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COURS DE TECHNOLOGIE
AUTOMOBILE Module UAA2
1 LE BRAS DE LEVIER
1.1 Le concept de levier
1.1.1 Objectif :
Comprendre le concept de levier;
Acquérir le vocabulaire relié à ce concept;
Reconnaître les leviers dans les objets courants.
Un objet ne peut bouger, démarrer, accélérer, ralentir, changer de direction, s'arrêter ou se déformer que
s'il est activé par une force.
C'est l'énergie qui produit la force. Elle permet de fournir un travail. L'homme peut soulever l'haltère grâce à
son énergie musculaire. Cette énergie lui permet d'exercer une force sur l'haltère.
La notion de force est l’une des bases de la mécanique et est fortement reliée à la notion de mouvement et
au principe d'inertie. Une force peut être définie comme le seul effet susceptible de modifier le
mouvement d'un corps.
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Ainsi, en l’absence de toute force, un corps garde un mouvement rectiligne uniforme (principe d'inertie).
La traduction sous forme mathématique de cette définition est la fameuse équation :
F = m.a
F est la somme vectorielle de toutes les forces qui s'appliquent à un corps de masse m (masse
supposée constante dans ce cas), a est sonaccélération, donc la variation de sa vitesse. On voit
immédiatement que si F= 0, ce corps ne subit aucune accélération (a=0), sa vitesse est constante
et de là le principe d'inertie.
F= en N
m= en Kg
On représente une action mécanique par une flèche (F), que l'on appelle FORCE.
1.1.3 Cette force est entièrement déterminée par ses quatre caractéristiques :
Le point d'application,
La direction,
Le sens,
L’intensité (c'est la quantité de force).
L'intensité d'une force se mesure en Newton (N) avec un dynamomètre.
Ce sont les forces les plus fréquentes exercées sur et par les OT (objets techniques).
D’autres types de forces sont aussi rencontrées telles que la force de frottement, la force ascensionnelle
(poussée d’Archimède), la force de pression, la force centripète et la force d’inertie.
1.1.5 Note :
Pour les élèves, les efforts sont produits et les forces sont exercées la plupart du temps, par des muscles;
ils produisent de la fatigue.
Le fait qu’un objet inerte puisse exercer une force sur un autre objet nécessite donc une transposition
difficile.
Il est donc proposé d’employer le terme utilisé en physique (force), plutôt qu’« effort », « action », qui
évoquent d’avantage l’intervention d’un être vivant.
Le mot « effet » (formulation des élèves) recouvre la notion physique de moment d’une force.
Le moment d’une force est égal au produit du bras de levier par l’intensité de la force.
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On appelle bras de levier d’une force agissant sur un solide, la distance de la ligne d’action de cette force
F à l’axe de rotation du solide. L’équilibre est obtenu lorsque la somme algébrique des moments des forces
par rapport à l’axe est nulle. Lorsqu’on a deux forces, cela revient à dire qu’elles doivent agir dans des sens
opposés et que leur intensité est inversement proportionnelle à la longueur de leur bras de levier.
Selon la loi du levier énoncée par Archimède*, des forces inégales agissant perpendiculairement aux
extrémités d’une tige qui peut pivoter s’équilibrent si
F1xr1=F2xr2
oùr 1 et r 2 sont les distances de l’axe de pivotement aux points d’application des forces. On doit donc
considérer à la fois les forces et leurs distances à l’axe de pivotement.
Le moment d’une force est la mesure de la torsion produite par la force autour d’un axe particulier.
Il a les dimensions d’une force multipliée par une distance.
Le produit de la force par le bras de levier s’exprime donc en Newton-mètre.
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1.3 Note :
La clé dynamométrique utilisée par le mécanicien mesure cette torsion communément appelée le« Torque
» (en anglais, on désigne la clé par le mot « torque wrench »). Les clés utilisées en Amérique duNord
sontsouvent étalonnées en livre-pied plutôt qu’en Newton-mètre.
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Tous les objets qui figurent sur les photos suivantes comportent des leviers de divers types. Identifier le
type de levier, puis indiquer directement sur les photos ces leviers, les forces en présence, soit la force
motrice (Fm) et la force résistante (Fr), et les points de rotation des leviers.
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Utiliser des crayons de couleur pour effectuer votre travail.( travail déjà réalisé)
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1.5 Exercices
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2 Historique de l’automobile
En 1769, l'idée de Ferdinand Verbiest est reprise par le français Joseph Cugnot qui présente son « fardier
à vapeur », comme il le nomme, et qui est un chariot propulsé par une chaudière à vapeur.
La Mancelle plus légère (2,7 tonnes) que son premier modèle, et qui dépasse facilement les 40 km/h.
