Vous êtes sur la page 1sur 7

Généralités sur les routes

La route née du passage répété d'homme et d'animaux sur un même itinéraire. La route est une voie de
communication qui permet de relier tous les points d'un territoire, elle assure la liaison est continuité
des transport entre les autres voies de communication.

La route est une voie de communication qui permet de relier tous les points d'un territoire, elle assure la
liaison est continuité des transport entre les autres voies de communication.

Classification des routes :

Classification administrative :

a. chemins communaux

b. chemins départementaux

c. chemins nationaux

d. les autoroutes.

Définitions :

a _ Chemins communaux :

Dépendant de la commune. On distingue 2 types, l'un appelé chemin rural : et qui par définition assuré
la liaison, entre habitations rurales et les propriétés agricoles. L'autre appelé chemin urbain : et qui par
définition est voie à l'intérieur de l'agglomération urbaine.

b- Chemins nationaux :

Sa construction est son entretien relèvent de la responsabilité du ministère des travaux publics.

c- Les autoroutes :

Sont des routes nationales et internationales réservées à la grande circulation mécanique rapide.

Catégorie des routes :

a- catégorie exceptionnelle d'une vitesse V= 120km/h : c'est une route avec de chaussées séparées.

b- Voirie primaire d'une vitesse V= 100 Km/h : c'est un tracé en terrain facile et peu accident avec
quelque agglomérations croisements.
DEFERANTE TYPES DE LA CHAUSSEE :

Pour assurer une circulation rapide et confortable, la chaussée doit avoir une résistance parfaite pour
supporter tout genre véhicules et rapporter le poids des véhicules sur le terrain de fondation. Du point
de vue constructif, les chaussées peuvent être groupées en trois grandes catégories.

Chaussee souple :

Elles sont composées en couche de base et en couche de fondation. La couche de fondation est
constituée de gravier roulé, concassé ou tout-venant d'oued mais mélangé avec bitume, sa partie
supérieure est en liaison.

Chaussee rigide :

Elles sont constituées de dalles en béton armé, qui élastiquement sous les charges et transmettent les
efforts et les réparation sur la couche de fondation (piste d'atterrissage le pont).Chaussee semi rigide :

Elles comportent une couche de base et quelque fois une couche de fondation traitée au liant
hydrocarboné.

TERMONOLOGIE ROUTIERE :

D`après la figure on distingue :

· l'emprise : largeur en terrain appartenant au domaine public affecté à la route et à ses dépendances.

· L'assiette : la surface réellement occupée par la route et ses ouvrages (accotements terres pleins
centrale ...)

La plate forme : la surface du terrain qui comprend les chaussées, les accotements et éventuellement,
les terres pleins.

· La chaussée : c'est les surface aménagée de la route sur laquelle circulent les véhicules.

· Accotements : c'est les zones latérales qui encadrent la chaussée, elle sont pour la plus part du temps
aménagées pour les piétons.

· Fossé : creux qui borde longitudinalement un accotement construit en terre ou en B.A ayant (fausse
trapézoïdale) sont rôle est de collecter les eaux de pluie.

· Talus : la linge d'équilibre de la terre, l'inclinaison du talus est de 3/2 pour les remblais et de 1/1 par
déblais.
· Vois de circulation : c'est la partie de la chaussée réservée à une file de véhicules.

· Bordure : c'est une barrière basse utilisée pour protéger les véhicules et les ramener sur la chaussée.

· Descente : c'est un ouvrage disposé le longe d'un talus (remblai, déblai).

· Caniveau : l'emplacement creux avec deux versant inclinés, spécialement aménagés pour l'écoulement
des eaux surtout le long de la chaussée.

· Banquette : sur élévation terrassée et herbue aménagée à la limite extérieure dominant u remblai en
vue d'assurer la sécurité des usagers et des accotements.

Berme : palier constitué longitudinalement à un accotement construit en déblai aux niveaux du terrain
avoisinant ayant comme rôle de collecter les eaux de ruissellement ou de drainage.

· Terre -plein : bande de terrain situé entre deux chaussées construits sur une même plate-forme.

Elément des accotements et des fossés : les accotements et les fossés peuvent avoir certains
constructions simple (aménagement) qui sont :

· Garages : espaces aménagés en largeur d'une chaussée et dessinés au stationnement des véhicules soit
pour dégager la chaussée, soit par permettre le croisement ou le dépassement sur une route étroite.

