, adaptée
aux parties. Le tribunal arbitral rend une sentence arbitrale après avoir entendu les parties et
examiné les dossiers et pièces communiqués. La sentence si nécessaire, elle peut faire l'objet
d’une exécution forcée, tout comme un jugement après avoir été exequaturé par le tribunal de
première instance territorialement compètent.

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