Le suisse François Isaac de Rivaz, vers 1775, entrevoit le développement de l’automobile. Alors que ses
multiples voitures à vapeur n’ont guère de succès du fait de leur manque de souplesse, il s'inspire du
fonctionnement du « pistolet de Volta » pour construire ce qui ressemble à un moteur à explosion dont il
obtient le brevet le 30 janvier 1807. En 1856, les italiens Eugenio Barsanti et Felice Matteucci présentent à
Florence leur moteur à explosion. Il est alimenté par un mélange d'air et de gaz.
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En 1859, l'ingénieur belge Étienne Lenoir dépose son brevet d'un « moteur à gaz et à air dilaté », un
moteur à combustion interne à deux temps et c'est en 1860 qu'il met au point la première ébauche d'un
moteur à explosion
Il faut ainsi attendre l’américain George Brayton pour imaginer un carburateur efficace utilisant le pétrole,
donnant ainsi naissance à la première machine à combustion interne à huile lourde.
Par la suite, Beau de Rochas améliore l'invention de Lenoir, qui souffre cruellement d'un mauvais
rendement en raison de l'absence de compression des gaz. Beau de Rochas résout ce problème en
mettant au point un cycle thermodynamique 4 temps (admission/échappement - compression - explosion –
détente). Étant davantage théoricien que praticien, Beau de Rochas ne sait pas mettre en applications ses
théories. Il dépose le brevet en 1862, mais en raison de difficultés financières, il ne peut s'acquitter des
redevances de protection de son invention si bien que c'est uniquement en 1876 que l'on voit apparaître les
premiers moteurs quatre temps.
L’invention théorique du cycle à quatre temps par Beau de Rochas permet enfin d'exploiter véritablement le
moteur à explosion.
En 1876, l'ingénieur allemand Gottlieb Daimler développe pour le compte de la firme Deutz, le premier
moteur fixe à gaz fonctionnant sur le principe présenté par Beau de Rochas.
En effet, bien qu'il soit difficile de définir la première voiture de l'histoire, il est généralement admis qu'il
s'agit de la Benz Patent Motorwagen, produite par Karl Benz.
En janvier 1891, Panhard et Levassor font déjà rouler dans les rues de Paris les premiers modèles français
équipées du moteur Benz. Ce sont les premières voitures à moteur à explosion commercialisée.
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3 Le véhicule automobile
3.1 Les différents types de véhicules motorisés
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4 Les transmissions
4.1 Différents types de transmissions
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Sur un 4x4, les quatre roues sont motrices : on est à la fois en traction et en propulsion.
On parle alors de 4x4 permanent ou de transmission intégrale.
Mais tous les 4x4 ne bénéficient pas de la transmission 4x4 permanente.
Dans certains cas, le véhicule est une propulsion, avec possibilité de passer en quatre roues motrices
lorsque les conditions d'adhérence l'exigent.
Ces véhicules sont dits 4x4 enclenchables.
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C'est-à-dire que l'on peut enclencher le passage en quatre roues motrices ou préférer rester en deux
roues motrices, ce qui est plus économique en carburant et convient à une utilisation routière
classique.
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Le moteur Wankel est un moteur à piston rotatif à quatre temps, qui n'engendre aucun mouvement
alternatif, diminué les transformations de mouvement et les frottements : la totalité, comportant un nombre
de pièces réduit, est plus silencieux que le respectant les traditions moteur à soupapes.
Ce moteur à explosion improprement désigné par les non spécialistes comme un moteur rotatif (ceux-ci ne
sont guère utilisés que dans l'aviation) est en fait un moteur à piston rotatif ou moteur volumétrique à
engrenages équilibré. C'est l'unique de ce type qui ait connu un développement industriel. Il fonctionne
avec un mélange d'air et d'essence, et est un moteur à quatre temps.
Les différences principales comparé au moteur à pistons alternatifs sont :
le piston rotatif est une courbe de largeur constante, le «triangle de Reuleaux» (rotor), qui tourne dans
une enceinte en forme de trochoïde(stator) délimitant trois chambres dont les volumes fluctuent selon
la position angulaire du piston ;
ce piston est solidaire d'un arbre excentré qui transmet le couple moteur : l'excentrement sert à régler
le rapport volume de compression/volume de détente ;
il ne comporte pas de soupape, mais des lumières comme un moteur à deux temps, d'où un nombre
réduit de pièces, et des causes de panne supprimées.
Avantages
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Avantages
Les avantages de fonctionnement procurés par le moteur à piston rotatif sont nombreux et variés :
l'écoulement des gaz : le cycle à 4 temps se passe des organes de distribution du moteur 4
temps à mouvement alternatif. L'écoulement des gaz s'effectue dans ce cas selon un mouvement
continu, sans retour sur lui-même ni changement de sens.
Inconvénients
C'est l'ingénieur anglais Dugald Clerk qui invente le moteur à deux temps.
change du plus courant cycle de Beau de Rochas en ayant uniquement deux mouvements linéaires du
piston au lieu de quatre, quoique les même quatre opérations : soient toujours effectuées.