· Saignée : rigole creusée entraver des accotement et permettant l'évacuation des eux de caniveau vers
les fossés.

· Drains : les saignées profondes aménagées sur la chaussée et les accotements en travers de la route et
destinées à évacuer les eaux d'infiltrations vers les faussées.

· Puisard : un trou à parois maçonnées construit au fond des fossés et dessinée à recueillir les eaux pour
leurs permettre soit de filtrer dans le terrain naturel soit de s'évacuer par des conduites en pentes
placées à leur base et travers la route.

· Regard : puisard portant à sa partie supérieur une grilles ou un regard

· Casus : un caniveau qui travers la chaussée.

· Dos d'Ane : un bombement transversal de la chaussée.

· Glissière de sécurité : barrière basse, métallique on en béton profilé utilisant l'élasticité des pneus qui
ramène progressivement et sans dommage le véhicule sur la chaussées elles sont installées dans tous les
lieux dangereux.

· Murette maçonnerie : remplace la glissière de sécurité dans les montagnes pour bien protéger les
véhicules, cette construction gène le déneigement.
ravinement est l'érosion soudaine d'un sol meuble ou d'autres surfaces de soutien par un jet d'eau. Ce
phénomène se produit habituellement lors d'une forte averse de pluie (une crue soudaine) ou de tout
autre type d'inondation par un ruisseau. Ces averses peuvent se produire localement lors d'un orage ou
sur une grande surface, par exemple à la suite de l'arrivée à terre (en) d'un cyclone tropical[1]. Si un
ravinement se produit dans une formation resemblant à un cratère (en), alors il s'agit d'une doline, et il
s'agit habituellement d'une conduite principale d'eau ou d'un collecteur pluvial (en) qui fuit ou qui est
brisée. D'autres types de dolines, comme les grottes effondrées, ne sont pas des ravinements.

Ravinement à Gravois Mills en juin 1973, dans l'État américain du Missouri, où le sol ne pouvaient pas
absorber l'eau des précipitations.

Des effondrements généralisés peuvent se produire dans les régions montagneuses après de fortes
pluies, même dans les ravins normalement secs. Un ravinement grave peut se transformer en
glissement de terrain ou causer la rupture d'un barrage dans le cas d'un barrage en remblai. Comme
pour d'autres formes d'érosion, la plupart des effondrements peuvent être évités par la végétation dont
les racines retiennent le sol et/ou ralentissent l'écoulement des eaux de surface et souterraine. La
déforestation augmente le risque de ravinement. Des murs de soutènement et des buses peuvent être
utilisés pour essayer d'empêcher l'effondrement, même si des ravinements particulièrement graves
peuvent quand même les détruire s'ils ne sont pas assez grands ou solides.

du sol peuvent causer la stagnation de l'eau. Cela peut se produire lorsque le sol est incapable de
drainer efficacement l'eau, soit en raison d'un sol argileux dense et compact, d'une faible pente du
terrain ou de la présence d'obstacles qui bloquent l'écoulement de l'eau.

Lorsque l'eau stagne, elle s'accumule à la surface du sol, créant des flaques d'eau. Cette stagnation peut
durer pendant de longues périodes pendant la saison des pluies, ce qui peut entraîner divers problèmes.

Tout d'abord, la stagnation de l'eau favorise la multiplication des moustiques et d'autres insectes
nuisibles, qui peuvent transmettre des maladies comme la dengue, le paludisme ou le virus Zika. De
plus, l'eau stagnante peut également favoriser la croissance des algues, des moisissures et des
champignons, qui peuvent endommager les plantes et causer des problèmes de santé.
En outre, lorsque l'eau stagne, elle s'infiltre lentement dans le sol, provoquant l'imbibition des couches
inférieures. Cela peut entraîner une saturation du sol, réduisant ainsi la disponibilité de l'oxygène pour
les racines des plantes. Les racines peuvent alors pourrir et les plantes peuvent mourir.

Pour remédier à cette situation, plusieurs mesures peuvent être prises. Par exemple, le drainage du sol
peut être amélioré en ajoutant du sable ou d'autres matériaux qui favorisent la perméabilité du sol. De
plus, des canaux de drainage ou des fossés peuvent être aménagés pour permettre à l'eau de s'écouler
plus facilement.

Il est également important de maintenir une bonne hygiène et de vider régulièrement les récipients
d'eau stagnante qui pourraient servir de sites de reproduction pour les moustiques.

