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: Introduction
Les Modes Alternatifs de Résolution des Litiges (MARL) sont des
pratiques placées en regard des systèmes mis en place par les États et les
gouvernements (recours contentieux, système judiciaire) impliquant un
règlement à la fois juridique et judiciaire d‘un différend.
Intérêt du sujet :
Notre Intérêt de sujet est de savoir :
Les modes alternatifs de règlement des litiges.
Problématique :
La question qui se pose pour ce sujet est :
Comment se traduit les procédures de règlement des litiges en
transport maritime?
Et pour répondre à cette question, on vas traiter cette problématique selon le
plan suivant :
Plan:
I. Procédures du règlement des litiges :
A. Les modes de règlements des litiges.
B. Dispositions du droit Conventionnel au règlement
de litiges.
II. OMC et le règlement de différends :
A. Procédures de règlement de différends à l’OMC.
B. Cas pratique en mode de transport maritime.
Partie I : Procédures du règlement des litiges.
A- Les modes de règlements des litiges.
1)- Les procédés politiques
a)- Avantages :
Par les négociations, les parties n'ont généralement pas à recourir à une
tierce partie impartiale. Cet aspect de la négociation est important dans la
mesure où il arrive que les parties préfèrent qu'aucune autre partie étrangère
ne participe au processus, notamment lorsque la question qui doit être
abordée ou le différend qu'il faut régler est de nature très secrète, très
sensible, très délicate ou très marginale pour permettre l'intervention d'un
tiers.
b)- Inconvénients :
C)- La conciliation :
La conciliation semble s'apparenter d'assez près, au premier abord, aux
bons offices et à la médiation puisqu'il s'agit là aussi de rapprocher les points
de vue des parties et de proposer une solution sans aucun caractère
contraignant
Il ressort de l'article précité que l'organe de conciliation n'est pas mis sur
pied pour déterminer, à l'instar d'un organe juridictionnel, qui a tort ou qui a
raison, son rôle se limite à examiner tous les aspects du litige et élucider, à cet
effet, les faits de la cause. Il peut tenir compte non seulement des règles de
droit applicables à l'espèce mais aussi considérer tous les éléments non
juridiques du conflit. (Il peut tenter à cet effet de cerner les intérêts sous-
jacents des Parties et leurs prises de position).
D)- Les procédés juridictionnels :
L'arbitrage international :
Une autre partie de la doctrine note, en sens inverse, que les délais
requis pour la désignation des arbitres sont généralement brefs et peuvent être
utilisés pour la mise au point des thèses des parties. Par ailleurs, les tribunaux
préconstitués peuvent être aisément tenté par le « gouvernement des juges »,
sans toutefois que la cohérence de leur jurisprudence soit nécessairement
assurée. Bien plus, les tribunaux arbitraux eux-mêmes tiennent d'autant plus
compte des précédents existants que ceux-ci, en droit international public, ne
sont pas très nombreux.
Généralement, ont été reconnu à l'arbitrage, entres autres points forts,
sa souplesse (en ce sens qu'il permette aux partie la définition du litige, le choix
des arbitres et du droit applicable), le contrôle des parties sur le déroulement
du procès (publicité ou non des débats et des documents de la procédure
écrite), simplicité et rapidité, etc.
Le compromis d'arbitrage :
Le compromis d'arbitrage est un traité conclu postérieurement à la
naissance du différend par lequel les parties sont convenues de recourir à un
organe arbitral pour le résoudre ; il y est déterminé:
Le compromis lie les parties mais il oblige aussi les arbitres qui n'ont de
compétence que dans le cadre du compromis et qui doivent le respecter. Il est
donc la loi de l'arbitrage (Convention de Washington de 1871 dans l'affaire de
l'Alabama). C'est pour cette raison que la rédaction d'un compromis d'arbitrage
est donc chose compliquée et importante. Ce que confirme le fait que l'on a
souvent prévu la ratification des compromis d'arbitrage
Cet engagement est contenu soit dans des clauses d'arbitrage insérées
parmi les clauses finales d'un traité général, soit dans un traité spécialement
conclu pour le règlement des différends pouvant surgir entre les parties.
Art 21-paragraphe 2
Une action peut être intentée devant les tribunaux de tout port ou lieu
d'un Etat contractant où le navire effectuant le transport ou tout autre navire
du même propriétaire a été saisi conformément aux règles applicables de la
législation de cet Etat et du droit international.
Art 21-paragraphe 4
Lorsqu'une action a été intentée devant un tribunal compétent ou
lorsqu'un jugement a été rendu par un tel tribunal, il ne peut être engagé de
nouvelle action entre les mêmes parties et fondée sur la même cause à moins
que le jugement du tribunal devant lequel la première action a été intentée ne
soit pas exécutoire dans le pays où la nouvelle procédure est engagée
Art 21-paragraphe 4
L'arbitre ou le tribunal arbitral applique les règles de la présente
Convention.
Art 21-paragraphe 5
Art 21-paragraphe 4
Aucune disposition du présent article n'affecte la validité d'un accord
relatif à l'arbitrage conclu par les parties après qu'un litige est né du contrat de
transport par mer.
1. Une décision rendue dans un État contractant par un tribunal qui avait
compétence conformément à la présente Convention est reconnue et exécutée
dans un autre État contractant conformément à la loi de cet autre État lorsque
les deux États ont fait une déclaration conformément à l’article 74.
i) Le domicile du transporteur;
Contrat de volume : contrat suivant lequel, moyennant un prix donné (pour telle unité de mesure),
(un) armateur s’engage à évacuer sur des (destinations) à fixer par (son client, commerçant ou
industriel), la production de celui-ci
Partie II : Deux cas pratiques.
A- Le processus de règlement des différends à l’OMC :
Le mécanisme de règlement des différends qui fonctionne depuis le
traité de Marrakech dans le cadre de l’OMC est un système destiné à trancher
les contentieux commerciaux entre les parties et de préserver la stabilité de
l’économie mondiale.
Réunion : les parties au différend ainsi que les tiers présentent les
arguments au groupe spécial.
Cas pratique :
Accord SMC, Partie III (subventions pouvant donner lieu à une action):
4) qu’en ce qui concernait Daewoo, étant donné que les actifs avaient
été répartis à la valeur comptable dans le cadre de la cession, il n’y avait aucun
gain et donc, aucune base pour une exemption fiscale.
Contentieux entre
le manutentionnaire & Compagnie de transport Maritime: Relation intermédiaire de
CCS CENTRO COORDINAMENTO transport il agit sous sa
commissionnaire du responsabilité et en son
transport SPEDIZIONI S.R.L
propre nom
manutention Le commissionnaire :
Le manutentionnaire : MSC Location des CS SHIPPING AGENCY
MED SHIPPING COMPANY conteneurs & 187, RESIDENCE SOLEIL, BD
MAROC S.A.R.L. surestaries BORDEAU 20100
CASABLANCA MAROC
La relation entre les deux sociétés est une relation commerciale : Vente de
marchandise contre un règlement.
Le commissionnaire : CS SHIPPING AGENCY 187, RESIDENCE SOLEIL, BD
BORDEAU 20100 CASABLANCA MAROC
Il entre dans une relation intermédiaire de transport : il agit sous sa
responsabilité et en son propre nom toutes les opérations de transport
fait par son client : SJS NEGOCE.
Conclusion :
www.wto.org
Bibliographie :