1. Admission
2. Compression
3. Combustion et détente
4. Échappement
Nous avons aussi un cycle moteur par tour au lieu d'un l'ensemble des deux tours pour le moteur à quatre
temps.
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Véhicule électrique
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6 Connaissance de l’automobile
6.1 Qu’est ce qu’une automobile?
Le terme automobile qualifie tout engin capable de se déplacer par ses propres moyens et qui transporte
l’énergie nécessaire à son fonctionnement.
1. les véhicules de tourisme: voitures destinées au transport de passagers, qui seules ont conservé le
nom d’automobile
2. les véhicules utilitaires:
- transports en commun (autobus, autocars)
- transports de marchandises (camionnettes, camions porteurs, tracteurs et semi-remorques)
- véhicules spéciaux: engins de chantier, voitures de pompiers...
3. les véhicules légers à deux, trois ou quatre roues: bicyclettes, motocycles, triporteurs, quads, etc.
1. transporter les passagers et les marchandises avec un confort suffisant afin de limiter la fatigue ou
leur endommagement
2. protéger au mieux les occupants en cas de choc
3. atteindre des vitesses et des accélérations suffisantes
4. s’arrêter en cas de besoin dans la plus petite distance possible
5. conserver la trajectoire désirée par le conducteur quelles que soient les conditions atmosphériques,
de roulage et de circulation.
6. rester fiable dans le temps
7. consommer peu d’énergie
8. polluer l’environnement le moins possible
9. posséder une ligne (design) qui prenne en compte l’esthétique contemporaine et les critères de
consommation de masse et de puissance en vigueur
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L’équipement électrique
L’équipement hydraulique et pneumatique
Les instruments de bord
Les équipements de sécurité
La climatisation
La production de puissance
Le moteur
Les accessoires : pompes à eau, à huiles...
Les systèmes auxiliaires
Le châssis
Structure, coque, poutres
La transmission
L’embrayage, la boîte de vitesse, le différentiel, le pont, essieux
Le train roulant
La suspension
Le système de freinage
La direction
Les roues et pneumatiques
FONCTIONS PRINCIPALES
Transport : véhiculer une certaine charge (passager et
marchandises) sur une certaine distance et à une certaine
vitesse.
Pour les passagers:
Protection contre le vent, le froid, le bruit
Sécurité et confort
Espace à maximiser
Pour le fret:
Espace maximal
Chargement et déchargement rapide et aisé
Le châssis
FONCTIONS PRINCIPALES
Fonction structurale:
Ossature du véhicule autour duquel les autres composants
viennent se fixer (moteur, train roulant, chaîne de
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Le châssis
CONTRAINTES SUR LA CONCEPTION DU CHASSIS
Contraintes structurales :
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Résistance au crash
Réduction des bruits et des vibrations
Rigidité maximale v.s. masse minimale
Contraintes de fabrication :
Facilité de fabrication, de montage, de maintenance (Design for
X)
Coût de fabrication minimum
Contraintes aérodynamiques :
Cx minimum
Sensibilité au vent latéral faible
Contraintes esthétiques
Le châssis et la carrosserie
Matériaux:
Acier généralement, souvent avec des éléments d’alliage pour
améliorer ses aptitudes au formage
grande disponibilité
coût modéré
facile à travailler (par ex fabrication par emboutissage)
Aluminium
Matériaux composites
Fibres de verre et fibres de carbone pour leurs propriétés orthotropes
et leur grande raideur / unité de masse
Polyamide, polyester, polystyrène, polypropylène qui peuvent être
fabriqués à faible coût par plasturgie
Système de peinture et de revêtements pour la corrosion
Souvent par électrodéposition pour l’uniformité
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Compléter le tableau
1. 2. 3.
4. 5. 6.
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Document Citroën
Compléter le tableau
A. B. C.
D. E. F.
G. H. I.
K.
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Localisation du moteur
Moteur avant : Souvent le cas maintenant pour les voitures de tourisme qui sont des tractions avant
Moteur arrière : Porsche Carrera à propulsion...
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Avantages
Si l'hydrogène est synthétisé de manière peu polluante, alors on gagne en termes de pollution par rapport à
un moteur à énergie fossile, car sa combustion ne génère que de l'eau, rien de plus.
De plus, à partir de n'importe quelle source électrique et avec simplement de l'eau comme matière
première, il est facile de produire et stocker l’hydrogène ; cette production pourrait donc être distribuée et
même être faite individuellement par des panneaux photovoltaïques ou toute autre source d’énergie
renouvelable.