En résumé, la stagnation de l'eau pendant la saison des pluies et l'imbibition des couches inférieures du
sol peuvent causer divers problèmes tels que la multiplication des moustiques, la croissance d'algues et
de moisissures, ainsi que la pourriture des racines des plantes. Des mesures doivent être prises pour
améliorer le drainage du sol et éviter la stagnation de l'eau.

L'érosion désigne le déplacement de sol ou de roches sous l'action combinée de la gravité et des
éléments naturels tels que le vent, la pluie, le ruissellement de l'eau ou les vagues. Ce phénomène
naturel entraîne le transfert progressif de grands volumes de matière depuis l'amont des bassins
versants vers l'aval.

Les eaux fluviales peuvent avoir un impact significatif sur les routes, en particulier pendant la saison des
pluies ou lors de fortes précipitations. Voici quelques-uns des effets les plus courants :

1. Érosion du sol : Les eaux fluviales en mouvement peuvent éroder le sol le long des routes, emportant
le matériau et créant des ravines ou des affaissements. Cela peut fragiliser la structure de la route et
rendre la conduite dangereuse.

2. Inondations : Lorsque les cours d'eau débordent, ils peuvent inonder les routes, les rendant
impraticables. Cela peut entraîner des retards, des détours ou même des fermetures de routes,
perturbant ainsi le trafic et les déplacements.

3. Affaissement de la chaussée : Lorsque les eaux s'infiltrent sous la chaussée, elles peuvent ramollir le
sol et affaiblir sa capacité à supporter le poids des véhicules. Cela peut causer des affaissements de la
chaussée, créant des nids-de-poule ou même provoquant l'effondrement de sections entières de la
route.

4. Détérioration de la surface : L'exposition constante aux eaux fluviales peut endommager la surface de
la route. L'eau peut pénétrer dans les fissures existantes, provoquant leur agrandissement et rendant la
route plus vulnérable aux dommages dus à la circulation et aux cycles de gel-dégel.

5. Blocage des drains : Les eaux fluviales charrient souvent avec elles des débris tels que branches,
feuilles ou détritus. Ces débris peuvent obstruer les drains et les systèmes de drainage le long des
routes, entraînant une mauvaise évacuation de l'eau et contribuant à la stagnation de l'eau sur la
chaussée.

Il est donc essentiel de prendre des mesures pour minimiser l'impact des eaux fluviales sur les routes.
Cela peut inclure la mise en place de systèmes de drainage efficaces pour évacuer rapidement l'eau, la
construction de routes surélevées pour éviter les inondations, la stabilisation des talus pour réduire
l'érosion et le nettoyage régulier des drains pour assurer leur bon fonctionnement.

Une planification adéquate de l'infrastructure routière, en tenant compte des caractéristiques


hydrologiques locales, ainsi qu'une maintenance régulière peuvent contribuer à atténuer les effets des
eaux fluviales sur les routes et à assurer la sécurité routière.

Les conditions météorologiques ont un impact direct sur les infrastructures routières. Alors que

certaines conditions météorologiques sont considérées lors de plusieurs étapes de la vie d’une

chaussée, le phénomène de changement climatique n’est pour l’instant pas pris en compte. Ce fait

pourra dans un futur proche, impliquer des conséquences marquées sur a durée de vie des

chaussées.

L’objectif principal de la thèse consiste à évaluer l’impact du changement climatique sur les

performances des infrastructures routières et d’en tirer des recommandations à travers la

proposition de mesures d’adaptation. Les implications et contributions souhaitées pour la pratique

sont nombreuses et permettent d’intégrer le phénomène de changement climatique dans les

objectifs à long terme de a vie d’une chaussée routière.


Dans une première phase, une prévision des conditions météorologiques suisses est effectuée à

l’aide d’un modèle climatique de pronostic novateur. L’évaluation des prévisions météorologiques

montre que des changements importants des régimes de températures sont prévus d’ici a fin du

21ème sièce. Ainsi une augmentation des températures moyennes mais également une apparition

pus fréquente des températures extrêmes est prévue. Un changement important des cycles de gel

dégel est également pronostiqué à travers une diminution du nombre de cycles et une diminution de

la longueur des périodes de gel et de dégel. D’autres conditions météorologiques peuvent également

présenter des changements conséquents, telles que les précipitations.

Vous aimerez peut-être aussi