Inconvénients
Le dihydrogène n'est pas une énergie primaire : il n'est pas disponible sous forme brute dans la nature, c'est
un vecteur énergétique qui a besoin d'être synthétisé à partir d'une autre source d'énergie
le stockage du dihydrogène au sein des véhicules pose problème :
- Plus explosif que l'essence (sous forme stockée, une explosion ne peut survenir que si de l'oxygène en
quantité est adjoint à l'hydrogène)
- trop de place pour être embarqué dans un véhicule
9.7 La transmission
Composition :
Embrayage ou coupleur
Boîte de vitesses
Arbres de transmission
Différentiel
Pont
Essieux
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Rôle de la transmission
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Fonction de la suspension:
Elle a pour objet de conserver le confort des passagers filtrant les vibrations et en absorbant une
partie de l’énergie cinétique acquise par les roues lors de chocs ou d’irrégularités de la route
Elle a également pour objet de garantir la tenue de route du véhicule en maintenant le contact entre
les roues et le sol malgré les débattements de la roue provoqués par les chocs
Principe de fonctionnement:
Le poids du véhicule crée une force verticale agissant de haut en bas qui appuie sur la tête des
ressorts. Le ressort est interposé entre un point de la caisse et le bras de suspension de la roue.
Le pneumatique réalise le contact au sol.
Le contact irrégulier de la route communique à la roue des mouvements oscillatoires. Les chocs lui
donnent de l’énergie cinétique.
L’énergie cinétique reçue par la caisse est diminuée,
transformée en chaleur par torsion ou flexion des ressorts, et frottement de l’amortisseur.
L’adhérence des pneus est assurée par la pression de contact maintenue par les ressorts
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9.9 La direction
Fonction du système de direction:
Principe de fonctionnement:
IT liege
IT liege
IT liege
Principe de fonctionnement :
Un véhicule en mouvement a une certaine énergie cinétique proportionnelle à sa vitesse au carré et à sa
masse.
Le freinage a pour but en diminuant ou en annulant la vitesse d’absorber cette énergie cinétique.
Pratiquement celle-ci est transformée en chaleur par un frottement entre un organe lié au châssis
(organe fixe) et un organe lié aux roues (organe en mouvement).
D’autres systèmes peuvent être imaginés:
Accroissement de la surface frontale du véhicule et augmentation du Cx (frein aérodynamique)
Accroissement des résistances internes:
Freins à récupération pour les véhicules électriques
Freins à courant de Foucault
Frein-moteur
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IT liege
Compléter le tableau
1 2 3
4 5 6
7 8 9
10 11 12
A B C
IT liege
Compléter le tableau
IT liege
Principe de fonctionnement
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A=
B=
C=
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Le système électrique
Source de base de l’énergie électrique:
La génératrice
Accouplée au vilebrequin par une courroie
Génération de courant alternatif rectifié et régulé afin d’être compatible avec la charge électrique et
permettre la charge de la batterie
La batterie acide plomb (Attention aux véhicules équipés de START-STOP)
permet l’accumulation d’énergie électrique et la disponibilité d’énergie pour démarrer le moteur ou
quand le moteur ne tourne pas assez vite (ralenti)
Le démarreur
un petit moteur qui s’engage lorsque le moteur du démarreur commence à tourner et se retire
automatiquement lorsque le moteur à combustion interne a démarré.
un petit moteur qui admet un fort courant pendant un court moment afin de pouvoir fournir une
grande puissance pour un faible poids.
Batterie
Démarreur
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L’alternateur
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http://www.forum-audi.com/forum-107-electricite-electronique-audi.html
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Il est important de savoir que le port de la ceinture de sécurité est la mesure de sécurité
numéro un. Toutes les autres mesures ne font que compléter et augmenter la sécurité, mais
ce uniquement en combinaison avec une ceinture de sécurité bouclée.
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Système d’Airbag
Le fonctionnement de l'airbag se fait en cinq étapes distinctes : la détection, le déclenchement, le déploiement,
l'amortissement et le dégonflage.
L'action ne se déroule qu'en 150 millisecondes maximum.
En cas de choc, un capteur mesure la décélération et transmet l'information à un boîtier électronique.
En fonction de la mesure effectuée, un signal électrique est envoyé vers les airbags.
Ce signal est transmis au générateur de gaz qui gonfle l'airbag par explosion et détente de gaz comprimés.
Sous la pression du corps, le sac se dégonfle afin d'éviter un effet de rebond et faciliter les mouvements dans
l'habitacle, notamment l'accès des secours.
Les airbags existent sous différentes formes pour différentes fonctions de protection : frontaux, latéraux, rideaux,
genoux, anti-glissement, latéraux arrière. Désormais, il existe même des airbags pour les deux-roues.
En Europe, l'airbag frontal est un équipement obligatoire pour le conducteur.
Dans les voitures récentes, les airbags peuvent être présents un peu partout dans l'habitacle. Ceux frontaux sont
les plus visibles, l'airbag conducteur étant situé dans le volant et celui passager au dessus de la boîte à gant.
L'airbag est systématiquement associé au prétensionneur de
sécurité. Ce dernier tend la ceinture de sécurité afin de plaquer le
passager du siège contre le dossier.
Les airbags ne peuvent en aucun cas de substituer à la
ceinture de sécurité, aussi nombreux soient-ils.
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Figure 3.1
On en calcule les moments par rapport aux axes X, y et Z. les moments produisent (figure 3.2) :
pour la traînée, le roulis et la résistance à l’avancement,
pour la dérive, le tangage,
pour la portance, le lacet.
Figure 3.2
- Pour la résistance à l’avancement, hormis la résistance au sol, seule la force de traînée est prise en
compte.
- Pour la tenue de route, tous les paramètres interviennent.
- La stabilité du véhicule est inversement proportionnelle aux moments de forces.
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En mécanique des fluides, la traînée est la force qui s'oppose au mouvement d'un corps dans un fluide, soit, en
automobile, la force qui s'oppose à l'avancement du véhicule dans l'air. Il est donc dans l'intérêt des
constructeurs de diminuer la traînée, force à l'origine d'une augmentation de la consommation en carburant et
d'une dégradation de la vitesse de pointe en ligne1.
Cette traînée s'exprime par la formule :
où :
- p, masse volumique de l'air (en kg/m3) ;
- V, vitesse du véhicule par rapport à l'air (en m/s) ;
- S, maître-couple (en m2) ;
- Cx, le coefficient de traînée (sans unité).
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Ec = Mv2
2
M kg, v m /s, Ec joule
Exemple:
Un véhicule pesant 900 kg et roulant en ville à une vitesse d’environ 50 km/h (14 mètres par seconde)
possède l’énergie cinétique suivante :
Fig.1
900 X 14 X 14
Ec = 2
= 88 200 j
mv ²
Ec conducteur =
2
Reprenons notre exemple et supposons, qu’en cas de choc frontal, la distance d’arrêt soit quasiment nulle
(0.05 m). On sait que Ec est une énergie et quelle équivaut à un travail W, or :
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Imaginons qu’il est possible d’augmenter L par déformation de l’avant du véhicule (L = 0.5 m) nous aurons :
88 200
= 1 764 00 N, soit l’équivalent en masse de 17 tonnes, soit 10 fois moins grâce à une distance
0.5
d’arrêt 10 fois plus grande.
L’avant et l’arrière du véhicule vont donc avoir pour rôle d’amortir les chocs par leur déformation.
Lors d’un choc frontal, il faut protéger l’habitacle. Les éléments doivent donc se plier de telles manière que
les éléments coupants ne viennent pas blesser les passagers du véhicule. Il en est de même pour le
système de motorisation qui bascule sur ses supports et vient se loger sous l’habitacle.
Les tests sont réalisés à 50 km /h, l’énergie cinétique étant proportionnelle au carré de la vitesse, il n’est
pas possible de protéger les passagers d’une manière absolue lorsque la vitesse est plus élevée.
Calcul de la distance de freinage
Calculer une distance de freinage n'est pas si simple qu'on pourrait l'imaginer, car les facteurs sont très
nombreux ! Commençons toutefois par analyser l'énergie liée au déplacement, c'est le point de départ :
l'énergie cinétique.
L'énergie cinétique est l'énergie qu'accumule un objet qui est en mouvement, et cette dernière n'évolue pas
de manière linéaire. Ce qui veut dire que pour aller à 200 km/h il ne faut pas juste deux fois plus d'énergie
que pour aller à 100 km/h, mais bien plus ! C'est pour cela qu'une voiture de sport 5 fois plus puissante
qu'une voiture "normale" ne va pas 5 fois plus vite, car dans ce cas une Ferrari arriverait sans trop de
problème à 1000 km/h ...
Bref, plus on va vite et plus il est difficile d'aller encore plus vite, et vice versa pour le freinage.
Cette énergie cinétique dépend de deux variables : la vitesse et la masse de l'objet en question
IT liege
L'énergie cinétique est en joules, la masse est en KG et la vitesse en mètres par seconde (beaucoup font
l'erreur de la mettre en Km/h ...)
Donc si cette formule (voir ici pour plus d'infos) ne nous donnera pas les distances de freinage, elle nous
indique le plus important : la force (Ec) qu'il faudra vaincre pour freiner selon la vitesse et la masse du
véhicule. Et en regardant de plus près vous allez remarquer que cette énergie grandit bien plus vite que la
vitesse proportionnellement parlant. Voyons cela en détails :
Ce tableau, qui utilise la formule indiquée plus haut, montre à quel point la vitesse et l'énergie cinétique
n'évoluent pas de la même manière. Par exemple, quand je suis à 150 km/h (soit 5 fois plus vite que 30
km/h) l'énergie cinétique est quant à elle 25 fois supérieure ! Il faut donc 25 fois plus d'énergie pour freiner
depuis 150 km/h que depuis 30 km/h, et non pas 5 fois plus comme on pourrait le croire instinctivement.
Les disques et plaquettes (sans oublier les pneus) en bavent donc (ou plutôt absorbent les joules) 25 fois
plus à 150 qu'à 30 km/h.
Comprenez donc bien qu'il y a un transfert d'énergie : les joules de l'énergie cinétique sont transformés en
chaleur au niveau du point de contact entre les disques et plaquettes, et dans une moindre mesure au point
de contact entre les roues et la route.
IT liege
11 LE PRINCIPE DE LA MOTORISATION
11.1 3.1 Mise en situation
IT liege
IT liege
3 4
5 6
7 8
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Résumé
…
IT liege
IT liege
IT liege
IT liege
1 2 3
4 5 6
7 8 9
10 11 12
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12.6 La culasse
IT liege
IT liege
Découpe du joint
IT liege
IT liege
IT liege
1. Étude du fonctionnement :
2.1 Principe général de fonctionnement
IT liege
IT liege
IT liege
IT liege
AOA :……………………………..
AOE :………………………………
RFA :……………………………….
RFE :……………………………….
AA :………………………………….
AI :…………………………………
IT liege
IT liege
IT liege
IT liege
IT liege
IT liege
7.4 Résumé
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La lubrification continue touche tous les mécanismes en mouvement et est constituée par un système de
conduites qui amène, par l’intermédiaire d’une pompe, le lubrifiant vers les divers organes (paliers,
coussinets, roulement à billes) à lubrifier. Le lubrifiant retourne au bac pour y être réfrigéré puis remonte en
traversant un filtre qui retient les impuretés.
C'est le cas notamment de l'huile pour un moteur à combustion interne. Le lubrifiant se dégrade, en
particulier sous l'effet de la forte chaleur, et se charge en débris d'usure : il faut donc vidanger
régulièrement le réservoir et le remplir avec du lubrifiant neuf. Dans certains cas (qui a tendance à se
généraliser), l’huile passe par un radiateur de refroidissement, avant de retourner lubrifier les organes qui
utilisent le même fluide (moteur, boîte-pont, turbo).
Dans le cas du moteurs à deux temps, le carburant est mélangé avec un pourcentage d’huile spéciale
(appelée huile 2 temps) qui assure le graissage des organes en mouvement. Il n’y a pas, ensuite, de
récupération d’huile, car celle-ci est brûlée en même temps que le carburant.
Sur les machines fixes par rapport au sol, on peut également faire tremper la mécanique dans un lubrifiant
liquide, on parle alors de bain d'huile ou de barbotage. Comme dans le cas des moteurs thermiques, le
carter doit être rempli en respectant les niveaux mini et maxi.
Le graissage à bague : le système est utilisé dans les paliers pour le graissage des tourillons et consiste en
une bague, posée librement sur l’arbre, et d’un diamètre suffisamment grand pour tremper dans un
réservoir à la partie inférieure du palier. Pendant le mouvement de rotation de la bague, l’huile qui y adhère
est entraînée pour venir graisser le tourillon.
L'usinage des pièces mécaniques nécessite une lubrification afin d'assurer le refroidissement des outils et
des pièces et de limiter les efforts de coupe au strict nécessaire permettant l'enlèvement de matière
(copeaux).
En finalité
Diminuer les résistances dues aux frottements des pièces en mouvement. Dans un moteur, une bonne
lubrification augmente le rendement en réduisant les pertes mécaniques dues aux frottement. F
ÉTUDE DU FROTTEMENT
IT liege
IT liege
FONCTIONS
Réduire le frottement
Diminuer l'usure
Évacuer la chaleur
Éviter le grippage
Évacuer les résidus de combustion
Protéger contre l'oxydation et la corrosion
Participer à l'étanchéité interne entre piston et cylindre (meilleures compressions).
IT liege
LE GRAISSAGE
LES HUILES MULTIGRADES dont la viscosité est donnée pour deux valeurs de la
température.
(1°C = 1.8°F)
IT liege
IT liege
IT liege
- La distribution
- 2 Le graissage intégral.
ORGANISATION
DU CIRCUIT DE
GRAISSAGE
4 : LA POMPE A HUILE.
Pour obtenir la pression de graissage, une pompe à huile est placée dans le circuit.
Rôle de la pompe à huile:
Aspirer l'huile dans le carter inférieur et la diriger sous pression à travers des canalisations vers les
Þ Pompe à engrenages
Þ pomp e à palettes
Þ pompe à rotor.
1 : La pompe à engrenages.
2 : La pompe à palettes.
Un rotor excentré est logé dans la partie cylindrique du corps de pompe. Le rotor est rainuré
diamétralement.
Cette rainure reçoit 2 palettes qu'un ressort maintient en pression contre le corps cylindriquede la pompe.Le
rotor est entraîné par le moteur dans le sens indiqué par la flèche.
Le volume (A) augmente et occasionne une dépression. L'huile est aspirée dans ce volume. En
même temps, le volume opposé diminue, et l'huile est chassée vers la sortie.
3 : La pompe à rotor.
Le corps de la pompe est généralement obtenu de fonderie dans le carter cylindres.
Le filtre, contenu dans une cartouche en tôle, est en général en toile ou en papier. Ce filtre est monté en
série.
> Dans ce montage, toute l'huile venant de la pompe passe par le filtre.
> En cas d'obstruction du filtre, le circuit
d'huile est coupé. Pour éviter cette
anomalie, on adjoint un clapet de sécurité (by pass) :
Les vapeurs d'huile collectées dans le couvre culbuteurs sont amenées par le canal (B) vers un
décanteur (1).
L'huile, sous forme liquide, retourne dans le carter par la canalisation (2) et le tube (J).
Les vapeurs sont dirigées vers la chambre de combustion pour y être brûlées par un double circuit :
le circuit M en amont du papillon qui fonctionne quand le papillon est ouvert, et le circuit V en aval
du papillon qui fonctionne au ralenti quand le papillon est fermé. Ce circuit comporte généralement
un ajustage A, de l'ordre de 1 mm, car il contribue à la carburation.
Le mano-contact de pression d'huile commande un témoin rouge situé sur le combiné d'instrumentation de
bord. Il est absolument nécessaire pour avertir le conducteur d'une pression d'huile anormalement basse.
Certains véhicules possèdent en plus un manomètre de pression au tableau de bord.
> Le coefficient de frottement est un nombre sans unité f = F qui est fonction P des matériaux mis en
contact.
2 : Rôle du graissage.
> Le graissage diminue le coefficient de frottement. Un graissage onctueux permet un frottement gras,
le renouvellement de l'huile est assuré par barbotage ou simple écoulement.
> Le graissage hydrodynamique sépare les pièces grâce à la formation du coin d'huile.
3 : Réalisation du graissage des moteurs.
> La circulation de l'huile est assurée par une pompe et des canalisations. La pression est régulée.
> Les éléments du moteur graissés sous pression sont: le vilebrequin, l'arbre à cames, la rampe de
culbuteurs.
> Les éléments lubrifiés par écoulement ou projection sont : les pistons, la partie inférieure des
cylindres, les cames, la chaîne de distribution, etc.
> La purification de l'huile est assuré par un filtre.
4 : Types de pompes:
> Les pompes peuvent être: à engrenages, à rotors, à palettes.
Qualités demandées aux huiles de graissage:
> Les qualités des huiles de graissage sont : la viscosité, la fluidité, la stabilité,
LE GRAISSAGE
3. LE CIRCUIT DE LUBRIFICATION
4. LA POMPE A HUILE
5. LE LIMITEUR DE PRESSION
- DESCRIPTION
- FONCTIONNEMENT
6. LE FILTRE A HUILE
- LE ROLE
- CONSTITUTION D’UN FILTRE
8. RESUME
VISCOSITE-TEMPERATURE
INTRODUCTION
Du fait de son principe de base et des frottements entre les pièces en mouvement, le
m
oteur thermique produit beaucoup de chaleur.
Il doit donc être maintenu à une température de fonctionnement constante (en général entre 70 et 90°C.
Le bloc moteur et la culasse sont donc aménagés pour permettre la circulation d’un fluide réfrigérant
(air ou eau).
Avantages :
· Moteur de constitution simple
· Moteur plus léger
· Entretien facile
Inconvénients :
· Moteur bruyant
· Moteur ne pouvant pas fonctionner en
stationnaire (véhicule à l’arrêt) trop
longtemps.
PRINCIPE :
La culasse et le bloc moteur comportent des chambres des chambres dans lesquelles circule le liquide
de refroidissement (à base d’eau déminéralisée et d’antigel).
Cette circulation est assurée par une pompe à eau et par la différence de masse volumique
(thermosiphon).
Le liquide chaud est dirigé vers l’entrée du radiateur et ressort par le bas en se refroidissant.
ATTENTION !!!
IL NE FAUT JAMAIS METTRE DE L’EAU DE ROBINET OU DE PUIT DANS UN MOTEUR
Avantages :
- Moteur moins bruyant
- Refroidissement mieux contrôlé
- Meilleur rendement
Inconvénients :
- Moteur plus lourd
- L’aménagement du circuit de refroidissement ren
sa mise en œuvre plus difficile
Il s’agit d’un circuit classique auquel on ajoute un vase d'expansion et une soupape pour la régula-
tion de la pression.
a) Démarrage du moteur: LIQUIDE FROID
Le radiateur est plein de liquide de refroidisse-
ment.
Le vase d'expansion contient une petite quantité de
liquide et au dessus de ce liquide une quantité
d'air à la pression atmosphérique.
b) Moteur en fonctionnement: LIQUIDE CHAUD
La température du liquide augmente.
Par augmentation de volume, le liquide en excédent
dans le circuit pénètre dans le vase d'expansion.
Il y a compression de l'air emprisonné dans le vase
d'expansion.
LE CIRCUIT EST SOUS PRESSION
c) Arrêt du moteur: LIQUIDE REFROIDI
Le refroidissement du liquide refroidi entraîne une
diminution de son volume.
L'air sous pression dans le vase chasse le liquide
vers le radiateur.
La pression dans le vase revient à la pression atmos-
phérique.
l
'
e
a
u
b
o
u
t
à
8
5
°
C
e
n
v
i
r
o
n
.
DONC...........................Augmenter la pression revient à augmenter la
température d'ébullition de l'eau ex : à
0, 8 bar bout à environ 115°C.
6 – LA SOUPAPE
Elle sert justement à augmenter la pression dans le circuit de refroidissement.
1 Description
Elle comporte 2 clapets et est située dans le bouchon du vase d'expansion ou directement dans le
bouchon du radiateur.
2 Fonctionnement
Quand le liquide s’échauffe il augmente de
volume ; une partie du liquide du radiateur
vient remplir le vase. La pression de l'air com-
prise dans le vase au-dessus du liquide aug-
mente. A partir d'une certaine pression (0,8 à
1,2 bar) le clapet de pression s'ouvre pour sta-
biliser la pression dans le vase à la valeur
maxi.
7-2- LE RADIATEUR
C’est l’élément au sein duquel se passe l’échange de température entre l’air extérieur et le
liquide de refroidissement. Il est généralement en alliage d’aluminium et, selon le sens
d’écoulement du liquide de refroidissement, est en « U » ou en « diagonal ».
Radiateur en diagonal
En « U » « Diagonal »
7-
3-
LA
POMPE A EAU
7-4- LE THERMOSTAT
Il s’agit d’une soupape
incorporée au circuit dont l’ouverture ou la fermeture est conditionnée par la température du
liquide de refroidissement. Son fonctionnement s’établit comme suit :
MOTEUR FROID
Il est fermé et, ainsi, le liquide de refroidissement est emprisonné dans le moteur. Sa
température monte donc très rapidement pour atteindre la valeur de fonctionnement optimal.
Il permet d’augmenter la vitesse de circulation de l’air à travers le radiateur. On distingue deux types de
ventilateur :
Le ventilateur attelé par courroie en fonctionnement continu
Le ventilateur commandé (électrique ou moto ventilateur) dont le fonctionnement tient compte
de la température du liquide de refroidissement.
REMARQUE : un moto ventilateur peut être à une ou plusieurs vitesses.
SCHEMASELECTRIQUE
7-7-
L’AEROTHERME
C’est un « petit radiateur » dans lequel circule le liquide de refroidissement. Lorsque le ventilateur d’habitacle
tourne, l’air qui le traverse s’échauffera (et s’asséchera) avant d’aller vers les passagers.
1. Eau déminéralisée
2. Monoéthylèneglycol (antigel)
3. Inhibiteur de corrosion adapté à la composition métallurgique des éléments du moteur.
Il importe donc pour éviter tout ennui, de respecter scrupuleusement les recommandations du constructeur
lors du remplissage du circuit de refroidissement.
La proportion de mélange de ces 3 composants dépend du niveau de protection que l’on souhaite
atteindre ( 40% pour une protection à –30 °C)
Pour un fonctionnement dans les pays chauds, on réduira largement cette proportion. (l’eau a
unemeilleurecapacitécalorifique que l’antigel.
En général, l’inhibiteur de corrosion est incorporé à l’antigel ; il est donc important de conserver un peu
de mélange antigel dans le circuit.
· Une dilatation des pièces: ce qui provoque une diminution des jeux fonctionnels, une
difficulté de lubrification et un serrage moteur
· Une diminution du taux de remplissage du fait de la dilatation des gaz admis dans la
chambre de combustion
· L’inflammation spontanée du mélange (pour les moteur à essence): auto allumage
· Une déformation des pièces du moteur (fluage, détrempage, fusion)
Lors d’une intervention sur le circuit de refroidissement, il est conseillé d’utiliser la notice technique
spécifique au véhicule pour les opérations suivantes :
Intervention sur un composant du circuit ;
Remplacement du liquide ;
Purge du circuit ;
Types de liquides : G11-G12…
…
LE CIRCUIT DE REFROIDISSEMENT
INTRODUCTION
1. LE REFROIDISSEMENT PAR AIR
- PRINCIPE
- AVANTAGES ET INCONVENIENTS
2. LE REFROIDISSEMENT PAR EAU
- PRINCIPE
- AVANTAGES ET INCONVENIENTS
- CIRCULATION DU LIQUIDE DANS LE CIRCUIT
3. LE CIRCUIT OUVERT
4. LE CIRCUIT SOUS PRESSION
- LIQUIDE FROID
- LIQUIDE CHAUD
- LIQUIDE REFROIDI
5. RELATION ENTRE PRESSION ET TEMPERATURE D’EBULLITION
6. LA SOUPAPE
- DESCRIPTION